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Ce livre m'a fait clairement sortir de ma zone de confort. Il a réveillé mes notions d'histoire, les a apprivoisé, puis démantelé petit à petit.

Le monde de Julia soulève bien plus de questions qu'un roman de science-fiction.

C'est une dystopie historique et philosophique.

Résumé : Dans un monde où règne le chaos, l'humanité a détruit tout ce qu'il y avait sur terre. Dans un éternel recommencement, les survivants essaient de former le futur. Mais sur quelle base ?

Certains ont besoin d'être guidés, et prennent à disposition comme modèle, ce qu'ils trouvent. Il ne reste que de l'ancien monde quelques brides, ouvrages littéraires, films, ou seulement un panneau publicitaire.
Le Fight Club ou La Servante écarlate peuvent être interprétés comme une bible, une ligne de conduite.

Puis il y a Julia, 9 ans, en plein apprentissage de la vie.

Ses parents sont un jour partis, et l'ont laissé livré à elle-même et à son robot compagnon, Roland-17. Cet être a l'aspect humain, et pourvu d'un esprit d'IA. Il devient son mentor, et poursuit l'éducation de Julia en la poussant toujours plus loin dans la réflexion.

Cette quête initiatique pousse Julia dans ses retranchements physiques et philosophiques.

À la recherche de la justice parfaite.

Cette lecture m'a tenue en haleine, ça m'a tenue éveillée tellement j'étais prise dans le récit,

Il m'a fait réfléchir, mais aussi désolée sur l'humanité, et où elle en est pour la justice et la liberté.
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Je suis malheureusement complètement passée à côté de ce roman. D'après le résumé, je m'attendais à un récit postapocalyptique mâtiné de pop-culture ; dans les faits, j'ai plutôt le sentiment d'avoir lu une fable juridico-philosophique.

Le postulat de départ est plutôt intéressant : dans un monde ravagé par les catastrophes sociétales et environnementales, comment recréer une société juste, une humanité pérenne ? Là où les deux auteurs m'ont perdue, ce sont les longs passages qui explorent en long, en large et en travers l'Histoire du droit et la rhétorique... J'avais davantage l'impression d'assister à un cours magistral que de me détendre en lisant.

« le monde de Julia » est un ouvrage clairement ovni à mes yeux, à tenter pour sortir des sentiers battus de la SFFF.
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Julia a été abandonné par ses parents lorsqu'elle était petite. Aujourd'hui adolescente, elle évolue dans un monde déserté par les être humains. Seules des colonies résistent de manière éparse.

Un roman dont la lecture a été plutôt laborieuse pour moi. Malheureusement je n'ai pas du tout accroché à l'univers de l'auteur, à son style, à son ambiance.
Et même si j'ai été touchée par la relation entre Roland-17 et Julia, ma lecture m'a laissé indifférente.

Cela dit, le style du récit a des qualités. C'est sûre, mais ce n'est pas à mon goût particulièrement.

Dommage pour moi !
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Aïe, aïe, aïe! Ce texte avait pourtant bien commencé : Julia, petite fille vive et attachante, vit seule dans une station de ski abandonnée. Une catastrophe semble avoir bouleversé l'équilibre mondial, et les parents de Julia l'ont cachée loin du tumulte, sous la garde d'un robot androïde. Parallèlement à ce récit, on découvre la nouvelle organisation sociale d'un Etat, faite de clans et autres nations auto-proclamées, qui s'appuient sur des textes de l'ancien temps pour subsister.
Si, dans un premier temps, je me suis amusée à tenter de deviner de quelles fictions s'inspiraient les différents clans (Métro 2033 ou Star Trek entre autres), je me suis rapidement lassée de cette partie de l'histoire, qui m'a semblée anecdotique dans son déroulement et n'a jamais suscité mon intérêt. Quant à l'histoire de Julia, elle devient rapidement prétexte à une leçon pontifiante sur les notions de droit, d'égalité ou de liberté.
Ici la fin, qui permet aux auteurs de relier les deux récits, m'a semblée complètement artificielle et ne m'a pas permise de rattraper le reste du récit.
Un gros flop pour moi donc!

Roman lu dans le cadre du "Prix Imaginales des bilbiothécaires 2024"
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J'avoue ne pas avoir tout saisi. Pourtant, je n'ai absolument rien contre la philosophie, et la philosophie politique en particulier. Suivre des raisonnements, je suis censée savoir. Mais là, j'ai décroché par moments. Pas que ce soit mal écrit, bien au contraire. Mais ce peu de pages était dense, très dense. Julia était attachante, son robot aussi. Découvrir les différentes sociétés en sous-sol était intéressant. Par contre je n'ai pas tout compris à la fin. Je n'ai pas compris le choix final. Littéralement : je n'ai pas vraiment compris ce qui a été choisi, et si c'est bien ce que je pense : pourquoi ? pourquoi ce choix en 3 lignes ?
une lecture qui me laisse donc dubitative.
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Alors là ça va pas être évident d'en parler parce que Jean baret et Ugo Bellagamba ont pondu un sacré OVNI. C'est le genre de texte où soit l'on accepte la construction soit on la rejette, c'est le genre de texte soit ça passe soit ça casse pas de demie mesure. Avec moi ça a fonctionné, l'idée d'avoir un avec avec une référence à terra ignota forcément j'étais presque entièrement conquise avant même de commencer. Dans un futur post-apocalyptique, la petite Julia vit seule et isolée avec un robot. Un jour, elle doit quitter son refuge. Commence alors une aventure où elle doit éviter l'intégralité des autres êtres humains. Qui dit monde ayant eu un apocalypse dit monde à reconstruire et malheureusement souvent le retour de la loi du plus fort. Dans le monde de Julia, c'est plus compliqué que ça. Chaque petit groupe d'humains survivants vit en suivant des règles de société inspirées chacune d'une référence à la pop culture que ce soit un film, une série ou un livre. J'avais hâte de découvrir le groupe à la terra ignota et tous les autres. Les balades de Julia et de différents autres protagonistes permettent de voir comment se construisent ces petites sociétés, avec quels préceptes et surtout quel résultat cela donne. Certains mini société font peur, d'autres paraissent très farfelues. J'ai trouvé ça vraiment génial de mettre en perspective des sociétés qui pourraient fonctionner en suivant les principes de différents livres, films… L'absence d'échanges entre les entraves en partie liées à leur séparation par des zones de non-droit permet de suivre des préceptes sans influence et de garder une belle diversité. Qu'est-ce qui pourrait être viable sur le long terme ? Qu'est-ce qui fonctionne ou pas ? Et le tout est avec le point de vue et l'évolution de Julia, cette gamine si jeune qu'on aurait tendance à ne pas vouloir laisser toute seule alors qu'elle a une culture hyper poussée grâce à son robot instructeur. Je suis passée à un cheveu du coup de coeur mais la fin m'a frustrée même si c'est exactement la fin qu'il fallait ce n'est pas celle que je voulais.
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Bon on est encore dans un livre que je n'ai pas décidé de lire puisque je dois le lire dans le cadre du Prix Imaginales des bibliothécaires. Puis la Science-Fiction ce n'est toujours pas pour moi…

Le début : étrange… On a absolument aucun contexte ! Des grossièretés, des choses sympas comme un « collier avec des oreilles et des dents humaines ». Je me demande où j'ai bien pu atterrir… La seule information qu'on a finalement sur les personnages c'est leur prénom.

C'est assez « drôle » les clans basés sur des livres ou des films. Ça donne vraiment n'importe quoi.

J'ai remarqué que entre les chapitres de Julia elle peut vieillir d'une année alors que les chapitres où l'on suit les autres personnages le temps est constant (ça peut s'expliquer avec la fin)… Dans les chapitres de Julia on a également des histoires dans l'histoire car elle a énormément d'imagination (faut suivre lors de ces passages).

Arrivée à la moitié du livre et toujours aucune explication. On ne fait que suivre la « balade » des personnages.

On a dans ce livre également une alternance de point de vue avec les chapitres. Mais hormis le chapitre avec Julia, pour l'alternance on a aucune stabilité car on change 3 fois de personnages suite à divers événements.

Ça m'embête sincèrement de ne pas connaître le contexte de l'histoire… de ne pas s'avoir pourquoi ils sont là où ils sont, pourquoi leur monde est comme il est, que c'est-il passé ?

Finalement il s'agit d'un livre de concepts philosophiques et rien d'autre… Il n'y a pas d'histoire. Beaucoup de chapitres sont inutiles (pour ne pas dire tout le livre). Et plus je me suis approchée de la fin, plus j'ai survolé le livre car je n'ai vraiment pas aimé. Même la révélation de la fin ne m'a pas fait aimer l'histoire d'avantage.
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Dans le monde de Julia, il n'y a ni parents (ils sont partis, un jour), juste un monde protégé, et Roland-17, son tuteur. La fillette semble vivre dans un eden préservé. Et pourtant, dans le monde AUTOUR de Julia, il y a de multiples tribus aux règles absurdes, qui ont été érigés aveuglement d'après des oeuvres du passé.
Difficile de prendre au sérieux cette humanité qui tente d'instaurer des règles dans le chaos, néanmoins, certaines font vraiment froid dans le dos. On comprend bien vite qu'on suivra le voyage initiatique de Julia, vers un dénouement pour le moins inattendu.
Le livre ressemble à une fable, il est bourré de références littéraires et pop-culture (j'en ai surement loupé la majorité !), ce qui n'est guère étonnant de la part de deux auteurs aussi brillants et cultivés. J'ai trouvé cette lecture intrigante et original, bien menée et intelligente. Un petit ovni dans le paysage peut-être, mais une lecture qui vaut vraiment le détour !
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J'ai été un peu déçue car cette oeuvre est plus proche d'un essai que d'un roman…

L'aspect réflexion sur la justice et le droit prends toute la place, ce qui donne une intrigue bancale et des personnages peu construits au caractère changeant.

Concernant le worldbuilding, on nous donne beaucoup d'informations sur certains éléments (les règles détaillées de chaque tribus, …) alors que d'autres nous manquent cruellement (l'histoire du Cataclysme, …)

J'ai eu du mal à me plonger dans le roman. Parfois, j'avais vraiment l'impression de lire un essai sur la justice idéale qu'un roman et comme je n'ai pas du tout de formation en droit, certains passages théoriques m'ont un peu perdus et m'ont fait sortir de ma lecture.

C'était peu réaliste : sincèrement, qui, dans un contexte post-apo, choisirait de devenir juriste et de faire une thèse sur le système de justice idéale ? Ils ne savent pas s'ils arriveront à reconstruire une civilisation, mais ils en écrivent déjà la constitution…

Point positif, c'était assez délirant d'imaginer des sociétés basées sur des règles de livres, de films ou de séries comme Métro 2033 ou Fight Club (même si ça tournait souvent à l'absurde).

J'ai bien aimé le traitement de l'IA dans ce roman.

Heureusement que le dernier chapitre est intéressant et remet tout le roman en perspective mais il arrive un peu tard dans la lecture et j'ai passé la majorité du roman à tenter de comprendre ce qu'il se passait (et à me former inconsciemment au droit…)

Réflexions intéressantes & inspiration pour l'écriture : L'importance des règles d'une société (même si, dans un worldbuilding, ça doit supporter l'intrigue et pas l'inverse…)
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Le monde de Julia est un petit roman assez didactique. le roman comporte deux trames, je parlerai d'abord ici de la première avec Julia.

Julia est comme ces personnages de romans d'apprentissage du XVIIIe. A un moment, elle m'a un peu fait penser à Jacques le fataliste, accompagnée de son maître Roland-17. Puis un autre maître dont je vous laisse le plaisir de découvrir l'identité. Mais on est bien dans cette idée : un dialogue-promenade philosophique, gorgé des idées des Anciens et des Lumières, forgeant la croissance intellectuelle de Julia. Je pense que le roman fait aussi un gros clin d'oeil au roman le monde de Sophie de Jostein Gaarder dans le concept (et son titre).
Son histoire est principalement émaillée de ces dialogues qui pourraient paraître parfois saugrenus tant leur rattachement au récit pourrait sembler factice. On pourrait aussi juger ces leçons philosophiques sur le droit très artificielles. Ca m'a fait un peu penser à ces méchants dans les films qui, sur le point de gagner face aux gentils, perdent un temps fou à blablater, suspendant ainsi le temps et le compte à rebours qui ralentit inexorablement. Là, c'est un peu pareil, ce qui peut donner une impression d'artificialité importante.
Enfin, le ton didactique pourrait agacer pas mal de monde, je pense. Ajoutons à cela des confrontations d'idées piochées dans des thèses d'auteurs un peu oubliés (en ce qui me concerne bien sûr – ouh la la, j'espère que les auteurs ne passeront pas par ici), et la leçon peut vite devenir aride. Oui, le débat d'idées entre Hobbes, Locke, Platon etc. ressemble aux joutes rhétoriques grecques, qui peuvent passionner les uns et profondément assommer les autres.

Mais il y a un « mais ». Non, plein de mais en fait. Parce que je ne partage pas ce point de vue là et que je trouve à ce texte une multitude de qualités.

D'abord, selon moi, ça marche très bien. Parce qu'on renoue, d'une part, avec l'essence des romans didactiques et l'esprit est bien là. J'ai trouvé les échanges parfois badins, avec ce Roland-17 qui maîtrise à la perfection les nuances entre conviction et persuasion. de parfaits petits numéros bien exécutés – et personnellement, j'ai trouvé cela très savoureux, cocasse et franchement malin.
Ensuite, hé bien on ne s'ennuie pas. Personnellement, les grands textes conceptuels des Anciens et des Lumières me semblent difficiles à avaler (c'est comme manger des pois cassés nature sans une petite crème légère pour les accompagner). Or, le monde de Julia apporte cette rondeur manquante aux propos, un dynamisme dans l'échange d'idées, et un rythme dans la pensée qui se forge. Et que ça donne presque envie de retourner à la source pour lire enfin ces grands noms. Et puis c'est passionnant, jamais ronflant, ni juste théorique. Il y a des questions que l'on se pose chaque jour et qui sont fondamentales : qu'est-ce qui fait société ? Peut-on garantir la liberté sans égalité ? Dans les crises (politiques, sociales, des institutions…), que nous traversons, remettre à plat ces points est loin d'être inutile.
Enfin, j'ai trouvé que la construction du roman permettait au propos plus didactique de bien s'intégrer au reste. Il se compose de deux trames, l'une avec Julia et l'autre avec un chef de clan qui tente de trouver des solutions pour dépasser cette logique fragmentaire, et de mettre en place une société fondée sur le vivre-ensemble. Ce faisant, j'ai remarqué que les chapitres, qui alternent les points de vue, se répondent. Comme si le chapitre centré autour de Julia était la leçon, et le chapitre suivant la mise en pratique. de ce fait, il y a un liant bien présent qui redonne une fluidité à l'ensemble.

Par ailleurs, remarquable la manière dont droit et SF s'associent.
J'ai écouté, au cours de ma lecture, le podcast d'un numéro de la science, CQFD d'avril. Natacha Triou y recevait les deux auteurs pour échanger sur ce roman atypique. Parmi les nombreuses questions posées, il y avait celle-ci : « pourquoi faire le choix de la SF pour évoquer des questions de droit ? »
Il est vrai que le mariage des deux peut paraître atypique. D'abord, les auteurs ont choisi le conte pour raconter leur histoire. On ne sait pas trop où l'on est ni quand, même si quelques indices épars nous permettent de nous en faire une idée. le conte a une portée universelle. Julia est une enfant lambda, qui a perdu ses parents et est élevée par un tuteur dans un monde qui ne semble pas très doux. En somme, voilà un cadre qui semble bien familier. Peu importe que le monde décrit ne soit pas exactement le nôtre, car Julia est proche de nous et va vivre des expériences qui nous parlent. Et puis quoi de mieux qu'un conte pour instruire ?
D'autre part, et les auteurs l'ont bien expliqué, le droit est une fiction. C'est un voile qui recouvre le monde naturel pour qu'on puisse faire société, qui est aussi un artifice. Elle repose en effet sur des règles que l'on s'impose pour gommer les différences de force et de puissance, établir une égalité et garantir la liberté de chacun. Il paraissait alors évident pour les auteurs d'intégrer leur propos dans un genre fictionnel. La SF décrivant les sociétés et leur évolution comme des êtres organiques et vivants, il semblait alors logique que ce soit la SF qui s'empare de cette question, d'autant qu'il n'y a pas de société sans droit.

Je parle de droit depuis le début, mais le monde de Julia est un roman de SF d'abord. le monde qui nous est présenté est dystopique. On l'approche par le regard de Julia, jeune fille éprouvée par les expériences de la vie. Son monde est dépeuplé, la « civilisation » lointaine, dangereuse, et de ce que l'on comprend, il n'en reste pas grand-chose. le second regard est celui de Darius et d'Artaban, en tout cas pendant un temps. Leur monde à eux est constitué de clans, qui répondent chacun à des règles issues de bouquins de SF. C'est assez rigolo de deviner de quel bouquin telles règles sortent. Je me souviens surtout de Terra Ignota, mais ce n'est pas la seule référence, les auteurs puisant aussi allègrement dans le cinéma. le roman s'ancre donc dans une culture pop culture et SF bien établie.
J'ai parlé tout à l'heure des deux trames qui se relient formellement, entre théorie et mise en pratique. Mais au-delà de cela, il y a un vrai dialogue entre ces deux trames, qui évidemment vont finir par se rejoindre à un moment. Si le lien entre les deux peut paraître obscur pendant un bon moment, on voit le ciel s'éclairer peu à peu, et les connexions se font petit à petit. C'est très bien amené, et quand on comprend alors, on considère différemment ce qu'on vient de lire. Je trouve les deux fils fort bien menés, imbriqués, comme le parfait reflet du travail à 4 mains qu'ont réalisé les deux auteurs.
Ainsi, je dois dire que le dénouement m'a énormément surprise, parce que je n'ai rien vu venir. Plus que ça : je l'ai trouvé brillant. Si on doutait qu'on était dans de la SF depuis le début, là on est servis. On retrouve là plusieurs concepts bien connus de la SF, utilisés à fort bon escient. Je dois néanmoins avouer que je n'ai absolument rien capté à l'épilogue. Mais ça ne m'a pas chagrinée, puisque pour moi le final se suffit à lui-même. Fichtre, ça décoiffe. Bien pensé, inattendu, vertigineux. Et ce final provoque aussi pas mal d'émotions, ce qui pouvait peut-être manquer jusque-là.
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/u..
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