Les larmes rouges, tome 1 : Réminiscences

Ce livre a tous les atouts pour plaire (du moins pour moi ^^) ! C'est un vrai bijou, à l'univers et aux personnages sombres, sublimés par la plume magnifique de Georgia Caldera !

Nous rencontrons Cornelia, qui, dès le premier chapitre tente de se suicider. En plus de sa dépression, qu'elle subit depuis plusieurs années, elle perçoit une voix qui l'encourage à mettre fin à ses jours. Finalement, sa tentative est avortée et la jeune femme part s'installer avec son père dans leur maison de campagne. Malgré son rétablissement physique, son esprit continue d'être envahit par cette voix, rejointe par des visions cauchemardesque qui trouble son sommeil. Peu à peu, Cornelia se retrouve au milieu de phénomènes très étranges, qui pourrait bien changer sa vision de la vie...

Ce livre est très sombre, limite glauque et franchement flippant par moments. Honnêtement certains chapitres m'ont vraiment fait peur (et puis quelle idée de lire ça tard le soir ^^). Finalement les passages horrifiants contraste presque avec la plume très... romanesque de Georgia Caldera.

Le style très particulier de Georgia Caldera est l'un des points forts du récit. Elle a une plume qui m'a fait un peu penser aux auteurs des siècles derniers. En même temps, l'intrigue s'y prête et je dirais que c'est logique que l'auteure y appose ce style.

Le roman est assez long, quelque chose comme 700 pages, et pourtant il ne comporte aucune longueur, et garde un rythme et des révélations très présentes. Les scènes glauques dont je vous ai parlées plus haut seraient presque de trop de temps en temps. Certaines m'ont donné le sentiment que l'on voulait à tout prix que je m'apitoie sur le sort de cette pauvre Cornelia, et ce n'était pas nécessaire.

Cornelia est une jeune femme de 19 ans à laquelle on s'identifie facilement, outre ses tendances suicidaires. Elle manque terriblement de confiance en elle, et déteste le contact avec les autres, c'est limite maladif. Cornelia parait vraiment frêle, et détonne complétement avec le personnage masculin, Henri. Ce dernier est une sombre créature, un homme mystérieux et très étrange. Il vit dans un monde violent, dans lequel Cornelia a bien du mal à s'intégrer. Malgré tout, ces deux personnages, plus torturés l'un que l'autre, semble partager un secret hors du temps.

Cette histoire m'a enchantée, Georgia Caldera a totalement réussi à m'embarquer dans son univers, à me faire m'attacher à ses personnages. Ce fut difficile de se détacher de l'intrigue du roman, une fois ce dernier reposé !

J'ai vraiment hâte de continuer à suivre les aventures de ces deux personnages dans le tome 2 des Larmes Rouges !

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Ce premier tome nous introduit immédiatement dans l'atmosphère élégante et funeste d'une histoire d'amour et de sang; avis aux amatrices de Bit-lit.
Cornélia l'héroïne, est une jeune femme de 19 ans qui croit sombrer dans la folie suite à des événements étranges qui l'assaillent depuis quelque temps et décide donc d'en finir en mettant fin à ses jours. Mais le destin, ou plutôt un étranger, en décide autrement et la sauve de la mort.
J'ai beaucoup aimé l'écriture raffinée et limpide de on auteur.

Cornelia, 19 ans, se jette du haut d'un pont totalement désemparé face à sa vie. Par miracle elle y réchappe et se réveille à l'hôpital. Son père jusque là très distant avec la jeune fille, comprend qu'il doit ralentir son rythme de vie et prendre soin d'elle.
Ils partent donc vivre à la campagne au manoir De Rougemont, héritage des grand parents de Cornelia.
Tout semblait aller mieux mais celle commence à faire des rêves étranges et angoissants. Les lieux et les personnes lui semblent familiers mais d'une autre époque. Par ailleur, sa visite des alentours du manoir, la mène droit à un chateau où elle fait la connaissance d'Henry, jeune homme très séduisant mais dont tout le village semble se méfier, mettant en garde la jeune fille contre les dangers à rester près de cet homme aussi mystérieux que dangereux.

J'ai adoré ce premier tome. On découvre les personnages à travers la réalité et à travers les rêves de Cornelia. C'est une façon très original de raconter une histoire.
Il n'y a pas de temps mort on se trouve toujours dans l'action. On se met très facilement à la place de la jeune fille. L'auteure nous transporte dans un monde sombre et envoutant. un grand huit émotionnel.
Je dois dire qu'en lisant simplement le résumé, je ne m'attendais pas du tout à un "bit lit" mais c'est une très agréable surprise. J'attends de pouvoir me plonger dans le tome 2 avec impatience

Une histoire funeste et gothique juste ce qu'il faut, un bijou dans le monde des vampires, le tout porté par une écriture raffinée, élégante et tellement addictive. Des personnages auxquels on succombe tant ils sonnent vrais, un récit qu'on voudrait lire encore et encore. Georgia Caldera a un don : celui de créer des personnages masculins au caractère bien affirmé mais irrésistible, et de nous emporter dans ses histoires. Une romance tellement belle qu'on ne peut qu'en vouloir plus.

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J'ai décidé de lire ce roman suite à la lecture très positive de plusieurs avis de lecteurs enthousiastes. Eh bien pour ma part, je ne peux pas dire que c'est un coup de coeur. Bien sur, l'histoire se laisse lire avec plaisir. Mais j'y ai trouvé trop de longueurs, trop de lassitude, des personnages un peu trop simplistes et clichés à mon gout. D'un autre coté, j'ai tout de même envie de connaître la suite je vais donc me laisser tenter par le second tome prochainement pour voir s'il m'enthousiasme davantage

Je viens de terminer ce roman. Je l'ai lus juste après Victorian Fantasy du même auteur. Et je pense que j'aurai du lire un autre livre entre deux. J'ai été tellement emballée par ce dernier que Les Larmes Rouges me laisse un peu pantelante.
Attention, j'ai adorée Les Larmes Rouges hin.
L'histoire es bien ficelée, avec quelques longueurs à certains endroits, parfois trop de description de personnages ou de lieux, avec peu de dialogues à mon goût, j'avais envie sauter des passages de narration pour lire ce que les personnages ce disent, mais je me suis raisonner.
Cornélia es une jeune femme de 19 ans, ce découvrant une vie, aussi ancienne fut-elle, qu'elle es de nouveau son présent. Elle d'une curiosité quasi maladive, toujours une question à la bouche. Elle affronte tous les danger pour son beau vampire, qui l'a protège tant bien que mal. Ils sont liés par une promesse, un serment vieux de plus de 3 siècles.
Lui es vieux, et refoule des sentiments pour elle, qui sont soi disant enfoui et oubliés.
On termine ce premier tome, ils ne peuvent plus se séparer et nous on attends la suite.
Je recommande ce roman +++

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Les mots pour : Idée, mythologie vampirique réécrite, descriptions posées sans surplus.

Les mots contre : Style un peu lourd au début, personnage de Cornelia, scènes gores.


Un roman que j'ai pris plaisir à découvrir, malgré les scènes sanguinolentes. Une intrigue convaincante et une mythologie vampirique intéressante.
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Beaucoup de potentiel, une ambiance qui prend ses marques et une intrigue qui promet des rebondissements… avant une période assez longue de questionnements en boucle.
J'ai décroché quelques jours après avoir refermé, par peur que le personnage principal ne finisse par briser mon avis positif sur ce premier tome.

Les Larmes Rouges avaient mis beaucoup de temps à atterrir dans ma Pile à Lire. J'avais vraiment peur de tomber soit sur quelque chose de très niais, de creux ou d'avoir affaire à une vision peu angoissante du vampire, soit sur un roman sombre et dépressif. Ni l'un ni l'autre, Georgia Caldera signe un premier roman gothique adapté aux adolescents d'aujourd'hui. Ce qui signifie : des descriptions plus condensées qu'un Ann Radcliffe, sans en perdre la tension et en adaptant les codes de l'horrifique et de l'angoisse à ceux de notre époque.
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Bon alors que dire, euh c'est compliqué. Je viens de finir dentelle et nécromancie avant d'entamer les larmes rouge dans l'espoir, vu que c'est le même auteur, que cela se ressemble et bien vous savez quoi? Pas du tout!!!!
Comme pour le livre précédant j'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire. Que le démarrage est long c'est affreux au point d'être pas loin d'abandonner mais une fois pris dans l'histoire on ne le lâche plus (j'avoue je me suis couchée à 5h du matin pour le finir!!!).
Nous voilà dans la vie de Cornelia, une jeune fille rousse n'arrivant pas à s'intégrer au monde qui l'entoure. le livre démarre par celle ci suspendue sur un pont à deux doigts de sauter dans l'eau. Emprise à un mal être sévère, Cornelia entend des voix. Rien ne va dans sa vie et la seule solution est d'en finir mais la manque de chance et bien un mystérieux inconnu la sauve. Bizarre non? Vous connaissez beaucoup de monde vous qui sauterait dans la Seine pour vous sauver??? Haha non je rigole. Revenons à nos moutons, sauvée par son mystérieux protecteur Cornelia part vivre dans le manoir familial avec son père et la oh surprise, le mystérieux sauveur n'est autre que le propriétaire du château surplombant le manoir. Bizarre bizarre vous avez dis?
Cornelia va donc faire la connaissance de mystérieux inconnu, Henri de Maltombes. Bien entendu Henri n'est pas vraiment du genre à passer inaperçu. Il est grand, brun, le teint plus que très pale et des yeux d'un bleu limite glacier. Bref le physique parfait de l'homme mystérieux dont on devine têtes vite la vrai nature (enfin faut pas être sorti de science po pour comprendre hein!!!).
Nos deux protagonistes vont apprendre à se connaître entre révélations, rêves d'une vie antérieur, et orgie ....je ne vous en dis pas plus sinon c'est pas drôle hein!
Parlons de nos deux protagonistes. Cornelia et bien que dire, pfff elle est gentille, assez courageuse, extrêmement curieuse mais aussi vraiment naive. Elle tourne régulièrement autour du pot surtout en ce qui concerne Henri. Non mais sérieusement j'avais envie de la secouer en lui disant :"mais tu vas te décider oui?arrete de souffler le chaud et le froid sérieux c'est qu'un homme!" Bref vous l'aurez compris leur relation est compliquée.
En ce qui concerne Henri et bien au départ je l'ai trouvé vraiment particulier. Il est attirant cette mais son recule, sa froideur et son air triste est lassant. Il lui en faut du temps pour qu'il se lâche enfin et il lui en faut du temps pour tout expliquer à Cornelia. Mais au finale on s'attache à lui, on a de la peine pour lui quand on apprend toute la vérité.
Un très bon livre sérieusement même si je l'avoue il y a quelques longueurs. L'auteur aurait plus aller plus vite dans la révélation des secrets et dans les rêves de Cornelia. On aurait pu avoir pas mal de pages en moins mais bon ça n'empêche pas de dévorer le livre.

Un an après l'achat de ce livre, il était temps que je le sorte ma PAL. Et quoi de mieux que d'en faire une lecture commune avec ma copinaute La tête dans les livres avec qui je l'avais acheté l'année dernière.

Je dois vous avouer que je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce livre : le résumé était parti loin dans ma mémoire et j'ai évité toutes chroniques à son sujet pour me garder le mystère jusqu'au dernier moment. Et quel mystère ! Par contre, même si j'ai grandement apprécié ma lecture, ce n'est pas un coup de coeur. Il y a quelques petits détails qui me chagrinent.

Le premier et le principal, c'est l'héroïne Cornelia. On ne peut pas dire qu'elle fasse partie de mes héroïnes fétiches avec son caractère. Elle est fuyante pendant une grande partie du récit et elle m'a plutôt fait l'impression d'une enfant capricieuse et manipulable que d'une jeune femme de 19 ans. C'est le genre de "un pas en avant, trois pas en arrière" un peu ennuyeux à force. Heureusement, Cornelia commence à prendre en consistance vers la fin du roman et cesse de fuir inlassablement tout ce qui la chagrine.

Au contraire de Cornelia, le personnage d'Henri est un de ceux que j'ai préféré. Il est mystérieux à souhait et avec son caractère calme voir complètement détaché, il est un vrai régal à suivre. le genre de personnage torturé mais qui n'extériorise pas ses sentiments, le véritable opposé de la jeune fille qu'il protège.

"Un de ceux que j'ai préféré" et oui, cette phrase est au pluriel. Je vais peut-être en choquer beaucoup mais le personnage qui m'a fait aimé le livre est Avoriel. Pourtant, il n'apparaît pas dans le roman à proprement parlé et plus cité qu'autre chose. Mais rien à faire, j'ai tout de suite accroché avec le peu d'informations dont nous disposons au fil de la lecture. J'espère vraiment que son personnage sera plus présent dans les prochains tomes.

Pour ce qui est de l'histoire, je l'ai trouvé très bien faite et tout s'enchaîne avec fluidité. J'ai eu peur au début de ne pas accrocher à cause des cauchemars qui prennent beaucoup de place dans la narration. Peut-être le savez-vous déjà mais je n'aime pas spécialement les romans qui enchaînent les histoires et qui les mélangent. Ici, contrairement à d'habitude, ça ne m'a aucunement dérangé. Peut-être est-ce du au fait que l'histoire principal est vraiment majoritaire et que les cauchemars sont ponctuels. Il y a aussi quelques petites choses tirées par les cheveux mais c'est du fantastique donc ça passe sans trop de soucis, je vous laisse les découvrir en vous plongeant dans ce premier tome.

Le premier tome des Larmes Rouges m'aura fait découvrir une auteur au grand talent : Georgia Caldera. Elle propose dans ce début de saga une histoire où la vie, l'amour, l'amitié filtre avec le tragique et le surnaturel d'une façon tout à fait délicieuse. Même si ce livre n'est pas un coup de coeur, je ne peux que le conseiller, il ne faut aucun doute que ce roman peut ravir de nombreux coeurs grâce à ses personnages réalistes.
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