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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un siècle après sa mort Hector Malot se réincarne en Viola Ardone et Rémi revit en Amerigo en reprenant les ressorts qui ont fait le succès de « Sans Famille », « En Famille » ou de « Romain Kalbris ».

Au lendemain de la guerre, en 1946, les communistes proposent aux enfants de Milan, de passer quelques mois dans une famille du nord de l'Italie et affrètent « Le train des enfants ». Amerigo Speranza, accueilli par la famille Benvenuti, s'éloigne progressivement de sa mère Antonietta et devient un violoniste réputé.
En 1994, Antonietta meurt, à une époque d'affaiblissement de l'idéal communiste. Amerigo retourne à Naples et découvre son neveu Carmine dont les parents sont « absents »…

L'intrigue m'a rappelé celle de « Par amour » où Valerie Tong-Cuong évoquait ces enfants normands réfugiés au Maroc en 1941 et 1942 pour échapper au rationnement et aux bombardements et que le débarquement anglo-saxon de novembre 1942 sépara de leurs parents. Aussi bouleversante cette aventure italienne se lit d'une traite et ne laissera aucun lecteur insensible. J'ai particulièrement apprécié la quatrième partie, quand Amerigo est adulte, car j'avoue que le style « enfantin » des trois premières m'agace en massacrant continuellement notre langue.

« Rhapsodie italienne » avait été l'un de mes coups de foudre 2019 et c'est un plaisir de retrouver ici l'Italie, son histoire mouvementée et ses contrastes nord sud … Mais la romancière ne s'interroge pas sur les causes de la décadence napolitaine alors qu'il y aurait beaucoup à dire.

Rappelons qu'au XIX siècle, Naples était l'une des villes les plus prospères d'Europe, au même rang que Francfort-sur-le-Main, Vienne, Naples, Londres, et Paris, c'était l'une des cinq branches de l'empire Rotschild. L'unité italienne, sous la gouverne de la famille de Savoie, a ruiné le sud et l'a abandonné aux mafias pour le malheur d'Amerigo, Carmine et tant d'autres enfants.

PS : mon avis sur Rhapsodie italienne :
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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En 1946, Amerigo, huit ans, vit misérablement avec sa mère Antonietta dans un des quartiers les plus populaires de Naples. Sur une initiative du Parti Communiste, et comme des milliers d'autres enfants du Sud de l'Italie, il est envoyé pour quelques mois dans une famille du Nord de la péninsule, où il découvre un tout autre mode de vie, plein d'appréciables avantages malgré la séparation et le dépaysement. Après une telle expérience, le garçon se retrouve d'autant plus déchiré entre son amour pour sa mère et son attachement à sa famille d'adoption, qu'il vient soudain d'entrevoir à Modène un avenir bien différent de celui qui l'attend à Naples…


S'inspirant d'un épisode de l'après-guerre en Italie, l'auteur s'est glissée par l'imagination dans la tête et le coeur d'un de ces enfants transplantés du jour au lendemain des rues pouilleuses de Naples, où pieds nus et le ventre vide, ils vivaient de mille expédients, à l'aisance confortable d'une famille du Nord, où même la langue est différente, et où l'avenir passe par l'école. Après les angoisses de l'inconnu, le choc du dépaysement et le déchirement de la séparation, l'acclimatation se fait assez avantageusement lorsqu'elle ne prend pas trop le goût amer de la charité. Mais, dès lors, c'est le chemin inverse qu'il faut parcourir six mois plus tard, lorsque sonne l'heure d'un retour parfois cruel à une réalité dont ils perçoivent désormais l'aspect sordide et l'absence d'avenir.


Rédigé à hauteur d'enfant, puis avec la mélancolie d'un homme mûr se retournant sur son parcours, le récit choisit de nous embarquer dans une histoire faite de déchirement et de culpabilité, où, pour grandir, le personnage principal se voit contraint de « troquer ses désirs contre tout ce qu'il a », avec le sentiment de trahir les siens dans ses efforts pour devenir autre. En mettant l'accent sur la dualité d'Amerigo et sur sa relation d'amour manqué avec sa mère, la narration se fait poignante sur tout le dernier quart du roman. Mais servie avec générosité, l'émotion ne suffit pas à masquer la vague sensation de creux de cette dernière partie, peu consistante quant à la personnalité et à la vie d'Amerigo adulte, mais aussi assez peu crédible quant à sa tendre pirouette finale.


Un tant soit peu trop romanesque et sentimentale sur un sujet historique intéressant qui aurait mérité un traitement plus approfondi, cette jolie histoire tendre, fluide et sans temps mort, reste une lecture agréable et facile qui ne manquera pas de faire couler bien des larmes.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Après la Seconde Guerre mondiale, une association communiste italienne organise le transfert, en train, de milliers d'enfants de familles pauvres du sud dans des familles communistes plus aisées du nord. L'expérience doit durer quelques mois, le temps pour les enfants de se remplumer. Amerigo alors âgé de huit ans fait partie du voyage et est recueilli par Derna une cadre du Parti qui est aux petits soins pour lui. Il est heureux de son nouveau sort comme d'ailleurs presque tous les enfants déplacés, mais comment sera le retour dans leur famille et leur devenir après avoir découvert qu'il existait autre chose que la misère ?

Inspirée de faits réels, une histoire triste et émouvante. Et si le ton à hauteur d'enfant n'est pas toujours le bon, peu importe, Amerigo et ses copains du train nous touchent par ce qu'on leur a donné en pensant faire leur bien, puis repris, mais aussi par l'amour d'une mère aussi frustre qu'irremplaçable.
« Elle me regarde droit dans les yeux. « J'ai fait ça pour ton bien ». Je me dégage de ses bras, je me lève. Qu'est-ce qu'elle en sait de mon bien ? Personne n'en sait rien. Et si c'était de rester là haut […] et de ne pas revenir ? Et si c'était de ne pas partir du tout et de rester ici chez moi ? ».
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En 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, 70000 enfants âgés de 4 à 10 ans, vivant au sud de l'Italie et issus de milieux défavorisés, sont montés dans des trains les emmenant dans le nord du pays. Ils sont recueillis par des familles, et ont pu ainsi manger à leur faim et être chaudement vêtus pendant quelques mois pour certains, ou bien plus longtemps pour d'autres.

C'est ce que "Le train des enfants" raconte : la séparation, la découverte d'un nouveau mode de vie et d'un autre dialecte, l'attachement à sa famille d'accueil, de nouveau la séparation, et le "coeur coupé en deux" pour bon nombre de ces enfants.

Viola Ardone a imaginé ce que ces enfants ont pu vivre et ressentir par le biais de son personnage principal, Amerigo, petit garçon de 7 ans, vivant seul avec sa mère dans un "basso", et ce bien en-dessous du seuil de pauvreté. Il fera partie de ces enfants qui ont pris le train, sera recueilli par Derna, sa soeur Rosa et son mari Acilde, et ses trois neveux. Si l'aller était plein de questionnements et de doutes vis-à-vis de l'inconnu (en plus d'être séparé de sa mère), le retour n'en était pas moins compliqué, puisqu'en un sens il savait ce qu'il allait retrouver en quittant le confort auquel il s'était habitué. Une partie de lui était restée avec sa mère, mais une autre est finalement restée auprès de sa famille d'accueil lors de son départ.

Cet acte de solidarité, organisé par le parti communiste, peut être considéré de beau et tragique à la fois. Mais raconté dans la bouche d'un enfant, je l'ai trouvé également très touchant. La narration étant à la première personne, Amerigo nous raconte cet épisode de l'Histoire (trop peu connu) comme il l'a vécu, dans sa propre version. Il nous fait part de ses réflexions et questionnements avec toute l'innocence de son âge. C'est parfois très émouvant, parfois très cocasse également.

Dans la quatrième partie du récit, on le retrouve presque 50 ans après. Il use évidemment d'un langage plus mature et plus réfléchi, mais cherche toujours chaussure à son pied (expression de circonstance, n'est-ce pas ?), et cache son incapacité à s'assumer dans ses mensonges. Il reste très touchant.

J'ai apprécié le style de narration de Viola Ardone, dans lequel elle a su retranscrire un langage enfantin sans être rébarbatif, puis plus évolué par la suite, mais toujours fluide et élégant. Je ne me suis d'ailleurs rendu compte de la narration au présent qu'après plus de la moitié du livre (comme quoi, quand le présent me dérange, c'est que ça ne vient pas forcément de moi, c'est bien qu'il ne s'accorde pas au récit, puisqu'ici ça passe crème...).

Je viens de passer un très bon moment de lecture. "Le train des enfants" est un roman lumineux, parfois drôle, souvent très émouvant, instructif également, puisqu'il évoque un pan de l'histoire que je ne connaissais pas. Un livre à découvrir.
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Un très beau livre, lu en version originale italienne (donc aucune citation pour l'instant de ma part)
Au vu des critiques déjà publiées ici, la traduction tient ses promesses .

C'est un livre qui relate un événement peu connu, même des Italiens : dans l'immédiat après guerre, en 1946, le Parti Communiste Italien a affrété des trains pour permettre à 70.000 enfants pauvres du Sud de l'Italie de passer quelques mois dans des familles d'accueil plus aisées du Nord.

C'est un petit garçon napolitain de sept ans, Amerigo qui nous raconte son histoire ; nous le découvrons dès les premières pages : sa mère, Antonietta le précède dans les rues du Quartier Espagnol de Naples, il a peine à la suivre, il ne sait où sa mère le conduit, il sait seulement que c'est pour son bien. Ses chaussures sont trouées et mal adaptées - il ne reçoit que des souliers de seconde main.

Leur vie est misérable, il ne connaît pas son père (parti en Amérique, croit-il), sa mère a déjà perdu un enfant avant sa naissance ; avec son ami Tommasino, il survit par de petits larcins.

Sa mère l'a inscrit pour ce voyage en train ce qui suscite nombre de réactions dans le quartier : une voisine, monarchiste, craint que les enfants ne soient conduits en Russie, une autre parlera de train de la solidarité.

Tout nous est conté par Amerigo lui-même, avec innocence et crédulité , il m'a fait sourire souvent !
Nous le voyons inquiet à certains moments, où va-t-il vraiment, triste de quitter sa maman, plein d'espoir de recevoir de nouvelles chaussures à d'autres.
La scène du départ du train est sublime mais je ne vous la dévoilerai pas !

Sachez seulement qu'il va découvrir à Modène un autre monde où l'on mange à sa faim, où il est bien habillé, où aller à l'école est un plaisir, où il va recevoir des marques d'affection et même se faire offrir un cadeau…

Revenir ensuite à Naples sera difficile et il y sera confronté à un choix pénible.

le roman est très intéressant à plusieurs points de vue
:- il nous dresse un portrait de l'Italie du Sud, d'une grande pauvreté après la guerre, et à un moment où le climat politique est tendu (référendum sur le maintien ou non de la monarchie, importance du Parti Communiste Italien).
- Il nous montre que dans ces moments difficiles, une vraie solidarité peut se manifester
- Viola Ardone excelle à nous présenter ses personnages, Amerigo bien entendu mais elle nous fait ressentir de l'empathie pour les autres protagonistes également : Antonietta, sa mère, les voisines du quartier, la responsable communiste, la famille d'accueil de Modène.
- C'est un beau roman de formation, qui n'élude pas les instants de grande incertitude devant les choix déchirants à prendre, de tristesse, de culpabilité et de honte.
- C'est un roman qui donne un rôle important aux femmes. le portrait d'Antonietta est particulièrement bien dépeint, il vous faudra toutefois attendre la fin du livre pour le saisir pleinement
- C'est un roman sur l'importance des racines et de la famille, sur l'amour que l'on porte aux siens, amour non dénué d'incompréhensions parfois
- C'est surtout un roman extrêmement émouvant, intense, riche de sentiments, d'émotions, de tendresse, d'humanité, de douleur et d'espoir.

Il m'a fait sourire souvent, m'a ému également ; le personnage d'Amerigo est touchant.

J'ajoute enfin que le roman se lit très facilement.

Je vous incite à le découvrir !

Je l'offrirai à mon épouse en version française, elle devrait l'adorer.

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Magnifique roman que ma fille avait adoré et que j'ai lu un peu plus tard (après avoir vivement apprécié le second roman de l'autrice "le choix").
.
Le début de l'histoire m'a rappelé un fait que m'a raconté ma mère. Elle était toute petite, on était juste après guerre. Son père, mon grand-père, mineur de fond, faisait comme les autres, grève pour obtenir de meilleures conditions de travail et de vie. Il avait 6 enfants. Rapidement plus d'argent pour nourrir sa famille. Une solidarité s'est mise en place avec les mineurs belges (pas franchement mieux lotis pourtant) : ma mère et sa soeur sont parties vers le Nord, en Belgique, pour être hébergées et nourries dans des familles de mineurs belges. Elle s'en souvient encore.
La différence avec le récit ici raconté dans "le train des enfants" c'est que ma mère quittait une famille de mineur et rejoignait une famille de mineur. Donc du même niveau social. Elle en garde un bon souvenir (plus comme une colo) mais n'a pas connu le déchirement raconté dans le livre.
Car ici notre héros va quitter la misère de Naples et vivre dans une famille à Bologne où la faim n'existe pas. Une famille qui pourrait (et qui est prête à) lui offrir des possibilités que jamais sa mère ne pourra lui donner. L'enfant va vivre alors un déchirement, psychologiquement douloureux.
.
J'ai beaucoup aimé ce roman qui passe par toutes les couleurs des sentiments.
En revanche, d'où mon étoile en moins, j'ai moins aimé la dernière partie (contemporaine) qui fait trop explication de texte à mon goût.....
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L'avantage lorsqu'on lit, c'est qu'on apprend également des pans de l'histoire.
Un train où sont emmenés les enfants italiens du sud après-guerre en1946, pauvre, et ou la solidarité communiste les transporte au nord de l'Italie, chez des partisans plus aisés.
Ses bambins se sentent abandonnés par leur entourage, et ne comprennent pas que l'on se débarrasse d'eux…
Une incroyable histoire d'amour entre fils, mère et famille d'accueil.
Un récit étonnant ou Amerigo Speranza, 7 ans, se passionne dire : « Personne ne naît avec la science en infusion ».
Un très beau roman envahi d'émotion, de rire, de pleure…. Bouleversant !

Bonne lecture !

Lien : https://angelscath.blogspot...
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Un livre qui fait du bien.
Oui , je sais, il y'a un terme anglais pour cela
Je ne l'emploie pas ici car il ramène à une littérature un peu facile
Ce n'est pas le cas avec le train des enfants de Viola Ardone
qui part de faits historiques pour raconter cette merveilleuse aventure qui débute à Naples en 1946
Le petit Amerigo vit à Naples dans un quartier populaire.C'est l'aprés guerre. Personne n'est bien riche dans ces ruelles de Naples mais la vie suit son cours auprès de sa mère Antonietta
Un jour , grande nouvelle, il apprend qu'il va prendre le train pour aller dans le Nord de son pays
Il ne sait pas que plusieurs milliers d'enfants su Sud comme lui sont concernés
Il s'agit d'une initiative du Parti Communiste pour permettre à des jeunes défavorisés de « gravir l'échelle sociale »
Les enfants seront pour quelques mois en famille d'accueil
Quelques pages savoureuses sur la perception du Parti Communiste dans les milieux populaires
Et le voilà parti avec un peu d'appréhension et beaucoup de curiosité
Il est reçu par une famille sympathique.On pense à Peppone, le rival de Don Camillo
Je ne raconterai pas la suite .Viola Ardone ,avec toujours beaucoup d'optimisme et de talent, sait nous emporter dans l'aventure du petit Amerigo
C'est très bien écrit, avec une fraîcheur enfantine qui ne tombe jamais dans la mièvrerie
Viola Ardone a choisi de ne pas alourdir son texte par des considérations complexes et de laisser parler Amerigo
Cela donne un roman qu'on lit avec facilité ,plaisir mais aussi avec une certaine curiosité historique
Un succès tout à fait mérité
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Le voyage d'un enfant napolitain vers le nord de l'Italie pour y trouver gîte et couverts dans les familles plus aisées, par une action de solidarité du Parti communiste de l'après-guerre.

Le jeune Amerigo, sept ans, passe dans un autre monde où le quotidien est facile, les chaussures neuves, la faim assouvie, la protection parentale sans faille et les relations chaleureuses. Quelques mois après, le retour au pays natal est un choc encore plus grand que l'était le départ vers l'inconnu, une brisure dans la naïveté d'un enfant qui vit alors une cruelle frustration.

Doit-on en conclure à la chance d'un autre avenir ou constater à regret que la séparation provoque une fracture dans la relation maternelle ? Ce contexte d'entraide crée une duplicité entre perte de la mère mais confort matériel, éloignement de l'enfance mais ouverture au monde.
Un choix de vie s'imposera à la croisée des chemins.

Un roman où l'enfant narrateur apporte une voix parfois écartelé entre candeur et maturité mais toujours pétulante de vivacité et de gouaille.
Une histoire de tendresse et d'humanité qui reste en tête, la dernière page tournée.
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Après la guerre, en Italie du Sud, la pauvreté était telle que le Parti communiste local et une association de femmes ont organisé le départ de près de 70000 enfants vers l'Italie du Nord où accueillis par des familles, pendant quelques mois, ils ont été "requinqués".
Viola Ardone raconte dans ce roman cet épisode de l'histoire de l'Italie, inconnu de beaucoup. La situation du personnage principal, le petit Amerigo, est parfaitement décrite. Élevé par une mère seule elle-même perdue, dépassée par la solitude et la pauvreté, elle offre à son fils une affection visible mais peu de stabilité matérielle. Tout manque, la nourriture, l'éducation, l'autorité. C'est la mort dans l'âme que la mère et l'enfant, finiront par se résoudre à accepter la proposition offerte.
On devine le dépaysement des enfants qui arrivent dans des familles structurées, qui offrent non seulement une sécurité matérielle mais aussi une attention, une écoute qui leur étaient inconnues jusqu'alors. le retour dans leur milieu d'origine ne se fera pas sans mal !
J'aurais aimé que l'autrice décrive davantage les sentiments ressentis au chamboulement qu'a dû provoquer la confrontation de ces deux univers si différents.
Cela reste un roman dont la lecture dégage beaucoup de douceur et de bienveillance.
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