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3,92

sur 315 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Les personnages:

Rien qu'avec leurs Prénoms, vous avez déjà une idée de ce qui vous attend : Deuspi et Fonsdé, le duo inséparable, Eva Miss Antitout, Kropotkine et son anarchisme, Mange-Poubelle et son accoutrement très spécial, Glandouille et Pustule avec leurs trois clébards. Voici donc le club des punks, le Collectif 25…Joyeuse bande de « timbrés » qu'on se plaît à voir ainsi mettre en scène, et se battre contre les zombies. On s'attache à leurs personnalités, on se boirait bien un petit coup avec eux, tellement ils sont sympathiques. Il forment une bande improbable de héros malgré eux, et ce qui fait tout leur charme…

« -On est des punks, pas des héros. » p271.

Ce que j'ai ressenti:…Un condensé d'humour et de tempo ravageur…

Encore une fois, c'est le mot Déjanté qui me vient à l'esprit après la lecture de ce livre! Décidemment, Karim Berrouka est un auteur à suivre pour ses délires!!!!J'aime sa folie, j'adhère à son style et je suis impatiente de lire son prochain livre, après les fées (cf Fées Weed et Guillotines), place aux créatures dégoulinantes et bouffeuses de cervelles….

Du coup, leur cervelle a largement dépassé la cote d'alerte toxicologique. Elle est habituée certes, mais ça ne l'empêche pas pour autant de se mettre en mode free party.

Paris, nouveau terrain de jeu des zombies, Paris mis à sac par une bande de dégénérés, Paris, ou la naissance hypothétique de l'Anarchie. Paris se voit endosser de nouvelles couleurs, de nouvelles odeurs, de nouveaux combats, de nouveaux hymnes. Autant vous dire, que l'Humour est de ses pages, qu'il est à prendre au second degré voire encore plus bas, (c'est combien déjà celui de la bière???!!!), qu'on est éclaté de rire à chaque réplique, qu'on se prend une belle dose de n'importe nawak délirante, acide mais salvatrice pour nos zygomatiques.

« Ligne de Speed, coke en stock, si je mens, je vais à Woodstock. »

Mais cette histoire c'est une révérence à la musique Punk. Il donne le ton et l'énergie aux pages qui défilent. Tout est dans la dynamique, les zombies se font dezinguer à tout va sous des airs inspirés, les anges ont des prénoms d'artistes populaires, les fleurs jaillissent des guitares sèches…Une sacrée ambiance, je vous le dis!!! Je ne connaissais aucune des chansons du répertoire keupon, mais l'auteur arrive à titiller notre curiosité, et si jamais un son inhabituel sortait de mes enceintes, il y serait sans doute pour quelque chose! J'ai beaucoup aimé cette touche musicale du roman, tout en rythme et en textes forts…

-Tu crois qu'ils kiffent le punk destroy?
-Ils avaient l'air…C'est bon à savoir.

Mais ce petit condensé d'humour et de tempo ravageur cache au détour des lignes, une belle métaphore de notre société actuelle. Derrière le côté complètement « barré », l'auteur nous met en garde avec intelligence et jeux de mots incisifs, des dangers de ce système capitaliste. C'est ce que j'ai aimé, cette histoire à double sens, derrière le divertissement, les petits clins d'oeil avisés, les dénonciations tout en humour et reparties hilarantes.

-Et ensuite, on libère Amour et Paix, enfermés dans cette boite depuis que Haine, Convoitise et Obscurantisme les y ont pris au piège?

En bref, une lecture estivale qui fait du bien au moral, un univers riche et affamé, une vision nimbée d'hallucinogènes, mais un très bon moment de lecture que je vous conseille!

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Comme souvent, on ne sait comment, on ne sait pourquoi mais le virus est là et la population zombifiée. PAF! Ca prend par surprise et encore plus si t'es défoncé comme nos amis punks du collectif du 25. Et alors là, on se demande : punk is dead? ou bientôt? ou pas du tout? Et si la fin du monde était l'occaz pour crier bien haut et fort “Anarchie!”et repenser l'ordre mondial parce que bon là on ne peut qu'être d'accord , hein, “no future” ou futur mal barré. Mais qui sait, les punks ont de la ressource quitte à faire dans le n'importe quoi!

Après avoir entamé “Fées, weed et guillotine”, j'ai commencé en parallèle “Le club des punks contre l'apocalypse zombie” parce que je voulais une double dose, ouais.
Toi qui adore les zombies, les parties de cache cache pour ne pas se faire bouffer, les idées saugrenues pour récupérer des vivres et du matos et les Bérus, fonce! Mais cool, pas trop vite, va pas affoler les zombies non plus. Ils ont l'oreille musicale, choisis bien tes morceaux...ou numérote les tiens.

Karim Berrouka nous offre un roman à nouveau bien perché, plein d'idées, d'humour, de fraîcheur et de rebondissements. Bon, à nouveau un peu déçue par la fin, comme pour “Fées, weed et guillotine” mais elle cadre parfaitement avec le trip sous acide virtuel que j'ai fait pendant cette lecture.
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Quelle belle surprise ce livre ! C'est tout simplement déjanté, mais bourré d'humour...noir...sanglant même ! Bien sur, il faut mettre de coté tous les messages récurrents de l'auteur concernant la politique et l'anarchie. C'est l'histoire d'un collectif de punks qui passent plus de temps à se droguer qu'autre chose, parce que les hallu, ils aiment ça. Un matin, du haut du toit de leur collectif, ils aperçoivent des humains se bouffer entre eux, et ils se rendent vite compte que ce n'est pas une hallu comme d'habitude. Leurs vies va changer, car ils vont devoir survivre...A consommer sans modération. Et encore merci à l'amie qui m'a conseillé cet ouvrage.
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Punk's Not Dead !

A quoi pensent deux punks en voyant une horde de zombies : « une performance. Un truc vraiment extrême, comme de peindre des scènes de déjeuners sur l'herbe avec des tripes de porc pour pinceau et de la bouse de vache comme peinture. du pur décadent conceptuel. » et vont s'envoyer une binouze.

"On passe de la science-fiction gore au fantastique de bénitier, murmure Mange-Poubelle. Pas le scénario le plus commun…"
C'est bien punk d'attendre la fin de la mode zombie pour publier un roman sur ce thème.
Bienvenue dans un squat habité par une bande de punks avec toutes ses nuances : Deuspi et Fonsdé, punks adeptes du pogo et avides de substances psychotropes; Eva, la punkette militante "contre le sexisme, le machisme, l'homophobie, la transphobie, le racisme, le fascisme, le classisme, l'expérimentation animale, le nucléaire, l'économie de marché, l'urbanisme, la répression, la politique d'immigration, le patronat, la violence contre les punks, la haine des moutons, etc."; Glandouille & Pustule, la section punk à chien du squat; Mange-poubelle, le punk SDF; et Kropotkine, "le dernier anarcho-mao-libertaire-autonome sur terre".

Et ce club des sept va tenter de remettre de l'ordre dans ce déluge de zombies. Car oui, l'anarchie, c'est l'ordre sans l'État ! L'auteur, avec humour et ironie, nous dresse un portrait de l'anarchie, pas celle dépeinte par l'audiovisuel à la solde du libéralisme, mais celle au service de l'humain. de quoi remettre des valeurs sur une certaine devise bien mal en point : liberté, égalité, fraternité.

Nos loustics côtoieront des adeptes d'un Nouvel Ordre, des zombies férus de musique, affronteront plus d'une fois la Mort (mais rassurez-vous, Punk's Not Dead) et le plus grand opiacé au monde, la Religion.

Karim Berrouka était le chanteur des Ludwig von 88, les connaisseurs retrouveront dans ce texte ce mélange d'humour, de punk-rock et d'engagement cher à ce groupe.
Les fans de Roland C. Wagner retrouveront le côté pas sérieux moins con qu'il n'y parait et un côté psychosphère.
Les punks, les anciens, se rappelleront leur jeunesse et leurs douces berceuses.

Houlala, il y a bien quelques bémols : après une première partie très réussie, le reste est un peu en dessous, parfois foutraque, le fait de perdre de vue certains personnages rend parfois difficile de les resituer et quelques longueurs.

Mais bon, c'est iconoclaste, mordant, inventif.
Un titre qui résume parfaitement l'intrigue, une couverture qui illustre à merveille le propos, un prix très honnête et pour finir, un roman qui vient de remporter le prix Julia Verlanger remis aux Utopiales de Nantes.

Bref, mettez un pack dans le frigo, allez achetez le roman, et savourez.
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En conclusion, le Club des Punks contre l'Apocalypse zombie m'a complètement bousculé dans mes habitudes de lectures que ce soit par la présence de zombies pas vraiment représentés sur mon blog mais aussi l'humour (je ne lis jamais de romans SFFF humoristique) ou la culture punk anarchiste. Karim Berrouka s'en prend pour notre plus grand plaisir à des symboles forts de notre société occidentale que ce soit le patronat, le capitalisme, la police ou les médias. Si j'ai moins aimé les délires mystiques des prophéties des Punks complètement à côté de la plaque, j'ai tout de même beaucoup apprécié ma lecture qui m'a fait prendre une bouffée d'air frais dans notre actualité pesante.

Pour une chronique plus complète, rendez-vous sur mon blog :
Lien : https://labibliothequedaelin..
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Je tenais tout d'abord à remercier les éditions Actu SF pour ce service presse et pour m'avoir accordé leur confiance. J'ai choisi ce livre qui m'avait fait de l'oeil aux Imaginales pour une raison principale : son auteur. J'écoutais Ludwig von 88, il y a très longtemps surtout l'album « Houlala II la mission » où on retrouvait déjà l'humour caractéristique de Karim Berrouka. Je les avais vu en concert également et ce fut un moment d'anthologie. Cependant, je ne suis pas fan des zombies ni du coté apocalypse. J'ai eu de bons avis sur ce livre et je me suis donc laissée tenter ce que je ne regrette pas car j'ai vraiment passé un bon moment en compagnie de ce livre. J'y ai retrouvé la patte délirante de l'auteur et une certaine part de ma jeunesse avec la musique des Ludwig von 88 cités plusieurs fois dans le roman.
Il est donc question de zombies dans ce roman mais aussi de punk, au moins le titre résume bien l'histoire. Les zombies sont en grand nombre et les punks sont au nombre de 7 comme les mercenaires et les samouraïs. le roman entre très vite dans le sujet avec la présentation des personnages et du contexte. Les personnages principaux sont tous des punks vivant au collectif du 25 et ayant chacun sa personnalité: Eva, la seule fille est la miss anti-tout de la bande et qui se bat contre beaucoup de choses, Mange-Poubelle, le vegan et fan de films de seconde zone, Kropotkine, le révolutionnaire anarchiste, Deuspi et Fonsdé qui portent bien leur nom et Glandouille et Pustule les 2 punks à chien avec leurs chiens bien entendu. On retrouve ainsi plusieurs facettes des punks et chaque personnage est beaucoup plus fouillé que ce à quoi on pourrait s'attendre. Ces personnages sont totalement décalés et très attachants. Ils ont à la fois un côté réaliste et totalement loufoque qui les rend chacun unique et intéressant.
L'écriture de l'auteur est pour beaucoup dans le côté délirant du roman. Il a toujours la formule juste et bien entendu drôle qui apporte le côté piquant à l'histoire. le roman se lit vraiment très bien et entre très vite dans l'action. Il y a juste une légère baisse de rythme vers le second tiers du roman sans que cela nuise au récit. Karim Berrouka utilise souvent des retours en arrière dans la narration, ce qui permet de suivre tous les personnages et de savoir ce qui leur arrive et contribue aussi au climat du livre et au suspense. Car même s'il y a beaucoup d'humour, on s'inquiète quand même un peu pour les personnages étant donné qu'ils sont en plein apocalypse.
La musique a aussi une grande importance dans le roman. La musique punk bien sûr mais pas seulement. Elle a une influence sur le comportement et sur la façon de vivre. Elle est aussi le vecteur d'une certaine culture. On retrouve ainsi le conflit entre le mouvement hippie et le punk. On voit aussi que l'auteur est un musicien et a une grande connaissance de la musique punk, logique me direz vous vu sa situation. Les expérimentations musicales apportent aussi un côté frais (comme les zombies) et à la fois acide et décalé au roman.
L'humour est présent tout au long du roman autant par les situations délirantes que vivent notre groupe de punk préféré que par le côté anticonformiste du roman. Il est question de punk, de mysticisme, de révolte, de vie en société et surtout d'humain plus que de zombies, ce qui peut paraître paradoxal étant donné le titre. Car sous des couverts délirants, l'auteur exprime beaucoup de choses sur la société moderne et sur la politique ainsi que sur la possible construction d'une société idéale basée sur l'anarchie. Certains personnalités politiques en prennent d'ailleurs pour leur grade. Cependant, le roman garde son côté foufou et trash tout le long et se lit avec vraiment beaucoup de plaisir. Certains passages complétement loufoques m'ont beaucoup fait rire et quand on lit comme moi dans les transports en commun cela peut avoir un côté cocasse.
Vous l'avez sans doute compris, j'ai beaucoup aimé ce roman qui a plusieurs aspects et qui est servi par une écriture parfaite pour le thème. On rigole beaucoup et on réfléchit aussi et on a envie de (ré)écouter du Ludwig von 88! On peut le lire et l'aimer même si on est pas particulièrement attiré par le mouvement punk. En somme, je le recommande chaudement!
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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Evidemment, aimer le punk et/ou les séries B, ça peut aider à apprécier le Club des Punks contre l'apocalypse zombie. Mais sincèrement, même si on n'a jamais jamais JAMAIS écouté un seul morceau de punk de sa vie, qu'on n'a JAMAIS entendu parler des Béru et qu'on est passé complètement à côté de Walking dead, eh bien on peut quand même beaucoup aimer ce roman ! Si, si, c'est vrai.
L'intrigue est très bien construite, avec des focus à tour de rôle sur chacun des personnages principaux. Et le récit est cohérent malgré tout ce qui se produit d'improbablement abracadabrantesque au fil des pages, Karim Berrouka arrive quand même à retomber sur ses pieds...
Les personnages sont tous plus déjantés et attachants les uns que les autres et ça déborde d'humour !
Je ne sais pas s'il faut vraiment chercher une morale à cette histoire, mais pour ma part, le dénouement m'a un peu fait penser à celui de la Ferme des Animaux, d'Orwell, mais bon, juste un peu.
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Le club des punks contre l'apocalypse zombie est un roman que je voulais lire depuis pas mal de temps déjà. Je n'ai pas pu m'empêcher de sauter dessus la dernière fois que je l'ai vu en occasion, me donnant enfin l'occasion d'y jeter un oeil.

Je ne sais pas à quoi je m'attendais en ouvrant ce livre mais certainement pas à ce que le titre soit autant premier degré. On assiste bel et bien à un groupe de punks uni contre une apocalypse zombie, débarquée d'on ne sait où. le mot d'ordre : bière, drogues en tous genres et anarchie. La bande de punks, complètement barrés, essaiera de survivre tant bien que mal à ce nouveau monde.

Si le roman est aussi barré que les divers personnages qui le peuplent, l'auteur ne nous offre pas moins une une critique acerbe de notre société. Les zombies sont assimilés aux citoyens, qui vivent dans un système dans le lequel tous leurs faits et gestes sont contrôlés par les puissants. Une masse informe de « légumes », qui se transforme en masse dévoreuse d'humanité.

Seuls ce groupe de punks, en marge du système, et quelques autres survivants lambda, continueront à vivre dans un Paris dévasté. Et quel plaisir que de retrouver les rues de la capitale et de sa proche banlieue aussi bien décrites. Ce roman offre une balade parisienne d'un nouveau genre.

Et c'est sans oublier l'humour acéré de l'auteur ainsi que les divers délires mystiques dus aux psychotropes que vivent les personnages. le Club des punks contre l'apocalypse zombie est un roman complètement déjanté, qui ne traite pas moins de sujets assez importants, tout en proposant une critique bien sentie de notre société.
Lien : https://reveuseeveilleeblog...
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Ce roman est jubilatoire ! Que dis-je, c'est un défouloir. Un exutoire ! Dans quel autre roman pourrait-on voir une Christine Boutin zombifiée qui se prend des tartes dans la gueule ? Hum ? Des membres du MEDEF se faire lyncher par une armée zombie ? Bah non, personne n'avait jamais osé. Mais Karim Berouka l'a fait. N'est-ce pas là le but ultime de l'imaginaire ? Inventer tout ce que l'on souhaite, quitte à réinventer, à utiliser des lieux connus, à s'approprier notre réalité pour mieux la réaménager comme on l'entend ? Quitte à partir dans des délires anarcho-mystico-punk complétement irrévérencieux ? Qu'on se le dise, l'apocalypse zombie ne se fera pas sans le retour de la revanche des groupes punk ! (qu'en voilà une belle phrase).

...la suite sur mon blog !
Lien : https://avideslectures.wordp..
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Le Club des punks, c'est le "Collectif du 25" : sept contestataires de tous bords vivant dans un squat à Paris. Il y a un couple de punks à chiens, Glandouille et Pustule, deux punks destroy, Deuspi et Fonsdé, Kropotkine, anarcho-mao-libertaire-autonome, Mange-Poubelle, freegan allergique au savon, et Eva, surnommée Miss Antitout, en constante opposition avec le système. le jour où ils aperçoivent des parisiens qui commencent à s'entredévorer, ils pensent à un mauvais trip avant de réaliser que l'apocalypse zombie a débuté. Ni une ni deux, ils décident de faire flotter le drapeau noir de l'Anarchie sur la capitale ! Commence alors un périple d'une année riche en rebondissements...

Le Club des punks contre l'apocalypse zombie est un roman complètement loufoque mettant en scène des personnages quelque peu cinglés dans des situations extrêmes. Qu'ils essaient de survivre en territoire zombie, de combattre les derniers représentants du Medef ou tout simplement de protéger quelques rescapés, on peut être sûr que cela va tourner au grand n'importe quoi !
J'ai beaucoup aimé ce roman qui reprend les grands classiques des histoires de zombie pour les détourner, transformant ainsi une intrigue gore et angoissante en gore... et amusante ! Les descriptions sont souvent immondes, il y a beaucoup de violence et d'action, des rebondissements à foison et énormément d'humour, totalement anticonformiste et politiquement incorrect ; mis à part un passage de violence gratuite que je n'ai pas trop aimé et qui m'a mise mal à l'aise au début du roman, j'ai vraiment aimé suivre l'auteur dans son délire post-apocalyptique flirtant parfois avec le mysticisme religieux, dans les expérimentations musicales aux conséquences surprenantes de ses chers punks ou dans la mise en place d'une société idéale basée sur les grands principes de l'Anarchie.

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