AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,03

sur 173 notes
5
15 avis
4
24 avis
3
6 avis
2
0 avis
1
0 avis
Je suis super content que le classique de Yoshiki Tanaka soit remis au goût du jour car j’ai déjà dit tout le bien que je pensais de ce beau cycle de fantasy épique qui a marqué le genre au pays du soleil levant :
0http://www.babelio.com/livres/Tanaka-Les-chroniques-dArslan-tome-1/117076/critiques/686429

Le premier chapitre, écrit spécialement pour l’occasion par l’auteur de la saga, nous présente le royaume de Parse, logiquement inspiré par la Perse / l’Iran des mythes et des légendes, avec sa famille royale (le rude Andragoras, la sublime Tahaminé, le compatissant Arslan), son armée de cavaliers bien organisée (et ses marzbâhns = généraux Valphreze, Kishwahd, Kahllahn, Qbad…), sa richesse à la fois prodigieuse et insolente et ses terribles inégalités sociales qui mènent à l’esclavage de masse… ainsi que la jalousie de ses voisins qui souhaitent s’emparer du pouvoir et de la gloire de la nation qui contrôle les routes de la soie.
Cela permet d’entrer plus doucement dans l’univers que les romans qui commençaient directement par la bataille d’Atropathènes. Car pour tout le reste, on suite à la lettre le roman d’origine qui prend la forme d’un tome d’exposition stylé : l’invasion lusitanienne, la défaite organisée par des traîtres, la capture du roi, la fuite du prince, l’héroïque Daryûn, le vindicatif Masque d’Argent et les terribles mages noirs... En cavale, Arslan et Daryûn se réfugient chez Nârsus le stratège en disgrâce qui se consacre à la poésie et à la peinture en étant accueillis par Elam le brave et loyal affranchi.

Je n’ai jamais été fan des dessins de la mangaka d’Hokkaido Hiromu Arakawa avec son charadesign simplifié et ses décors épurés voire oubliés. Pourtant le découpage présente beaucoup de fluidité, pour ne pas dire de talent, et il lui suffit de quelques planches bien détaillées pour poser une ambiance. Les graphismes sont donc finalement efficaces car dynamiques et expressifs. Mais tout cela souffre néanmoins grandement de la comparaison avec le travail de Sachiko Kamimura sur l’adaptation des années 1990, qui était de toute beauté, ou avec l’hommage que lui rend Kentaro Miura dans son manga dark fantasy culte "Berserk", également de toute beauté… Mais la saga du prince Arslan vaut bien 4 étoiles ! Yashasîn !!! (Chargez !)
Commenter  J’apprécie          340
Le moins que l'on puisse dire c'est que les aventures héroïques du jeune prince de Parse démarre bien doucement et ce malgré les nombreuses de batailles bien sanglantes qui ponctuent ce premier tome.
J'ai beaucoup aimé le dessin très précis des costumes des personnages qui m'a rappelé dans une moindre mesure la somptuosité de Bride Stories, la proximité géographique de l'histoire y serait-elle pour quelque chose ?
Quant au personnage principal c'est une belle ébauche de caractère en gestation dans ce premier tome, le jeune homme se cherche et reste très en retrait même si les événements sont centrés sur lui.
Le mystère est d'emblée posé autour du personnage au masque d'argent et à la soudaine supériorité de Lusitania. On sent poindre des reproches fondés envers le royaume de Parse, quand aux méthodes de dissuasion, elles restent obscures tout comme le fameux Narsus si controversé.
Bref, plein de questions et peu de réponses, l'histoire pose pas mal de jalons auxquels il va falloir amener de la matière dans les prochains tomes.
Commenter  J’apprécie          171
Nouvelle série de Hiromu Arakawa à qui on doit la super saga « Fullmetal Alchemist » ! J'avoue que, rien que pour le coup de crayon, « The Heroic Legend of Arslân » me faisait de l'oeil. J'ai pris plaisir à retrouver le style de l'illustratrice, les expressions de ses personnages et la beauté de certains décors ou vêtements (à noter que ces derniers sont parfois bien travaillés et parfois, très épurés, voire absents). le héros ressemble clairement à Edward, mais j'apprécie ! Pour ma part, cela me plait cependant, je sais que ce n'est pas au goût de tous. En ce qui concerne l'histoire, j'avoue que je n'ai pas accroché. Je ne pense pas être le public cible, car je ne suis pas friande des récits de batailles, de stratégies militaires, de politiques et de complots. Cela ne me dérange pas lorsque c'est un élément inclus dans une plus grande histoire, mais pas quand c'est le point central. Or, ce n'est pas le cas de mon conjoint qui adore les grosses escarmouches, les combats à l'épée ou à cheval, les guerres sous différents niveaux, etc. En grand fan de Total War et autres jeux de stratégie, il a bien plus aimé ce premier opus que moi !

Le monde est intéressant, car il est basé sur notre Histoire. On y découvre le royaume de Parse, dirigé par la famille royale avec le puissant et sévère Andragoras. le Roi est bien entouré, que ce soit par son armée de conseillers et de cavaliers, ou encore son peuple qui, malgré l'esclavage et les différences sociales, l'apprécie. Au milieu de tout ça, on distingue Arslân, un jeune prince aux traits fins qui sait davantage utiliser son cerveau plutôt que ses bras. Peu combattif, l'adolescent préfère observer, analyser, écouter, puis agir en conséquence. Il n'a clairement pas sa place sur un champ de bataille, mais il ferait un successeur bien plus humain et sage que son père… le récit est toujours très dynamique, épique, fluide et rempli de personnages variés. Apparemment, ce manga adapte un roman que je n'ai pas lu… Mais de ce que j'ai vu dans les avis, il le fait bien ! À réserver aux lecteurs adeptes du genre Fantasy mêlant Histoire et Guerre.
Lien : https://lespagesquitournent...
Commenter  J’apprécie          152
Le pouvoir d'une couverture, je vous en ai sûrement déjà parlé? C'était d'ailleurs quelque chose de bizarre pour moi quand j'ai lu mes premiers mangas, le passage d'une couverture colorée à un contenu en noir et blanc, c'est un peu frustrant. Arslan m'a invitée à le choisir lors de la dernière masse critique bd alors que j'avais décidé de ne cocher que Catharsis de Luz (rien à voir), et c'est là le pouvoir de la couverture, portrait élégant et épuré du personnage principal accompagné d'Azrael, son faucon: j'ai eu envie immédiatement de croiser le chemin de ce personnage.
Ce premier tome se déroule sur trois temps: la rencontre entre le tout jeune prince Arslan et un enfant, prisonnier de guerre, qui va être réduit en esclavage. le prince va être pris en otage et il va découvrir son royaume à travers le regard de quelqu'un qui est très critique vis-à-vis du mode de gouvernement du royaume de Parse.
Dans la deuxième partie le prince se prépare à participer à sa première bataille, et on découvre également en filigrane l'éducation qui lui a été transmise. Tous les regards sont braqués sur lui, les gens doutent de ce jeune homme, de ses capacités à succéder à son père.
La troisième partie présente différentes scènes de combats lors de la bataille sanglante d'Atropathènes, avec un déchaînement de violence digne des pires guerres médiévales. Hiérarchie, trahison, pouvoir, engagement... de bons ingrédients pour sceller quelques destins.
J'ai beaucoup aimé ce tome 1, les rouages de la politique, les stratégies militaires, l'organisation du royaume. On est pris par le rythme et les rebondissements et on se fait un pense-bête pour le tome 2 (et les suivants!) sur Babelio illico à peine la dernière page tournée.
Malgré les pages sanglantes des batailles je vais le présenter à des ados du club lecture parce qu'il est vraiment de qualité, et qu'on s'attache à ce prince qui semble si naïf face aux responsabilités que doit assumer le fils du Roi...
Mille mercis pour cette découverte, à Babelio, à Marie-Delphine, à l'éditeur (Kurokawa), et aux auteurs pour leur talent.
Commenter  J’apprécie          91
J'ai beaucoup apprécié ce premier volume. On plante le décor, et quel décor ! le trait est classique pour un manga, mais très réussi, les paysages de plaines sont beaux, les scènes de batailles expressives.
Arslan est le prince héritier du royaume Parse, réputé pour son armée. Il fait beaucoup d'efforts, mais difficiles de rivaliser avec un père invaincu au combat. Sauf que cette invincibilité a une fin...
Je sens que je vais m'attacher à Arslan et Daryun. le roi Andragoras m'intrigue lui aussi, sa personnalité guerrière. Et Narsus ne va pas être mal dans son genre non plus.
Commenter  J’apprécie          81
Résumé : Arslan est le fils du roi de Parse, Andragoras. Il est le prince héritier, et à ce titre, doit s'entraîner constamment afin de devenir un chef de guerre puissant et redoutable à la tête des troupes parses. Mais il est un peu frêle et rencontre des difficultés dans le maniement des armes. Mais le jour vient où une bataille terrible va opposer les parses aux lusitaniens, et des traîtres semblent avoir préparé la défaite du roi Andragoras en cachette…

Mon avis : Un manga au souffle épique qui montre l'aridité du pouvoir suprême et rend magnifiques les scènes de batailles.

Arslan ressemble plus à sa mère qu'à son père, fougueux guerrier, mais il a des amis fidèles qui vont l'aider dans l'adversité. le piège se referme sur les parses suite à la ruse et la traîtrise de quelques uns, mais Arslan pourrait utiliser son intelligence pour remplacer la force aveugle.

Une belle réussite !
Lien : http://docbird.over-blog.com..
Commenter  J’apprécie          71
Je remercie Babelio et Kurokawa pour la découverte du nouveau manga d'Hiromu Arakawa, que j'apprécie énormement étant une fan inconditionnelle de Fullmetal Alchemist.

Nous découvrons donc Arslan, prince de Parse peu sûr de lui, souffrant du charisme et de la puissance de son père Andragoras. Mais le royaume est menacé par les Lusitaniens et Arslan va prendre part à sa première bataille, bataille qui va en décontenancer plus d'un et qui semble ouvrir la voie à de nombreuses aventures pour le prince.

J'avoue qu'au premier abord, j'ai été un peu perturbée par le graphisme. En effet, on ne peut pas nier qu'Arslan ressemble comme deux gouttes d'eau à Edward Elric. de même que Valphreze rapelle Armstrong ou encore Daryun, qui est semblable à Lin...Cependant, une fois rentrée dans le vif de l'histoire, ces ressemblances ne m'ont plus dérangées. Les personnalités et l'histoire sont différentes, ce qui permet de se détacher de l'autre oeuvre de l'auteur.
Ce tome d'introduction est accrocheur et promet de vivre une véritable épopée. Encore une fois, il s'agit d'une lutte entre camps adverses au nom d'une religion et d'une foi différente, d'une guerre qui déchire les populations, d'un combat entre les gentils et les méchants mais où les méchants semblent aussi avoir leur raison d'être...J'ai hâte de découvrir la suite mais je pense peut-être le faire en poursuivant ma découverte par le biais du roman original. En effet, bien que j'adore les mangas, et cet auteur en particulier, le délai de parution entre chaque tome est vraiment fatiguant ! de plus, l'interview à la fin du manga m'a vraiment donné l'eau à la bouche et je n'ai pas très envie d'attendre, bizarrement, plus je vieillis moins j'ai de patience ! Mais je recherchais justement un nouveau manga, car depuis la fin de mes aventures préférés, je n'ai pas trouvé grand chose. Je pense que The Heroic Legend of Arslan m'a permis de me réconcilier avec ce genre littéraire que j'affectionne tant alors je vais peut-être lui faire honneur.

En tout cas, je suis ravie de cette découverte et j'ai hâte de continuer à suivre les aventures de ce jeune prince.

Challenge Petits plaisirs
Challenge PAL

Commenter  J’apprécie          61
Adapté d'une célèbre saga japonaise de fantasy de Yoshiki Tanaka, Les Chroniques d'Arslân (publié en France chez Calmann-Lévy), ce manga nous emmène dans un royaume fictif qui n'est pas sans rappeler celui de la Perse (au cas où le nom ne vous aurait pas mis la puce à l'oreille), où s'affrontent deux puissances aux religions distinctes. La Lusithanie est en effet un royaume monothéiste qui veut imposer sa foi aux autres, tandis que Parse vénère plusieurs divinités et pratique l'esclavage. le coeur de ce premier tome s'intéresse surtout à une immense bataille où un nombre impressionnant de guerrier est en jeu. La bataille d'Atropathènes, qui va marquer un tournant décisif dans la toute-puissance de Parse. Et dans la vie du jeune Arslan qui, jusqu'alors, ne connaissait que les murs de son palais et les entraînements un peu ratés avec son maître d'épée.
Grande fresque épique, Hiromu Arakawa (auteur du très célèbre Fullmetal Alchemist) parvient à nous captiver dès les premières pages. Ses images sont très puissantes et dynamiques, les combats impressionnants et il y a un certain souci du détail dans les costumes des personnages. On s'attache évidemment très vite à notre jeune prince peu guerrier qui ne manque pourtant pas de courage, ainsi qu'à l'intrigue et au mystère qui sous-tend cette longue démonstration guerrière. Sans doute que ce premier volume se termine trop vite, car lorsqu'on arrive à la dernière case, on ne veut qu'une chose : découvrir la suite !
Une très belle découverte, en tous cas, à conseiller à tous les amateurs de grandes batailles et d'histoires de fantasy médiévale.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Kurokawa pour cette lecture ! :)
Lien : http://bobetjeanmichel.com/2..
Commenter  J’apprécie          60
Cela faisait un moment que je voulais essayer de lire The Heroic Legend of Arslan, dont la couverture m'attirait.

On plonge dans le pays de Parse, d'inspiration orientale, pays riche grâce à ses échanges commerciaux et fort militairement via la main de fer du roi. Seulement celui-ci pêche par excès d'orgueil et une bataille tourne au désastre.

Le héros est le jeune prince Arslan, plus proche de son maître d'armes et du neveu de ce dernier Daryoon, que de ses parents. Il participe à cette bataille et est sauvé de justesse par Daryoon. Ils s'enfuient et cherchent l'aide d'un érudit stratège qui a été chassé de la cour par le roi quelques années plus tôt.

En toile de fond on peut lire une critique de l'esclavage et le développement d'intrigues politiques.

Je n'ai pas réussi à accrocher à ce récit. Les personnages ne sont pas assez développés pour m'y attacher et j'ai donc lu leurs mésaventures sans émotion particulière. le prince est particulièrement creux, peut-être qu'il se développe par la suite, mais là on a l'impression qu'il se laisse porter par les événements sans réaction.

Côté action on est servi, peut-être même un peu trop, j'ai eu du mal à suivre parfois les planches. Sans compter que c'est particulièrement violent : oui je sais c'est une bataille ! Mais je vous préviens, les bras, jambes, têtes volent, le sang dégouline, rien ne nous est épargné. Attention donc à l'âge du lecteur à qui vous mettez cette série dans les mains.

D'un point de vue graphisme, les décors sont beaux et on se sent plongés dans ce monde oriental. Je n'ai en revanche pas aimé le design des personnages, trop simpliste.

Lien : http://opaledefeu.jimdo.com/..
Commenter  J’apprécie          50
Ce manga est l'adaptation de la saga de romans Les chroniques d'Arslân de Yoshiki Tanaka dont seul le premier tome a été traduit en français (par les éditions Calmann Lévy). L'adaptation est faite par Hiromu Arakawa, la très grande mangaka à l'origine de Fullmetal Alchemist et vu mon admiration et mon amour pour cette série, j'ai profité que le premier tome de The Heroic Legend of Arslân fasse partie du 48h BD pour découvrir cette nouvelle série.

J'en suis ravie, j'ai été complètement happée par ce manga et il m'a été impossible de le poser avant d'en avoir terminé la lecture. Arslân nous présente un monde fictif inspiré de la Perse antique, et plus particulièrement le royaume de Parse et le siège de la famille royale et sa cour, Ecbatâna. On y suit Arslân, le prince et unique héritier du roi et de la reine, qui n'est pas ménagé par son maître d'armes mais de façon tout à fait chaleureuse comparé aux attitudes glaciales de ses parents. En quelques pages, il apparaît évident qu'Arslân reçoit bien plus de chaleur et d'affection de la part de son entourage (Valphreze son maître d'armes, Kishwahd un général de l'armée et même ses deux faucons Srûshi et Azraël qui se précipitent pour saluer Arslân à leur retour de bataille) que de son père ou sa mère. Là où Arslân est curieux, sensible et avenant, ses parents sont impassibles, intransigeants et complètement fermés, particulièrement envers leur fils. Celui-ci a l'air d'être complètement protégé des affaires politiques de la monarchie et ne semble rien connaître des royaumes voisins et des coutumes de ces derniers.

Le royaume de Parse est en conflit avec un royaume voisin, Lusitania, à propos de divergences de croyances, notamment du point de vue de la religion, mais aussi au niveau politique et moral puisque là où Lusitania prône l'égalité, Parse compte plus d'esclaves que de classe dirigeante. Quelques années plus tard, tout cela mène à une guerre ouverte et Parse s'apprête à affronter l'armée de Lusitania sans s'inquiéter le moins du monde puisque l'armée parse est connue pour son efficacité. Pourtant, le prince Arslân n'est pas rassuré et semble s'inquiéter d'éléments qui ne font pas ciller le roi, qui refuse d'envisager la possibilité qu'un piège leur soit tendu et qu'ils ne soient pas assez puissants pour sortir vainqueur de cette bataille.

La narration nous tient en haleine tout au long de la bataille, tandis qu'on se demande si les personnages que l'on vient de rencontrer – mais qu'on apprécie déjà pour certains – vont sortir indemne de cet affrontement. Les dessins y sont pour beaucoup, puisque tout est magnifique : qu'il s'agisse des décors du somptueux palais d'Ecbatâna, les détails des expressions des personnages, ou encore les combats au corps à corps avec des chevaux dans tous les sens. de plus, Hiromu Arakawa ne tombe pas dans le travers de certain⋅es mangaka qui, après une longue série, ne parviennent pas à dessiner d'autres personnages (je pense notamment à Natsuki Takaya et Fruits Basket) : en tous cas ici les personnages d'Arslân sont bien distincts de ceux de Fullmetal Alchemist (mais je ne sais pas pour ses autres mangas).

Si j'avais un reproche à faire au manga, ce serait le fait que pour une histoire qui se déroule dans l'équivalent de la Perse antique… les personnages sont tous très blancs. J'ai du mal à croire que cela puisse être à cause d'une paresse de tramer tous les visages des personnages, vu le détail des batailles et des armures et des vêtements. Et surtout, sur la couverture en couleur cela ne pose pas question. Plus qu'une invisibilisation volontaire (dans le sens de erasure) en revanche, j'ai l'impression que c'est plus de l'ignorance – mais cela n'est pas moins problématique ou dommage. Il y a dans ce premier tome, un affreux manque de personnages de femmes, ce qui m'apparaît assez inhabituel dans un manga de Hiromu Arakawa donc j'espère qu'il s'agit seulement du premier tome (mais comme c'est une adaptation de roman, je crains que ce ne soit un problème de l'oeuvre originale)…

On trouve à la fin du manga une interview de la mangaka et de l'auteur de la saga de roman, qui est très intéressante et ce petit bonus était tout à fait bienvenu.

En tous cas, j'ai très envie de découvrir la suite d'Arslân !
Lien : https://deslivresetlesmots.w..
Commenter  J’apprécie          42




Lecteurs (372) Voir plus



Quiz Voir plus

Silver Spoon 1

Au début du manga, quel est l'animal qui lui mange la main ?

Un poulin
Une poule
Un veau
Un chin

6 questions
19 lecteurs ont répondu
Thème : Silver Spoon, La cuillère d'argent, tome 1 de Hiromu ArakawaCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..