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4,26

sur 5342 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Treizième millénaire, pour éviter l'effondrement de l'Empire, Hari Seldon invente la psychohistoire, un science qui permet de prédire l'avenir. Il propose de rassembler toutes les connaissances humaines dans une Encyclopedia Galactica et pour cela, il va s'exiler sur une petite planète pour mettre son projet à exécution.

On m'avait décrit Asimov comme un monument de la science-fiction. Un monument sans doute, mais très difficile d'accès pour quelqu'un qui lit ce genre pour la première fois. On débarque directement dans l'histoire sans avoir été informé du comment ou du pourquoi (peut-être est-ce la suite d'un autre cycle et qu'il aurait fallu commencer par celui là?) et c'est vraiment très déroutant. Un peu plus d'explications n'aurait pas été de trop!
Le livre est divisé en 5 parties, chacune nous emmenant quelques dizaines d'années après la précédente. J'ai trouvé la première partie très attrayante, mais les 4 autres m'ont paru très tranquilles. Il y a beaucoup de tractations politiques et j'ai trouvé l'ensemble vraiment ennuyeux.
Je voulais découvrir la science-fiction, mais je crois que je n'ai pas choisi le bon livre pour commencer!
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Mon attente était si grande que je ne peux qu'être déçu.
Les différentes histoires se ressemblent beaucoup et n'offre que peu de suspense.
L'idée de départ était intéressante mais ensuite cela tourne en rond, d'où l'impression de lire toujours la même chose.
Peut être faut-il attendre d'avoir lu les trois volumes pour se faire une idée plus complète.
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Il y a bien longtemps, j'ai voulu lire l'oeuvre majeure d'Isaac Asimov récompensée par le prestigieux prix Hugo, Foundation. J'avais dévoré ses nouvelles sur les robots et adoré le concept des trois lois de la robotique comme la manière dont ces machines intelligentes se trouvaient piégées par leur logique imposée.

Mais voilà, Foundation, son univers, sa politique, n'avait pas eu de prise sur mon imaginaire et j'avais abandonné le livre en cours de route.

Apple TV+ a lancé il y a peu la série inspirée du même roman et après avoir regardé quelques épisodes éblouissants, j'ai voulu me plonger à nouveau dans les mots de l'écrivain.

Une fois encore, j'ai failli abandonner. Rien à faire, mes paupières se fermaient à la lecture de la psychohistoire et des factions politiques en jeu. Je me perdais dans les personnages et les rares évocations planétaires m'indifféraient. L'ouverture du sanctuaire sur Terminus a relancé mon intérêt et j'ai réussi à terminer le livre, mais ce fut limite.

Le livre se compose de nouvelles rythmées par les crises Seldon. Une écriture déstabilisante qui transporte le lecteur dans le temps et lui impose de nouveaux décors et personnages régulièrement. Si vous aimez les intrigues, le pouvoir, les magouilles et la politique, Foundation pourrait vous séduire. Si vous chercher de la hard science ou du space opéra, changez de livre.

La série TV Foundation ne joue pas franchement la carte de l'action avec de lents épisodes d'une heure où il se passe finalement assez peu de choses. Mais ses personnages possèdent beaucoup d'humanité et les visuels sont à couper le souffle. L'histoire, même si elle suit la trame de la psycho histoire qui prédit la chute de l'Empire, s'attarde plus sur les destinées des personnages dans la tourmente qu'à l'idéologie politique qui entoure les événements. La série s'inspire du roman, reprenant quelques uns des ses éléments principaux et en les traitant parfois très différemment. Elle enrichit l'univers avec des éléments comme les empereurs clonés, la grande prêtresse et s'embourbe nettement moins dans la promotion du nucléaire et les tractations politiques.

C'est assurément la meilleure série de science-fiction que j'ai regardé sur la plateforme Apple a ce jour et il y a pourtant eu For All Mankind, c'est tout dire.
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Je revois encore les yeux de mon ami Jojo briller à l'évocation de cette "Fondation", d'Isaac Asimov : roman de science-fiction culte, premier tome d'une trilogie (vous savez que j'aime bien les trilogies, hein ?!), copain fan, allez, il ne m'en fallait pas plus pour me lancer.
Je me suis donc retrouvée dans un futur très très lointain, où toutes les galaxies sont dominées et gouvernées par l'Empire. le problème, c'est qu'un savant, le professeur Hari Seldon, a annoncé la fin de tout cela suivie d'une longue période de barbaries, en s'appuyant sur ses théories de psychohistoire : cette science mathématique permet en effet de prédire les grands changements à venir. Afin de pallier à ses prédictions et de tenter de changer le cours de l'histoire, le professeur lance alors la création de la "Fondation" sur une planète aux confins de l'Empire. L'objectif : y préserver toutes les connaissances humaines jusqu'à l'accomplissement de ses théories. Mais il va falloir avant traverser plusieurs crises...
Bon, j'avoue, j'ai eu du mal : le livre se compose de 5 nouvelles liées entre elles, et si j'ai trouvé les premières passionnantes, les autres m'ont un peu ennuyée. Il y est beaucoup question de politique et de stratégie, et je n'ai pas toujours tout compris. Bref, je crois que la maso que je suis va être raisonnable et ne pas se lancer dans la suite de la trilogie (je progresse).
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Fondation fut mon premier Asimov mais ne m'a malheureusement pas totalement convaincue : l'idée principale du roman (la psychohistoire) est intéressante, et la démonstration réalisée par l'auteur à travers l'histoire de Fondation est réussie. Mais le récit ressemble plus à un traité scientifique et historique qu'à un roman de SF, et le morcellement de l'intrigue en une multitude d'histoires indépendantes m'a fait décrocher. J'aurais aimé passer plus de temps avec chaque personnage, me sentir plus impliquée dans les événements, et ressentir plus d'émotions à la lecture. Or, c'est tout l'inverse que propose Fondation : le récit est froid et beaucoup trop analytique à mon goût, les enjeux très globalisés et éloignés du lecteur, et on passe trop vite d'un personnage à un autre à chaque changement d'époque. En conclusion, malgré des qualités dans la rédaction et dans les idées, je n'ai pas eu l'impression de passer un moment divertissant et je sors donc déçue de ma lecture.
Lien : https://lecturestrollesques...
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L'Empire doit s'effondrer, c'est ce que prédit un éminent psychohistorien, sauf si les connaissances humaines peuvent être rassemblées afin d'éviter une ère ténébreuse.

Pff la science-fiction n'étant déjà pas mon fort mais alors là, ce fut très rude pour moi. J'avoue avoir sortie les rames pour essayer de maintenir à flot mon degré de compréhension de cette histoire. Alors certes c'est plutôt bien ficelé par rapport aux différentes fonctions politiques et du coup j'ai bien compris que chaque homme en fonction était finalement une pierre angulaire de cette Fondation pour pour aller où et pourquoi ? J'ai refermé ce livre en me disans que j'étais totalement passé à côté et que je n'étais finalement pas assez intelligente pour la SF. Après le point positif c'est que c'est hyper bien écrit et clair même si moi je me suis perdue.
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J'ai pu lire différents avis sur cette oeuvre dont certains très contradictoires, je pris alors conscience qu'il était clairement question d'un débat.
« Asimov » père de la SF et grand visionnaire pour une communauté revendiquant le génie de l'auteur, ou bien « Asimov » auteur sans réel crédit dont la notoriété est due essentiellement au fait qu'il est été quelque part un précurseur du genre ?
Je me procurais alors l'ouvrage avec l'idée que l'amateur de SF que je suis y trouverait forcément un intérêt, sans nécessairement espérer une révélation et ce à la vue d'une éloge quand même majoritaire, évoquée dans les différents avis et différentes critiques.
La vérité, c'est que c'est mal écrit...ou mal traduit !
Les gens se retrouvent à débattre sur le fond, prétextant un style qui aurait mal vieilli et qu'il faudrait apprivoiser ou passer outre pour pouvoir jouir de la richesse que renferme l'ouvrage...Ben non. Au delà du fait que l'idée développée peut s'avérer intéressante et ce personnellement comme beaucoup d'idées un peu novatrices pour ne pas dire toutes, je trouve le style tout simplement ennuyeux. Je me suis procuré l'intégrale en 5 volumes, et j'abandonne la lecture au milieu du tome 2 tellement l'ennui me saisit. Pourtant ça commence bien, et j'ai même été agréablement surpris en découvrant les premières pages du récit. J'avais alors presque la conviction d'entamer une expérience littéraire dont j'allais pouvoir me nourrir.
J'eus fini le tome 1. Étonnamment, ni conquis ni désabusé, je remarquais qu'il m'était difficile de dire si j'avais lu 10, 15, 20, 50, 100...200 pages ! Je restais un peu confus, un peu comme si j'avais été témoin d'une image subliminale sans pouvoir l'affirmer.
En fait, j'ai le sentiment si je tente de faire la synthèse qu'il y a une page sur dix qui m'a intéressé, et que les neuf pages qui se trouvent entre deux que je qualifie de « pertinentes » ont une allure de vieux décor en carton pâte, qui ne bluffe que s'il on est prêt à y croire. Rien contre ça en soit, sauf que là où l'auteur devrait nous accompagner et nous entraîner pour rendre le tout crédible, j'ai le sentiment de consommer une vieille série B mal doublée. Et pour moi, le mauvais doublage c'est un peu comme une mauvaise blague, elle peut me faire sourire seulement si je suis de bonne humeur.

Pour conclure, aucun intérêt en ce qui me concerne, c'est lisse et on se lasse au final car quand l'ennuie a pris place, la révélation qu'on attend et qui finit par arriver a déjà perdu son intérêt.
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Je n'ai malheureusement pas accroché. L'histoire commence pourtant bien, et j'étais d'humeur à lire de la vraie science fiction (ce qui est le cas apparemment, c'est un classique et mon compagnon a adoré, il a dévoré toute la série!). Personnellement, le fait qu'on change à chaque partie du livre de « personnage principal » m'a empêché de vraiment rentrer dans cet univers (qui a l'air pourtant tellement excitant). Il aurait fallu, pour moi, qu'un personnage principal soit désigné et soit le fil conducteur du livre, pour nous emmener dans son univers et s'attacher à l'histoire, s'y impliquer davantage. Au final j'ai arrêté ma lecture avant le dernier chapitre (je sais, ce n'est pas idéal pour avoir une vraie critique sur un livre), car je ne prenais pas de plaisir et je tournais les pages en espérant chaque fois être enfin emportée dans cet univers. Dommage! Mais vous pouvez tenter cette lecture si vous êtes très science fiction, ça reste un classique du genre!
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Mais comment vous avez pus si bien noter ça!?

Déjà ce n'est pas un roman, ni des nouvelles ou je ne sais quelle autre forme de structure séquentielle. C'est une bible, pas sous la forme d'incantation ou de prière comme le necronomicon, mais sous la forme de multiples récits (comme Noe) dans l'ordre chronologique.

Chaque récit est basé sur le même système: un héros, un antagoniste et des handicapes et chaque fois, avec pratiquement la même technique, le héros déjoue la "crise Sheldon" ... même la première partie fait office de genèse, ou l'on voit comment Sheldon a créé en marty/prophète la fondation. J'ai lu souvent que Dune était bien plus religieux que Fondation, mais en fait pas du tout, Fondation est religieux d'une façon bien plus profonde, dans les entrailles même de sa structure, alors que Dune ne l'est que dans le sujet.

Fondation est l'exemple le plus flagrant que je n'es jamais vue, de ce que j'appelle en tant que scénariste de SFF Psychologique, "le syndrome du dieu", quand vous créez de la SF, vous créer tout un monde et il est facile de perdre de vu que vous raconter une histoire et non un monde. Quand ce Syndrome ce produit, on se retrouve avec une histoire qui ne raconte rien de plus que TOUT ce qui doit être expliqué et se produire dans le monde que l'on a créé. C'est le cas ici, le symptôme qui le prouve est la surabondance de monologue pour expliquer ce qui c'est, ou, va se produire PARTOUT dans le monde.

Donc, si vous avez aimez lire l'ancien testament et le nouveau (au complet), ce livre est pour vous, si vous préférez de vrais romans, passez votre chemin.
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j'ai surpis par le permier tome de ce cycle, je m'attendais a de la science fiction et je tombe dans une intrique politico-philosophique, je lis en parallèle le cycle des robots , j'en suis à l'homme bicentenaire receuil de nouvelles a lire dans l'ordre après le cycle des robots tome 2
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