Les jours meilleurs

prix des lectrices

‘Les Jours Meilleurs' est un livre qui se lit facilement. Sans même m'en rendre compte, j'arrivais à la dernière page du roman, et j'ai refermé celui-ci, contente d'avoir passé un très agréable moment.

Un roman ‘Feel Good' parlant de la perte d'un être cher. Des changements, positifs ou négatifs qui peuvent se faire en chacun. Des erreurs que l'on peut faire, de devoir faire face à celles-ci et à leurs conséquences. Mais surtout qui parle des gens. de l'histoire de chacun. Unique. Belle, heureuse, triste, drôle. Mais chacune, unique. Tout le monde a une histoire et c'est ce que ce livre parle.
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Kittie est une journaliste sur la sellette. Son jugement ayant pris le pas sur son professionnalisme, elle a remonté une fausse affaire accusant de viol un enseignant. En parallèle, sa meilleure amie et mentor meure des suites d'un cancer. Elle se retrouve à devoir écrire le dernier article que son amie n'a jamais pu écrire.
Je ne connaissais pas Cecelia Ahern et c'est mon premier roman de cette auteure. J'ai passé un bon moment mais ce n'est clairement pas le roman de mon année. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas lu de contemporain et j'avais besoin d'un petit truc pas prise de tête. Et c'est exactement ce que ça a été, mais ce ne sera malheureusement pas plus que ça. Les histoires qui se terminent bien à tout prix, je trouve décidément ça trop plan plan et tout ce qui s'est passé, je l'ai senti arriver à des kilomètres, y compris la "résolution" du mystère autour de l'article que Kittie doit rédiger. C'est ce qu'on appelle un roman feel good je pense où le genre de message bateau est "tout le monde peut être extraordinaire", c'est sympa mais c'est pas trop pour moi. Je ne boude pas ma lecture, car l'auteure à un style d'écriture qui est très appréciable malgré tout et elle a réussi à me happer jusqu'à la fin de son histoire. Bilan assez mitigé au final, je pense juste que je ne suis pas le bon public pour ce genre d'histoire, même si j'ai lu ce roman à un moment opportun.

Je n'ai pas lu ce livre d'une traite sans pouvoir m'arrêter comme les autres livres de Cecelia Ahern que j'ai lu, dont PS: I love you qui fait parti de mes coups de coeur. J'ai eu du mal à me mettre de temps et ai dû reposer le livre quelques temps. Je m'y replongée doucement mais sûrement. Hier, arrivée aux 3/4, je pensais commenter en indiquant "bon livre, sans plus, il manque pour moi quelque chose". Finalement, ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai adoré la fin (qui a clairement sauvé ce livre) et le message délivré. J'ai même versé une petite larme. C'est donc finalement un beau livre sans être un coup de coeur.

Une histoire à écrire et cent noms comme indice. Cela s'annonce compliqué pour Kitty qui vit déjà une période tendue à cause de ses récentes révélations. J'ai beaucoup apprécié ce roman comme ceux de l'auteur. J'ai adoré en savoir davantage sur chaque personnage et sur les quelques noms de la liste. Une belle morale

Kitty est à la dérive depuis son dernier scoop raté. Elle a accusé à tort un homme d'abus sexuel. Sa carrière de journaliste est alors compromise. de plus, sa meilleure amie décède d'un cancer. Et elle lui laisse pour seul héritage une enveloppe. Cette enveloppe contient 100 noms. Qu'ont ils en commun ? Qui sont -ils ? Kitty enquête, va à leur rencontre. Mais qu'ont en commun une dame qui a parié qu'elle vivrait jusque 85 ans, deux hommes au chômage qui veulent battre le record en pédalo, une acheteuse de cadeaux pour les autres, une demoiselle qui reçoit de son ami une demande en mariage par semaine. Rien. ce sont des gens ordinaires, enfin plutôt extraordinaires qui ont tous une histoire que l'on peut raconter. Kitty va alors de rencontres en rencontres et change, reprend confiance en elle et réécrit. Une belle histoire d'amour, d'amitiés et de rencontres. Tout le monde mérite d'être écouté. Tous nous avons une histoire magnifique. Un conte émouvant et plein d'espoir sur les gens soi disant ordinaires. A Partager. La première :ma collègue Stéphanie.

J'ai mis un peu de temps à entrer dans l'histoire mais au final je suis content de m'être accroché.
C'est une très jolie histoire.
C'est un livre qui fait du bien sans chichi.
Et tout ça en parlant d'histoires dites "banales" de gens ordinaires.
Vraiment une belle lecture à conseiller.

J'avais adoré le roman « PS: I love you » de l'auteure, qui m'a alors fait pleurer à chaude larmes. Autant dire que lorsque je suis tombée par hasard sur l'ouvrage à la librairie, je me suis jetée sur l'occasion d'être à nouveau émue et chamboulée par un livre… Or, hélas, cela n'a pas été le cas.

Qu'on soit clair: j'ai passé un moment de lecture agréable. L'auteure a un style toujours aussi fluide, et l'intrigue est claire. Mais je pense qu'elle avait mis la barre trop haut avec son précédent ouvrage, et je n'ai pas été aussi touchée qu'avec l'histoire d'Holly. du coup, je ne puis que conseiller à ceux qui n'ont jamais du Ahern de privilégier ses autres ouvrages à » Les Jours Meilleurs ». L'équipe des éditions Milady ne s'est d'ailleurs pas trompée, en mettant autant en avant « PS I love you » sur la couverture des « Jours Meilleurs »…

On découvre dans ce livre une héroïne peu sympathique, qui a vu sa vie détruite après avoir méjugé une situation… et donc après avoir détruit l'existence d'une autre personne, humiliée publiquement, et ce, alors qu'elle était innocente. Après cette erreur, et à cause de son caractère, Kitty se retrouve peu à peu seule, l'apogée de sa triste existence étant le décès de son mentor et amie, qui lui laisse en héritage une liste de 100 noms. A quoi correspondent-ils? Telle est la nouvelle obsession de l'héroïne.

Sur le papier, tous les éléments « feel good » sont présents: le droit à l'erreur, la renaissance après un échec, la magie qui se cache chez tout le monde et surtout dans les vies les plus « banales »…

Mais on trouve dans ce livre pas mal de longueurs, on a l'impression que peut-être, l'auteure a pêché par excès d'enthousiasme. La quête des 100 noms de l'héroïne est parfois brouillonne et traîne un peu trop. Les situations clichées s'accumulent, et l'émotion, la tendresse, sont aux abonnés absents.

En conclusion:

Un ouvrage sympathique, mais qui n'est pas aussi grandiose que « PS: I love you » de la même auteure. Un bon moment de lecture sans prise de tête, mais pas un grand instant de littérature.

Après mes ronchonnements envers d'autres ouvrages dits « feel good », dont notamment Mémé dans les orties, j'en viens à me demander si tout simplement ce genre n'est pas fait pour moi…
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Une lecture qui ne nous laisse pas déviner la fin! fin trop "american happy end" . Cecilia Ahern nous fait regarder au-delà des premiers regards envers les gens qui nous semblent normaux, et comme c'est indiqué dans le slogan de ce titre "tout le monde a une histoire à raconter".

Voilà un roman rafraîchissant, même si j'avoue que durant les 3 quart du roman, je me demandais où l'auteure Cecelia Ahern nous emmenait.

Ayant déjà lu 6 romans de cette auteure, je me doutais bien que tout finirait par s'éclaircir. Je ne me suis pas trompée. Cecelia nous mène, ainsi que ses personnages vers la lumière, vers le meilleur de la vie, à bord d'un bus, mené tambour battant sur les routes irlandaises.

Un roman qui donne envie de s'ouvrir aux autres et de cesser de se regarder le monde qu'à travers le prisme de son égo.

Quand on est au fond du gouffre, on ne peut que remonter. Cet adage se vérifie pour Kitty, les barrages sont nombreux, mais avec de la force, du caractère et une volonté inébranlable, elle retrouvera son âme de journaliste, comme le lui avait fait remarquer Constance.

La couverture est très belle, et à en juger par les deux derniers romans, une signature graphique a vu le jour.
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