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3,45

sur 113 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
🌳Chronique🌳

« Tu ne peux pas entrer et ressortir selon ta fantaisie, ce n'est pas un parc ni un jardin de la ville. »

C'est une forêt. Une forêt aux étranges pouvoirs. Une forêt qui se mérite. Une forêt qui envoûte et retient ses marcheurs. Une forêt maléfique, diront certains. Une forêt fantastique, plus probablement…
Vorrh, c'est une forêt ancestrale, sans doute éternelle, peut-être même retenant en son coeur, le mythique jardin d'Eden. Tu vois pas le genre de jardin de pacotille, avec deux buissons mal taillés, un banc esseulé et un toboggan déserté…C'est une forêt qu'il faut adorer, vénérer, respecter. Vorrh, c'est LA forêt incarnée, de celles où naissent les légendes, et peut même, perdre les Hommes…
Vorrh, c'est un personnage féminin en lui-même, une force de la nature, une puissance importante, une entité dévoreuse. Elle arrache tout, de l'identité aux souvenirs. La complexité du lieu est à l'image de notre progression de lecture, lente, intense, hypnotique. C'est presque une expérience de lecture, mais le résultat est là: difficile d'être on ne peut plus envoûté.e par la Vorrh. L'ambiance électrique, l'étrangeté palpable, l'effroyable absorption en ces griffes est indéniable. Et en tout bonne aventurière, j'ai exploré Vorrh, et j'en reviens émerveillée…

« Il compte peut-être rencontrer les anges ou les démons qui y vivent. »

Je ne vous promet pas que vous allez rencontrer des anges, même pas des démons, mais une multitude de personnages loufoques, difformes, inquiétants, bizarres, charismatiques qui gravitent autour, de près ou de loin, de la Vorrh. En revanche, ce que je peux vous certifier c'est que la monstruosité prend des forme.s. diverses et variées. Vorrh, c'est explorer l'idée même de la monstruosité, physiologique ou philosophique, et la voir décliner, en un imaginaire débordant. Elle imprègne tout, partout là-bas: la vie, le sang, la sève, la terre…Et c'est sans doute pour cela, qu'elle agit sur nous, génère autant de fascination, en retour. Elle réveille nos peurs et nos désirs, les plus enfouis. Elle soulève des violences et des amours torrentielles. Elle amplifie les croyances et les créativités. La monstruosité fait sa part belle dans cette forêt et, on ne s'étonne plus de voir l'influence d'un arc ou des murmures des bois, on ne craint plus l'irruption des fantômes ou la dépossession de son âme, on cherche juste à comprendre la foisonnante activité magnétique qui régit cette sylve luxuriante…Mais elle garde jalousement ses secrets, Vorrh. Très jalousement. Mais ce premier tome, laisse entrevoir le potentiel extraordinaire qu'elle peut exercer sur tous cell.eux, qui l'approche…

« Les Devins meurent en trois temps, d'abord par le dehors, puis vers le dedans. »

Est-ce une coïncidence alors si Vorrh, est une trilogie? Que va-t-elle vous prendre, dissoudre ou effacer, dedans ou dehors? Est-ce que vous allez traverser ses chemins? Est-ce que vous en auriez, seulement, l'audace d'y aller?
J'ai observé, photographié mentalement, senti, remercié cette forêt, parce qu'elle m'a permis d'aller voir un Ailleurs dense et palpitant, de reconnaître au-delà des préjugés la splendeur étrange, de me reconnecter au Vivant autant qu'aller toucher du doigt les frontières de la mort, de flotter pendant plusieurs jours dans un monde Fantasy riche et persistant, de plonger dans une histoire passionnante, de découvrir une nouvelle plume poétique. le mystère est omniprésent. J'ai tellement hâte de lire la suite!
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Lecteur plus ou moins assidus depuis plus de 4 décennies, je pense n'avoir jamais eu autant de mal à donner un point de vue sur un roman que je vais qualifier d'ovni littéraire. Parfois ébloui comme un roman de Dan Simmons, parfois totalement largué comme dans ceux de William Gibson, ma critique est aussi difficile à rédiger que l'accès à cet univers.

Mais d'abord qu'est ce que la Vorrh ? de ca au moins on est à peu près sur: c'est une gigantesque foret sur laquelle courent des légendes, des rumeurs, des mythes... et perdue quelque part en Afrique noire aux alentours des années 20.

Et gravitant autours il y a une foultitude de personnage (le point fort du roman), aux ambitions assez imprécises, parfois réels comme le poète Raymond Roussel ou totalement inventés comme Ismael le cyclope, élevé par des espèces de robots en bakélite qui sortent d'on ne sait trop où... et puis Edward Muybridge, photographe visionnaire ayant réellement existé, célèbre pour sa décomposition en image d'un cheval au galop...Mais qui n'a pas grand chose à voir avec cette foret.

J'aurais pu laisser tomber au bout de 50 pages et dire "put*n mais c'est nul ce truc", alors pourquoi ne l'ai-je pas fait ?

Parceque c'est extrêmement original, merveilleusement écrit (accrochez vous car niveau vocabulaire il est impossible de ne pas allez fouiner de temps en temps dans un dico), et il se dégage de l'ensemble une ambiance envoutante et mystérieuse, d'autant plus mystérieuse et difficile d'accès que l'auteur s'amuse à perdre son lecteur dans un flou savamment voulu.
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Vorrh est le premier roman de Brian Catling, sculpteur, cinéaste et enseignant des beaux-arts à Oxford. Brian Catling a aussi écrit de la poésie. Ce roman est paru en 2012 au Royaume-Uni puis a été réédité en 2015. Même s'il peut être lu de manière indépendante, deux autres romans sont parus dans le même univers, formant ainsi une trilogie: The Erstwhile en 2017 et The Cloven en 2018. En France, c'est Outrefleuve qui a annoncé en début d'année sa parution pour septembre.
Vorrh situe son action après la Première Guerre Mondiale mais on assiste également à des retours en arrière se passant à la fin du XIX ème siècle. Sous le nom étrange de la Vorrh se cache une forêt africaine mystérieuse, sur laquelle circule beaucoup de rumeurs. D'après les légendes, la forêt est impossible à traverser, ni à cartographier. L'endroit serait également régi par la magie et quiconque y entre le ferait au risque de sa vie. En effet, les quelques personnes téméraires ou inconscientes qui y sont entrées sont mortes ou ont perdu la mémoire. Cela devrait décourager la majorité des gens, pourtant la Vorrh attise les convoitises et plusieurs personnes rêvent de s'y rendre et de voir les créatures qui y vivent. On raconte que des démons, des fantômes et même des cyclopes vivraient dans le coeur de la forêt, et aussi qu'elle abriterait le jardin d'Eden.
Vorrh est donc un roman inclassable mêlant fantastique, créatures surnaturelles, mythologie. Il est assez difficile d'entrer dans le récit qui n'est pas vraiment ce qu'on pourrait penser au premier abord. le roman est à l'image de la forêt: foisonnant, étrange, intriguant. Il est porté par la plume poétique et imagée de l'auteur. Oserez vous entrer dans la Vorrh?
chronique beaucoup plus complète sur le blog
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
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La Vorrh est une jungle littéraire dense dans laquelle j'ai eu bien du mal à pénétrer! L'écriture est singulière, intéressante mais pas nécessairement d'un abord facile, et l'intrigue m'a semblée absconse jusqu'à la moitié du livre. J'ai bien failli m'y perdre, mais heureusement, j'ai fini par trouver mon chemin à travers ses méandres délétères.

Dans une Afrique coloniale fantasmagorique, pousse une forêt mythique dangereuse abritant des secrets ancestraux. Tout autour et en son sein, évolue un assortiment hétéroclite de personnages torturés : certains issus de l'Histoire, comme le poète Raymond Roussel et le photographe Eadweard Muybridge; et d'autres, d'une imagination tordue! Des sorciers sinistres, des assassins féroces, des automates sexués, un cyclope thaumaturge, des esclaves zombifiés, des anges déchus... C'est un bestiaire fabuleux et pittoresque, mais j'ai tout de même trouvé qu'il y manquait de personnages plus sympathiques auxquels se raccrocher.

L'univers de la Vorrh est riche, sombre et inquiétant, empreint de violence et surtout, très bizarre! C'est une épopée tragique, un conte initiatique et un cabinet des horreurs surréaliste, tout à la fois. Sa lecture m'a laissé des impressions contradictoires et mitigées, mais il s'agit indéniablement d'une oeuvre unique, écrite par un auteur de talent.
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Plonger dans la Vorrh, c'est s'immerger dans un univers inventif et foisonnant à l'image de la couverture. Un roman dont les codes sont difficiles à décrypter aux premiers abords avec de nombreux personnages évoluant, parfois de manière éloignée, autour et au sein de la forêt. le tout sans bien savoir où cela veut nous mener. Comme beaucoup d'autres, j'ai peiné à entrer dans l'histoire durant les premières 80 à 100 pages. Une fois habituée au rythme de l'oeuvre, quelque chose s'est pourtant déclenché pour habilement me ferrer...

Plutôt que résister, j'ai donc décidé de me laisser porter par l'histoire, reconnaissant toutefois à quel point ce livre peut être ardu pour certains lecteurs, allant même jusqu'à provoquer des abandons. Ce premier tome pose les bases de l'univers et des personnages. J'ai sciemment choisi de me laisser guider par ces derniers et par l'atmosphère étrange, parfois confuse, teintée de métaphores sur la colonisation, l'esclavagisme, et les religions (chrétienne et vaudou) dans un début du XXème siècle marqué par une industrie toujours plus envahissante.

Ce fut une lecture lente et exigeante, dont les ressentis sont difficiles à exprimer, mais une lecture qui ne m'a pas lassée. J'ai pris le temps de m'immerger dans cette ambiance végétale et inquiétante, ainsi que dans les vies atypiques des personnages qui la peuplent.

La suite sera lue prochainement - (si la médiathèque accède à ma requête, car drôle d'idée d'acquérir les premiers tomes mais pas les suivants !) - en l'espérant éclairante sur certains aspects.
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Une forêt primaire : Vorrh. Des branches qui s'entrecroisent, une canopée dense, des strates d'humus, de feuilles mortes. Une odeur que l'on devine forte. Des proies et des prédateurs, un éclairage chiche.Un temps et un espace qui, comme les lianes, se courbent et se nouent, perdant toute linéarité. Des sentiers à peine définis par lesquels transitent les sorciers, les esclaves, les bêtes, les mythes, les légendes. Tous cherchent, quelque chose ou quelqu'un ; certains se perdent, y compris la raison ; d'autres ne ressortent jamais.
Les mêmes propos pourraient s'appliquer aux lecteurs : certains trouvent, d'autres se perdent…
Poésie, fantastique… ambiance plombée, souvent violente… Aucun fil d'Ariane jaune fluorescent pour guider le lecteur dans les broussailles. Il s'emmêlera souvent les pieds dans les ronces, subira quelques chutes… Quant à trouver la sortie, c'est une autre histoire.
Le premier tome de la série de Brian Catling annonce la couleur : nuances de vert (ou vers). Oubliez vos balades à la recherche de champignons : ici ils sont plutôt d'un genre vénéneux ! Certains nous incitent à aimer les arbres pour s'aimer soi-même. Vorrh vous fera les craindre.
Un roman comme un marathon : les premiers kilomètres sont difficiles, le second souffle permet de tenir sur la distance, et l'on franchit la ligne finale exténué, vidé, mais satisfait… jusqu'au prochain !
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--- Un style relativement hermétique ---

Le style de B. Catling est unique en son genre. Cependant, il faut réussir à en venir à bout, car l'auteur adore se lancer dans des tirades ô combien sibyllines.

Je l'avoue, je perdais parfois le fil du récit, me perdant dans ces passages. J'ai pourtant essayé de les relire plusieurs fois pour mieux comprendre, mais le mystère demeurait entier. Tel était bien le but de l'auteur, je pense. Et quel dommage ! En fin de compte, ces longueurs n'ont fait qu'alourdir le texte.

Heureusement, lorsque l'histoire s'inscrit dans le réel, si tant est que l'on puisse dire cela d'une oeuvre aussi abstraite, j'étais véritablement conquise.

--- Des personnages au destin unique ---

Sachez-le : le synopsis ne fait mention que d'un seul homme, mais Vorrh est un roman choral qui apprécie tout relater de la vie de ses héros. de leur plus tendre enfance jusqu'à leur fin en passant par leurs moments de gloire, le scénario est bâti sur leur existence et leur lien avec la forêt. Bien évidemment, d'autres personnages restent volontairement dans l'ombre afin de ne pas dévoiler les dessous de l'histoire, que je n'ai toujours pas devinés d'ailleurs, mais j'y reviendrai.

Alors, ces personnages. Est-ce que je me suis vraiment attachée à eux ? Je n'en suis pas certaine. Certes, j'étais captivée par leur destin, en particulier celui de Maclish, mais je n'étais pour autant pas attendrie par leurs malheurs. Quoiqu'Ismaël fait peut-être figure d'exception. Toutefois, mon absence d'attachement a quelque peu amoindri mon plaisir de lecture. Par chance, le mystère a suffi.

--- Et quel mystère ! ---

Lire Vorrh, c'est accepter l'idée de ne pas tout savoir, de ne pas tout comprendre. Est-ce que ce fut mon cas ? En partie, oui. Néanmoins, je suis quelque peu frustrée par le dénouement. En effet, l'utilité de certains personnages m'échappe, tout comme ce qui les lie vraiment. Or, le deuxième volet annonce un changement de héros. Vais-je réellement obtenir des réponses à mes questions dans la suite ? Je n'en suis pas sûre. Quant à savoir où l'auteur veut en venir, c'est le flou total !

Quoi qu'il en soit, j'ai – à ma plus grande surprise – apprécié la dimension religieuse de l'intrigue. Celle-ci sera d'ailleurs développée dans le deuxième opus, ce qui me pousse à le sortir de ma PAL très bientôt !

--- Alors, lire ou ne pas lire Vorrh ? ---

Si vous n'êtes pas un habitué des lectures étranges, je vous déconseille fortement cette série qui pourrait bien vous perdre en chemin. Dans le cas contraire, si vous êtes justement à la recherche de quelque chose de différent, Vorrh est peut-être fait pour vous.

En ce qui me concerne, j'ai bien l'intention d'aller jusqu'au bout de la trilogie !
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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Ça va être difficile pour moi d'écrire cette chronique pour deux raisons : le livre relate de beaucoup d'histoires en même temps, qu'il serait long de résumer, qui ne s'entrecroisent même pas forcément, et surtout, je ne sais pas vraiment dire ce que j'en ai pensé. J'ai à la fois une grande admiration pour l'écriture de l'auteur, qui est excellente et travaillée, plutôt raffinée bien que sombre comme son propos, ainsi qu'une sorte de rejet instinctif lors de nombreux passages. le sujet central du livre, la Vorrh, cette forêt vivante, zombifiante, insondable, terrible, religieuse, monstrueuse et éternelle, est ce qui m'avait convaincue au départ, mais bien qu'elle soit au centre de tout, on ne l'approche que peu. L'humain est le véritable sujet du livre, dans sa décadence, son indécence, sa supériorité, son mépris, son manque de respect, ses travers, ses vices.

J'ai été d'emblée gênée par le côté beaucoup trop colonial du livre - côté qui semble être dénoncé à demi-mot de temps à autres (et de façon à la fois assez drôle et fortement cynique) - mais qui est pourtant présent jusqu'à l'étouffement. Plus que la forêt, ce que l'on arpente le plus, c'est cette réplique - exacte à la brique près - d'une ville européenne placée dans ce continent qui n'est pas le sien, où l'on va côtoyer en majorité des personnages blancs. À tel point que l'on oublie que l'histoire ne prend pas place en Angleterre, en Allemagne ou en France. Comme si la Vorrh et ses alentours ne présentaient finalement aucune richesse ? Par ailleurs, les personnages pour qui ça finit mal sont les personnages noirs, les personnages exploités et les personnages monstrueux (sauf un, mais qui souhaite devenir comme les autres personnages blancs)(alors que j'attendais qu'ils aient justement tous leur revanche, dommage). J'ai probablement manqué beaucoup de sous-texte et de second degré, à ce sujet comme à d'autres, tout le long du livre, mais ce sentiment a bien trop subsisté et c'est ce qui m'empêche de vraiment apprécier totalement ce livre dont les qualités sont pourtant nombreuses.

Néanmoins, si je mets mes attentes et mes projections personnelles de côté, Vorrh est un livre d'une densité assez incroyable - comme la forêt -, et garantit une grande originalité, une ambiance fantastique à la fois morbide et fascinante, une aventure aux frontières du réel, entre le monde des vivants et le monde des morts, un monde de vengeance, de cruauté, empreint d'un esprit vieillot du XIXe siècle qui ne demande qu'à crever l'abcès. J'ai beaucoup aimé les côtés spirituels et religieux qui entourent la Vorrh mais que j'ai trouvés très peu développés pour finir, et j'aurais aimé en savoir plus sur l'histoire étrange d'Ismaël et de ses protecteurs. Même si ça ne m'a pas accroché autant que je l'aurais pensé (surtout avec une préface d'Alan Moore et une recommandation de Pullman - j'avais mis la barre bien trop haut, sans doute), je pense que ça reste un livre à lire absolument pour les personnes amatrices d'ambiance du type Les machines à désir infernales du docteur Hoffman de Angela Carter.

(voir la critique intégrale sur le blog)
Lien : https://lecombatoculaire.blo..
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Ce livre m'a vraiment laissé perplexe !
L'écriture est très belle, mais assez abrupte, aussi bien par le vocabulaire employé que par la longueur des phrases. Si bien que la moindre baisse de concentration pendant la lecture m'obligeait à reprendre la phrase voire le paragraphe depuis le début ! A ne pas lire, donc lorsque l'on a des préoccupations ou des sujets de distraction parasites !
Le "fil rouge" du roman est la forêt Vorrh, non pas en tant qu'élément principal de l'histoire, mais plutôt comme la toile de fond d'une série de tableaux ...
Par contre, par sa construction, le roman a été incompréhensible pour moi. Il décrit, par chapitres des histoires indépendantes les unes des autres, avec nombreux personnages dans chaque. Ces histoires semblent passionnantes, envoutantes, intrigantes, mais comme l'auteur commence ses chapitres sans titre ni indice qui indique au lecteur de quelle "histoire" il va traiter, j'ai eu un mal fou à les aborder !
Je pense que, comme ce sont des histoires indépendantes les unes des autres, l'auteur aurait dû les traiter les unes après les autres, entièrement, sous forme d'un roman de nouvelles, avec en trame de fond la forêt vénéneuse et mystérieuse de Vorrh pour ne pas compliquer la tâche du lecteur inutilement !
La lecture doit rester un plaisir ...
Mention spéciale pour la couverture !
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Une étonnante merveille.
Une histoire où l'on finit par se demander où se trouvent la tête et la queue.
Mais Dieu comme il me fut bon de me perdre dans les méandres obscures et fantastiques de cette écriture.
A lire
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