La maison atlantique

Philippe Besson n'a pas son pareil pour décortiquer les sentiments humains. Il distille le suspens au fil des pages.
Ce roman est construit comme un puzzle, un piège où aucun des personnages n'est à l'abri.
On le garde en main jusqu'à la fin !

J'ai bien aimé Un garçon d'Italie, ou une bonne raison de se tuer, mais alors là..
Il ne se passe rien, du blabla, on comble, on étire au max, c'est sirupeux... Pour tout dire le livre fait 217 page ecrit gros avec un chapitre tous les 2 pages (donc des bas de pages vierge partout). La liaison homo debute page 162 ! avant on s'emmerde grave... et l'histoire commence au chapitre 65, page 201 ! Javais regarder l'interview chez ruquier et j'avais très envie de le lire pensant retrouver l'atmosphère des 2 autre ouvrages.. et bien non raté completement.. heureusement que je n'ai pas claqué 19 euros pour çà mais que j'ai pu trouver une edition neuve a 4 euros. Très déçu.

Une mère qui meurt...
Des vacances en tête à tête père-fils, un couple qui arrive dans la maison d'à côté et un père qui disparaît de temps en temps...
Un père qui fait tomber la goutte d'eau qui fait déborder le vase et un fils qui n'attend qu'une chose : se venger.

Philippe Besson sait développer l'art du drame avec virtuose. Il n'en déroge pas dans la maison de atlantique. J'avais pris l'habitude des voir les romans de P. Besson prendre place aux Amériques, de l'autre côté de l'océan. Il a été assez plaisant de voir l'auteur place un huit clos si près de nous. L'auteur pousse l'art du drame dans son style même : court et insicif. Court dans l'enchaînement des chapitres, court dans le rythme des phrases et court dans le développement de l'histoire : il est difficile de ne pas retenir son souffle. Des le début, le lecteur sait que cela va mal se finir. Dès le début, on sait que la mort sera le climax. Mais l'esprit de vengeance, et la colère qui n'attend qu'a s'exprimer installé le lecteur dans l'attente du dénouement. Et ce dernier m'a pris plus par surprise que je ne le pensais. J'ai beau connaître Philippe Besson, je ne suis jamais déçue par le final. Avec l'art de manier les sentiments et leur expression, Philippe Besson nous offre un moment intime et dérangeant à lire mais avec le plaisir de la lecture

Lien : http://putzeys.christian@gma..

Inconditionnelle de Philippe BESSON, j'ai lu tous ces romans.
J'ai beaucoup aimé ce dernier opus qui prend les allures d'une tragédie grecque ... Il y a beaucoup de finesse et de subtilité dans les émotions et les sentiments de ses personnages ... Nous assistons impuissants à l'inéluctable ...

Bonjour Tristesse sans le talent de Sagan mais la musique tragique est séduisante

Bonjour Tristesse sans le talent de Sagan

ce petit livre se lit vite bien écrit le personnage central a du corps on est saisi par la façon lucide qu'à ce jeune homme de raconter sa famille, son père surtout et l'on suit avec inquiétude la montée en puissance de la haine qu'il éprouve pour lui jusqu'au final. j'ai aimé

J'aime beaucoup l'écriture de Philippe Besson. On entre très vite dans le coeur du sujet et on est pris dans un engrenage implacable. Ce livre relate une relation père fils désastreuse. On est envoûté par ce destin.