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EAN : SIE185620_765
O.S.S. 117 (30/11/-1)
0.5/5   1 notes
Résumé :
Hubert Bonisseur de la Bath, ayant quitté la C.I.A. depuis plusieurs mois, se trouve à Trieste en touriste... II aura fallu qu'il rencontre au cours d'une bagarre la belle, la voluptueuse Olivia pour qu'il reprenne le collier à la satisfaction du Big Boss qui le faisait rechercher dans toutes les capitales. Beaucoup de bagarres avant de trouver le microfilm soi-disant caché dans la " cantine à Flora " et puis de l'amour et cette énigmatique Olivia qui avait décidé d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Mais qu'est ce qui m'a pris de lire un vieil OSS 117. J'aurai du m'en douter, moi qui m'attendais à un roman d'espionnage truffé d'humour et de dérision, un peu comme les film de Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin dans le rôle titre., le livre lui n'a rien à voir, il se prend au sérieux. Et qui dit vieille édition dit aussi vieille façon de pensée et propos rétrogrades. En effet ce titre est truffé de propos machistes, racistes et homophobes. La vison des femmes est insultante, soit elles sont bonne, blonde ou brune mais à forte poitrine, soit elles sont imbaisable et grosse et moche. Il est vrai que dans OSS117, son acolyte Peter Larne est un beau macho. il "connaissait deux moyens fort différents de faire parler une femme : lui faire l'amour ou bien la battre". ça donne envie de rencontrer le monsieur, non ?
Bref je vous le disais, ce titre est rétrograde, un brin patriarcale, machiste, son auteur à une vision binaire du monde, les bons et les méchants, les hommes dominants les femmes soumises ou démoniaque. Et c'est justement le cas ici. La méchante c'est une femme oui mais une femme fatale forcément. Bref j'ai pas franchement adhéré. A fuire
Lien : https://collectifpolar.com/
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Puis au moment où il allait être relâché, la chance, une fois de plus, avait servi Peter Larne.
Le téléphone avait sonné et le sergent avait pris la communication devant le détective. Peter avait compris que les agents laissés sur place pour fouiller consciencieusement l’appartement n’avaient pu découvrir la lettre-clé, mais avaient trouvé, en revanche, un testament récent écrit de la main de la victime, instituant comme légataire universelle une nièce nommée Julia Slender qui habitait en bas de la Huitième Avenue, tout près de Greenwich Village. L’héritage semblait être très important.
Peter avait allumé une cigarette, feignant n’avoir rien entendu. Ayant raccroché, le sergent Bill Hasten lui avait dit :
- Nous sommes obligés de garder James Arnacle ; les empreintes relevées sur l’arme du crime sont les siennes. L’analyse de l’alcool contenu dans la bouteille de bourbon trouvée dans la salle de bains n’a donné aucun résultat
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Peter Larne avait passé toute la matinée dans les bureaux de la police. Le sergent Bill Hasten l’avait interrogé longuement, essayant de savoir les raisons véritables de la présence de James Arnacle chez Mrs Brassy. Il lui semblait invraisemblable que le détective étant venu en adversaire, Mrs Brassy l’ait admis dans son lit sans autre forme de procès. Il avait aussi longuement questionné Peter sur l’appel téléphonique lancé par la victime quelques minutes avant six heures du matin.
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Le corps, en effet, paraissait avoir été au repos au moment où le coup mortel avait été tiré. Mrs Brassy avait demandé un secours immédiat et le silence avait suivi. Peter n’avait entendu aucune détonation et Brassy prétendait que le combiné du téléphone reposait sur son berceau lorsqu’il avait décroché, dans le salon, pour appeler a police.
Evidemment, il y avait dans tout cela quelque chose qui clochait. Quoi ? Bill Hasten essayait de la découvrir. Peter Larne également…
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Peter Larne connaissait deux moyens fort différents de faire parler une femme : lui faire l’amour ou bien la battre.
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Il dut la subir, honteux de la trahison de ses sens… Il venait de connaître une volupté dégradante. 
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