La crêperie des petits miracles

Je crois que si cette histoire ne s'était pas passé à St Malo, je n'aurais pas mis le nez dedans , j'étais un peu septique sur cette autrice et même si ce roman tranche avec celui que j'ai déjà lu d'elle, les grosses ficelles m'ont empêchée d'adhérer totalement à l'histoire...
Adéle a abandonné sa carrière de cuisinière au Bristol , a fui Paris et lorsqu'on fait sa connaissance , elle est serveuse dans une crêperie à St Malo. Sa patronne et amie, souhaitant partir à la retraite, veut lui léguer l'établissement à une seule condition, qu'elle se remette à cuisiner, le fils d'un ex-petit-ami perdu de vue depuis plus de trente ans, sera co-héritier et devra gérer les finances de la crêperie.
Mais Arnaud Langlois est un riche homme d'affaire et n'a aucun lien avec ce monde professionnel.
Pour apprécier cette histoire , il va vous falloir vous asseoir sur la vraisemblance et maintes fois, je fus agacée par les coïncidences heureuses trop nombreuses, sur l'impossibilité des événements. Une comédie romantique , ce n'est pas la foire à la facilité, et au grand n'importe quoi, les autrices devraient respecter un minimum leurs lectrices . Qu'une commerçante lègue son bien ( qui est je le rappelle son passeport financier pour une retraite tranquille) à la petite fille d'une amie, c'est un scénario bancal. Qu'elle le lègue au fils de son ancien amour de jeunesse, qu'elle ne connaît pas, c'est n'importe quoi ...
Que le co-héritier soit un riche homme d'affaire, beau gosse, qui a pile l'âge de sa future associée, elle aussi canon, c'est facile...
Qu'il soit blindé, puissant etc, c'est tellement 50 Nuances de Grey... tellement cliché...
Que l'autrice pense que pour tenir une crêperie, il faut deux personnes, dont un homme d'affaire, qui vient au secours de la pauvre petite jeune femme, tellement créative qu'elle ne comprendra rien à l'aspect financier, c'est tellement macho, tellement idiot. On attend des auteurs qu'il se renseignent un minimum quand ils écrivent un livre sur la profession des personnages, qu'ils rendent ça réaliste . Elle en a fréquenté beaucoup des crêperies la Emily Blaine ? Bienvenue dans le monde réel ...
L'héroïne qui, avant de tomber en dépression face au premier obstacle professionnel, était tellement ambitieuse et talentueuse qu'elle a publié trois livres de cuisine, et qui se retrouve serveuse, on n'y croit pas... Mais ça arrange l'autrice puisque ça lui permet de la mettre dans les bonnes grâces de sa future belle-fille, la fille de Arnaud Langlois, qui comme par hasard adore faire des pâtisseries et la reconnaît tout de suite, vu qu'avant de sombrer dans l'anonymat, elle était vachement célèbre...
Et elle ne se contente pas de cuisiner divinement bien, la Adèle, elle sert aussi d'écrivain public à des copines , lesquelles sont illettrées ? Elle conseille une amie infirmière qui veut devenir styliste à Paris. On est dans le multi-talents, et surtout dans le grand n'importe quoi professionnel.
Seule la relation qu'entretient Adèle avec une amie hospitalisée, en attente de greffe, a sauvé cette histoire et a permis que j'aille jusqu'au bout. Leur histoire d'écrire des lettres aux cinéastes et acteurs pour demander des fins de films, différentes et moins tristes, est très jolie, très "poétiquement "désespérée, et tendre.
Ça, et la pluie bretonne qui ne mouille pas, m'ont fait sourire .
Dommage, que ce roman ne soit pas plus nuancé et subtil. Emily Blaine a du potentiel, c'est dommage qu'elle cède aux sirènes de la facilité.

Comme chaque année, je viens de lire la dernière romance d'Emily Blaine (un peu de douceur dans ce monde de brutes) et comme chaque année, j'ai passé un agréable moment. C'est toujours un petit bonbon sucré et acidulé avec des héros hauts en couleur (souvent que tout oppose, code de la romance oblige) et qui finissent par se trouver. Dans ce dernier opus, l'autrice utilise la même recette mais prend davantage le temps d'installer ses personnages dans leurs environnements respectifs avant d'initier La Rencontre : celle d'Adèle, cuisinière et d'Arnaud, financier. Elle greffe d'autres histoires en parallèle où l'amitié, comme d'habitude, a la part belle. C'est bien sûr léger, mais avec ce qui faut de sujets plus graves pour enrichir le récit (la maladie notamment). Pas de surprises, une lecture détente réussie. Merci à Netgalley et à l'éditeur pour l'envoi. #Lacrêperiedespetitsmiracles #NetGalleyFrance

Lire Emily Blaine on sait qu'on va passer un bon moment grâce à sa plume fluide et rythmée. Les personnages sont assez attachants.
L'histoire est assez simple, la romance va un peu rapidement mais bon on ne lit pas de romance pour le côté réaliste.
Partie d'un grand restaurant suite à un burn out, Adèle s'est réfugiée dans une petite crêperie. Sa propriétaire pour la secouer lui offre la crêperie en l'associant à un parfait inconnu, fils d'un ancien amour. Autant dire qu'aucun des deux ne s'attendait à un tel legs.
Un puissant homme d'affaires pour aider cette jeune créatrice, une association rapide ,une histoire un peu trop clichée. Les ficelles sont un peu grosses, les coïncidences trop faciles. Néanmoins une mention spéciale à son amie en attente de greffe, ses lettres à des personnalités pour protester contre les fins des films sont très drôles. Un personnage très touchant dont j'ai aimé suivre l'histoire. Sans doute mes passages préférés du livre.

Adèle a quitté la vie parisienne et la pression de son travail dans la cuisine d'un très célèbre restaurant.
Elle a mis le cap sur Saint-Malo. Voilà maintenant 3 ans qu'elle occupe un poste de serveuse dans une crêperie. Sa nouvelle patronne, Joséphine, triste de la voir gâchée son talent va lui donner un petit coup de pouce pour qu'elle se remette à cuisiner.
Elle lui fait un beau cadeau mais pour que celui-ci se concrétise, Adèle va devoir retourner à Paris, convaincre un investisseur. Une rencontre qui sera déterminante pour son avenir.

Après une lecture bouleversante, je cherchais une lecture légère sans prise de tête. J'ai trouvé la lecture qu'il me fallait. La Crêperie des petits miracles est une comédie romantique qui offre un agréable moment de détente.
Le style est fluide, les personnages sympathiques. Même s'il n'y a pas vraiment de mystère et que la fin est prévisible, cette lecture offre une pause divertissante avec de jolies touches d'humour et de romance.
Lien : https://orlaneandbooks.wordp..

J’aime beaucoup l’idée de départ de l’autrice, à savoir suivre une ancienne cuisinière parisienne, devenue serveuse après son burn-out, dans son nouveau quotidien en Bretagne. Si personne de mon entourage n’a fait de la cuisine son métier cela reste une activité que nous partageons en famille, préparer des bons petits plats pour petites ou grandes tablées. On retrouve cet esprit de générosité chez l’héroïne, Adèle, un personnage positif et bienveillant.

Trois ans se sont écoulés depuis qu’elle a fui les cuisines des restaurants huppés de Paris et le stress quotidien de la capitale et si, jusqu’ici, Joséphine, sa nouvelle patronne et amie, l’avait laissé prendre ses marques tranquillement, c’est désormais terminé.
Pour elle, il n’y a pas de doute, Adèle est faite pour cuisiner et reprendre sa crêperie. Bientôt vient l’ultimatum : la reprise ou la fermeture définitive des lieux.
Joséphine a tout prévu, léguer sa crêperie à Adèle et à Adrien Langlois, petit-fils de son premier amour défunt, devenu un homme d’affaire émérite. Ce qu’elle n’avait pas planifié, c’était l’attirance immédiate entre eux...

L’idée est bonne, le décor romantique et pluvieux à souhait mais je ne sais pas, j’ai trouvé tout cela un peu lent. On s’arrête souvent sur les nombreux doutes d’Adèle, de façon peut-être trop régulière au point de « casser » le rythme du livre.
Adrien me semblait un peu trop arrogant et macho pour que je m’attache vraiment à lui au départ mais l’autrice est parvenue à me le rendre sympathique au fur et à mesure de ma lecture.
Si l’histoire d’amour ne m’a forcément emballé, j’ai beaucoup aimé l’amitié entre Adèle et Elisa, leur façon de se soutenir dans tous leurs projets, même les plus fous, les rend terriblement attachantes.

Un roman feel-good divertissant donc, que je recommande à ceux qui cherchent une jolie histoire d’amour mais surtout une belle histoire d’amitié.

Histoire qui démarre de manière fort sympathique, ce qui me permet d'aller jusqu'à la moitié du livre et là, je commence sérieusement à décrocher.
la manière d'écrire est pourtant fouillée et on ressent bien les états d'âmes des personnages mais que se passe t'il lorsque Adèle notre héroïne du roman, de discrète à presque effacée devient subitement du jour au lendemain une femme glamour, sûre d'elle et drague ouvertement... la transformation est trop brutale et ça fait « fake » du coup.
Le scénario aussi m'est devenu un peu abracadabrant, je ne suis pas sûre de terminer ma lecture de ce livre.

Je viens de clôturer ce roman et… Mouais…

Ce n'est pas le premier roman que je découvre de cette écrivaine et je n'avais déjà pas adhéré aux précédents.
Mais j'ai voulu tenter une nouvelle fois, celui-ci étant dans ma PAL depuis un bon moment maintenant !

Adèle est une femme détenant une carrière de renom dans le milieu culinaire.
Après quelques déceptions, elle décide de complètement arrêter la cuisine.
Elle se retrouve donc serveuse dans une crêperie de Saint-Malo.

Joséphine, la propriétaire, n'a plus qu'un souhait : partir à la retraite et profiter pleinement de sa vie.
Et c'est ainsi qu'Adèle se retrouve co-héritière du restaurant avec Arnaud Langlois, homme d'affaires et petit-fils de son ancien amour de jeunesse.

Autant le dire : ce roman s'approche plus d'une fiction tant l'histoire est improbable, bancale, complètement absurde, parfois.

À de nombreuses reprises, je me suis dit "comme par hasard".

C'était une histoire douce, tendre mais vraiment trop improbable pour l'apprécier complètement. J'ai, fréquemment, levés les yeux au ciel tant j'ai trouvé tout cela "cucul".
J'admets que ce roman ne me laissera pas de grands souvenirs.

Jolie romance qui se passe entre Paris et Saint-Malo.
Comme beaucoup de livres de ce type, l'histoire en soi n'est pas extraordinaire mais elle fait le job.
Certes on est sur le schéma narratif basique d'une romance :deux êtres que tout oppose tombent amoureux, puis se séparent et finissent par se rendre compte qu'ils sont tout l'un pour l'autre. Cela donne une lecture sans surprise mais sans déception non plus.
On passe un bon moment de lecture car les personnages principaux sont attachants même s'il y a des tonnes d'incohérences dans l'histoire.

Gros bémol pour l'image de la Bretagne. Le texte ne parle que d'une région pluvieuse et venteuse, et d'une crêperie dans laquelle on ne sert pas de galette et crêpe.

Après un burn-out, Adèle a quitté Paris pour être serveuse dans une petite crêperie de Saint-Malo. Mais Joséphine la propriétaire, décide de lui léguer l'établissement à condition qu'elle retourne derrière les fourneaux... Et qu'Arnaud Langlois devienne son associé ! Et ce ne sera pas une mince affaire de le séduire... Euh, pardon, convaincre !

Petit feel good classique qui séduira les fans du genre ! Une bonne dose de romance, 400 pages de personnages et situations attachantes, une tasse d'humour, une pipette de larmes, une giclée d'espoir, un gros soupçon de cuisine, et hop, voilà la recette miracle de ce petit roman qui se laisse lire sans difficulté, sans grande surprise non plus.
Pour les fans du genre, les envies de s'évader, les nostalgiques des films de Noël quand ce n'est pas Noël... !
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J'apprécié toujours l'écriture de cette autrice, c'est fluide, les personnages sont bien décrits et nous pouvons nous identifier à leurs émotions.
Dans cette histoire j'ai apprécié avoir le point de vue des 2 personnages principaux: adèle ancienne cheffe de brigade devenue serveuse dans une crêperie et Arnaud le PDG en plein divorce.
Par contre j'ai trouvé leur histoire d'amour peu crédible, ils tombent amoureux à la première rencontré en moins de 10 minutes!
Cela ne m'empêchera pas de lire d'autres de ses livres