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2,75

sur 585 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Si vous voulez un bon guide touristique sur le pays De Caux et la ville de Rouen, achetez ce livre. C'est son unique intérêt. Je parle en connaissance de cause : c'est là où je vis.
Pour le reste ! concernant l'atmosphère, les personnages, le style, de tout ce qui fait un roman, vous pouvez passer votre chemin.
Soyons honnêtes ! Il y a quand même une intrigue. le professeur Roland Bergton, la cinquantaine flamboyante, et Paloma, jeune stagiaire au physique loin d'être ingrat, suivent les pas d'Arsène Lupin à la recherche d'un fabuleux trésor. Les voilà donc partis vers le célébrissime triangle Cauchois en Maserati décapotable (non ! ils ne roulent pas en Renault Clio.) afin de le dénicher. Un méchant au nom peu engageant de Martinez va tout faire pour les en empêcher.
Pour parvenir à trouver ce trésor normand, il faut déchiffrer un cryptogramme très compliqué concocté par le rusé Maurice Leblanc. Moi, à sa place, plutôt que de m'emmerder à faire un cryptogramme pour faire tourner chèvre les milliers de malheureux qui errent toujours à la recherche de ce fameux trésor, je l'aurais piqué et je me la serai fermée…
Donc ! entre deux agréables promenades champêtres sur les falaises d'Etretat, et un succulent diner dans une auberge pleine de charme, Roland et Paloma jouent au jeu des questions réponses pour déchiffrer l'abscons, le cabalistique, l'hermétique, l'ésotérique, l'énigmatique, en un mot le mystérieux cryptogramme.
Insupportable ! Les niaiseries de Paloma, et la condescendance de Roland qui, à chaque début de phrase l'appelle : belle enfant, belle colombe, jolie coeur, petite curieuse…
Je cite : « Peut-être… Allez, détendez-vous ma petite Colombe, on arrive bientôt à Étretat, je vous propose une première étape romantique. »
Pffff ! Et tout à l'avenant ! N'en jetez plus !
C'est au treizième « belle enfant » que j'ai craqué et refermé définitivement le livre.
J'espère un jour revoir de nouveau des touristes japonais errer Square Verdrel à la recherche de la maison où vivait en son temps Maurice Leblanc, le génial père d'Arsène Lupin (prononcez Arsèn Loupiiin).





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A mon humble avis, seuls les fans inconditionnels de Maurice Leblanc et à la rigueur les habitants du Pays de Caux seront capables d'apprécier l'intrigue de ce roman. Ne faisant malheureusement pas partie d'aucune de ces catégories , et malgré ma grande passion pour Michel Bussi, j'ai trouvé "Code Lupin" d'un ennui mortel et j'ai dû faire preuve d'une grande volonté pour le terminer (Bon, ok , j'ai peut-être sauté des lignes...). L'auteur a sans doute pour excuse le fait que ce soit son premier roman publié, un éditeur malin ayant détecté au milieu de ce fouillis le futur talent.

Dès le début du livre, les actions des personnages fictifs (Arsène Lupin) et des personnages réels (Maurice Leblanc) se sont mélangées dans mon esprit. Je ne distinguais plus les agissements de l'auteur de ceux de son héros (les deux étant les protagonistes du roman de Michel Bussi, je ne sais pas si vous suivez...). Je me suis noyée sous l'avalanche des dialogues incessants, l'énumération roborative des lieux m'a achevée. Cette journée sur les chemins de Normandie en compagnie de ce professeur et de sa jeune élève (aux relations tout de même assez troubles) m'a semblé ne jamais finir. J'hésite encore à classer ce roman dans les guides touristiques (à croire que Michel Bussi a été subventionné par l'office de tourisme local pour énumérer ainsi tous les sites à visiter) ou dans le catalogue de la bibliothèque recensant les oeuvres de Maurice Leblanc, mais sûrement pas comme un remake du "Da Vinci Code" (que j'ai adoré) version normande. Malgré le travail que ce roman a dû exiger en amont de l'écriture, cela reste pour moi une histoire totalement tirée par les cheveux à laquelle j'accorde péniblement un 3/20.
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Tout est dit avec le lien.
Le rappel intéressant est que c'est Maurice Blanc qui a inventé le personnage d'Arsène Lupin. L'intrigue bien entendu se déroule à Etretat et aux alentours, plusieurs petites villes que je connais. Un professeur et son étudiante vont élucider ou pas le fameux Code Lupin faisant références à plusieurs romans de M. Blanc.

Lu en novembre 2019 / Editions des Falaises - Prix : 9 euros.
Lien : https://images.buzzerie.com/..
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Arrivée presque à la moitié, j'abandonne. Je n'arrive pas à rentrer dedans. Les descriptions si belles dans "Nymphéas noirs", sont ici beaucoup trop nombreuses.
Je n'aime pas abandonner un livre, mais quand je lis un livre en pensant au suivant c'est pas bon signe.
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Avant tout je dois préciser que j'ai une connaissance assez modeste d'Arsène Lupin et plutôt correcte du pays De Caux évoqué ici. Cela a sûrement influencé ma lecture.
Cet avis n'engage que moi :
je vais essayer d'expliquer pourquoi je n'ai pas aimé du tout ce roman.
¤une certaine attente
Je connais Michel Bussi de réputation, je ne crois pas l'avoir déjà lu mais j'ai vu des adaptations TV de deux de ses romans que j'avais trouvées plutôt intéressantes.
Je suis venue à ce roman cherchant "un titre comprenant un prénom ou un nom de famille" (thème de notre club de lecture pour janvier 2022) tout en voulant découvrir un nouvel auteur dont j'avais entendu grand bien donc.
Le cadre normand m'attirait ainsi que le résumé de la quatrième de couverture que j'ai trouvé assez alléchant.
Plus grand était l'enthousiasme, plus grande fut la déception !
j'ai failli ne pas aller au bout : à la moitié j'étais saoulée, je m'ennuyais ferme. Pourquoi ?

¤ une écriture laborieuse et indigeste :
-j'ai trouvé que ce roman était une litanie de citations des romans d'Arsène Lupin, entremêlées à des descriptions rapides de sites cauchois, le tout entrecoupé de dialogues caricaturaux, très convenus, surjoués et finalement soporifiques.
-Ajoutons à cela toutes les petites appellations que le prof donne à son étudiante : "ma colombe", "mon petit génie", "ma douce", "mon impatiente" .... qui sont paternalistes, niaises et machistes. Pour les mal en verbe, vous pouvez vous constituer à cette lecture une belle collection de "mots doux" à tester, mais sincèrement je doute que ça matche ensuite !
- particularité de cette édition : carton rouge pour l'orthographe, grammaire, conjugaison dont la confusion ce/se et l'accord de participes passés qui n'étaient apparemment pas inclus dans la composition...

¤ une histoire qui ne tient pas debout ?
je trouve l'histoire très mal construite et pas crédible pour deux sous.
-elle est rocambolesque, cousue de fils bien trop grossiers et de hasards bien trop opportuns : une pièce d'or est trouvée, alors le professeur sort un dossier poussiéreux d'une pseudo-énigme appelée le "code lupin" sur laquelle il a fait de très nombreuses recherches depuis plus de 20 ans avant d'abandonner en désespoir de cause, et hop il se donne et réussit (!) finalement en 24h à résoudre l'énigme grâce à son étudiante qu'il trimbale d'un bout à l'autre du pays De Caux, en passant par tous les moyens de transports possibles grâce à tout son réseau de contacts. Il devrait jouer au loto, le monsieur, c'est magique !
-Surtout que comme par hasard, la demoiselle qui est une étudiante lambda en erasmus est finalement personnellement reliée au mystère ! Comme c'est opportun ! ou pour reprendre le moto de l'auteur "quelle coïncidence ! Ce n'est pas possible !"
-Chercher une énigme dans une énigme dans une fiction ou La capilotractation érigée en art ! C'est comme pour les complotistes : on ne voit jamais autant de coïncidences que là où et quand on en cherche ! et là, ça devient lassant de lire répétés à longueur de dialogues: "ce n'est pas possible" et "quelle coïncidence" ou "ça ne peut pas être une coïncidence!"
- en plus du "road trip" pour la chasse au trésor, il faut se coltiner un pseudo-flirt d'une niaiserie incommensurable et bourré de clichés entre une jeune étudiante espagnole beauté fatale tour à tour petit génie ou godiche, séductrice ou gamine, condescendante ou ignorante, avec son vieux professeur d'université tour à tour pontifiant et pédant ou bavant bêtement devant la donzelle.
- les explications des localisations s'accompagnent de cartes parfaitement illisibles dans cette édition. on sillonne les lieux dans tous les sens, sans qu'on comprenne réellement pourquoi cet itinéraire puisque les deux héros ne suivent même pas le plan d'une des aventures d'Arsène Lupin mais en entremêlent plusieurs (on fait des aller-retours entre les différentes histoires). on finit par en avoir le tournis (moi qui connais un peu les lieux, alors pour ceux qui n'y connaissent goutte, j'imagine la galère). Finalement, m'ennuyant fermement dans cette lecture, je l'ai entrecoupée de vidéos des lieux évoqués histoire d'illustrer un peu les lieux traversés et donner de l'intérêt à ce voyage éclair qui perdait peu à peu tout intérêt pour moi.

Je suis allée au bout de cette lecture péniblement, espérant une fin qui en valait la peine ... même pas, finalement !
EN BREF : sincèrement pas ma came, ni pour le fond ni pour la forme ! Grosse déception.
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Je ne suis absolument pas entrée dans l'intrigue qui se déroule en langage codé pour les fans d'Arsène Lupin. Donc ... je me suis accrochée jusqu'à la fin parce que d'habitude j'aime beaucoup les romands de Bussi, mais il est vrai que j'ai lu les 3 derniers avant celui-là.
Je poursuivrai cet auteur au fil de ses nouvelles publications mais pour moi "le code lupin" est une mauvaise pioche ...
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J'ai découvert Michel Bussi il y a peu de temps avec Nymphéas noirs puis Maman à tort. J'ai immédiatement accroché à son univers. Malgré les critiques négatives, je me suis donc lancée dans la lecture de son premier roman Code Lupin. Mais, force est de constater que je partage l'avis de nombreux lecteurs. Sans doute un très bon livre pour les amateurs de Maurice Leblanc / Arsène Lupin et les habitants du Pays de Caux. Mais l'accumulation de citations et de noms de lieux devient vite indigeste pour ceux qui découvrent l'auteur / le personnage et le territoire. Je ne me suis un peu perdue dans l'histoire, sans doute par manque de concentration. Par ailleurs, les personnages principaux, le duo professeur / étudiante, sont caricaturaux et sans profondeur, difficile de s'y attacher. J'ai aussi trouvé un peu gros le fait que le professeur soit intrigué par cette affaire depuis 20 ans, sans trouver le temps de s'y consacrer, et soudainement tout est bouclé en quelques heures. Enfin, l'accumulation des moyens de transport utilisés par les personnages lors de leur enquête est si peu crédible que ça en devient comique, : voiture, bateau, moto, vedette, cheval, avion et vélo, tout cela en une demie journée !

En revanche, la trame du roman est originale et l'auteur maîtrise très bien son sujet : Leblanc / Lupin et la Normandie. Cela n'a pas entamé mon envie de découvrir le reste de l'oeuvre de Michel Bussi !
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Si vous n'êtes ni fan d'Arsène Lupin, ni accro de la Normandie, ni féru de géographie, passez votre chemin. Un guide touristique de la Normandie à la sauce Lupin, un défilé de noms, de lieux que je ne connais pas, n'ai jamais vu ...

Totalement sans intérêt si on n'a pas, au moins, une des passions énumérées ci-dessous. Mais c'est mon avis et il n'engage que moi.
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💰 Acheté lors de sa réédition il a 1 ou 2 ans j ai décidé de le lire pour changer de style. Michel bussi est un auteur que j adore et j avais bien compris que je changeais de ses thrillers habituel avec code Lupin
💰Ce livre est assez compliqué à suivre pour les personnes qui comme moi ne connaissent pas la Normadie et/ou ne sont pas des lecteurs aguerris des aventures du gentleman cambrioleur. Ce pastiche du Da Vinci Code (qui m avais laissé en haleine lors de sa sortie) est une succession d informations sur des lieux normands et de références à l oeuvre de Maurice Blanc. Clairement je n ai pas reussis a rentrer dans cette chasse aux trésors et la fin m a laissé sur ma fa
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Je vais être indulgente, c'est le tout premier roman écrit par Michel Bussi. Et le tout premier que j'ai lu de cet auteur. Je vais donc continuer de le lire malgré la très grande déconvenue qu'est Code Lupin.

Il est indiqué sur la jaquette qu'il s'agit d'un Da Vinci Code normand...Certes, effectivement, nous avons un professeur qui part à la recherche d'un mystérieux trésor avec pour seuls atouts sa connaissance infinie de l'oeuvre de Lupin et une ravissante étudiante espagnole aussi belle que futée.

Déjà, premier point négatif...Il y a une énorme coquille dans le roman indiquant une très mauvaise connaissance dudit Da Vinci Code. Je ne sais pas si elle provient de Michel Bussi ou de son correcteur mais dire que le personnage principal de Da Vinci Code s'appelle Saunière en référence à l'abbé Saunière alors qu'un simple coup d'oeil au résumé aurait suffit pour savoir que le personnage principal s'appelle Robert Langdon et que Saunière c'est le type qui meurt au tout début du roman (et ce n'est pas un spoiler, je crois que c'est même dans la quatrième de couverture).

Mais s'il n'y avait que cela...Les personnages principaux de Code Lupin sont tellement caricaturaux. Paloma, l'étudiante espagnole qui est capable de décrypter un code très ancien, conçu par Maurice Leblanc, sans jamais avoir lu un seul roman de lui ou si peu, alors que des spécialistes de Lupin s'y sont cassés les dents, et ce en un temps record...Et elle doit parler couramment le latin vu la rapidité à laquelle elle arrive à traduire des locutions latines. Et qu'est-ce qu'elle est agaçante...Non mais combien de fois elle coupe la parole au professeur alors qu'il essaie de lui expliquer quelque chose d'intéressant parce qu'elle s'en moque royalement? Comment pouvais-je m'identifier à cette petite peste capricieuse?

Et que dire de Roland Bergton...Le type est simple professeur d'université mais il conduit une voiture de luxe, il sait piloter un petit avion, et surtout il passe son temps à appeler Paloma ma colombe, ma belle et j'en passe et des meilleures. Mais d'où il se permet de telles familiarités?
Et puis, c'est quoi cette manie de ne pas voyager avec deux fois le même transport? Je me suis retrouvée à visiter la Normandie à coup de pilotine (un petit bateau très rapide), de cheval, de moto, de vélo....j'en avais le tournis.
Il lui suffit de passer un coup de fil et hop il a accès à tout ce qu'il lui faut.
Au moins Langdon quand il voyageait, c'était plus crédible.
D'ailleurs, vous apprécierez l'originalité du nom du personnage : Roland Bergton n'est autre que l'anagramme de Robert Langdon.
Vive la subtilité.

Bon, maintenant parlons un peu de l'histoire. Un des seuls points positifs de ce roman est qu'il m'a vraiment donné envie de visiter la Normandie. Toutes ces villes, détaillées avec soin...Franchement, c'était bien sympathique.
Ensuite, je n'avais lu un seul Arsène Lupin de toute ma vie. Donc forcément je me suis fait spoilée pas mal de choses dans son histoire mais ce n'est pas très grave. Code Lupin m'a permis de découvrir une facette de Maurice Leblanc que je ne connaissais pas. J'ai apprécié d'en apprendre un peu plus sur cet auteur.
Voilà, je crois que j'ai fait le tour des points positifs de l'intrigue.
Parce que concrètement, je ne peux pas appeler cela une intrigue. Dans Da Vinci Code, le suspense était bien présent. Pour une course-poursuite, c'était une vraie course-poursuite.
Alors certes, Paloma et Bergton ne sont pas poursuivis par les autorités de police. Mais il y a quand même ce mystérieux Robert Martinez qui envoie des messages pas très sympathiques sur le portable de Bergton. Et cela ne les inquiète pas plus que ça.

Bon en tout cas, cette chasse au trésor était vraiment pas terrible du point de vue de l'action. Sa résolution est beaucoup trop rapide...En fait voilà où est le problème. Tout est beaucoup trop rapide. En moins de 24 heures, le duo doit résoudre une énigme alors même que Bergton y a passé plus de vingt ans sans jamais trouver la solution.

Bref, ce roman fut une énorme déception. Je m'attendais à beaucoup mieux. Mais comme je l'ai dit, je ne vais pas m'arrêter là. Juger un auteur sur un seul roman, le premier qui plus est, ne serait pas très correct de ma part.
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