Elle parlait aux fleurs

Elisa a perdu son mari, elle essaye depuis, de remonter la pente et d'affronter le quotidien et elle y arrive plutôt bien. Lui manque plus que l'amour qu'elle va peut être combler auprès de Thomas.
Gros problème avec la quatrième de couverture et le contenu du livre. le mari s'appelle Hervé et non Didier et il n'est pas mort d'un cancer mais a été victime d'une chute sur un chantier (peut être que ce problème est seulement dans les livres du service presse, à vérifier)
Janine Boissard aborde dans son nouveau roman plus ou moins succinctement différents thèmes comme la fin de vie, la protection de l'environnement et des animaux, le droit des femmes, l'amitié, la relation amoureuse…
On est enveloppé dans l'univers fleuri avec au début du livre: « Pois de senteur. Répétez à mi-voix en détachant les syllabes et imaginant les couleurs : blanc, rosé, mauve, pourpre pour les plus audacieux. Savez-vous que le pétale supérieur du pois de senteur s'appelle « étendard » ? Et « ailes » les deux plus fins qui l'enserrent ? Que le pistil est son organe de reproduction ou l'abeille plonge sa trompe, en aspire le nectar, l'entrepose dans un jabot et le transporte précieusement jusqu'à la ruche où les ouvrières le mélangent à leur salive afin de le transformer en miel ? Oui imaginez. Ne vous sentez vous pas déjà un peu mieux ? Plus léger ». Nous finissons par une fin toute en délicatesse également : « Guidée par les humeurs du ciel, les caprices du soleil, le doux ruissellement de la pluie, le bourdonnement des abeilles, le chant des oiseaux, ma main verte, mon inspiration, mon amour tout simplement. Petite goutte d'eau dans la mer, petite goutte d'eau dans le désert, j'oeuvrerai. Qu'en pensez vous mes belles, mes filles, mes soeur, ma respiration, mo raison d'être, mon plus grand bonheur, ma vie? »
Vous l'aurez compris Janine Boissard revient une nouvelle fois avec une histoire plein de tendresse et une fin positive.

Voici mon retour de lecture sur Elle parlait aux fleurs de Janine Boissard.
Elisa, 27 ans, a perdu son mari Hervé, victime d'un accident.
Seule avec deux enfants, elle ne peut compter sur le soutien de ses parents, trop modestes pour l'aider.
C'est Thomas, le frère aîné de Hervé, qui l'aide financièrement. Ainsi Elisa peut-elle élever ses enfants sans crainte du lendemain, s'occuper de son jardin, sa passion, et travailler pour une association humanitaire.
Une vie somme toute bien remplie mais à laquelle il manque l'essentiel : l'amour.. qui pourrait bien être combler par un proche.. même si la belle-mère d'Elisa, surnommée « Folcoche », ne l'entend pas du tout de cette oreille..
Elle parlait aux fleurs est un roman sympathique mais au départ j'ai eu du mal à accrocher car il y avait un souci avec le résumé officiel (qui n'est pas celui ci).
On nous expliquait que le mari d'Elisa se prénommait Didier, qu'il était mort d'un cancer.. et cela ne collait pas !
Bref, il y avait de réels erreurs entre le résumé officiel et le contenu du livre ! J'ai eu du mal à comprendre une telle bourde mais bon, une fois la surprise passée j'ai plongée dans ma lecture.. d'où je suis ressorti un peu déçue.
J'adore l'autrice Janine Boissard depuis des années (plus de 30 ans !), mais je trouve ce roman en dessous de ses écrits habituels.
J'en suis d'ailleurs navrée car j'ai lu une grande partie de ses romans et je l'adore.
Mais ici, j'ai trouvé ça trop classique, prévisible. En fait, je me suis un peu ennuyée.
C'est sympathique, vite lu.
Par contre je n'ai pas trop accroché avec les personnages, à commencer par Elisa qui m'a paru fade. Pas désagréable mais je n'ai pas eu trop d'intérêt à la suivre.
J'ai bien aimé Thomas, et encore sans plus. Quand à "Folcoche" on aime la détester :)
C'est classique, tout simplement. C'est vraiment ce qui pêche pour moi, le manque de surprises.
Tout à fait dans la série des vite lu, vite oublié !
Elle parlait aux fleurs plaira surement à certains fans de l'autrice mais je suis peut-être devenue un peu plus exigeante en vieillissant, je ne sais pas !
Avis mitigé donc, je mets la note de trois étoiles.

Je ne suis pas forcément une grande fan des romans de Janine Boissard, mais comme elle est souvent plébiscitée par les critiques et mise en avant par les médias, je retente à chaque fois de lire ses dernières sorties. Malheureusement, l'étincelle d'intérêt ne prend jamais avec moi.

Dans Elle parlait aux fleurs, notre protagoniste Élisa, vingt-cinq ans, perd subitement son mari et se retrouve seule, avec leurs deux enfants. Un drame qu'elle va devoir affronter la tête haute, aidée par le frère de son défunt mari, toujours présent pour l'épauler et la consoler, donnant tout l'amour et la tendresse suffisante aux deux enfants du couple. Avec simplicité, émotions et beaucoup de temps, Élisa va apprendre à se relever, à reprendre goût à la vie, parfaitement bien entourée de personnes aimantes, à qui elle doit beaucoup.

Janine Boissard nous livre une histoire tout en douceur et en tendresse, où l'on voit une famille touchée par le drame, qui va trouver le temps et le courage nécessaire pour continuer à avancer, malgré les nombreuses épreuves distillées sur leur chemin. L'histoire est agréable à lire, on passe assurément de bons moments de lecture, reposants, parfois inspirants, pleins de vie, d'amour et de positivité. Malheureusement, bien que ma lecture fût sympathique sur le moment, elle n'était pas forcément intemporelle, ce qui signifie qu'une fois la dernière page refermée, l'histoire s'est complètement évaporée de mon esprit. Après réflexion, les personnages sont quelconques, aucune caractéristique ne les différencie les uns des autres et n'en font des héros à part entière, ou des protagonistes dignes d'entrer dans les mémoires. L'histoire est également assez banale, plutôt plate, sans rebondissement, avec seulement une succession de scènes de la vie quotidienne qui s'enchaînent sans nous marquer.

Elle parlait aux fleurs est une histoire douce, tendre, sympathique à découvrir sur le moment, mais qui s'évapore très rapidement. Les personnages et l'intrigue content des pans de vies simples, sans caractéristiques spécifiques qui les différencieraient des autres histoires. Un roman agréable à lire, mais vite oublié.
Lien : https://analire.wordpress.co..

Avant de commencer, je voudrais vous faire part d'un petit souci. Il y a quelques petites différences entre la quatrième de couverture et l'histoire que j'ai découverte par la suite. En effet, dans le résumé, Elisa vient de perdre son mari Didier d'un cancer foudroyant alors que dans le roman, elle est veuve depuis le décès d'Hervé, mort dans d'autres circonstances. Page 200, on parle vaguement d'un cancer, sur une ligne. de quoi laisser perplexe ! J'ai tenté d'avoir des réponses que je n'ai malheureusement pas encore obtenues. Affaire à suivre.

Lorsqu'Elisa et Hervé se rencontrent, c'est l'évidence. Ils ne viennent pas du même milieu (ce que la mère d'Hervé ne manquera jamais de faire remarquer) mais cela importe bien, ils se complètent. Leur couple se forme, deux enfants naissent et chacun trouve sa place dans cette petite famille. Jusqu'au drame qui fait d'Elisa une veuve à seulement vingt-cinq ans. Dans cette triste situation, elle pourra compter sur l'aide de Thomas, le grand frère d'Hervé, qui sera d'une bienveillance et d'une tendresse inégalables envers cette famille.

C'est une jolie histoire que l'autrice nous offre ici, pleine de bons sentiments mais écrite avec justesse, sans pathos. Avec parfois une vision un peu étriquée de la vie et des passages un peu maladroits mais je préfère mettre ça sur le côté pudique et l'éducation réservée de certains personnages. Les personnages s'apprivoisent, les histoires se créent et le tout dans un même but, aller mieux, reprendre goût à la vie.

Elisa élève seule ses deux enfants depuis le décès accidentel de son époux, Hervé. Lucas est âgé de huit ans et Pam a six ans. La jeune veuve est soutenue par Thomas, le frère de son mari. Rejetée par sa belle-mère, c'est grâce à lui qu'elle a pu conserver sa maison. Elle peut ainsi se consacrer à son foyer et prendre soin de ses fleurs. Elle organise alors dans un concours de jardins et s'investit dans une action humanitaire. Elle observe la vie de sa meilleure amie partir à la dérive. Avec simplicité, elle analyse les situations. Elle ne sait pas toujours de quelle manière réagir, se laisse souvent porter, mais elle est toujours présente, lorsque les faits l'exigent. Elle aime l'harmonie et les relations apaisées, mais elle doit composer avec les blessures de son entourage. Malgré son deuil, elle reste ouverte au bonheur et attentive aux autres.


Malgré les obstacles qui jonchent l'existence d'Elisa, Elle parlait aux fleurs est un livre doux, dans lequel une grande part est accordée au dialogue et à l'entraide. C'est un livre agréable à lire si nous acceptons de nous laisser porter. le style est vivant, nous sentons que Janine Boissard aime ses personnages et les gens.


Avant de commencer ce livre, j'avais peur qu'il ne me corresponde pas. Hélas, mes craintes étaient fondées. En 2020, j'avais lu Puisque tu m'aimes et si j'avais apprécié l'aspect détente de ma lecture, des éléments m'avaient gênée. J'ai, cette fois, été encore plus dérangée par ce que je qualifie d'incohérences. La principale concerne les enfants. Ils sont très jeunes, au début de l'histoire. Pourtant, dans la deuxième partie, ils sont très indépendants. Ils assistent au feu d'artifice, le soir (comme l'année précédente), alors que leur mère les attend chez elle. Ils sortent seuls avec des copains, etc. Il m'a semblé que le récit se déroulait, pourtant, la même année. Il ne me semble pas avoir vu d'indications temporelles suggérant qu'ils étaient devenus ados. J'ai, aussi, été surprise par l'insistance d'Elisa au sujet des difficultés financières de ses parents…


Quand j'étais adolescente, j'appréciais beaucoup les livres de Janine Boissard. Mes goûts ont évolué et Elle parlait aux fleurs ne correspond plus à mes attentes. Cependant, je suis certaine que de nombreux lecteurs seront ravis de plonger dans le quotidien d'une famille sympathique.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..

Elle parlait aux fleurs par Janine Boissard,, Éditions Fayard.

De Janine Boissard, je n'avais lu ( et relu) que la série des six premiers tomes de l'esprit de famille . J'ai eu la chance de rencontrer cette auteure 2 fois . Il faut bien dire qu'elle a encore une sacrée pêche ( je ne dévoilerai pas son âge mais vous pouvez chercher) .
Dans ce roman, Mme Boissard nous narre l'histoire d'Élisa, jeune femme devenue veuve , et qui se retrouve à devoir gérer seule sa vie quotidienne de mère de deux jeunes enfants sans travailler. Sa relation avec sa belle-mère n'est pas au top. Heureusement que son beau-frère est là pour la soutenir.
J'avoue avoir commencé à lire ce roman avec un enthousiasme débordant. Mais cela s'est très vite essoufflé. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. L'histoire ne m'a pas plus embarqué que cela. Il ne se passe pas grand chose. Elisa m'a agacé parfois.
Je n'ai pas retrouvé la plume de Janine Boissard que j'avais tant aimé dans l'esprit de famille.
Sans dire que je me suis ennuyée, je ne peux pas non plus dire que je me suis éclatée. Ce sera une lecture rapidement oubliée, j'en suis désolée.

Je remercie les éditions Fayard et #NetGalleyFrance pour la confiance que vous m'avez accordée en acceptant ma demande.

Née dans un milieu modeste, Elisa a rencontré Hervé, un jeune entrepreneur, sur le parking d'un supermarché: une vilaine chute et des prix promo les ont conduits au mariage. Une mésalliance que n'a jamais digérée la mère d'Hervé.

Quelques années et deux enfants plus tard, le sort s'acharne sur le couple et Elisa se retrouve veuve. Pour tenir le coup, elle peut compter sur la vitalité de Lucas et Pam et sur le soutien de son beau-frère. Son jardin l'aide également à oublier les soucis qui l'entourent: une parenthèse bienvenue.

Doucement parfumée de rose, une lecture efficace et positive, centrée sur le goût de la vie.
Lien : https://nahe-lit.blogspot.co..

Lecture 58 de 2023                
             
J'ai lu 𝓔𝓵𝓵𝒆 𝓹𝓪𝓻𝓵𝓪𝓲𝓽 𝓪𝓾𝔁 𝒇𝓵𝒆𝓾𝓻𝓼 écrit par Janine Boissard @janineboissard, publié aux Éditions Fayard @editionsfayard et disponible à partir du 19 Avril 2023.      
     
Tout d'abord, je tiens à remercier @netgalley et les Editions Fayard pour la découverte de ce roman.    
  
Je souhaiterais d'abord parler de la couverture de ce roman qui m'évoque le printemps, mais aussi la liberté. On voit cette femme qui est au milieu des fleurs, par une belle journée de printemps ou d'été. C'est d'ailleurs la couverture qui m'a d'abord attirée.
  
Dans ce roman, on parle d'Elisa qui a perdu il y a deux ans son mari à la suite d'un accident professionnel. Malgré cela, Elisa se relève et se bat pour vivre, entourée de personnes qui l'aiment et qu'elle aime.   
  
Parlons également de certaines choses qui m'ont perturbée dans ce récit. Tout d'abord, dans la description de Netgalley, ainsi que sur plusieurs résumés qu'on peut trouver sur Internet, Hervé est décédé à la suite d'un cancer. En effet, celui-ci est brièvement évoqué dans le récit sans que plus de liens ne soient établis. Et dans le roman, Hervé est victime d'un accident au travail.   
  
Ensuite, parlons un peu de Claude, la "meilleure amie" d'Elisa, qui a fait un pacte avec son compagnion. Etant tombée enceinte par accident, elle accepte alors d'avoir l'enfant sous conditions que ce soit lui qui s'en occupe, totalement. Ainsi, elle vivra longtemps avec son fils sans lui montrer aucun signe d'affection, aucune complicité. Cette situation m'a broyé le coeur.   
  
Bref, Janine Boissard signe ici un roman en demi-teinte pour moi. Mais peut-être en lirai-je un autre pour me faire un avis plus précis ?  
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Avec son nouveau roman à la couverture très printanière, Janine Boissard nous offre de suivre la vie d'une nouvelle famille face au deuil du père. Elisa se retrouve seule à élever ses deux enfants après la disparition de son mari Didier. Heureusement Didier avait un frère ainé, Thomas qui va apporter son soutien financier mais surtout une présence réconfortante pour tous les membres de la famille. Grace à lui, Elisa va pouvoir continuer à s'occuper de ses enfants, réaliser sa passion pour le jardin et apporter son aide à une association humanitaire. Tout se déroulerait parfaitement sans l'intervention maléfique de sa belle mère, surnommée « Folcoche » ce qui vous dresse un portrait peu amène de la dame. Petit à petit des liens se tissent entre Thomas et Elisa mais ont-ils un avenir ?
Un roman qui pourrait s'apparenter à la famille des  « Feel good » tant on se croirait dans le monde des bisounours. On y trouve de très belles lignes sur les plantes et les fleurs des jardins mais aussi sur l'amitié, celle qui se crée dès l'école et perdure à l'âge adulte. Les éléments négatifs, il y en a quelques uns sont très vite résolus au profit d'une réalité résolument optimiste. Un petit bémol cependant, pour une erreur de casting à l'intérieur du livre qui change le prénom du mari Didier en Hervé et donne deux versions différentes de la cause de sa mort, c'est perturbant et fait un peu désordre mais cela se dépasse.
C'était une lecture agréable avec pour thème, la perte d'un être cher, la nature et sa protection, l'immigration et le droit des femmes, la différence de classe sociale et l'amitié entre femmes et bien entendu le sentiment amoureux. On retrouve beaucoup de bienveillance dans les personnages d'Elisa et de Thomas . Un livre qui montre que les relations peuvent être belles entres les gens de bonne volonté. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..

Alors qu'Hervé et Elisa ont tout pour être heureux et vivre pleinement leur bonheur avec leurs deux enfants, Hervé meurt des suites d'un accident de travail. Pour Elisa, tout s'écroule. Mère au foyer passionnée de fleurs qu'elle cultive dans son jardin, l'avenir est bien sombre. Elle peut néanmoins compter sur Thomas, le frère de son mari, pour l'aider à surmonter ces moments difficiles et les attaques de "folcoche", sa belle-mère acariâtre, qui ne l'a jamais acceptée.
Comme toujours Janine Boissard m'a emporté dans son histoire dès la première page. L'héroïne est très attachante et on traverse avec elle toutes ces épreuves. le style de l'auteur, la bienveillance qui la caractérise, le choix de ses mots pour panser les maux, m'ont vraiment permis de passer un excellent moment de lecture. Continuez, Madame Boissard, de nous régaler de vos belles histoires, autant de baumes à l'âme. Vous êtes et resterez toujours pour moi, l'auteur qui sait le mieux raconter la famille.