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Toujours une lecture sympathique , c'est sensiblement le même schéma que les deux autres romans mais ca se lit quand même avec plaisir. L'écriture est limpide et riche en vocabulaire avec une petite touche d'ironie qui fait du bien.
Il faut dire qu'une héroïne en fauteuil roulant a bien le droit d'être un poil aigri , surtout qu'elle ne peut pas exprimer sa frustration à haute voix. L'intrigue est bien ficelée et haletante jusqu'au bout. du polar qui change.
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Trop de tout dans ce récit qui mène à pas grand chose.
Déception de lecture pour cette auteure que j'apprécie.
Mais là c'est lassant, usant, même l'humour devient presque ridicule.
La chute semble avoir été ficelée à la va vite comme si Brigitte Aubert avait un rendez vous urgent....(désolée pas pu m'empêcher).
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Il y a un certain temps, j'ai lu « La mort dans les bois » ; et si je me souviens bien, j'avais assez aimé le livre. Donc je me suis lancé dans celui-ci sans crainte.
L'idée de départ est bonne : celle d'un roman pastiche d'un polar, avec pour cadre le festival de Cannes. Inspiré par « la cité de la peur » ?
Mais l'histoire vaut ce qu'elle vaut, avec un entassement de morts, ce qui n'est pas sans rappeler le film d'Audiard « Les barbouzes » mais une fin qui m'a laissé sur ma …faim !
Ce qui m'a vraiment gêné, c'est le style : une journée « qui se déroule formidablement paisiblement » NON ! Ainsi que les jeux de mots à base d'allitérations : « les amours de la fermière fermentent » BOF !

Grosse déception, pour le fond et la forme. Avec la même idée de départ, vous pouvez lire « Qui a tué l'homme homard » de JM ERRE. L'héroïne est aussi une détective, gravement handicapée, en fauteuil roulant. L'humour en est autrement percutant.
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J'ai découvert un cours magistral d'humour noir avec un grand H avec ce roman.
Notre héroïne , elle, est complètement dans le noir , aveugle et muette mais l'ouïe à contrario très affûtée. Élise Andrioli est en plus tétraplégique, une seule main encore valide lui permettant de communiquer avec le monde extérieur. Yvette, son auxiliaire de vie, ne fait pas que pousser le fauteuil roulant d'Elise, elle est aussi ses yeux alors qu'Elise joue sa confidente bien malgré elle.
On retrouve le duo à Cannes , plus précisément au fameux Festival. Élise , dont un film s'est inspiré d'une de ses aventures , est en effet invitée cette année en tant que jury de la sélection Jeunes Talents. Au programme pendant les prochains jours : visionnage de documentaires, cocktails, petits fours et soirées très privées. Un savoureux programme malheureusement gâché par des meurtres à répétition qui vont quelque peu assombrir le décor et faire tache dans ce feu d'artifices de strass et de paillettes.


Vous ne vous ennuierez pas un seul instant à la lecture de ce livre. Outre la truculence de la narratrice qui ne manque pas d'à propos même si elle est clouée dans son fauteuil, on va découvrir une faune bigarrée d'artistes prêts à tout pour se faire remarquer. Des personnages qui cherchent la lumière alors qu'en toile de fond les corps tombent comme à Gravelotte. Car l'auteure ne fait pas dans l'à peu près. L'abondance et l'opulence sont de mise : tant dans les assiettes des festivaliers que dans l'enchaînement des morts qui ne semblent jamais vouloir prendre fin. Pas ou peu de fautes de rythme : même si les journées des festivaliers semblent répétitives, la question est : quel est le prochain qui ne finira pas la journée et bien sûr quel est le coupable de cette hécatombe ?
Hormis Élise, notre détective amateur qui n'a que l'ouïe et l'odorat pour capter, à travers les discussions autour d'elle un éventuel indice qui la mettrait sur la voie , l'enquête est menée par un singulier policier et son équipe de choc en mal de pistes et de suspect crédible. Une enquête qui ne sert finalement que de prétexte à la prose totalement débridée et pas toujours politiquement correcte de notre personnage principal. Un pur divertissement.

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Elise Andrioli mène l'enquête.

Les morts se succèdent au festival de Cannes, et elle qui ne voit rien, est muette, et est en fauteuil roulant, (suite à un attentat), est témoin de conversation, puis aide le capitaine Isidore.

C'est loufoque, totalement tiré par les cheveux, j'ai passé un bon moment !
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c'est long, long et l'auteur veut imprimer du rythme et faire des jeux de mots mais n'est pas Frédéric Dard qui veut !
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Elise s'essouffle un peu dans cette 3°enquête, à mon avis. Préférez les 2 premiers : La mort des bois et La mort des neiges !
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C'est bien ce que j'avais supposé avant de commencer cette série de lectures thématiques, c'est que les ouvrages d'un même auteur peuvent être de qualité très différente les uns des autres. ayant lu la ville des serpents d'eau de Brigitte Aubert que j'avais aimé, celui-ci m'a profondément déçu par l'intrigue et l'écriture. Voulant se situer dans la lignée des comédies policières d'Agatha Christie, on voit le retour de Elise Andrioli, célèbre enquêtrice devenue tétraplégique, aveugle et muette à la suite d'un attentat. Donc ce qui a une influence sur les perceptions de cette femme mais je trouve que le rendu de ces sensations reste inabouti et réduit à des procédés répétitifs de ponctuation ou d'effets soulignés. Cela aurait pu être poétique et original dans la perception des scènes de crimes. Et l'idée qu'elle y voit plus clair que les autres est intéressant. C'est un roman policier léger, humoristique mais pour moi pas même divertissant.
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Amateur de thrillers, je suis plutôt déçue. Dans un autre genre, cela me fait un peu penser à du San Antonio. Humour donc, personnages caricaturaux. Disons que le ton du récit peut porter à sourire par moment, mais sans plus pour moi. J'espère découvrir une autre Brigitte Aubert lors d'une prochaine lecture (je tenterai "Funerarium" mais pas tout de suite : il faut me laisser le temps de digérer celui-ci)
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Une détective tétraplégique aveugle muette et bien c'est très drôle et on sent que l'auteure à fréquenté le festival de l'intérieur et se moque avec précision du barnum cannesque , jubilatoire
Lien : https://fr.wikipedia.org/wik..
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