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3,85

sur 626 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Sophie rêve de devenir princesse. Elle fait tout pour être parfaite. Son espoir secret : être enlevée et amenée à l'école du Bien et du Mal. Elle aspire à devenir un personnage de conte de fées. Mais rien ne se passe comme elle le prévoyait. Elle est bien enlevée ainsi que son amie, la sombre Agatha, mais surprise c'est dans l'école du mal qu'elle est rattachée.

Persuadée qu'il y a eu erreur, elle ne cesse de tout faire pour retrouver ses pairs, aidée par Agatha qui elle veut rentrer chez elle et n'a jamais voulue être princesse..

Qui, au final, est méchante ou gentille ? Est-ce si facile et simple que d'être dans une case bien définie ?

Un roman conte de fées assez original qui mélange les codes et les a priori. Un texte fantastique qui mêle humour et suspens. Tome 2 à suivre.

Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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Voilà un livre que j'ai franchement trouvé intéressant. C'est assez curieux, parce que de prime abord, j'ai trouvé son univers tellement cliché, le Mal vraiment trop dégoûtant (limite écoeurant à force), le Bon vraiment trop neuneu, que je me suis demandé pourquoi il avait eu son succès. Mais… peu à peu, je l'ai découvert vraiment intéressant. Avec son second degré justement, avec cette lecture double. En fait, je crois même qu'il a son petit côté « génie ». Il aborde sans avoir l'air d'y toucher, et pour les courageux qui ne se lassent pas trop vite, des sujets vraiment pertinents pour le public de jeunes auquel il est destiné : ne pas se fier aux apparences (pour ça je lui trouve du génie, parce qu'en lui-même, je trouve qu'il rentre dans ce thème - ne pas se fier à son apparence niaise), accepter (ou comprendre) tous ses cotés (bons et moins bons) et ceux de autres, écouter son coeur, trouver sa voie, se faire confiance, comment l'estime de soi peut être un déclencheur pour changer le regard qu'on a sur nous-même ou que les autres ont sur nous, les codes sociaux qui nous enferment. Vraiment, si au début il ne m'avait pas convaincue plus que ça, en le refermant ce soir, je le trouve vraiment astucieusement rondement bien mené.
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Je ne m'attendais clairement pas à ça! Je pensais lire un roman rempli de clichés mais étonnamment, ceux qui font partie du récit ne sont pas mis trop en avant, ils sont même parfois exploités pour cacher quelques rebondissements!
On s'attend forcément un peu à ce qui va se passer quand on connait plus ou moins les schéma habituels de certains récits. L'auteur nous balade cependant pas mal dans son histoire, à la limite de nous faire douter de la finalité de son histoire. J'ai vraiment apprécié cette façon de ne laisser aucun répit au récit, on sent l'urgence dans l'esprit d'Agatha, l'enchaînement des conséquences de chaque acte.
Les personnages sont vraiment très bien travaillés, on surprit par l'action de certains avant de se rendre compte que finalement, ce n'est pas aussi illogique que ça. Leur complexité psychologique est vraiment intéressante. Ils démontrent aussi l'impact des paroles sur les gens, petite leçon qui ne fait jamais de mal à rappeler. J'ai vraiment eu un coup de coeur pour Agatha, pour sa force et sa volonté.
Niveau texte, la traduction a gardé une belle richesse de vocabulaire et de tournure de phrase sans rendre le texte lourd, indigeste ou même complexe. On se laisse très vite emporter par le récit, les décors sont suffisamment décrits pour permettre de facilement visualiser l'univers de l'école et de ses alentours.
Inutile de dire que le tome 2 a déjà sa place de réservée dans ma PaL!
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J'ai beaucoup aimé. L'univers et les personnages sont incroyables. Un grand bravo à l'auteur pour avoir imaginé un si bel univers.

L'école du bien et du mal est l'histoire de Sophie et Agatha, deux adolescentes, qui vont se retrouvées kidnappées, pour aller dans ces fameuses écoles. Tandis que Sophie est persuadée d'être une princesse, elle est vaniteuse et prétentieuse, et fait tout ce qu'il faut pour faire le bien et ne cesse de faire de bonne actions, alors que, Agatha est tout le contraire, elle est discrète et gentille, mais elle est traitée en paria par les autres adolescents du village.

On va vite voir la différence entre les deux filles. Dès le début, Sophie nous paraît égoïste, rusé, mesquine, méchante comme les sorcières au final. Alors qu'Agatha elle est prête à tout pour Sophie, mais elle est naïve, gentille mais un peu niaise par moment comme les princesses après tout.

Tout est prévisible, on connaît déjà la fin de l'histoire dès le début mais c'était une chouette lecture. Et le livre ressemble beaucoup au film ce que j'ai apprécié par la même occasion.
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J'avais déjà vu un peu partout ce livre et pour être honnête, il avait l'air assez enfantin donc je n'avais jamais sauté le pas de peur d'être déçue. Au final c'est le film qui m'a décidé.

Alors personnellement, j'ai dévoré ce livre (littéralement plié en 2jours). J'ai beaucoup aimé l'univers aux allures de conte de fée qui ressemble beaucoup aux contes originaux (et pas ceux de Disney). J'ai bien aimé aussi le fait que la beauté n'est pas simplement physique cependant, j'aurais aimé que cet aspect soit un peu plus développé et qu'on casse un peu plus les clichés. J'ai aussi apprécié le fait qu'on retrouvait un peu de gentillesse dans les méchants et de la méchanceté dans les gentils (tuer des filles parce qu'elles n'ont pas reçu d'invitation à un bal, c'est quand même pas très gentil).

Mis à part Agatha et les colocataires de Sophie, je n'ai pas vraiment apprécié les autres personnages. Elles sont les seules personnages assez sympathiques ; parce qu'entre les gentils qui sont hypocrites et non gentils (avec une mention spéciale pour Tedros, le personnage le plus insupportable de ce livre) et Sophie l'apogée de la toxicité, difficile de ne pas prendre parti pour le camp des méchants et d'apprécier les autres personnages.

La fin de ce livre m'a laissé assez dubitative. Malheureusement, j'ai été beaucoup moins subjuguée que par le reste (peut être simplement dû au fait de Tedros, je ne sais pas). Donc j'appréhende un peu pour la suite.

Pour conclure, je suis positivement surprise par ce livre. J'ai adore l'univers.
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J'ai acheté et lu ce tome sur un coup de tête après avoir vu le film sur netflix. Je n'arrive pas à rester sur un film inspiré d'un livre, il me faut absolument que je lise le livre pour répondre à mes questions habituelle : à quelle niveau le film est-il inspiré ? Est-ce que le film est meilleur que le livre ?

Mes questions ont vite été répondu :
- le livre est de loin meilleur que le film.
- le film s'est inspiré du squelette du livre, certaines scènes manquaient du livre qui étaient pour moi essentielles.

Je ne suis pas l) pour faire une critique de ce film, mais du livre.
Ce livre est vraiment bien, je le recommande car il parvient à mélanger les contes de fée et le style d'Harry Potter (ce principe d'école pour apprendre à devenir).
L'écriture est fluide, peut parfois tendre à deux petites longueurs.
J'ai vraiment aimé le personnage d'Agatha, malgré que son surplus de gentille m'a fatiguée à certains moments. le personnage de Sophie m'a énervée, ce qui me pousse à dire que l'auteur a bien su manier son écriture. Nous étions avec les personnages dans ces deux écoles : l'école du Bien et du Mal.
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J'ai acheté ce livre après avoir vu l'adaptation sur Netflix (en général je fais plutôt le contraire mais je trouve ça sympa également de le faire dans le sens fiction>livre), car cette histoire m'intriguait, avec son postulat de départ simple : deux amies sont enlevées et emmenées chacune dans les écoles du bien et du mal, qui forme les personnages de contes et s'efforce de maintenir l'équilibre entre... le bien et le mal. J'aime beaucoup tout ce qui reprend les codes des contes de fée, la fantasy et le fantastique. Et surtout, la littérature jeunesse d'aujourd'hui propose de vrais petites pépites à ses lectorats. Bref, ce livre avait tout pour plaire.
J'avoue que le début m'a un peu inquiétée, je trouvais les deux héroïnes ultra clichées : la sinistre Agatha qui vit dans un cimetière, isolée et avec une mère socrière/guérisseuse, la jolie Sophie toute vêtue de rose qui vient lui faire l'aumône d'un peu d'attention et qui a déjà prévu son plan de carrière en tant que princesse. Mais c'était voulu, puisque la suite ne se passe pas comme elles le voulaient, à savoir Agatha emmenée dans l'école du bien et Sophie dans celle du mal. On a évidemment beaucoup de clichés (oui, ce mot revient souvent dans ma critique) rien que dans le décor (c'est rose et scintillant dans l'école du bien, moisi et sale dans celle du mal), mais mine de rien, si on creuse à mesure qu'avance l'intrigue et les personnages, ces clichés sont battus en brèche...
Je me suis personnellement attachée à Agatha et même à ses trois colocs sorcières (Anadil, Esther et Dot), formidables jeunes méchantes potentielles, cousines de Mercredi Addams par moments, tandis que celles de Sophie ne sont pas détaillées. Juste, elle a une camarade de classe qui est son miroir au début : Béatrix, belle et superficielle, qui a les vues sur le même garçon qu'elle, un certainTendros.
Il y aurait à dire sur Béatrix, car si le bien est beau, il est censé en outre être bienveillant, ce qui n'est pas du tout son cas. C'est une petite garce arriviste qui ne mérite pas pour moi le titre moral de princesse, j'avais l'impression en lisant le livre, de voir la chear leader en chef dans un lycée des états-unis, qui martyrise les impopulaires.
En revanche, Sophie n'a pas trouvé grâce à mes yeux, bien qu'en tant que personnage de fiction elle fasse très bien le job. Elle est ultra superficielle et égoïste vis à vis d'Agatha dont elle se sert et dont elle rejette régulièrement l'amitié :
Plusieurs passages du roman pèchent par des descriptions confuses de l'action, voire des décors, si bien que j'ai peiné à suivre l'intrigue par moments, même en essayant de bien la visualiser ; c'est pour moi le défaut majeur de ce premier tome, dont le style reste quand-même agréable.
Le personnage de Tendros, prince et fils du roi Arthur, est intéressant : au début, il fait partie de la cohorte des apprentis princes du Bien reluqué par les filles populaires, se démarquant par sa popularité. Par la suite, il évolue, se libère de ce carcan ultra normé de prince potiche et fait le lien entre les deux héroïnes, passant du cliché au jeune homme qui réfléchit par lui-même.
Au final, les jeunes filles sont parfaitement à leur place dans leurs écoles respectives :
L'organisation de l'école en elle-même, bien qu'agréablement portée à l'écran, ne m'a pas accrochée comme aurait pu le faire Poudlard en son temps. Les professeurs n'attirent pas beaucoup ma sympathie
Un roman plein de bonnes idées, qui aurait gagné à ce que certains passages soient écris de manière moins foutoir et qui mine de rien déconstruit assez bien le cliché Bien/Mal. Quelques défauts dans le style mais il s'agit d'un premier roman. Un exercice que je trouve toutefois bien réussi, même s'il n'est pas parfait. Pour vous faire une idée, lisez-le avant et, si vous en avez la possibilité, regardez le film qui en découle sur Netflix.
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La sortie sur Netflix du film éponyme inspiré de L'Ecole du Bien et du Mal a été l'occasion de découvrir cette série de roman écrite par Soman Chainani, qui relate le conte de Sophie et Agatha. Les deux jeunes filles vivent dans un petit village qui subit tous les quatre ans une rafle de deux enfants. Personne ne revoit jamais les deux bambins, si ce n'est comme personnages principaux des livres de conte qui arrivent à la boutique du libraire du coin, sans que les villageois ne sachent d'où leur parviennent ces étranges livres. Sophie, bien au courant de cette pratique, rêve d'être kidnappée par le « Grand Maître » et de devenir la princesse qu'elle sait être, portée par la promesse de sa défunte mère qu'un grand destin l'attend. Comme un négatif de la jeune fille, bien portante aux belles boucles longues qui adore se pomponner et être en rose, Agatha elle est maigrichote, pâle comme un linge, avec des cheveux gras… Bref, l'archétype de la sorcière. Et pourtant, lorsqu'elles se retrouvent dans l'Ecole du Bien et du Mal, établissement qui leur apprend à devenir des personnages de conte, c'est Sophie qui se retrouve à l'Ecole du Mal, alors qu'Agatha atterrit au milieu des fleurs et des fées. Si Sophie souhaite prouver à tout prix qu'elle est dans la mauvaise école et être intégrée au rang des princesse, Agatha, elle, cherche avant tout à rentrer avec Sophie à la maison.
Au cours de leurs aventures, nous en découvrons plus sur l'univers des contes dans lequel elles ont été projetées : que cela soit à travers l'histoire de ce monde, où le Bien gagne depuis 200 ans, à travers les fils et filles de personnages célèbres que les deux jeunes filles rencontrent ou encore à travers les lieux mentionnés ou visités.
Dans ces romans, l'objectif des enfants est de créer leur propre histoire, et de vivre leur propre vie. Contrairement à Ever After High où la fille de Blanche-Neige a sa vie toute tracée devant elle, puisqu'elle va reprendre le rôle de sa mère dans son conte pour perpétuer ce dernier, à l'Ecole du Bien et du Mal, chacun forme son propre chemin. Bien sûr, les contes traditionnels sont connus, mais leurs héritiers, qu'ils soient Gentils ou Méchants ont pour but d'avoir un meilleur conte que celui de leurs parents. Ainsi, Heather veut surpasser sa mère, la sorcière de Hansel et Gretel, qui s'est bêtement fait avoir par des gamins désespérés ; Tedros, le fils d'Arthur et de Guenièvre, n'est pas non plus en reste : il veut, lui, trouver une princesse réellement Bonne, qui ne quittera pas mari et enfant avec le premier chevalier venu. Cet aspect est, à mon sens, très intéressant puisqu'il permet de renouveler le genre de l'école de conte tout en réinterprétant les contes plus traditionnels, ce qui offre un vent de fraîcheur à la fois sur le genre et sur les classiques.
Par ailleurs, le lecteur est pris à partie directement dans le système du monde : à travers les personnages d'Agatha et de Sophie, appelées avec dédain par leurs camarades « Lectrices », qui découvrent l'univers des contes avec lesquels elles ont grandi, nous le découvrons en ayant les mêmes références, ou au contraire le manque de références, qu'elles. J'ai beaucoup aimé la construction et les explications que nous avons eu de tout l'univers du roman, qui est moins manichéen qu'il n'y paraît au fur et à mesure que l'on avance dans les livres. de même, on sent que l'auteur est spécialiste de la question : sans que cela ne soit abordé de manière trop lourde ou trop scolaire, des réflexions sur la structure même d'un conte, avec ses types de personnages définis et ses moments clefs tout comme ses dénouements traditionnels sont proposées.
Si les personnages d'Agatha et Sophie me semblent bien amenés, humains à la fois par leurs forces et leurs faiblesses, même si elles peuvent en devenir un peu insupportables par moment. En revanche, les personnages masculins sont bien trop peu construits : il faut presque attendre le deuxième tome pour que Tedros sorte du cliché du prince BG et qu'il ait une histoire. Il est assez uniforme, et son personnage commence à être réellement intéressant entre la fin du second tome et le troisième, où, il prend un peu de relief. le fils du capitaine crochet n'a pas réellement d'autre personnalité que d'être amoureux de Sophie, quant à un personnage qui apparaît dans le troisième tome, malgré une histoire complexe et intéressante… il en reste plat ; c'est, en fait, un personnage féminin qui est approfondie à travers lui.
de même, force est de constater que le livre est, malgré une écriture assez récente, assez… sexiste. Les princesses veulent toutes se pomponner, sont toutes superficielles, n'ont pas réellement d'ambition autre que d'être une bonne épouse. Même lorsque, et c'était pourtant intéressant, un évènement amène les étudiantes du Bien et du Mal à co-habiter, et que les Méchantes se permettent de laisser libre court à leurs envies vestimentaires ou de maquillage, et qu'au contraire les princesses abandonnent ce qu'elles s'imposaient jusque-là, on en reste toujours à leur apparence. Par ailleurs, les remarques sur le physique de Dot, si elles essayaient de se faire passer pour de simples blagues, cumulées à l'exclusion du trio de sorcière à laquelle jeune fille fait fasse, soit parce qu'elle n'est pas assez bonne à l'école, soit parce qu'elle mange trop, soit parce que les deux autres lui préfèrent Agathe, soit parce qu'elle ne mange pas, tombent carrément dans le harcèlement, qui n'est jamais vraiment adressé au final, ce qui me semble dommageable.
Le sexisme va aussi dans l'autre sens : les garçons ne sont que des être répugnants, qui ne se lavent pas et se comportent comme des cochons s'il leur est donné la moindre liberté. Certes ce sont des adolescents, mais considérer que tous les garçons de l'école – sauf un, qui est bien l'exception d'ailleurs – se comporte de la sorte, c'est réducteur.

Malgré tout, cela a été une lecture que j'ai beaucoup appréciée ! Les réécritures des contes, et du genre même, sont intéressantes, les personnages féminins ne sont pas unilatéraux, et les intrigues des différents tomes sont, je trouve, bien tournées. On passe un moment très agréable en compagnie de ce premier cycle, assez en tout cas pour dévorer les trois livres en moins de deux semaines ! Si le tome 3 se finit de manière un peu abrupte, j'espère que le cycle suivant saura combler les quelques insatisfactions qu'il me reste.
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3.75/5

Ça fait longtemps que je voulais lire le premier tome de cette série jeunesse plutôt connue et qui va bientôt faire l'objet d'une adaptation Netflix.

Cette lecture m'a donné l'impression de retourner en enfance : les mêmes ressentis que lorsque je regardais les winx et que je lisais Tara Duncan, l'ensemble plongé dans l'imaginaire des contes de fées. Un très bon mélange en somme, mais pas exempt de tout défaut. J'ai grincé des dents à plusieurs reprises et j'attendais le fin mot de l'histoire avant de pouvoir définir la limite entre les idées appartenant aux personnages et au propos général du roman. Heureusement, la fin m'a agréablement surprise et tout à fait convaincue, elle m'a aussi rassuré sur la nature du message transmis par l'auteur. Je reste cependant sceptique concernant le personnage de Dot et les personnages masculins en général.

Dans l'ensemble, il s'agit d'un bon jeunesse que je pourrais recommander sans problème à son public cible. La fluidité de la plume, la tonne de péripéties et l'enchaînement rapide des événements rendent la lecture addictive et les pages défilent à toute vitesse

J'ai hâte de voir le film et même si je trouve que ce tome s'auto-suffit et qu'il possède une bonne fin, je pense lire la suite.
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Qui sommes-nous vraiment ? Sommes-nous forcément ce qu'on dit de nous ? Ce roman jeunesse dont l'univers est construit sur les contes de fées met en scène deux héroïnes qui se questionnent sur leur identité après avoir été classé l'une avec les gentils, l'autre avec les méchants.
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