À l'ouest

Vide abyssal.

Je suis restée totalement hermétique à ce roman. Il n'y a pas d'intrigue, pas d'intérêt.
Je n'ai ressenti aucune forme d'empathie pour les personnages et leurs histoires personnelles.
Pour moi, c'est l'archétype du roman qui ne sert à rien.
Heureusement, ce n'est pas long.

Après avoir lu "Je vais bien, ne t'en fais pas", que j'avais vraiment beaucoup aimé, j'ai lu "A l'ouest". A se demander si l'auteur lui-même ne l'était pas, à l'ouest, car j'ai trouvé le style trop confus, ce qui m'a fait totalement décrocher de l'histoire.

J'ai déjà lu des livres d'Olivier Adam, Je vais bien, ne t'en fais pas, son plus connu, ainsi que Falaises, moins médiatisé. Malheureusement, ces deux lectures ont été d'amères déceptions, qui ne m'avaient apportés qu'ennui et bâillements. Comme je n'aime pas rester sur des échecs, je me suis dis : jamais deux sans trois, tente-en un dernier ! Et j'ai acheté (par très cher, chez Emmaüs) À l'ouest, doté d'une jolie couverture. La sentence est sans égale : je n'aime pas l'écriture ni le style d'Olivier Adam et je n'en relirai plus jamais.

Il y a tout d'abord un énorme flou narratif, qui m'a empêché de comprendre le sens de l'histoire. Je n'ai pas compris ce que voulait dire l'auteur, où il nous emmenait ou qui étaient les personnages. Je n'ai absolument rien compris, mais j'ai persévéré en tentant de lire plusieurs pages, dans l'espoir que l'histoire s'éclaircissait : que nenni ! C'est un vide abyssal, une succession de mots sans sens commun ni intrigue. Comme les précédentes histoires que j'ai pu lire de l'auteur, je suis restée hermétique, presque abasourdie face aux pages qui défilaient, me demandant si c'était moi qui n'y comprenait rien ou si c'était un fait exprès voulu par l'auteur. Après lecture de plusieurs critiques vindicatives, je suis rassurée de découvrir que beaucoup partagent mon avis : ce roman ne sert à rien, heureusement, il n'est pas long !

Un roman totalement décousu, qui ne raconte rien et forme un flou narratif impossible à démêler. C'est le troisième livre d'Olivier Adam que je lis et certainement le dernier : je n'adhère pas à son style littéraire et n'y comprend fichtrement rien !
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140 pages! 140 pages ridicules qui ne servent à rien et dont on ne retient rien! A peine les personnages.

"A l'ouest" un titre qui en dit long! L'auteur était-il sous une quelconque substance?
Une typographie pour ainsi dire inexistante. Des phrases qui ne veulent rien dire. Avec des successions de virgule!
Les profs de français s'arracherait surement les cheveux, car toutes leurs leçons s'effondrent comme un château de carte.

D'où "cet endroit" est une phrase? Et de quel endroit on parle? "Ça y est" Oui mais quoi?

On passe du "tu" au "il" à "je". C'est un jeu pour perdre le lecteur? Parce que c'est réussi!
Qui est Lorette?

Je trouve cet ouvrage saccadé, haché
Pourquoi on finit le bouquin par "elle a pleuré"? Bien sûr qu'elle ne peut que pleurer sur cette triste existence sans aucun intérêt! A un moment, il faut dire stop et se bouger!

Je suis un peu dubitative quant à la qualité de ce roman.

Je trouve qu'il manque de profondeur mais peut-être est-ce dû à la longueur du texte. Les personnages sont paumés, ils tentent de sortir leur tête de l'eau chacun de leur côté. J'ai trouvé que certains passages étaient très brouillons, j'avais du mal à comprendre certains enchaînements...

L'histoire ne m'a pas intéressé plus que cela, je suis passée à côté.
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Pour une fois, je dois bien vous faire un aveu, je cale au moment de commencer ma chronique...
Pas parce que je ne sais pas comment présenter les choses, mais bien parce que je n'ai pas grand chose à dire de cette oeuvre.

L'écriture est assez plate, manque de ponctuation mais encore on y est habitué avec Olivier Adam, qui aime assez cette écriture saccadée et qui parfois peut même servir ces oeuvres donc le fait que ce roman ne m'inspire pas ne vient même pas de la...

Parlons donc du fond, ou plutôt de l'absence de fond, on nous relate l'existence ( ou la non-existence) d'une famille qui survit, picole se bat, et essaye de s'en sortir mais qui réagit plus mécaniquement sans raison. Untel va là puis à tel endroit, puis agit de telle manière mais sans aucune raison.

Bref l'auteur ne nous raconte rien, et le fait sans style, oui ça peut paraître assez sévère alors que ce n'est vraiment pas mon style de descendre un bouquin mais il n'y a vraiment rien pour sauver ce livre.

Même Si c'est très bien de citer Leonard Cohen et Jeff Buckley dans ces livres...

C'était mon troisième Olivier Adam après je vais bien ne t'en fais pas et les lisières et je dois bien avouer qu'aucun des trois m'a complètement convaincu, mais celui la était le pire à mon gout.

Difficile de passer outre le style brouillon et médiocre de l'auteur qui nous sert là un livre sans intérêt - à part celui d'être vendu, bien sur. Cela étant, le livre se veut noir et désabusé - sans doute espère t-il y trouver là une illusion de profondeur.
Ce serait une dissertation de lycéen, ce serait passable, en tant que livre, c'est inacceptable.

Voilà un auteur qui n'est vraiment pas pour moi.

Je l'ai découvert en 2011 avec "Passer l'hiver" que je n'ai pas aimé.

Je l'ai retrouvé en 2017 avec "Des vents contraires", un gros succès que j'ai aimé, mais sans plus.

J'ai récidivé en mai 2021 avec "La tête sous l'eau" et celui-là, je l'ai beaucoup aimé.

Et voici une nouvelle déception, la plus grosse sans doute.

Je n'ai rien aimé dans ce bouquin ni le style ni l'histoire s'il y en a une. Les phrases sont courtes, trop à mon goût, parfois insensées du style "Tu prends sa main, la glisses. Là où." La ponctuation dans les dialogues est parfois inexistante et le récit est tantôt écrit à la 1ère personne, tantôt à la 3e en passant même par la 2e !

Quand à l'histoire, elle n'a, pour moi, aucun intérêt et est d'ailleurs quasi inexistante !

Allez, j'oublie vite ce livre.

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Alors je dois dire que je n'ai pas du tout accroché avec ce livre. En effet, je n'ai pas aimé le style d'écriture constitué de phrases courtes, de successions de phrases sans dialogue. Et généralement ce sont des phrases qui commencent par "je" ou encore "elle".

Le résumé m'avait donné envie mais je ne saurais même pas vous dire ce que j'en ai lu et compris car j'étais comme absente lors de ma lecture.

Je ne sais pas si vous avez déjà lu ce livre et si je suis la seule à n'avoir rien compris. Mais je ne le vous conseille pas vraiment à moins que vous aimez ce style d'écriture....

Le livre porte du coup bien son nom puisque je me suis sentie comme à l'ouest pendant toute ma lecture....

Je consacre cet été à des découvertes littéraires et je pioche dans des auteurs que je n'ai encore jamais lus; ce fut le cas avec Olivier Adam dont je ne connaissais pas les textes mais dont j'avais apprécié l'adaptation cinématographique de "Je vais bien, ne t'en fais pas"; j'avais été émue par ces parents qui tentent à tout prix de protéger leur fille mais qui vont la détruire par les non-dits. J'abordais donc "A l'ouest" avec un préjugé favorable.
Quelle déception!
On fait la connaissance de Marie et de ses enfants adolescents, Antoine et Camille, englués dans une banlieue glauque et dans un mal-être profond.
L'histoire aurait pu être prenante, elle est juste ennuyeuse; les personnages vont et viennent on ne sait où, on ne sait pourquoi. C'est totalement sans intérêt.
La lecture est déprimante; les relations humaines sont inexistantes face à la solitude, l'incommunicabilité, aux affres de l'adolescence, à la sexualité brute d'Antoine à la limite de l'agression qui détruit tout prémice d'amitié.
L'absence de ponctuation, le style confus découragent le lecteur(trice) même armé(e) de la meilleure volonté.
Mais je ne veux pas rester sur cette impression négative et prévoit de lire "Des vents contraires" et "A l'abri de rien".