Je suis plus que déçu par ce livre dont le titre est trompeur. Je m'attendais à une histoire des abus nazistes contre les juifs ou à tout le moins un récit intéressant d'autant plus que l'auteur est philosophe, mais rien de tout cela. C'est un roman tout ce qu'il y a de plus banal et de plus ennuyeux. Dire qu'il m'a coûté 30€ parce qu'il est épuisé! Je n'ai même pas pu le terminer, tant il m'a agacé par la futilité de ce qu'il raconte, rien à voir avec « la faim » de knut hamsun par exemple ou un autre roman du genre. Nada! Il raconte un paumé sans nul intérêt pour moi. Pour écrire un bon roman, il faut parvenir à concevoir une histoire poignante et non juxtaposer des mots et chercher quelques tournures ici et là, en copiant des expressions clichées. Bon, je déconseille la lecture de ce livre aux accros de littérature.
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L'histoire de jeunes adultes et de leurs naufrages dans un monde en crise.
Ils découvrent le problème d'être d'ascendance juive, chose qui ne les avait jamais préoccupés. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce livre, à cause du style ( traducteur ?) et puis l'histoire est très longue à démarrer. Un peu déçu.
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Lecture difficile : un récit lent d'un jeune intellectuel en déshérence amoureuse dans la Vienne du début du nazisme, avant l'anschluss mais où le virus d'extrême droite commençait sa contagion. On peine à voir ou l'auteur mène son lecteur, dans ce roman sombre comme l'époque, compliqué dans les rencontres entre Eugen Althager et ses amis intellectuels ou les femmes qu'il convoite. J'ai dû relire à plusieurs reprises la 4e de couverture qui ne correspond que très superficiellement au roman.
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Je n'ai pas grand-chose, mais toi tu n'as rien. Veux-tu venir chez moi?...
Oui, avait-elle répondu, bien sûr.
Même si je ne voulais pas, je n'aurais pas d'autre choix. Je ne fais pas la fine bouche quand on m'offre le gîte et le couvert. Nous ne sommes plus des enfants, Eugen Althager : je ne peux pas me mettre à t'aimer, comme ça, subitement, mais je m'efforcerai de coucher avec toi aussi bien que n'importe quelle autre.
Agathe transitait dans l'an de grâce de la bêtise naissante, du béotisme enfin recueilli et concentré : 1933.
Catherine Perret - L'enseignement de la torture, réflexions sur Jean Améry .Catherine Perret vous présente son ouvrage "L'enseignement de la torture, réflexions sur Jean Améry" aux éditions du Seuil. http://www.mollat.com/livres/perret-catherine-enseignement-torture-9782021082128.html Notes de Musique : "Smoke" by mo-seph (http://www.mo-seph.com/)