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Premier roman de cet auteur pour moi. La couverture de ce roman m'a attirée, ce beau papillon aux couleurs magnifiques au -dessus de ce corps replié. Et le nom de l'auteur qui revenait dans différents groupes de lecture. J'avais peur que ce soit un roman trop sanglant mais dès les premières pages, j'ai été prise dans l'histoire qui est pourtant assez particulière.

Ce personnage d'Elise qui est malheureuse et torturée par le drame qu'elle a vécue et qu'elle vit encore. Ce roman est un véritable puzzle dont le lecteur dispose, dés le départ, de toutes les pièces qui se mettent en place au fur et à mesure, sous la plume de Matthieu Biasotto, et ce jusqu'à la dernière ligne.

Je ne peux en dire plus sans dévoiler l'histoire. Un premier coup de coeur pour 2018. Je le recommande vivement et vais poursuivre la découverte de la bibliographie de Matthieu Biasotto.
Je remercie Neneve pour l'une de mes "pioche dans ma PAL" de 02/2018.
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Ayant pris l'habitude ces derniers mois d'entrecouper mes lectures issues de l'édition traditionnelle avec des lectures d'auteurs indépendants, je me suis laissé tenter par ce premier titre de Matthieu Biasotto parce qu'il semblait disposer d'une notoriété importante dans le milieu indépendant et que j'étais curieux de voir ce dont il était capable. Comme j'ai eu de très bonnes surprises et même découvert de véritables talents parmi les indés, j'abordai cette lecture en toute confiance.
Et, je dois le dire, je suis tombé de haut.
D'abord, sur la forme : il demeure de nombreuses coquilles (souvent des omissions de mot), des passages entiers sont dans une typographie plus petite que le reste du livre. Lorsqu'on s'exclame (ce qui arrive souvent), un point d'exclamation ne suffit pas, il en faut deux, voire trois ou quatre. Il en est de même avec les points d'interrogation lorsqu'on s'interroge, d'ailleurs. Et le mélange des deux est assez usité, comme dans une BD. Les majuscules d'imprimerie sont utilisées à tout bout de champ, dès qu'un personnage insiste ou gueule, ce qui arrive là-encore souvent. Un paragraphe entier en MAJ ? Ça ne l'arrête pas.
L'auteur ne se sent pas concerné par la concordance des temps. Il passe du passé au présent et du présent au passé à chaque instant, plusieurs fois par paragraphe, voire dans une même phrase, et c'est extrêmement perturbant.
Le style tourne très souvent à la rafale ininterrompue de phrases de 3, 4 ou 5 mots. Très souvent nominales, les phrases, ce qui peut aller presque jusqu'au style télégraphique.
Sur le fond, ensuite. le livre n'est pourtant pas bien long, mais beaucoup de pages sont dépensées à nous répéter des choses que l'on sait déjà ou que l'on a forcément devinées, et à nous dire des choses parfaitement inutiles ou évidentes. Mention spéciale pour les textos que les personnages s'envoient, que l'on va retrouver texto, c'est le cas de le dire, en encadré s'il-vous-plaît. Idem pour le texte du billet de train SNCF (!) qu'un personnage va prendre, idem pour le rapport détaillé d'autopsie qui n'apporte strictement rien à l'histoire.
Les approximations techniques également sont légion, et font désordre dans un polar : par exemple, la victime meurt le matin, dès l'après-midi son autopsie a déjà eu lieu et le rapport est prêt. Et pour la deuxième victime, une nouvelle autopsie a lieu pour une victime d'un accident de voiture, à un moment où le lien entre cette victime et le suspect n'est pas connu, l'auteur le dit bien. Or, on n'autopsie pas en principe les victimes « ordinaires » d'accidents de la circulation.
On touche le fond, et cela a déjà été souligné dans d'autres critiques, sur la relation entre le capitaine Tourrié et sa subalterne, le lieutenant Sanchez.
« Sa peau en éveil. Ses sens à l'affût des moindres gestes de son supérieur. Elle est sa chose. Elle est le feu, il est sa glace. Elle est liquide, il est solide... » (sic)
Donc la policière en pince pour son chef et cela semble réciproque, au point qu'elle s'aventure à lui faire une petite gâterie dans la voiture, sur un parking, ce qui lui vaut de se faire jeter. Ils vont jouer au chat et à la souris ainsi quelques temps, tout en continuant brillamment leur enquête, comme ici :
"Sanchez ouvre la porte avec un coup de pied violent" (... puis, trois lignes plus loin...) "Sanchez porte son index aux lèvres pour indiquer à son capitaine de rester silencieux" (sic)
Il faut préciser qu'ils débarquent tous flingues dehors dans la chambre d'hôpital du mec parce qu'ils pensent qu'il risque de tuer une fille, Élise. On le sait depuis longtemps, puisque l'auteur nous a fait le coup de l'idée fulgurante et du rodéo en bagnole pour essayer de la sauver.
Et donc après avoir défoncé la porte, Sanchez demande à son capitaine de faire silence, braque son flingue sur le lit qui est... vide.
Et là, le capitaine s'écrie :
– Elise ! P***** ! Il va la tuer !
Ou là :
« Elle plonge dans la voiture [sérieusement ? La tête la première ?]. Met le contact et pulvérise la pédale d'accélération. » [Ah zut, ça c'est moche. On aurait dû lui expliquer qu'elle était Robocop et que sa jambe d'alliage pesait 1500 kg. Va falloir qu'elle y aille à pied maintenant !]
Sanchez l'amoureuse transie va encore se faire jeter une ou deux fois, faire quelques crises d'hystérie, menacer de démissionner (!), laisser entendre à ses collègues qu'elle a fricoté avec le capitaine (!!), avant que, finalement, il ne l'emmène chez lui dans le noir, n'allume la lumière et lui dise :
- Voilà, bienvenue chez toi Stéphanie ! (en fait je t'aime depuis le début, nianiania, la dernière qui est entrée ici c'est ma femme, nianiania, mais elle m'a quitté depuis 15 ans !)
De toute évidence, notre capitaine a absolument tout compris à la psychologie des femmes. Et l'auteur aussi, vu qu'en plus, ça marche !
La fin relève un tout petit peu le niveau, avec un chassé-croisé entre le présent et le passé qui explique certains détails qui nous avaient échappé sur le coup. Sans être révolutionnaire, c'est plutôt bien pensé et cela permet de raccrocher à peu près les morceaux du puzzle d'une intrigue qui n'est somme toute pas forcément mauvaise, mais quand même ultra-classique, et surtout très malmenée par les nombreuses scories susdites.
Le seul léger moment d'empathie que j'ai eu aura finalement concerné les coupables, et la raison pour laquelle ils ont mis en oeuvre toute cette machination.
Pour parachever le tout, on introduit le surnaturel, mais sans la moindre explication à la clé, et le tout finit en énorme queue de poisson.
L'auteur nous donne quelques explications dans sa postface sur sa façon de voir les choses, et j'ai notamment retenu celle-ci :
« Mon écriture est accessible et je l'assume. »
Un joli euphémisme que voilà, en fait. L'écriture des collégiens est « accessible », elle aussi, mais ils n'ont pas la prétention de la vendre.
En conclusion, l'auteur pourrait sans doute faire du Marc Lévy, à condition de bénéficier d'une armée de correcteurs pro, ce qui doit être le cas maintenant puisque je me suis laissé dire qu'un éditeur venait de s'emparer de lui.
Et en tout état de cause, laisser en ligne quelque chose d'aussi inabouti est, pour moi, une faute inexcusable pour quelqu'un qui a l'ambition d'être un écrivain professionnel.
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Cette histoire est intense et poignante, elle commence par un drame; Elise traverse une période difficile, elle doit assister aux funérailles de son frère. Elle va alors être plongée au coeur d'une enquête palpitante et va être confrontée à de multiples péripéties : "Elle assistera aux funérailles seule sous la contrainte de sa famille et prendra le train pour la rejoindre à Nice. A bord du convoi, sa vie bascule, un terrible accident menace le destin de centaines de voyageurs et elle est la seule à pouvoir tout arrêter". Ce bouquin a vraiment tous les ingrédients d'un bon thriller. Cependant, à moins d'une erreur de ma part, je suis un peu frustrée par la fin qui n'explique pas vraiment l'intrigue; le pourquoi, le comment? ainsi que l'aspect un peu mystique abordé par l'auteur.
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L'histoire débute 6 mois auparavant. Elise, trentenaire, est en voiture avec son frère Eric et son fiancé Julien qui est au volant, quand tout à coup le drame… l'accident. On ne sait pas ce qui s'est passé. Eric est dans le coma tandis que Julien et Elise sont sains et saufs.

Mais 6 mois plus tard, Eric décède. le deuil est insurmontable, destructeur pour le couple Julien-Elise. Pour se rendre à l'enterrement, Elise doit prendre le train. Sa cousine Rachel l'accompagne puisque Julien n'est pas le bienvenu… Les parents d'Elise ne lui ont jamais pardonné la mort d'Eric.

Des petits éléments bizarres apparaissent, comme le collier qu'Elise avait perdu lors de l'accident 6 mois auparavant… Ce qui est intriguant.

Durant le trajet en train, Elise se réveille soudain paniquée et se met à courir pour arrêter le train. Elle pense qu'il va y avoir un terrible accident… mais rien ne se passe. A l'exception près que Rachel, la cousine d'Elise, est retrouvée morte sur son siège.

Une enquête policière est alors ouverte. Tous les éléments accusent Elise et pourtant c'est loin d'être cohérent. Les 2 policiers en charge de cette affaire vont donc tenter de démêler tout ça. On voit un début de relation amoureuse entre Etienne, le commissaire et Stéphanie, le lieutenant. Je ne voyais pas quel intérêt il y avait à cela avant que je comprenne qu'ils sont aussi personnages principaux. On peut sentir une petite lenteur à la moitié du roman à cause de cela. D'ailleurs, je m'étais bien attachée aux personnages d'Elise et Julien, j'ai trouvé dommage de ne plus les suivre ensuite. Mais au fur et à mesure, j'ai fini par apprécier les 2 policiers.

L'enquête se poursuit et c'est intriguant, c'est même prenant à la fin car on sent que le rythme s'accélère. On commence à constituer progressivement le puzzle. C'est plutôt bien réfléchi. Cependant, la touche fantastique n'était pas nécessaire, je la trouve un peu faible, pas assez exploitée… Si l'auteur en était resté au thriller/policier, ça aurait été très bien comme ça.

La fin, je l'ai trouvé un peu trop rapide. le suspense me tenait en haleine et hop c'était fini… alors que certains éléments de l'histoire n'ont pas tous été élucidés, ce qui est dommage. Concernant le collier d'Elise qui réapparait par exemple, je ne vois pas d'explication et l'auteur nous en donne même pas… (sauf erreur de ma part).

Je tiens à préciser aussi que le format ebook de ce roman est bourré de fautes de ponctuation, d'oublis de mots etc. Je pense que la relecture a été bâclée, ce qui est vraiment dommage.

Pour conclure, j'ai tout de même bien apprécié cette lecture. J'ai passé un bon moment à réfléchir sur l'enquête en compagnie de ce duo de policiers amoureux. Je suis curieuse de découvrir les autres romans de cet auteur.

Lien : http://bookaddict.e-monsite...
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Tout débute par un drame, qui a meurtri toute une famille dont l'héroïne présumée. Si j'utilise ce terme, c'est parce que la demoiselle n'est pas la seule à être au coeur de ce roman. D'autres personnages vont graviter autour d'elle afin de résoudre une enquête simple, mais qui va rapidement démontrer que les apparences ne sont pas toujours celles qu'on croit.

Pour être honnête, je n'ai pas accroché à cette histoire conventionnelle avec une issue, à laquelle j'ai moyennement adhéré. Pourtant l'idée est bonne, je dois l'avouer, mais elle n'a pas tout simplement pas fonctionné avec moi. En même temps, j'ai eu du mal avec les personnages du lieutenant et du capitaine. J'ai trouvé qu'ils manquaient de saveur, je n'ai pas cru à leur relation trop vue et revue et du coup cela ne m'a pas aidée à les apprécier.

Par contre, j'ai été sensible à Elise. Au départ, j'ai eu envie de la gifler, mais sa souffrance était compréhensible. Elle a fini par m'amadouer au même titre que Julien. Ils ont été des motivations suffisantes pour m'inciter à aller au bout de leur histoire malgré une intrigue dont les rebondissements ne m'ont pas réellement surprise. le mobile ne m'a pas étonné, j'ai même été plusieurs fois agacée par la lenteur des inspecteurs à le saisir. Après, c'est vrai, qu'ils n'avaient pas forcément tous les éléments pour le comprendre... ou presque.

Si le fond ne m'a pas totalement conquis, la forme ne laisse pas insensible. Je ne suis pas une fan des descriptions. Elles sont la cause de longueurs à mes yeux, mais je dois reconnaître qu'elles sont joliment tournées, ce qui aide à faire passer la pilule par moment. Clairement, l'auteur a une plume intéressante, et je pense que les amateurs de descriptions seront comblés à ses côtés. Il y a aussi quelques coquilles qui traînent et qui m'ont sortie de ma lecture. Après elles n'ont pas été aussi nombreuses que certains ouvrages édités.

Bref dans l'ensemble, je dirai qu'un Jour d'Avance bénéficie d'une bonne idée à la base. Dans sa réalisation, elle sombre malheureusement dans le cliché de certaines situations, qui auraient sans doute été plus acceptables si le duo de policiers ne m'avait pas insupportée. Néanmoins, je le classe au-dessus de certains ouvrages lus et édités, ce qui me pousse à le conseiller car il a des qualités, qui mérite qu'on s'y attarde et que l'on encourage cet auteur à écrire d'autres histoires.
Lien : http://encore-un-chapitre.bl..
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Elise et Julien sont heureux en couple mais tout bascule le jour où ils ont un accident de voiture .Ils s'en tirent mais Julien le frère d' Elise meurt après 6 mois de coma .Elise ne s'en remet pas malgré le soutien de Rachel son amie . Elle s'appr^te à se rendre à Nice pour les obsèques sans Julien qui n'est pas le bienvenue car il conduisait la voiture . Une fois dans le train , tout dérape ; il y a un mort , Elise devient comme folle....
C'est un peu déroutant car on a du mal au début à faire le lien entre le jour d'avance et le jour même mais c'est un bon moment de lecture
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Après mon immense coup de coeur pour « EWA » du même auteur, j'ai voulu découvrir d'autres livres de cet auteur.

Ce livre qui est le premier de l'auteur, il me semble (ceci explique peut-être cela) m'a beaucoup moins emballée. Pas d'attachement pour les personnages. J'ai parfois été perdu dans l'espace-temps, une histoire un peu tirée par les cheveux sur certains points et il y a beaucoup de répétitions ainsi que pas mal de coquilles.

J'ai trouvé la relation entre le capitaine et son lieutenant très improbable. Plusieurs passages m'ont fait lever les yeux au ciel. J'ai eu l'impression qu'elle servait au remplissage du livre et vu la relation on aurait pu s'en passer.

D'ailleurs, j'ai trouvé dommage qu'il y est énormément d'incohérences, sur de nombreux faits,

Exemple:
Les enquêteurs savent (c'est dit par l'auteur) que le tueur va s'en prendre à Elise, où vont-ils en premier ? Dans la chambre du tueur pour la trouver vide. Quelle réaction ? « putain il va tuer Elise... » effectivement, on le sait depuis pas mal de pages déjà...

Tourrié, le capitaine quitte la chambre 1010 pour se rendre dans la 1610 et il ressort plus tard de la 1010... Allez comprendre.

Et des incohérences comme ça, le livre en est truffé.


Heureusement que l'histoire en elle-même ainsi que le dénouement relèvent un peu tout ça, même si beaucoup de questions restent sans réponses.

En résumé, cette fois, c'est une grosse déception...
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Nouvelle lecture de l'excellent Matthieu Biasotto, ce livre est déjà paru il y a un moment...

Dès le départ, nous rentrons dans le vif du sujet, les pages défilent à une vitesse folle...

Nous retrouvons Élise à l'aube de l'enterrement de son frère, elle traverse une période délicate, sous traitement, son couple

en péril, rien ne va s'arranger...

Soudain le drame, l'accident, elle va se retrouver au coeur d'une enquête...

J'ai passé un très bon moment, les personnages sont particuliers et pourtant attachants pour certains...

J'ai compris la vision des choses de certains personnages, que ferions nous si cela nous arrivait ? Que ferions nous par

amour ?

La plume est fluide, addictive, le puzzle se met progressivement en place, la fin est spectaculaire...

Je vous recommande ce roman cet auteur que j'affectionne particulièrement, je pense que vous êtes déjà au courant lol.
Lien : http://leschroniquesdestia.e..
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Pardonnez moi mais j'ai été fortement déstabilisé par ce roman que j'ai abandonné à plusieurs reprises. Il est extrêmement fatiguant de rester concentré quand l'auteur se moque éperdument de la concordance des temps dans le même paragraphe, voire dans la même phrase. J'ai eu l'impression qu'il avait lui même décroché fréquemment pour faire autre chose puis avait repris l'écriture sans tenir compte du contexte au moment de la rupture. Pourtant l'intrigue et l'articulation du roman sont intéressantes.
Elise vient de perdre son frère dans un accident de voiture dont elle a également été victime. Celui qui conduisait n'était autre que son futur époux et meilleur ami de son frère. Les relations du couple sont donc tendues entre eux au moment où elle prend le train avec une amie pour se rendre à une cérémonie en hommage de son frère. Lors de ce voyage en train, tout va basculer, elle va se retrouver accusée de meurtre et un couple de policiers va tenter d'y comprendre quelque chose et d'éviter que la situation ne dégénère.
La concordance des temps n'est pas la seule embûche semée par l'auteur, il y a aussi des incohérences de cadre espace-temps pour fluidifier le récit. En effet les policiers se déplacent d'un endroit à un autre dix fois plus vite en voiture qu'en train. Et je souhaite bon courage à ceux qui parviendront à reconstituer la chronologie des événements.
Enfin pour couronner le tout, l'idylle entre la jeune policière et son supérieur est plus que caricaturale au point de m'avoir fait sourire. Certains passages auraient pu être lus par Dany Boon dans son sketch sur la collection arlequin.
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