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4,14

sur 617 notes
- Ubi est Burke Dennings ?
- Mortuus
- Quomodo mortuus est ?
- Inventus est capite reverso
- Qui occidit eum ?

... Je suis le diable !

Le Père Karras doute de sa foi, la victime Regan est choisie au hasard et sans défense devant la furie des ténèbres et sa mère, une athée aux prises avec des problèmes maritaux.

Voilà un livre, qui durant ma lecture, m'avait littéralement possédé jusqu'à m'exorciser sur la dernière ligne droite. L'aspect le plus impressionnant dans ce fabuleux récit, c'est bel et bien la qualité, la densité et la prose
de l'auteur, choquant de réalisme, terrifiant, tranchant comme un rasoir et bouleversant jusqu'au plus profond de l'âme. L'ensemble des personnages est parfaitement cohérent et bien étoffé. Avec ce filon, il a produit un classique que tous les autres auteurs du genre aspirent à égaler
depuis sa parution, il y a maintenant 45 ans. L'horreur de la possession démoniaque et ses propres faits, sont terriblement efficace. Cette oeuvre majeure de la littérature d'horreur qui a marqué les esprits a eu un impact immense sur plusieurs décennies. L'adaptation mondialement célèbre est, quant à elle, toujours aussi diaboliquement époustouflante après tant
d'années mais perd effectivement un peu de sa richesse au niveau de la saveur psychologique et mélodramatique, contrairement à la finesse de la plume et les vers de ce cher Monsieur William P. Blatty. Ce que je veux dire, c'est que le livre ne pouvait pas rivaliser avec la perfection visuelle du
film et le film lui-même, ne pouvait pas (pour des raisons évidentes) se rapprocher du roman, par exemple en imprégnant la puanteur telle qu'elle l'est décrite dans l'intrigue. En outre, le dialogue est beaucoup plus osé et plus obscène à travers ces pages plutôt que derrière la caméra du talentueux réalisateur : William Friedkin. Un autre aspect du roman qui a été complètement coupé et qui est quasiment (ou presque) absent dans
l'oeuvre cinématographique, c'est la profondeur et la description détaillée sur le culte satanique et les pratiques du sacrilège effectuées pendant des messes noires. Il est vrai qu'il est assez difficile de départager ces deux oeuvres tant elles sont saisissantes et à la fois inoubliables.
Pour les amateurs de sensations fortes, laissez Pazuzu prendre possession de votre corps, car ce roman est sans réserve, sans mélange et sans égal un véritable joyau, un chef-d'oeuvre diablement génial et indispensable à lire. Un grand classique.

Dominus Vobiscum...
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CLASSIQUE

Que ce soit au cinéma, ou en littérature de genre, il s'impose comme un classique, cet ouvrage, et je pense que depuis sa parution (en 1971) il a traversé des générations, sans perdre en notoriété (il en aurait même gagner ?)

Me concernant, cet ouvrage m'as fait aimé, dès le plus jeune âge la lecture épouvante, horreur, fantaisie sombre, L'exorciste, Dracula, La littérature classique offre beaucoup de choix et de valeurs sures, lorsque vous voulez découvrir un genre littéraire.

Concernant l'histoire, il y a du suspense, de la noirceur, on veut détourner les yeux et continuer à lire en même temps, c'est glaçant, et dégoutant
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L'auteur en fera lui-même l'adaptation en script pour le film de Friedkin sorti en 1973.
L'histoire est dans le titre.
Blatty fait à travers ces 2 oeuvres la démonstration de son talent sachant tirer profit au mieux de ces 2 mediums. Si le film, pour des raisons de dramaturgie, tourne essentiellement autour de l'exorcisme en lui-même, l'image profitant mieux de cet esthétique macabre. le livre, lui, s'attarde plus sur l'apostasie du Père Karras et à la place laissée au spirituel dans un monde soumis aux lumières scientifiques et au rationalisme.
J'ai beaucoup apprécié le style et l'écriture, de ces phrases constituées parfois d'un seul mot. Ça claque, c'est âpre.
Livre et film sont 2 oeuvres éminemment violentes qui choquent par leur transgression mais Blatty sait garder cette violence au service de son récit. Il n'est jamais complaisant avec celle-ci.
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J'ai commencé ce livre sans m'attendre à grand chose, depuis ma chambre d'hôpital, l'ennui me poussant à chercher un peu d'adrénaline dans un roman d'horreur. J'avais beaucoup entendu parler de l'adaptation cinématographique de l'oeuvre, mais n'étant pas une grande fan de films, je ne l'avais jamais regardé.

Quel choc! Cette lecture s'est avérée l'une des plus belles de ma vie.

L'auteur joue avec notre esprit sceptique et celui de ses personnages principaux: une actrice athée et un prêtre désillusionné. Lorsque Regan, adolescente de 12 ans sans antécédent psychiatrique, se met à parler seule avec un compagnon de jeu imaginaire suite à des séances de oui-ja, sa mère, l'actrice célèbre Chris MacNeil ne s'inquiète d'abord pas. Sa fille est sûrement déboussolée par le divorce en cours de ses parents, recherchant la compagnie d'une figure paternelle imaginaire. Une explication rationnelle est trouvée à chaque phénomène étrange survenant dans la maison: les coups frappés au grenier sont sûrement causés par des rats, les objets qui disparaissent ou sont déplacés doivent être l'oeuvre de sa fille en quête d'attention.
Les phénomènes se multipliant et Regan perdant progressivement tout moment de lucidité, les protagonistes s'entêtent à vouloir trouver des explications rationnelles, semblant plus aptes à recourir aux élucubrations les plus absurdes qu'avouer la possibilité intolérable que Regan soit possédée.

Mais aucun spécialiste n'est en mesure de trouver d'explication rationnelle à l'état de la jeune fille, et le lecteur voit s'insinuer le doute dans son esprit en même temps que les protagonistes: sommes-nous bien sûrs que la science explique tout? Les exorcismes d'Anneliese Michel au XXème siècle étaient-ils bien juste une erreur de jugement face à un cas de schizophrénie? Ou bien... Y-a-t-il d'autres choses que nous ignorons?

Le style de l'auteur est poétique, poignant, les mots sont choisis avec une finesse proche de la perfection. Les personnages sont attachants, et l'intrigue ficelée avec une telle maîtrise qu'il est absolument impossible de lâcher le roman. Je suis encore toute secouée de ma lecture, et ne peux que la recommander.
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Pour fêter dignement Halloween, Laure et moi nous sommes lancées dans la lecture (commune) de L'Exorciste de William Peter Blatty. J'imagine que comme moi, vous êtes nombreux à connaître l'intrigue grâce à la célèbre adaptation qui en a été faite dans les années 70 et qui est très fidèle à l'oeuvre d'origine (il faut dire que Blatty en était scénariste !).
Pour les autres, je vous invite à vous plonger dans cette histoire (si le genre vous intéresse évidemment), sur écran ou sur papier, car il s'agit à mon avis d'un classique de l'épouvante loin d'être inintéressant !

Tout semble sourire à Chris MacNeil – actrice renommée – et à sa jeune fille Regan qui s'apprête à fêter ses 12 ans. Malgré le divorce de ses parents, celle-ci semble être une fillette équilibrée, heureuse, curieuse, douce mais un peu réservée. La mère et sa fille vivent dans une belle maison bourgeoise de Washington en compagnie d'un couple de domestiques. Les journées passent, Chris est prise par ses tournages et les soirées mondaines, Regan sculpte, lit, dessine… et joue avec une planche de Ouija.
Au fil des semaines – et des mois – la jeune fille va commencer à changer. Au début, les changements sont subtils, c'est insidieux. Un regard, une façon de parler, une démarche. Des coups sont frappés dans sa chambre, il y fait parfois un froid glacial alors que le chauffage est allumé, les insomnies commencent… et puis tout se dégrade de plus en plus vite jusqu'à une totale transformation physique de la fillette, amaigrie, faible, plus du tout maîtresse de son corps.

Nous, lecteurs, nous envisageons la possession dès les premières lignes – parce que c'est ce que l'on s'attend à trouver en ouvrant ce livre – mais ce n'est évidemment pas ce à quoi pense Chris quand elle commence à percevoir un problème chez sa fille. Elle lui fait faire toute une batterie de tests chez de nombreux médecins… et j'ai vraiment beaucoup aimé tout cet aspect.
Parce que le livre nous fait douter sur quelques centaines de pages – aspect qui est beaucoup moins présent dans l'adaptation au cinéma, à mon goût – nous faisant nous questionner sur la santé mentale de la jeune Regan. Et si tout n'était qu'une question « psychiatrique » ? Et si la fillette réagissait simplement au divorce de ses parents de façon violente ? Et s'il était question de schyzophrénie, de dédoublement de personnalité ? Dans le film, très vite le spectateur est fixé et se tourne vers la théorie démoniaque ; là, je me suis vraiment demandée à plusieurs reprises et pendant un long moment si la science n'était pas la réponse à la question, car les explications données par les docteurs sont tout à fait convaincantes. J'ai adoré ce flou.

Une – voire deux – intrigues secondaires sont également mises en place dans ce roman : la première et la plus importante après la possession de Regan est celle qui a trait au prêtre Damien Karras qui connaît quelques soucis avec sa foi en Dieu ; et la seconde, plus anecdotique, s'attarde sur le passé trouble du couple de domestiques, passé qui semble être une piste intéressante pour l'inspecteur qui mène l'enquête dans le quartier (parce que, sans vouloir vous spoiler, la maladie de Regan aura des conséquences assez terribles pour plusieurs membres de son entourage).
Tous ces fils scénaristiques s'emboîtent bien mais il est clair que Laure et moi avons eu une préférence pour le fil rouge principal et donc toutes les scènes qui mettent la fillette en avant. Au début, les doutes et l'introspection du père Karras nous ont un peu ennuyées et puis, en avançant dans le livre, nous nous sommes rendues compte que tous ces paragraphes avaient leur intérêt et apportaient une nouvelle profondeur à l'exorcisme final.

Si ce livre s'est révélé si addictif, c'est aussi et surtout grâce à la plume de William Peter Blatty. Ne vous laissez pas démotiver par le prologue qui peut paraître un peu obscur, voire ennuyeux et qui ne revêt pas une importance immédiate quand vous le découvrez… surtout, poursuivez votre lecture !
Ayant déjà vu l'adaptation – à plusieurs reprises – j'avais très clairement les images en tête pendant ma lecture mais Laure – qui elle n'avait jamais vu le film – m'a assurée qu'elle n'avait aucun problème d'imagination et se représentait bien toutes les scènes. On vit donc l'histoire sans problème… ce qui peut angoisser un peu quand on pense au thème principal de ce livre. Rassurez-vous, si plusieurs passages sont fortement dérangeants – Regan tenant des propos et ayant des gestes particulièrement obscènes pour son jeune âge – on ne peut pas vraiment parler de peur à la lecture de L'Exorciste. C'est un peu angoissant parfois, souvent glauque… mais jamais vraiment terrifiant. le film m'a fait plus forte impression lorsque je l'ai découvert à 12/13 ans (l'horrible scène de la descente de l'escalier à l'envers…).

Je pensais ne pas trouver de valeur ajoutée au roman – connaissant déjà bien le film – mais force est de constater que je l'ai dévoré, complètement happée par l'intensité de cette intrigue. J'ai tourné les pages à vitesse grand -v, curieuse de redécouvrir les scènes clefs de l'adaptation et encore une fois, j'ai été fascinée par cette histoire étrange.
Lien : http://bazardelalitterature...
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Dès l'enfance, nous nous faisons imprimer dans notre esprit les parangons du bien et du mal ; dieu et le diable, l'ange et le démon, la lumière et l'obscurité etc. Il est alors intelligible que ce roman soit devenu un tel évènement culturel, capable de rejoindre et faire osciller autant de personnes. En donnant un nouveau visage au diable, sous la forme d'une abstraction considérée comme réelle s'exprimant à travers le corps d'une innocente enfant, Blatty a mis à jour tout le manège et usage entourant l'existence et les manifestations du diable.
il s'agit de l'histoire d'une jeune fille de douze ans, présentant les symptômes d'une maladie mentale, mais qui finalement s'avère possédée par un démon. Deux prêtres vont tenter de l'arracher à son destin effroyable en pratiquant un exorcisme.
, le livre est choquant de réalisme. On peut s'identifier facilement aux personnages principaux ; le père Karras doute de sa foi, un peu comme tout le monde ; la victime,L'enfant de 12ans Regan, est choisie au hasard et est sans défense devant la furie des ténèbres ; sa mère Cris est athée et aux prises avec des problèmes maritaux
ce roman est terrifiant, tranchant comme un rasoir et bouleversant jusqu'au fond de l'âme. L'ambiance lourde et envahissante
Enfin a' conseiller aux amateurs de frissons diaboliques
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N'ayant encore pas vu le film j'ai eu la chance de pouvoir découvrir l'exorciste sans que le livre puisse souffrir - ou non - de la comparaison.

J'ai été très agréablement surpris par ce livre : malgré ses 560 pages dans l'édition Robert Laffont que je possède, c'est un véritable page turner, l'écriture de William P. Blatty est très fluide.

J'ai lu que certains avaient pu être déçus par le manque d'effroi que le livre leur aurait procuré. Je ne leur donne pas tort (même si je ressens de toute façon rarement de la peur en lecture) mais je ne pense pas ce que soit en ça que ce livre est intéressant.
En effet, j'ai bien plus été emballé par l'aspect "enquête" et incertitude que par les ressorts horrifiques : que se passe-t-il exactement ? Est-ce vraiment un cas de possession ? Comment "soigner" Regan ? Est-ce seulement possible ? Tout au long du livre, on vit les questionnements de Damien Karras, l'investigation parallèle de Kinderman, les inquiétudes de Chris, et c'est en ça que réside l'intérêt de L'exorciste.

J'aurais bien attribué la note maximale mais j'ai néanmoins trouvé que la fin était un peu vite expédiée, surtout au regard de tout le travail de construction de l'intrigue qui a été fait auparavant.
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Sans grande surprise, j'ai beaucoup aimé. Je ne savais pas avant qu'on me l'offre qu'il y avait un livre sur l'exorciste. Et cette couverture est juste magnifique.

Alors oui j'ai adoré, cependant je n'ai pas du tout eu peur. Je pense avoir ressenti la même chose en visionnant le film. Mais quelle aventure ! Ça m'a fait drôle de le refermer et de quitter ces personnages attachants, surtout le père Karras que j'ai trouvé touchant.

Si comme moi vous êtes un(e) fanatique de livres d'horreur, il est primordial de posséder ce petit bijou dans votre bibliothèque.

Ayant vu le film déjà 2 fois (la deuxième fois était l'année dernière avant halloween) j'ai été un peu déçue de ne pas avoir eu plus d'informations dans le livre. D'habitude les livres possèdent des scènes en plus, ou plus ou moins différentes. Là j'ai juste eu l'impression de revoir le film à l'identique.

Ça n'empêche pas que c'était une super lecture et que j'ai beaucoup aimé. Je ne vais pas résumer l'histoire car je pense que tout le monde la connaît plus ou moins.
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J'ai retrouvé l'exemplaire de l'exorciste il y a 2/3 mois et j'ai décidé de le relire. En effet, j'ai vu le film à l'âge de 15 ans et j'en suis ressortie avec un malaise très profond et tenace et une peur bleue. Puis à la fac' j'ai lu le roman. J'avoue que depuis l'expérience de l'exorciste film, je n'ai jamais autant flippé et ne me suis jamais autant sentie très, très mal à l'aise avec un film d'horreur. Je trouve les films de ce genre en fait assez plats à côté de l'exorciste. Seuls des films comme le projet Blair witch ou le 1er Paranormal acitivity ont suscité de l'angoisse et du stress car à la différence de l'exorciste ce sont des films qui jouent beaucoup sur les non-dits, le stress, le côté "vrai ou confusion de l'esprit". Mais pas de peur comme l'exorciste non plus et ce côté psychologique très particulier.

Alors le roman ! Quand je l'ai lu j'avais encore les images du film dans la tête donc je mentirai si je disais que je n'ai pas eu des frissons à certaines pages. Mais soyons honnête je trouve le film largement plus réussi car il nous évite les digressions du Père Karas et va à l'essentiel. Dans le roman, les doutes, les questionnements du prêtre sont plus développés et plus présents. Dans le film c'est écourté, le spectateur est renseigné direct sur ces questions et réflexions intérieures et passons à la chose sérieuse, le cas Regean.

La qualité narrative n'est pas extraordinaire. Et si je n'avais pas vu le film avant, je pense que j'aurais eu quelques difficultés à visualiser le retournement de tête à 360° de Reagan par exemple. Car bien que bien expliqué...ce n'est pas non plus la description d'enfer (sans jeu de mot).Ou encore comme dans le film, notamment la version originale, W.Friedkin a fait doubler L. Blair dans les scènes de dialogues avec le malin par une actrice des années 40 à la voix rongée par l'alcool et le tabac sur laquelle il a ajouté des effets de studios d'enregistrement...outre le fait que Reagan parle toutes les langues qu'on veut, cette voix on ne l'entend pas dans le livre donc l'effet polyglotte et maléfique pas palpable.Pas très parlant (pas de jeun de mot non plus).

Donc un livre qui se lit mais sans plus. On n'est pas en lévitation. le film est plus réussi. Car en fait, le livre réclame le côté visuel et audio. Et il faut dire qu'il a été tourné par un réalisateur de talent W.Friedkin qui a su se débarrasser des détails inutiles et de rendre ce qui est vaguement flippant dans le livre comme quelque chose de terrifiant. Car justement il a saisi que les aspects visuels et auditifs ont une importance précise dans l'histoire. Et en plus il a fait jouer le rôle de Reagan à une ado' du même âge que le personnage et l'a rendue très choquante dans ses postures, ses propos, ses saloperies au-delà du maquillage et des effets spéciaux.

En relisant le livre, je n'ai pas eu la même sensation qu'il y a...le moment n'a pas été désagréable mais sans plus.

Maintenant lire le livre pour voir et si vous avez vu le film, fatalement pour comparer.
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Roman de William Peter Blatty qui inspira (et mérite plus d'attention) le film de William Friedkin. Si le film est un thriller, le roman; lui, suit une progression qui peut pleinement se justifier et met en scène des personnages secondaires dont le rôle a été ou bien massacré ou bien complètement ignoré dans le film. le roman s'avère aussi plus étoffé, plus riche en aperçus divers portés sur la mentalité américaine. En outre, le style imagé de l'auteur ne manque pas de lyrisme.
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