AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,35

sur 323 notes
5
30 avis
4
19 avis
3
3 avis
2
2 avis
1
0 avis
Une bonne conclusion pour cette saga et trilogie pleine d'action, mais aussi de réflexion. Auguste, Césarine et Néné mûrissent, d'autres personnages tout aussi intéressants font leur apparition ... Une saga qui fait réfléchir, tout en offrant le piment et l'action nécessaires à des lecteurs encore adolescents, et plus de références littéraires pour les lecteurs plus avertis.
J'ai bien apprécié les personnages féminins, souvent originaux et plus actifs que dans d'autres livres : Césarine, Mamina (qui se révèle étonnante dans ce tome, et que l'on connaissait mal dans les tomes précédents, en fait), Inès, Shé ... Toutes forment des personnages très humains, attachants et qu'on a envie de suivre dans leurs (nombreuses) péripéties.
Rama et Néné aussi m'ont intéressée, comme Césarine, mais ca me semble normal parce qu'ils aiment l'informatique ...
Comme je suis passionnée d'informatique ET de livres, cette saga ne pouvait que me plaire. Je vous la recommande vivement !
Commenter  J’apprécie          290
Les rescapés se cachent sur une île. Ils savent que leur situation est précaire et ils décident de partir à la recherche du "Livre que l'on ne peut pas lire".

Bien vite éloignés des adultes, ils doivent continuer à protéger leurs secrets.

Inès, une jeune espagnole aux muttiples talents, est du voyage. Descendante du célèbre Christophe Colomb, elle a un langage très personnel et un sens de la répartie exceptionnel.

Ils vont tenter de combiner leurs talents pour déjouer le plan machiavélique mis en place par les autodafeurs !

Suite et fin des aventures de Gus et Césarine. J'avoue avoir peu à peu essayer de ralentir le rythme de ma lecture afin de prolonger ce moment de plaisir. Mais la multiplication des événements et le plaisir de retrouver les raisonnements si particuliers de la jeune héroïne ont eu vite raison de moi.

Un dernier tome très dense et complet. La dynamique de l'écriture et de l'action font un très bon roman d'action. Certains passages font penser aux films "James Bond" et "Indiana Jones" !

Mais c'est la personnalité de Césarine qui enchante le texte.

Sa voix, à l'intérieur de chapitre qui lui sont dédiés, et qui émaillent le texte, donne un éclairage original et frais au récit mais aussi une autre perspective sur la vie elle-même, sur les mots que nous employons tous les jours, sur notre relation à la mort ou encore sur nos promesses...

Enfin, et ce n'est pas un détail, le propos même du livre qui oppose une volonté de conserver et de partager toutes nos richesses contres des organismes qui eux souhaitent les accaparer, évoque l'actualité.

A l'heure où nos données personnelles sont le paiement d'une mise à dispositif d'un réseau en apparence gratuit, à l'heure où la mémoire et la numérisation du savoir profite à une poignée de personnes, l'auteur nous rappelle l'importance du combat qu'il nous reste à mener.

Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Commenter  J’apprécie          217
J'étais pleine d'attentes pour ce dernier tome de la trilogie "Les autodafeurs". Comment va évoluer la famille Mars? Comment vont-ils vaincre les autodafeurs? Comment sauver les livres, la connaissance?
Et bien je dois avouer ma déception. Alors c'est toujours bien sympathique, et l'écriture de Marine Carteron est toujours efficace. Oui mais voilà...la famille Mars n'est pas assez mise en valeur : la mère est tout juste effleurée, et Mamina presque ignorée (ce qui m'a empêchée de ressentir l'émotion que j'aurai dû avoir). Quant à la résolution finale...pour moi cela tient plus de la pirouette que de la vraie résolution, et une pirouette bien tirée par les cheveux en plus!
Par contre les nouveaux personnages secondaires sont pas mal du tout : Shé et son attachement à Néné, Inès son franc-parler et son énergie, Rama son obsession et son étrangeté. J'ai aussi retrouvé avec plaisir les BCG.
Bref, un moment sympathique mais tout de même décevant. le plaisir de ce volume tient surtout au plaisir que nous avons eu à la lecture des premiers tomes, à l'attachement que nous portons aux personnages.
Commenter  J’apprécie          110
J’ai tellement aimé les deux premiers tomes des Autodafeurs que je les ai relu avant de débuter la lecture du troisième et dernier tome. Arrivée au point final de la série, je dois dire que je suis assez déçue. C’est pourtant la dernière chose que je m’attendais à dire sur cette série. Je n’ai tout simplement pas été convaincue par la tournure de ce dernier tome. Le roman perd de son charme car il bascule dans un style à la James Bond que je n’apprécie pas. Dans les deux tomes précédents, la série se démarquait par sa pluralité des genres. Drame, comédie, action, romance, thriller, historique... Tous ces genres se côtoyaient de manière subtile et intelligente. Dans le dernier volume, j’ai presque eu le sentiment de lire un mauvais roman d’espionnage, et cela, en dépit de mon affection pour certains personnages.

Jusqu’à troisième tome, la série possédait une dimension familiale qui rendait l’intrigue encore plus riche. À mes yeux, ce sont les interactions entre les membres de la famille Mars qui donnaient au texte une grande partie de sa saveur. Dans ce dernier tome, l’auteure multiplie les apparitions de nouveaux et nombreux personnages, mais qui n’apportent pas grand chose à l’histoire. Même les personnages d’Inès et Rama ne m’ont pas convaincue.

Finalement, c’est Césarine la véritable héroïne de la série. Ce n’est que grâce à elle que la Confrérie est parvenue à mettre un terme aux agissements des Autodafeurs. J’ai beaucoup aimé le fait que l’auteure choisisse de mettre en évidence un personnage aussi atypique. Ce qui rend son choix aussi brillant, c’est qu’elle nous fait aimer et même admirer ce personnage malgré ses faiblesses. Même si l’autisme de Césarine fait d’elle une héroïne, Marine Carteron n’enjolive pas pour autant ce handicap. Certes, Césarine est une sorte de génie, mais c’est aussi une fillette malade. N’oublions pas qu’elle a tué de sang-froid un homme en lui plantant un stylo dans la gorge et qu’elle en a noyé un autre.

Autant les deux premiers tomes de la série m’ont passionnée et fait vivre tout un tas d’émotions, autant ce tome m’a plutôt laissée de marbre. Je dis bien « plutôt » car l’écriture de Marine Carteron reste tout de même géniale. L’action et le suspense sont bien là, l’humour est toujours au rendez-vous, mais c’est moins le cas de l’émotion. Je ne me suis pas sentie aussi impliquée qu’auparavant.

Mais finalement, ce qui m’a le plus gênée et déçue, c’est que l’auteure donne à son histoire. Je ne m’attendais pas du tout à un tel changement de genre. Quand j’ai compris dans quelle direction l’auteure allait nous emmener, je me suis dit : « Mais qu’est-ce qui lui prend ? Pourquoi s’embarque-t-elle là dedans ? » Vraiment je n’ai pas compris ce qui se passait. Non mais sérieusement, c’est quoi ? Certains trouveront peut-être ce revirement à leur goût mais pas moi. Je suis tellement déçue que cela me gâche presque le plaisir que j’ai eu à lire les premiers tomes...

Commenter  J’apprécie          100
3 tomes pour sauver non pas le monde (quoique) mais la culture et la diversité. Et vous savez quoi ? Ce sont des ados qui le font, vous savez ces êtres amorphes et sans curiosité ? Ceux-là savent se battre, discuter en latin et... élaborer des plans parfois foireux. Mais le principe de l'adolescence c'est que le groupe fait la force et surtout la force du rebond face à l'adversité (et il y en a beaucoup. Comme d'adversaires).
Cette trilogie met l'accent sur les livres, la culture et sur l'importance de celle-ci, tout en ne la faisant pas passer pour un truc chiant et rébarbatif. Mais au contraire comme une composante essentielle de l'humanité, qui prend ses racines partout (époques et régions du monde) et qui est créateur de liens et capable de briser les frontières. Les membres de la Confrérie viennent de partout dans le monde et ont souvent un lien avec des grandes personnalités intellectuelles du passé. Comme ils doivent lutter contre les Autodafeurs (je pense que le terme est suffisamment transparent...) l'action ne manque pas.
Donc la culture c'est cool : action, copains partout dans le monde, bagarres, amour et amitié. le pied quoi !
Commenter  J’apprécie          81
Il me tardait de lire le dernier tome de la saga des "Autodafeurs". En effet, cette trilogie se démarque grâce à l'une de ses protagonistes autiste (Césarine) et grâce à cette succession d'événements fâcheux qui arrivent aux héros. Bien qu'ils ne soient pas aussi malchanceux que les orphelins Baudelaire, il leur arrive sans cesse des malheurs : ils ne gagnent jamais, sont tout le temps en fuite et perdent de nombreux proches. Les Mars ont beau faire des efforts en essayant de garder la tête hors de l'eau, ils n'ont jamais connu une fin heureuse dans les deux tomes précédents. Cela change tellement des happy ends dont on a l'habitude que j'étais vraiment curieuse de voir ce que Marine Carteron allait nous réserver pour la conclusion de sa série !

Césarine est réellement LA protagoniste qui fait la force de cette trilogie. Cette fillette est une bouffée de fraîcheur ! Je ne compte plus les sourires qu'elle m'arrache à chaque fois qu'elle ne comprend pas les images ou les expressions courantes. Elle est tellement touchante. J'aime beaucoup sa façon de voir les choses. de plus, elle a toujours un tour d'avance sur les autres : intelligente, logique et réactive, elle a su prouver qu'elle n'était pas qu'une petite fille à couettes et en socquettes... Se défendre ou tuer ne lui font pas peur. Sans ses interventions, Auguste et les autres ne s'en seraient jamais sortis. C'est l'héroïne qui sort du lot et qui surprend le lecteur à plusieurs reprises. J'ai aimé le fait que l'auteure mette un personnage aussi atypique qu'attachant en avant. Quant à Auguste, j'avoue ne pas avoir grand chose à dire sur lui... Son comportement similaire au tome deux m'avait agacée au début, puis j'ai recommencé à l'apprécier au fil des pages. C'est un jeune homme assez réaliste : ni trop puissant, ni très intelligent. Il est normal et c'est ce qui fait son charme.

Dans ce troisième opus, on va faire la rencontre de plusieurs enfants appartenant à la Confrérie. Il y a par exemple Shé (l'iranienne musulmane qui est aussi vive que cultivée), Rama (une version de Césarine au masculin adepte de la logique, des statistiques et de l'informatique) ou encore Inès (une espagnole tête brûlée qui n'hésite pas à rembarrer Auguste ou à lui administrer son poing dans la figure). Cette dernière va jouer au chat et à la souris avec notre cher narrateur tout au long du roman. Leurs échanges ne manquent pas de piquant et m'ont fait sourire plus d'une fois. Ils sont mignons tous les deux à se chercher ainsi... Bien évidemment, on retrouve certains anciens personnages comme Néné, le geek au style vestimentaire douteux, BG, de Vergy et les autres adultes qui, finalement, ne servent pas à grand chose. Ici, ce sont nos jeunes héros qui vont se battre, résoudre divers mystères et affronter les Autodafeurs... Si vous ne supportez pas les histoires où les ados résolvent plusieurs affaires où les adultes en sont incapables, passez votre chemin. Pour ma part, je pense que ce genre de récit est plaisant et permet aux jeunes lecteurs de s'identifier, donc cela ne me dérange pas.

Ce qui m'embête un peu plus, c'est le contenu du "Livre que l'on ne peut pas lire"... Certains adolescents côtoyant la médiathèque m'avaient dit avoir été déçus par certains passages et je vois aisément lesquels... A moins d'être un adulte, je ne suis pas certaine que l'utilisation d'Aristote, de E=mc2, de Christophe Colomb, d'Alexandre le Grand ou de notions spatio-temporelles plaisent à tout le monde. Personnellement, j'ai bien aimé ces références mythologiques et historiques, toutefois je comprends la réaction de certains ados. Par ailleurs, le petit côté SF n'a pas plu à tout le monde... Et, je l'avoue, je ne pensais pas en trouver dans cette saga ! Cela m'a un peu déstabilisée... En revanche, j'ai apprécié les passages où Inès et Auguste ont tenté de découvrir la zone secrète décrite par Hernando. Cela m'a fait songer à une ambiance digne d'Indiana Jones dans un temple maya...

"Nous sommes tous des propagateurs" est plutôt pas mal. Certes, il ne m'a pas autant plu que les deux tomes précédents, toutefois la fin est sympathique. Bien qu'elle vienne assez tard, l'action est toujours au rendez-vous. L'humour et les piques amusantes sont bien dosées et s'enchaînent sans lourdeur au fil des chapitres. Marine Carteron m'a permis de passer un bon moment en compagnie des Mars et de leurs amis. Césarine reste un personnage gravé dans ma tête ainsi que dans mon coeur. Je suis déçue de ne plus la retrouver... Même si la fin ne plaît pas à tout le monde, c'est une trilogie fraîche, drôle et dynamique que je recommande.

Lien : https://lespagesquitournent...
Commenter  J’apprécie          82
Les autodafeurs 3 mon favori de ce mois...

Encore une fois Césarine nous raconte en toute logique ces découvertes ,
Et Gus...Gus reste dans son lit traumatisé par le drame du tome 2.

De nouvelle personne débarque sur Redonda, Ines, Rama, Shé et Gabrielle.

A lire et a savourer
Commenter  J’apprécie          70
Les Autodafeurs, suite et fin à haute tension. Franchement, j'avais des doutes, comment encore prolonger l'histoire, inventer de nouveaux éléments sans tourner en rond? Et bien chapeau à Marine Carteron qui insère de nouveaux personnages (tous aussi doux-dingues et touchants que les premiers), de nouveaux lieux, le tout en donnant encore de nouvelles dimensions à Gus et surtout à la toujours aussi bizarrement adorable Césarine.
Cette trilogie est un bijou de littérature jeunesse: créative, inventive, proches des ados tout en étant "soutenue", moderne mais intemporelle aussi. Un futur classique qui ravira tous les ados, quels que soient leur goût litteraire et qui touchera tous les adultes qui auront la curiosité d'y jeter un oeil.
Commenter  J’apprécie          61
/!\ Spoilers sur les tomes précédents /!\
Les Autodafeurs, voilà une série dont j'avais un peu entendu parler sur la toile mais vers laquelle je ne me serais pas forcément tournée si je ne l'avais pas empruntée en médiathèque… quelle erreur ça aurait été si j'étais passée à côté !
Voilà un troisième tome qui apporte la résolution de l'affaire, des réponses à nos questions, son lot d'actions et… une sacrée surprise dans les dernières pages !

Alors que le deuxième tome servait de transition, un peu plus centré sur les réflexions et l'évolution des personnages, ce troisième et dernier opus dépote. Après les quelques premières dizaines de pages dans lesquelles on retrouve un Auguste apathique, l'action se met rapidement en place et difficile ensuite de l'arrêter.
Si vous n'êtes pas friands des histoires où les jeunes héros sauvent le monde alors que les adultes ne savent pas prendre une seule décision sensée, cette conclusion vous paraîtra peut-être un peu exagérée… mais si vous laissez ressortir votre âme d'aventurier, nul doute que cette chasse au trésor semée d'embûches saura vous convaincre et vous divertir !

J'avoue m'être très facilement prise au jeu du mystère entourant le décryptage des pages du journal sauvegardé par Césarine dans le tome précédent. Une fois le texte découvert, les héros vont se lancer dans la recherche du “livre que l'on ne peut pas lire”, ce qui les entraîne dans des situations périlleuses, notamment sous l'eau. Les scènes sont dignes de films d'aventures avec son lot d'affrontements, de rebondissements et d'émotions… jusqu'à la révélation concernant ce fameux “livre que l'on ne peut pas lire”, révélation qui m'a laissée assez pantoise.
Je n'ai RIEN vu venir et je n'aurais jamais imaginé que Marine Carteron puisse prendre ce chemin-là. Waouh ! Quel virage, quel retournement de situation ! C'est exactement ce que j'ai ressenti lors de ma lecture de la trilogie NéaChronical de Jean Vigne, que je vous conseille, au passage !

Inutile de revenir une troisième fois sur les héros charismatiques offerts par Marine Carteron.
Auguste continue son bonhomme de chemin, adolescent vivant des situations difficiles, parfois très maladroit, parfois à côté de la plaque mais souvent très drôle (malgré lui) et émouvant.
Césarine est une nouvelle fois celle qui sert de lien et d'impulsion à tous les autres. Mais si elle a gardé son pragmatisme et son premier degré, elle a aussi su évoluer énormément, notamment au niveau émotionnel. C'est une gamine marquante, un personnage que je n'oublierai pas de sitôt !
Les adultes que l'on avait pu rencontrer précédemment ne sont pratiquement pas présents dans ce troisième et dernier tome (comme je vous le disais, il faut accepter que l'avenir du monde soit entre les mains d'enfants et adolescents) mais l'auteure nous présente de nouveaux personnages… que je me suis surprise à apprécier en quelques pages à peine ! Eux aussi se révèlent charismatiques et indispensables à la bonne marche de l'intrigue.

Les Autodafeurs fait partie de ces rares trilogies que j'ai lues en moins d'un an et qui a su me tenir en haleine d'un bout à l'autre. Une intrigue et des héros tournés vers la jeunesse mais pas du tout simplistes ou niais, loin de là ! Marine Carteron nous propose une histoire intelligente, bien menée, des personnages charismatiques, une écriture résolument dynamique et dans l'ère du temps… bref, c'est du tout bon ! Auguste et Césarine forment un duo qui marque et qui va me manquer ; j'ai même très envie d'avoir de leurs nouvelles dans d'autres aventures…
Lien : http://bazardelalitterature...
Commenter  J’apprécie          50
J'ai dévoré le troisième et dernier volume de cette trilogie en deux jours !!!
Nous retrouvons les enfants Mars et leur mère sur l'île de Redonda où sont cachés les enfants de la Confrérie que les adultes veulent protéger après la guerre déclenchée par les Autodafeurs qui a non seulement détruit de nombreuses bibliothèques mais aussi assassiné de nombreux membres.
Gus se sent à la fois inutile et honteux de ses actes après le massacre de l'Inquisiteur dans les jardins de la demeure des Montagues. Il sombre et s'isole dans sa chambre qu'il partage néanmoins avec Néné qui a rencontré sur l'île une belle Shéhérazade aussi geek que lui !
Quant à Césarine, après s'être enfermée dans un placard pour accepter son changement d'environnement, elle se lie d'amitié avec Rama qui est polydactyle (avec douze orteils!) et un petit génie des maths et de l'informatique. Il y a aussi Inès, l'espagnole, descendante de Christophe Colomb que Césarine compte bien solliciter pour l'aider à traduire les carnets qu'elle a subtilisés (mais pas volés!) dans le Trésor de la Confrérie avant que celui-ci n'explose.
La situation mondiale n'est pas joyeuse et Adam Murphy a réussi à lancer son projet Xiè plaie d'Egypte avec succès malgré les tentatives de Mamina et Marc de Vergy pour en limiter les dégâts...
Les enfants, trouvant que les adultes ne prennent pas assez d'initiatives de combat décident de lancer leur propre plan d'action.
J'ai bien évidemment adoré ce livre avec une fin inattendue mais excellemment amenée et brillante.
L'ajout de nouveaux personnages secondaires adjuvants dans l'équipe des enfants ne fait qu'en renforcer l'efficacité. C'est vraiment une série géniale à la fois puissante par ses idées et pleine d'humour !!!
Commenter  J’apprécie          51




Lecteurs (604) Voir plus



Quiz Voir plus

les autodafeurs

Comment s'appelle la petite sœur d'Auguste Mars ?

Césarine
Jeanne
Isabelle
Sara

10 questions
67 lecteurs ont répondu
Thème : Les autodafeurs, tome 2 : Ma soeur est une artiste de guerre de Marine CarteronCréer un quiz sur ce livre

{* *}