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3,92

sur 315 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Drôle mais space.


On est à Paris. L'apocalypse zombie est arrivée. Tout le monde s'entre-dévore dans les rues. Tous ? Non, un squat de punks résiste encore (un peu par hasard croyez-vous?) à l'envahisseur. Et en plus ils ont des visions qui leurs sauvent les miches et leurs donnent la marche à suivre.


Ça fuse. Tous les paragraphes, toutes les phrases voire tous les mots, le roman entier est construit sur le style, le langage décalé des kepons toxicos, fuck le système.
Ce qui avait un certain charme au début, on renouvelle indéniablement le genre, a fini par m'agacer franchement en milieu et fin de roman.
Avec le côté surnaturel (plus encore qu'un bon vieux zombie ? ), mystique, esprits frappeurs et plus si affinité, ça m'a achevé.
Attention, le tout est parfaitement raccord, dans le style décalé, encore qu'un bon client bouffeur de curé pourrait y trouver à redire, mais si je suis ok pour renouveler le genre zombie, je ne suis pas prêt à le dénaturer.


J'étais pas prêt, je ne suis pas prêt à trop sortir des codes.
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Marre des zombies ? Ras-le-bol de lire encore et encore la même histoire relatant le déferlement de hordes de morts-vivants et le combat des rares survivants ? Moi aussi, et pourtant je vous conseille vivement de vous laisser tenter par « Le club des punks contre l'apocalypse zombie », roman complètement déjanté récompensé lors des derniers Utopiales par le Prix Julia Verlanger. Bon, au niveau du pitch ça reste assez classique (l'apocalypse, les zombies, les survivants, tout ça tout ça...) mais du côté des personnages on a quand même du lourd ! Il y a d'abord Kropotkine (mon petit chouchou), un anarchiste convaincu et capable de vous réciter sans problème du Proudhon ou du Bakounine. Il y a aussi Eva, la grande révoltée du groupe multipliant les combats contre le sexisme, l'homophobie, l'expérimentation animale, le nucléaire... Et puis il y a les inséparables Deuspi et Fonsdé, toujours en train de planer, Glandouille et Pustule, les fameux « punks à chiens » du collectif, et enfin Mange-Poubelle, grand connaisseur de films d'horreur entretenant des rapports conflictuels avec le savon. C'est déjà un peu plus intriguant que d'habitude, n'est-ce pas ? Et bien dites-vous que l'intrigue est à l'image de ses personnages : c'est à dire que c'est le bordel. Seule ombre au tableau (mais qui prend de plus en plus d'ampleur au fil des chapitres), les visions complètement perchées qui assaillent nos héros et qui donnent lieu à une fin certes inattendue mais surtout très décevante.

Ces légers bémols mis à part, il faut avouer qu'on passe un bon moment en compagnie de ces punks bien décidés à instaurer un nouveau fonctionnement et à faire flotter le drapeau anarchiste sur Paris. Après tout, puisque la société était déjà pourrie avant l'apocalypse, pourquoi ne pas profiter de l'occasion pour se débarrasser des chaînes qui entravent l'humanité ? le patronat, la consommation à l'excès, l'abrutissement de la population par les médias... : Karim Berrouka tape sans vergogne sur tout ce qui constitue l'essence de notre belle société capitaliste... et ça fait plaisir ! « Deuspi et Fonsdé jubilent. C'est l'anarchie. Ce à quoi Kropotkine répond que non, ce n'est pas l'anarchie, c'est le chaos. Ils confondent tout, encore et encore, n'ont aucune conscience des réalités de la lutte sociale, l'anarchie ce n'est pas péter des rotules de CRS et brûler des commissariats, aussi plaisant que ça puisse être. » On sent que l'auteur a vraiment pris son pied à écrire son roman et son enthousiasme ne tarde pas à se communiquer au lecteur. Un lecteur qui assiste à certaines scènes d'anthologie particulièrement jouissives, à l'image de celle assez surréaliste où Fonsdé s'attaque à une Christine Boutin zombifiée. Sans oublier le passage où nos amis les anciens maîtres de la capitale se retrouvent obligés de détaler la queue entre les jambes en abandonnant leur place forte. Ou encore celui (ou plutôt ceux, parce qu'il y en a pas mal) où les forces de l'ordre en prennent pour leur grade.

Pas sûr que vous soyez susceptible à ce genre d'humour si vous comptez parmi les membres du MEDEF (quoique, on ne sait jamais...), en tout cas pour les lecteurs qui sont sur la même longueur d'onde, c'est un régal. Mais il ne s'agit pas du seul intérêt que possède le roman qui, comme on l'a déjà mentionné un peu plus tôt, fait preuve d'une sacré originalité, Berrouka n'hésitant pas à bousculer un peu la routine de l'histoire de zombie traditionnelle. le décor, d'abord, n'est pas tout à fait le même puisque l'action prend place dans Paris et met en scène certains de ses monuments emblématiques (qui résistent plus ou moins bien à la fin du monde). Au delà de l'aspect touristique, il est également intéressant de voir l'action se passer dans un pays où les armes à feu ne courent pas les rues : ça pousse les personnages à plus d'inventivité ! Et puis a-t-on déjà abordé dans un roman de ce type les difficultés posées par l'électronisation désormais presque systématique de tout ce qui nous entoure ? Non parce que les voitures à carte et les halls d'immeuble protégés par des portes à badges c'est bien, mais quand le courant finit par tomber en rade ça complique considérablement la vie des survivants. Autre nouveauté, et non des moindres : les zombies sont sensibles à la musique et sont capables d'adopter un comportement totalement différent selon qu'on leur jour du punk, de la musique classique, du rock ou du reggae. Voilà qui ouvre pas mal de perspectives, non ?

Dans la même veine que Fabien Clavel qui relatait dans « L'évangile cannibale » les aventures d'un groupe de seniors piégés dans un Paris envahi par les zombies, Karim Berrouka signe un roman qui sort largement des sentiers battus... pour le plus grand plaisir du lecteur qui passe un bon moment à se poiler devant les aventures rocambolesques de cet attachant groupe de punks.
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Quand on pense avoir un peu tout lu dans un genre, certains auteurs ont le chic pour nous administrer une grosse claque ! C'est ce qui est arrivé avec « le club des punks contre l'apocalypse zombie » qui a le mérite d'être un roman de zombies hyper original, loufoque et engagé. Exit les récits classiques avec un virus à éradiquer ou un groupe qui survit en espérant un remède ! On a là un ovni littéraire qui en surprendra plus d'une personne que ce soit pour son scénario atypique ou pour le caractère bien trempé des différents protagonistes. Attendez-vous à du trash, du vulgaire, du déjanté, du mystique et des idées politico-sociétales à gogo. Ce cocktail explosif m'a relativement plu, même si je m'attendais à quelque chose de quand même moins barré… Honnêtement, on part vraiment dans tous les sens et c'est ce qui fait la force et la faiblesse de ce titre.

L'intrigue se déroule à Paris, dans un squat où vivent plusieurs keupons complètement drogués et bourrés. Dans le lot, on distingue plusieurs noms qui annoncent bien la couleur : le tandem Deuspi et Fonsdé qui est constamment sous acide, Eva la seule nana qui milite tout le temps dans les rues au point de s'appeler « Miss Antitout », Kropotkine pur punk qui dirige le groupe, Mange-Poubelle dont le pseudonyme parle de lui-même ainsi que Glandouille et Pustule les deux punks à chiens. Ensemble comme séparément, ces anarchos punks vont devoir affronter l'armée des morts… Sauf qu'ils sont loin de s'inquiéter pour leur futur : ils ont de quoi manger, se faire planer et sont tranquillement bien barricadés ! Pire : ils n'hésitent pas à rendre dingues les rescapés en attirant les zombies sur eux ou en les critiquant, en particulier ceux qu'ils n'aiment pas comme le MEDEF. Et quand il est question de sortir, c'est pour voir les choses en grand en réalisant des choses insensées comme planter le drapeau des Anarchistes en haut de la Tour Eiffel. Ces actions inimaginables m'ont beaucoup amusée et j'étais curieuse de voir jusqu'où irait l'auteur dans son délire… Or, je n'ai pas été déçue, ne serait-ce qu'avec la présence de l'un des frères Bogdanoff en mort-vivant !

Du dément, en veux-tu, en voilà ! En plongeant dans cet ouvrage, on est vraiment sur une ambiance barrée où chaque personnage va avoir une vision due à la drogue qui fera plus ou moins avancer le scénario. Contrairement à d'autres livres dans le genre, on ne sait pas où on va, ni ce qui nous attend dans les dernières pages. On va donc de surprise en surprise. de plus, Karim Berrouka n'hésite pas à renverser les codes des genres en proposant, par exemple, des personnages mystérieux et originaux comme Trévor ou la Petiote. Il n'hésite pas non plus à faire une critique sociale de la France et de notre monde. Que l'on adhère ou non, le tout passe bien étant donné le contexte, l'humour de la narration et l'engagement des personnages. Hélas, malgré ces bons éléments, j'ai été assez déboussolée par le côté trop loufoque. Parfois, il fallait vraiment suivre… Lire avant de dormir après une bonne journée épuisante n'était pas facile, car les protagonistes allaient très loin dans leurs délires abracadabrants ! de plus, la fin ne m'a pas spécialement plu. Je l'ai trouvée assez expéditive et pas forcément à mon goût. Une chose est certaine, cet ovni Z ne vous laissera pas indifférent tant il sort des sentiers battus ! N'hésitez pas à découvrir la critique de Stelphique ou des autres lecteurs sur la toile qui ont souvent adoré cette lecture décalée.
Lien : https://lespagesquitournent...
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Ah, c'est sûr que des bouquins comme ça, on n'en rencontre pas très souvent...
L'apocalypse zombie frappe (une fois de plus), mais cette fois, les survivants ne sont pas des rambomaniacs survivalistes bardés de flingues, ce sont sept punks dont la plupart passent le plus clair de leur temps à boire de la bière et se défoncer au speed, à l'acide, au PCP, au LSD, quand c'est pas à la beuh, aux neuroleptiques et aux anti-dépresseurs.
Et bientôt ils vont se rendre compte que l'ennemi ultime, ce ne sont pas les zombies, mais les hommes en costard, survivants du MEDEF, qui veulent remettre en route l'esclavage néolibéral.
Il ne faudra pas chercher là-dedans la moindre vraisemblance, il n'y en a clairement aucune et c'est assumé. L'ensemble s'apparente à un immense délire... écrit sous acide, justement. C'est très drôle, surtout au début, même quand on n'a pas accès – comme c'est mon cas – à toutes les références punks, et la construction est vraiment originale, mais il faut avouer qu'au bout d'un moment, ça commence à devenir rengaine, sans compter que c'est quand même pas de la grande littérature (faut dire qu'il y a beaucoup de dialogues et que les keupons ne se parlent évidemment pas en langage soutenu).
Par moments, comme lors du siège du château de Vincennes, ça devenait même tellement foutraque, notamment entre les différentes factions, que je n'y comprenais plus grand-chose.
Le remix de la Bible, tout à la fin, doit valoir son pesant de cacahuètes quand il est pris isolément, mais j'en avais un peu ras les couettes et je n'ai pas pu en profiter pleinement.
Un avis en mi-teinte donc en ce qui me concerne, mais le gazier en a clairement sous la pédale et je lirai autre chose de lui pour voir.
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En Résumé : J'ai passé un sympathique moment de lecture avec ce roman qui nous propose de découvrir l'apocalypse zombie à travers un groupe de Punks. le récit démarre fort, se révélant énergique et surtout offre un pur délire qui nous fait sourire régulièrement, voir même rire. Les personnages sortent clairement des carcans de ce genre de récit, mais surtout l'auteur offre des personnages humains, loin des caricatures et de l'image que peut se faire le grand public des punks ce qui les rend attachants. Je regretterais peut-être juste un léger manque d'émotion par moment. L'univers zombie se révèle classique, ce qui ne l'empêche pas de s'avérer solide et entraînant avec cette originalité concernant la musique qui possède quand même ses limites. C'est surtout concernant toute la culture punk qu'on sent toute la passion de l'auteur ; qu'il cherche à nous faire partager. Il n'oublie pas non plus de chercher à nous faire réfléchir sur notre société, certes parfois de façon frontale, parfois tombant trop dans la caricature, mais dans l'ensemble c'est efficace. Alors après, je reprocherais tout de même un certain essoufflement vers le milieu du récit, une utilisation un peu trop systématique des flashbacks ou encore un peu trop de Deus Ex Machina. Cela n'empêche pas l'ensemble de se révéler plus que divertissant, mais l'empêche de se révéler vraiment marquant. le tout est porté par une plume simple, efficace et captivante.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Une très bonne lecture en ce qui concerne l'univers post-apocalyptique et les attaques de zombies. le gros plus de ce livre, ce sont ses protagonistes punk. Je regrette cependant, la plume parfois un peu lourde de l'auteur et la dimension mystique qui s'installe progressivement et qui a conduit à un final en demi-teinte pour moi.











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Je n'aime pas les zombies. Je n'aime pas les films sur les zombies, les livres sur les zombies… La créature ne m'intéresse pas, tout comme les aspects flippants et gores qui l'accompagnent en général.
Mais vu l'auteur, je savais que les côtés flippants seraient assez inexistants et que le gore serait contrebalancé par une bonne dose d'humour (noir, forcément, mais tout de même).
J'avais pas tort, ouf !

Une fois passées les 100 premières pages un peu lentes qui tournaient en rond, j'ai apprécié ma lecture aux côtés des punks les plus attachants du monde.
Fonsdé et Deuspi sont une vraie caricature de drogués, Eva et Mange-Poubelle sont plutôt du genre à participer à des manifs « radicales » et Krotopkine est l'intellectuel du groupe. Tous aiment la musique que j'appellerais , moi, « bourrin » et un style vestimentaire assumé, toute cette esthétique étant, donc, du punk (chacun ses goûts).
La bande doit survivre lorsqu'un beau jour, des êtres humains se transforment en zombie et mangent ou contaminent les autres. Leur première idée face au monde moderne qui s'effondre : aller planter le drapeau anarchique en haut de la Tour Eiffel (ça vous donne une idée de l'absurdité/du fun du roman).
Leur principal ennemi seront les survivants du MEDEF, qui veulent devenir/rester la classe supérieure. Ils découvriront également l'impact étonnant de la musique sur les hordes de zombies…

Humour noir, absurdie et esthétique punk jusqu'au bout des ongles font toute l'originalité de ce roman de zombies pas comme les autres. Il y a beaucoup d'action (comme souvent, je l'ai trouvée parfois un peu brouillon, rapide), on redécouvre Paris et on fait connaissance avec un monde peu dépeint dans la culture populaire, celui des punks.
J'aime le fun, mais avec des limites, et ce roman était parfois un peu trop psychédélique et absurde pour moi ! Je n'ai cependant pas boudé mon plaisir quand je le trouvais et j'ai savouré les petites piques, les petits clins d'oeil…
Karim Berrouka a une plume sympathique et manie aussi bien l'argot et autres vulgarités que les mots justes, à la façon de Virginie Despentes (tiens, oui, ce roman m'a un peu fait pensé à du Despentes dans la démarche).

J'ai peut-être préféré son roman Fées, weed et guillotine, qui était un peu moins loufoque.
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Après la fumette dans Fées, weed et guillotines, Karim Berrouka se fait un trip aux acides avec le club des punks contre l'apocalypse zombie !

Le titre annonce tout de suite la couleur. L'idée paraît décalée au début, saugrenue, mais au fil des pages, on finit par trouver que c'est parfaitement logique. À sa façon. No future, Punk's not dead, anarchie, destroy, fuck la société de consommation et l'ordre établi... Qui de mieux qu'une bande de punks complètement défoncés pour faire face à la fin du monde option bouffeurs de cervelles ?
La critique de la société actuelle ne se cache pas, peu subtile, mais aussi mordante qu'un mort-vivant.
La musique prend également une grande place dans le roman sous diverses formes.

L'intrigue est assez chaotique, c'est déjanté à souhait, on a notre dose d'hémoglobine et ça part dans tous les sens (le contraire aurait été décevant), même si tout finit par se recouper. Ce côté barré et l'écriture de l'auteur très rythmée font qu'il n'y a pas de temps mort et que l'idée de base ne s'essouffle jamais.

Concernant les personnages, ils sont hauts en couleur, à l'instar de leurs blazes. Mais je ne les ai pas trouvés assez approfondis pour être réellement attachants.
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Fan des livres de Z je me devais de tester celui là quand même
L'histoire est original bien que derivante dans du fictif trééés imaginatif a mon gout pour un monde de Z mais qui est generalement l'option de la facilité pour l'auteur (c'est plus simple d'avoir des pouvoirs qu'être démunis)
J'ai apprécié les quelques mises en reliefs du bon et mauvais chez l'humain bien qu'il y ait de l'idéologie suggéré derrière.
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Ce livre de 2016 écrit par le chanteur de Ludwig von 88 m'ayant été offert,je me mis en devoir de l'honorer de ma lecture. de prime abord, il ne m'inspirait pas trop. D'une part parce que je ne suis pas particulièrement fan de zombies puis le coté "punk" me semblait bien trop cliché.
Le début ne me rassura pas tellement tant le punk un peu destroy était poussé dans ses plus rudes stéréotypes, mais doucement avec l'arrivée d'autres personnages plus réfléchis, je me suis pris d'un certain attachement aux personnages. Les pseudo même des protagonistes annoncent la couleur: Deuspi, Fonsdé, Mange-Poubelle, Kropotkine ...
Une fois le monde envahi de zombies, l'équipe du squat tente d'abord d'aller suspendre le drapeau noir de l'anarchie au sommet de la Tour Eiffel. S'en suit une lutte pour la révolution et pour détruire le vieux monde capitaliste dont certains survivants veulent perpétuer sa tradition d'exploitation des humains. L'antagonisme entre une certaine idée du No Future fait de défonces en tout genre et d'anarchisme réfléchi, montre que le punk au fond veut la liberté pour tous et détruire les inégalités.
C'est l'occasion pour l'auteur de s'étendre un peu sur les principales idées et revendications du mouvement punk et ce avec une multitude de références musicales.
Passages rocambolesques et aventureux, on assiste aux visions hallucinées des personnages et à un enchainement bien orchestré qui l'air de rien fait monter un certain suspense. Un peu déçu par la fin que je ne vais pas dévoiler mais une fois encore prête à réflexion si on lit un peu entre les lignes.
En résumé un livre délirant, drôle et divertissant !
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