AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,77

sur 959 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
L'excellente idée de ce roman réside dans le fait d'avoir rassemblé deux enquêtrices que nous avions déjà rencontrées indépendamment dans les tomes précédents : Grace Campbell l'Écossaise et Sarah Geringën la Norvégienne. Je dois dire que c'est un réel plaisir de les voir oeuvrer ensemble au sein d'une même enquête, partager leurs failles et leurs points forts, composer avec leurs caractères très différents en s'adaptant l'une à l'autre d'abord de manière contrainte, puis par réelle envie de travailler ensemble. Dans « L'Archipel des oubliés », Nicolas Beuglet rassemble deux trilogies (une première composée de « le cri », « Complot » et « L'île du diable » et une seconde constituée par « le dernier message », puis « le passager sans visage »). « L'Archipel des oubliés » se situe bien dans la continuité de l'enquête débutée par Grace Campbell alors en traque du mystérieux passager dès le tome 1 de la seconde trilogie. Clairement, je déconseille de lire ce troisième volet si vous n'avez pas lu les deux tomes précédents, vous y perdriez énormément. Il y a une continuité dans la chasse du passager, mais aussi une continuité dans le plan orchestré par celui-ci : « Après avoir abruti les peuples pour leur ôter l'esprit critique dans sa phase 1, après les avoir terrorisés dans sa phase 2 pour mieux les contrôler, la phase 3 consiste à… »

Le rythme de ce tome-ci est effréné, l'enquête menée tambour battant, l'écriture nerveuse, l'ambiance anxiogène. Sur la première moitié, j'ai eu du mal à reprendre mon souffle tellement j'ai été prise par l'histoire, le suspense et une forme assez prégnante d'angoisses de toutes sortes. L'atmosphère très oppressante trouble le lecteur, sans qu'il comprenne réellement pourquoi, mais avec une sensation omniprésente que quelque chose de peu agréable va lui tomber sur le coin du nez. Et c'est le cas, dans la seconde moitié…

Avant de vous parler de ce qui m'a profondément gênée dans « L'Archipel des oubliés », je voudrais rappeler que ce que j'aime dans les romans de Nicolas Beuglet c'est sa faculté à s'appuyer sur des faits réels ou des thématiques sociétales pour construire ses romans. Ainsi, hormis l'enquête, il y a toujours un second degré de lecture qui permet de mettre en perspective des problématiques de notre société. Dans l'une de mes précédentes chroniques, j'écrivais même que ses thrillers étaient tels que je les attendais : sociétaux, engagés et éclairants, toujours en passe de bouleverser nos certitudes et notre vision de l'avenir. Une volonté également de développer des sujets qui sont susceptibles de nous préoccuper à titre personnel en s'appuyant sur plusieurs sources. Ici, Nicolas Beuglet questionne notre société et notamment notre façon d'utiliser toutes les technologies mises à notre disposition « pour nous simplifier la vie », versus l'abandon de notre anonymat, de notre vie privée, et notre habilité à socialiser avec l'autre, mais aussi des ressources de la terre que nous épuisons sans vergogne.

Le problème ne se situe pas dans le fait de soulever toutes ces problématiques bien légitimes. le souci c'est de sentir, et de TROP sentir l'opinion de l'auteur, tant et si bien que j'ai eu l'impression, à de nombreuses reprises, d'avoir affaire à du prosélytisme en règle. le seuil du simple thriller est pour moi dépassé, on entre dans un brûlot politique que je trouve extrêmement dérangeant et qui m'a mise vraiment très mal à l'aise. Je ne dis pas que l'auteur a tord sur toute la ligne, au contraire, il y a des points de vue que je partage, mais j'estime que ses idées ont pris le pas sur le thriller et que par extension, l'intrigue des enquêtrices se retrouve noyée sous des « théories conspirationnistes » que je pourrais largement assimiler aux « théories complotistes » telles que nous les avons connues durant la période covid.

Les auteurs et ouvrages cités à la fin du récit sont d'ailleurs très « encombrants » et laissent un énorme sentiment de malaise. À de nombreuses reprises, son propos et sa démonstration concernant par exemple les algorithmes, la dématérialisation, la 5G, la perte des libertés individuelles « Au point qu'un jour, on finira par se dire : au fond la liberté pour quoi faire », ou encore, à terme le renoncement aux acquis fondamentaux de la démocratie sont, de mon point de vue poussés à l'extrême. Je ne lisais plus un récit de divertissement, mais une thèse sur les opinions du citoyen Beuglet. Encore une fois, et j'insiste bien, je ne prétends pas affirmer qu'il a tort, je déplore simplement la fragilisation du récit de fiction au détriment de ses agacements/préoccupations personnels, trop présents, trop visibles, et trop développés. À maintes reprises, j'ai comparé « L'Archipel des oubliés » à « Impact » d'Olivier Norek qui lui aussi dénonce les failles de notre société sans qu'à aucun moment je n'aie senti cette force de vouloir convaincre à tout prix. Je vous recommande de prendre le temps de lire cet opus et de réfléchir à ce que Nicolas Beuglet y explicite. Ce n'est pas absolument pas dénué d'intérêt, au contraire. Il me semble simplement que ce n'était pas le meilleur support pour le faire. Faites-vous votre propre idée.
Lien : https://aude-bouquine.com/20..
Commenter  J’apprécie          333
Première lecture de Nicolas Beuglet avec cet audio livre des éditions Lizzie , découverte donc des inspectrices Grace Campbell et Sarah Geringën , l'une écossaise et l'autre norvégienne , aux personnalités différentes mais qui sont malgré tout complémentaires .
C'est toutes les deux qu'elles vont vivre des aventures les plus invraisemblables , assez rocambolesques à mon goût et puis arrive un moment où je commence à me poser des questions , trop , c'est trop pour moi , les complots , l'hôpital psychiatrique , la poursuite de l'homme sans visage , ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais .
Peut-être parce que je ne connais pas assez l'univers de l'auteur ?
Quoiqu'il en soit bilan de lecture très mitigé pour ma part , la fin a encore renforcé mon avis négatif .
Une lecture pas faite pour moi , ça arrive n'est ce pas.
Je dois néanmoins noter un beau point positif , j'ai beaucoup aimé la voix de la lectrice .
Une lecture #netgalley .
Commenter  J’apprécie          290
Dernier volet de cette aventure, où l'on découvre qui est "le Passager" et la troisième phase qu'il destine à l'humanité après la généralisation de la bêtise et l'instigation de la peur à tous les étages de la société. Ça ne fait pas un grand thriller sanglant et énigmatique mais les théories développées sont très intéressantes, comme des échos à nos préoccupations contemporaines, : écologiques, numériques, sur la surconsommation, le divertissement ou la culture, etc.
Mention particulière pour la bibliographie finale. Heureuses lectures à venir. Merci
Commenter  J’apprécie          282
Le dernier Nicolas Beuglet, le passager sans visage, m'avait consterné. Lorsque j'ai eu la possibilité de lire cet Archipel des oubliés, j'étais fermement décidé à abandonner à la page 70, si le contenu en était aussi surréaliste.

Mais Beuglet sait écrire un thriller, il a su me faire passer un début alambiqué à base de maison isolée dans la lande écossaise, fantôme et inévitable femme fragile se révélant une dangereuse psychotique.
La première partie du livre partait dans le décor (écossais), la suite s'améliore lorsque les deux héroïnes l'Ecossaise Grace Campbell et la Norvégienne Sarah Geringën se retrouvent en Norvège, puis dans une île isolée. Cela reste énorme, peu crédible, mais les sujets et problématiques abordés méritent le détour.

Au final, l'ensemble reste excessif, peu ancré dans la réalité, mais avec des thèmes intéressants et quelques scènes d'action bien décrites. Cet Archipel des oubliés qui suit immédiatement le passager sans visage lui est considérablement supérieur.
Commenter  J’apprécie          260
Dans ce dernier roman de la trilogie, l'inspectrice écossaise Grace Campbell, l'héroïne principale, venait de croiser la route de l'inspectrice Sarah Geringën, celle de l'autre trilogie (deux trilogies, ça fait une sexologie ? mdr).

Ça promettait d'allumer le feu parce que nos deux inspectrices n'étaient pas des neuneus ! Elles sont badass et, telles des James Bond au féminin, rien ne leur fait peur, elles enchaînent les cascades, même avec un bras cassé !

Verdict ? le début est canon, mené tambour battant, on ne s'ennuie pas, les mystères sont bien présents, l'adrénaline pulse et l'angoisse monte. Normal, nous avons suivi nos deux inspectrices vers un manoir égaré dans les brumes d'Écosse où vit une étrange bonne femme.

Ce que j'ai toujours apprécié, dans les romans de cet auteur, c'est qu'il frappe là où ça fait mal.

Après qu'Olympe ait fait en sorte de niveler par le bas (ce qui se passe réellement dans nos sociétés, sauf pour certains), ôté l'esprit critique des gens (des moutons sont plus faciles à manipuler pour envoyer à l'abattoir) et de jouer avec les peurs des gens pour faire mieux les contrôler, la phase 3 était le suspense insoutenable !

"Après avoir abruti les peuples pour leur ôter l'esprit critique dans sa phase 1, après les avoir terrorisés dans sa phase 2 pour mieux les contrôler, la phase 3 consiste à [NO SPOLIER]...".

Ambiances anxiogènes au possible, le roman me collait aux mains et j'ai eu du mal à le poser tellement le récit pulsait et que je voulais savoir.

L'écriture est simple sans être simpliste, elle est nerveuse et l'auteur ne prend pas des gants : il trempe sa plume dans l'encrier des dénonciations et il balance (le 5G inutile, les datacenter immenses, les clouds qui bouffent de l'énergie, le tout au numérique qui consomme et qui a une empreinte carbone énorme,…).

Des vérités, rien que des vérités, hélas. Au travers de son roman, l'auteur s'appuie sur des faits de sociétés, sur des thèmes qui nous sont contemporains, ce qui ancre ses récits dans la réalité. Bref, il est engagé.

On a le nez dans la merde, je ne le nierai pas et effectivement, si nous continuons de la sorte, l'iceberg devant nous va faire couler le navire sur lequel nous nous trouvons et il n'y aura pas assez de canots de sauvetage pour tout le monde (uniquement les premières classes, les plus fortunés). Je dirais même plus : on a déjà pris l'iceberg dans la gueule ! La maison brûle et nous sommes dedans !

L'auteur dénonce aussi les médias, les journalistes qui ne prennent pas la peine de recouper leurs informations, qui balancent tout et n'importe quoi pour faire le buzz, pour être lu, pour que leur feuille de choux soit la plus lue (mais rien n'a changé depuis des siècles).

Le pire étant que les journaux appartiennent maintenant à des groupes industriels, à des grands patrons du CAC40 et qu'ils soient tributaires des pubs, perdant de ce fait leur indépendance. Si l'un d'eux veut dézinguer une ou plusieurs personnes, le journal a ce pouvoir et dans le roman, c'est bien illustré. Avant que tout ne parte un peu en capilotade…

Ben oui, on était bien parti et puis, boum, on a pataugé dans la panade avec une évasion spectaculaire, avec l'entrée d'une vieille légende dans le récit, à tel point que j'ai pensé que je lisais un roman fantastique ! Non, je n'ai rien contre le fantastique, la SF ou l'anticipation, mais là, dans le roman, ça clochait tout de même, rendant bancal la suite.

Ce qui m'a le plus gêné, c'est à nouveau l'opposition entre une puissante société qui veut le Mal (avec une puissance énorme) et un groupe qui ne veut que le Bien (et qui n'est pas sans ressources non plus). le manichéisme, c'est bien beau, mais dans la littérature (comme dans les films, séries), ça coince tout de même. J'aurais apprécié plus de nuances.

J'ai cru à un moment donné que les nuances allaient arriver, on aurait pu les toucher du doigt dans une confession, mais non, peau d'zob, pas de nuances dans les méchants et les gentils, si ce n'est un méchant devenu un gentil…

Dans ce que nous assène l'auteur, à travers les paroles de certains des personnages, j'ai eu l'impression que c'était une leçon que l'on nous donnait. Cela ne me gêne pas du tout de recevoir des leçons, elles peuvent être bénéfique et je suis toujours à l'écoute, mais il y a la manière de le dire…

Là, j'ai eu la sensation que ceux qui écoutaient les belles paroles véridiques (les inspectrices et nous, lecteurs et lectrices), étaient des enfants qu'il fallait convaincre, des gosses à qui le prof fait la leçon.

Et leur esprit critique, il compte pour du beurre ? Là, ce n'étaient pas des bons conseils, c'était à limite du prosélytisme.

Je ne sais pas si je dois mettre cela sur le compte de l'auteur ou sur le compte de ce personnage, qui, malgré ses belles paroles, a un côté un peu hypocrite (faites ce que moi je dis, pas ce que le méchant fait), dénonçant chez son ennemi Olympe un comportement qui est ancré en lui aussi, même s'il le fait différemment, avec la meilleure volonté du monde (et l'enfer est pavé de bonnes intentions, nous le savons).

Si je partage ses points de vue, je n'apprécie pas trop la manière dont il nous les fait passer. Par contre, je suis intéressée par ses conseils de lecture, en fin d'ouvrage.

Anybref, malgré ce petit malaise avec cette leçon qu'on nous donne et le côté fantastique qui surgit d'un coup, le reste est de bonne facture et cela donne un thriller qui pulse, qui ne vous laisse pas bâiller d'ennui et des personnages féminins assez forts, même si on a du manichéisme dans les méchants/gentils.

Ces défauts ne seront pas rédhibitoires si vous n'y attachez pas d'importance ! Ou si vous voulez un thriller qui vous emporte loin dans l'aventure.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          230
Dernier opus de la trilogie écossaise, comme dirait Peter May.
Grace Campbell, inspectrice au Commissariat de Glasgow, se remet doucement de sa confrontation avec le Passager.
Sarah Geringën, inspectrice à Oslo, la rejoint dans son enquête. Ensemble, elles vont former le plus implacables des duo avec un unique but: mettre fin aux agissements de la multinationale Olympe, qui oeuvre à l'avènement d'une nouvelle société, ultra numérisée et connectée, une société tellement dématérialisée qu'elle n'aura plus besoin des individus. Mais pour cela, il faut avant tout convaincre ceux-ci … ou les forcer.
Ce dernier volume de la trilogie permet aux deux héroïnes de se rencontrer alors qu'elles étaient toutes deux enquêtrices dans des séries différentes: c'est super sympa de les voir travailler en tandem, avec détermination et de les voir se compléter aussi simplement et efficacement. le polar (thriller???) Est entièrement fondé sur des faits de société (l'avènement du numérique, l'abrutissement de masse, etc.) dont Nicolas Beuglet exploite les conséquences à leur maximum. C'est efficace et très très effrayant… parce que sans nul doute, pas si éloigné que ça de la réalité. Quand on suit l'actualité, on peut se demander quand un certain milliardaire trumpiste et récent propriétaire d'un réseau social en aura l'idée… effarant je vous dis!
Commenter  J’apprécie          200
Ce titre fait suite au roman le passager sans visage. Les deux enquêtrices de Beuglet rejoignent l'Ecosse sur les traces des horribles projets de l'affreux mégalomane. le début est bien fait, très angoissant. Ensuite, j'ai trouvé cela assez farfelu. On ne sait pas trop si on s'en va sur de la science fiction. le fin mot de l'histoire est tiré par les cheveux.
Commenter  J’apprécie          181
Ce n'est pas la première fois que je commence une trilogie par le dernier volume… Oups !
Le nom de Nicolas Beuglet me disait vaguement quelque chose mais je n'avais encore rien lu de lui ; aussi ai-je sauté sur l'occasion, proposée par Lizzie via Net Galley, de découvrir L'Archipel des oubliés sans savoir que ce roman clôture une série de trois livres consacrés à l'inspectrice écossaise Grace Campbell.

Un tandem d'enquêtrices aux personnalités opposées et aux caractères bien trempés qui allient force et félures : Grace Campbell et Sarah Geringën. Cette dernière est aussi une héroïne récurrente chez Nicolas Beuglet.
Un méchant particulièrement machiavélique qui menace l'humanité tout entière, rien que ça !
Des décors particulièrement propices à l'imaginaire : un manoir isolé, le Loch Ness, les brumes écossaises et le froid norvégien…
Une intrigue foisonnante dans laquelle je me suis parfois perdue sans avoir forcément ressenti le besoin de revenir en arrière pour m'y retrouver. Les péripéties s'enchaînent et se recoupent, certaines difficilement plausibles si le pacte de lecture n'a pas été totalement accepté…
Dans cette version audio, la voix de la narratrice, Valérie Muzzi, un peu rauque et voilée, porte bien le récit et colle parfaitement à l'atmosphère générale.

Je ne sais pas si je lirai le dernier Message et le Passager sans visage… Je reconnais que, même si L'Archipel des oubliés peut être lu indépendamment des tomes précédents, il m'a manqué quelques tenants et aboutissants pour profiter pleinement de ma lecture… Ma PAL étant vertigineuse, je ne promets rien et puis, très honnêtement, l'envie n'est pas vraiment là.
L'Archipel des oubliés est un excellent thriller qui aborde des problématiques très actuelles et provoque des réflexions préoccupantes. C'est bien écrit, addictif, captivant, mais, à l'instant où je l'ai audio-lu, ce roman ne m'a pas entièrement convaincue. Allez comprendre !

#LArchipeldesoubliés #NetGalleyFrance

Lien : https://www.facebook.com/pir..
Commenter  J’apprécie          120
En choisissant "l'Archipel des oubliés" j'ignorais que ce livre était le troisième tome d'une trilogie dont l'héroïne principale était Grace Campbell. Dés le premier chapitre l'auteur introduit dans l'histoire Sarah Gueringën, personnage que je venais de rencontrer dans "Complot".  

Les deux inspectrices constatent rapidement qu'elles ont un objectif commun : arrêter le mystérieux "passager" à la tête de la multinationale Olympe dont l'objet est de modeler l'avenir de la civilisation sa convenance au détriment du bonheur des peuples. 

Leur enquête va les conduire dans une forêt en Écosse , elles y découvrent un manoir isolé où demeure une femme énigmatique. Puis ne s'étant pas fait que des amis elles se retrouvent internées dans une hôpital psychiatrique d'où elles s'évaderont grâce à l'aide d'inconnus. Leur périple les conduit ensuite au Loch Ness, puis dans l'archipel de Saint-Kilda et enfin sur l'île de l'Ascension dans l'Atlantique Sud. Leur périple n'aura pas été une promenade de santé : violence, peur, angoisse sont hyper présents.
Dans le dernier chapitre Grace vient se reposer quelques jours chez Sarah, en Norvège pour préparer, sans doute, de nouvelles aventures en duo.
Les réflexions développées par l'auteur sur l'avenir sont intéressantes mais peut-être prennent-elles trop de place dans un simple thriller ?
Ne pas avoir lu les deux premiers tomes de la série est sans doute la raison pour laquelle je n'ai pas vraiment apprécier la lecture de cet ouvrage (impression que je n'ai jamais rencontrée dans d' autres séries).
Commenter  J’apprécie          110
Comme tous les romans de Nicolas Beuglet , "L' archipel des oubliés" plonge le lecteur dans une histoire échevelée , aux nombreuses péripéties, sans aucun temps mort .
Mais cette fois-ci , avec moi , la mayonnaise n'a pas pris .
J'ai trouvé l'intrigue très fumeuse et je n'ai pas trouvé l'histoire aussi captivante que les précédentes .
A mes yeux , "Le cri" et "Complot" restent les meilleurs romans de l'auteur .
Commenter  J’apprécie          100




Lecteurs (2505) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2871 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}