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3,62

sur 427 notes
SPOILERS Je serai bien en pleine de donner un avis sur ce Livre tellement j'ai à la fois adoré (au début) et détesté (à la fin). C'est ce genre de livre génial qui nous déçoit à l'extrême par leur fin parce qu'on va vers un truc illogique, nul, mal écrit. C'est d'autant plus rageant.Tout le début était très immersif et fascinant : mélange d'horreur, de fantastique, de mystère et d'étrange. Avec des scènes horribles et glaçantes très cinématographiques avec beaucoup d'actions.Jusqu'au moment où on nous dit que l'enfant est devenu Dieu parce qu'il a construit une cabane dans un arbre sur la demande d'un sac en plastique, où j'ai commencé à avoir des doutes. S'en est suivi un dégonflement énorme car les pages s'enchaînaient avec des scènes redondantes avec sans arrêt les mêmes phrases et les mêmes situations sans que ça n'apporte rien à l'histoire.Et le déroulé allait de pire en pire, au point d'aller toujours plus loin dans le délire mystique de Dieu. Il y avait à la fois l'aspect apocalyptique d'une ville envahie par une grippe mysterieuse et des gens qui semblaient tous de plus en plus possédés... et de l'autre ce délire mystique qui venait gâcher tout.Jusqu'à la révélation finale. Qu'ouï-je ? le gentil monsieur n'était finalement pas le gentil mais le méchant ? Hin c'était le diable ? Hin c'est lui qui manipule tout le monde depuis le début dans le but de fuir et d'être libre ? Quoi, la femme qui siffle présentée comme la pire des pestes (qui répète tout le temps les memes phrases comme un robot, genre, si elle avait dit clairement les choses le livre aurait fait 30 pages), c'est une gentille et c'est Ève ? Autant dire que je n'ai rien compris aux propos de l'auteur et à la dimension métaphorique ou mystique de l'histoire. Pour moi ça ne s'apparente qu'à un immense gâchis. c'est comme fabriquer entièrement un Paris-Brest et puis au final tout défoncer avec une batte de baseball. Si encore on avait des explications claires ? Non.Au passage, on appréciera (sarcasme) le trope du handicap supprimé par magie. Bah oui, le gosse dyslexique est guérie par le diable qui supprime sa dyslexie et le dote d'une connaissance illimitée sur tout et tout le monde, ravissant sa mère qui a enfin un enfant normal !... pourquoi ? Validisme quand tu nous tiens! Quand on fait un perso handi, forcément l'objectif est qu'il soit guérit à la fin. Soit par magie. Soit par l'Amour. Désolée de décevoir mais ça n'arrive jamais dans la vie !D'ailleurs, on appréciera aussi le passage final où l'enfant pardonne le diable. Parce que Dieu est Amour. L'enfant c'est dieu vous comprenez donc dieu est amour. AH ! 700p pour recevoir un sermon ?!Je n'ai pas compris le leitmotiv qui revient sur 400p comme quoi Dieu est un assassin. Qu'a voulu dire l'auteur ? C'est quoi le message qu'il voulait faire passer ? Mystère.Autre passage incompris: cette femme enceinte par immaculée conception, qui reste enceinte malgré que le méchant pas gentil est vaincu, alors que tout le monde guéri des plaques de boutons et de la démence paranoïaque ? Pourquoi ? C'est quoi le message de l'auteur encore ? Parce qu'on fait une f***** alors on a bien mérité d'être enceinte et l'4vortement c'est mal ? Je sais pas ?Dernière chose : le sujet de la maltraitance envers les enfants. C'est bien représenté, c'est bien écrit, les mécanismes sont bien illustrés. C'est extrême et dérangeant, bon... ok.... Mais pourquoi tous les enfants semblent subir ça ? Et le propos sur ce sujet qui revient régulièrement : si on est maltraitant, est on condamné à maltraiter nos enfants ? Est ce une question de choix ou est ce qu'on n'y peut rien ? Qui a été le premier a maltraiter au tout début et pourquoi ? Que voulait il dire par là ? Oui ? Non ? Sachant qu'il met en scène la solution par la violence extrême des victimes. Salvateur oui, mais ça reste sans suite puisque tout le monde survi comme par magie. C'est pour le décorum ? le sensationnalisme (parce qu'une mère qui traite son enfant comme un chien en le mettant dans une niche, ça stimulera le cerveau du lecteur qui trouvera ça horrible)? Était ce le diable qui poussait les maltraitant à maltraiter et donc ça excuse tout et tout le monde devient bon et gentil ? Fini la niche et l'inc4ste ? Par ce que Dieu est Amour (ou un assassin, je sais pas, il y a comme une contradiction)On nous fait le coup de l'indice caché avec des lettres majuscules. Puis plus tard, on nous colle des majuscules sans que ça n'est plus aucune sens, à part perturber la fluidité de lecture... c'est peutêtre juste une figure de style. Ou il y a une explication que personne n'a trouvé.Après une expédition sur internet, j'ai pu remarquer que je n'étais pas la seule déçue, ni la seule à ne pas avoir compris ce livre. le mystère reste donc entier.Si vous avez des réponses à mes interrogations, vous pouvez m'expliquer en commentaire ou en DM. Après tout, j'ai appris aujourd'hui que visiblement mes troubles du spectre autistique impactent ma compréhension de lecture...
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Alerte coup de coeur ‼
Et ce coup de coeur je le doit à Stephen Chbosky et l'Ami Imaginaire. Un joli pavé de 980 pages incroyables.

Nous suivons ici l'histoire de Christopher et sa mère, fraîchement arrivés dans la petite ville de Mill Grove. Alors qu'ils pensaient y vivre une vie paisible, Christopher va disparaître pendant 6 jours. À son retour, tout aura changé pour lui, et il sera chargé de missions s'il ne veut pas que tout le monde dans la ville soit tué à Noël.

Nous avons ici un livre qui pourrait clairement faire penser à un Stephen King, d'ailleurs certaines références sont très peu cachées : des « ratés » qui traînent ensemble comme dans Ça et la méchante qui a des agissements à la Pennywise. D'autant plus que Christopher peut faire un peu penser à Danny dans Shining.
Un combat va se faire entre deux mondes, et cela va se lire sans difficulté. A part des longueurs à deux reprises la lecture est fluide, prenante, angoissante. Stephen Chbosky arrive à nous faire partir dans toutes les théories possibles.
Un conseil, ne le lisez pas avant de dormir… vos rêves ne seront pas si doux !

Ce livre devient pour moi une référence de l'horreur, et si King est un dieu de l'horreur, Chbosky en est son descendant direct.
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J'ai dévoré ce livre et j'ai été tenue en haleine tout au long de cette histoire. Elle aura réussi à me créer des nuits blanches tellement j'ai eu la frousse par moment. Toutefois, je trouve la fin un peu trop chargée et je crois que l'histoire aurait pu se terminer plus tôt.
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Lecture mitigée concernant ce livre. J'ai adorée le début et l'intrigue, légèrement dérangeant et inquiétant il promettait une histoire frissonnante, l'ambiance les personnages tout se prêter à une ambiance et une top histoire. Seulement voilà … arriver au 700 pages environs … de grosses et lourdes longueurs .., je n'en voyais pas le bout. On crois que c'est la fin et puis non ça recommence encore et toujours, la lutte semble interminable … c'est dommage ça enlève énormément du potentiel de cette histoire. Je pense qu'en raccourcissant quelques passages et en retravaillant la fin aurait été tout aussi bien .
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Kate et son fils Christopher arrivent à Mill Grove afin de commencer une nouvelle vie, loin de l'ex violent que Kate a connu. Ce ne sera pas facile mais elle y croit et fera tout pour son fils. Mais Christopher disparaît au coeur du bois de la ville et ne donne plus de nouvelles pendant 6 jours. Et il réapparaît. Personne ne sait ce qu'il lui est arrivé mais Christopher lui, sent que quelque chose d'étrange s'est produit. Tout commence à changer à partir de ce moment là. le murmure dans sa tête, la femme qui siffle, le gentil monsieur qui essaie de l'aider... Puis en ville tout le monde est bizarre petit à petit. Démangeaisons, grippe, violences. Christopher va devoir remédier à ça, quoi qu'il en coûte.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture ! Dès le début on est happés par les personnages, le petit Christopher est très attachant et sa mère, pleine de courage aussi. On découvre petit à petit les habitants de cette ville et leurs particularités.
C'est vrai que j'avais vraiment l'impression de lire du Stephen King. La tension monte progressivement au début pour finir en tension extrême. Tension extrême qui dure plusieurs centaines de pages d'ailleurs car le dénouement final est très long et dense. Je pense que je n'ai jamais lu une conclusion aussi longue à venir. Je dois dire que c'est le seul bémol que je trouve à ce roman. En arrivant vers la fin je commencais à me décourager un peu et à avoir vraiment envie de savoir la fin !

Néanmoins c'était une très bonne lecture, on est vraiment plongés dans une atmosphère sombre, avec des peurs enfantines mais aussi très adultes : on passe d'une vielle femme qui siffle à la maltraitance, de personnes "boîtes aux lettres" à l'inceste. Tout est mélangé pour qu'on plonge dans l'horreur. C'est vraiment bien fait.

J'ai été surprise par une révélation au milieu du roman je dirais, je ne m'y attendais pas du tout, je ne l'avais pas vu venir. Par contre la toute fin, si. C'est même assez prévisible (je parle vraiment des dernières pages).

En résumé c'est un livre hyper complexe sur certains aspects mais très facile à lire, je l'ai dévoré. Si vous cherchez un roman dans la veine du King, lisez-le.
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Ce pavé de près de mille pages m'attendait depuis l'année dernière. Des frissons, un chef d'oeuvre : telles sont les promesses du roman sur la couverture du roman. Je me mets dans l'ambiance d'Halloween et je me plonge dans ce livre. Les promesses sont-elles à la hauteur de mes attentes ?

Pour le chef d'oeuvre, je n'irais pas jusqu'à là. En revanche, J'ai clairement été immergée dans cette ville de Mill Grove, en Pennsylvanie, comme dans un huis clos. Car tout ce qui va se passer dans ce roman, ne se passe que dans cette ville et c'est bien l'intérêt principal de ce roman. Puisque cette ville a un passé lourd : la disparition d'un enfant il y a 50 ans. Jamais cet enfant n'a été retrouvé et le mystère hante encore la ville et s'en trouve meurtrie. L'histoire se répète car Christopher, 7 ans, récemment installé avec sa mère dans cette ville va avoir un comportement très étrange après avoir disparu quelques jours dans la forêt de Mill Grove. Tout l'entourage proche de Christopher va pâtir du retour de Christopher et le lecteur doit jongler avec une dizaine de personnages que l'on découvre au fur et à mesure. Beaucoup disent que le style de roman se rapproche de ceux de Stephen King ; mais pour moi, dans les romans du maître King, je me retrouve souvent perdu avec tous les nombreux personnages (et j'ai d'ailleurs énormément de mal avec les digressions de King). Ici, dans ce roman, on suit facilement qui est qui, et pas de digression, on va droit au but.

Pour la deuxième promesse, les frissons, mon avis est largement plus lapidaire puisque j'ai très rarement des frissons avec des romans. Il y a un retournement de situation vers les 300 dernières pages qui auraient pu me surprendre et me donner des frissons, mais en réalité, j'avais deviné ce « rebondissement » bien avant que j'en arrive à ce point.

J'ai apprécié la lecture de ce roman mais lorsque le mystère était entier. Une fois qu'on arrive au stade du monde imaginaire, j'ai eu beaucoup de mal à ne pas décrocher. Clairement, les 200 dernières pages sont de trop. L'auteur a voulu en faire trop et les scènes sont répétitives. de base, je n'aime pas les romans d' « action » mais j'arrive tout de même à apprécier des scènes de ce genre lorsqu'elle ne traîne pas trop. Là, on est clairement dans un suspense de fin de roman, qui s'étire, si bien que je me suis complètement détachée de ce qu'il pouvait se passer par la suite. J'ai survolé quelques chapitres à la fin. Je l'ai terminé il y a quelques heures, et je suis incapable de me rappeler de la fin. Signe qu'en réalité, je me contrefous clairement de ce que les personnages sont devenus.

En bref, ça aurait pu être une bonne lecture si l'auteur n'avait pas poussé la résolution du mystère entourant cette ville. le roman est captivant durant les 500 premières pages mais il faut s'accrocher par la suite. J'en garderais tout de même un bon souvenir, parce que ces enfants qu'on suit sont très attachants et surtout parce que j'ai consacré presque 3 semaines à le lire, après une bonne panne de lecture.

Lien : https://letempsdelalecture.w..
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Mill Grove, Pennsylvanie devient le refuge d'une mère, Kate et de son fils. Christopher disparaît au coeur de la foret et revient changé. Il entend la voix de la forêt qui lui dicte une mission...

L'histoire démarre doucement pour ensuite ne plus vous lâcher en prenant une tournure de plus en plus hallucinante. Ce roman est terrifiant. Se revendiquant du grand King, on retrouve cette touche mi-horrifique mi-merveilleux. le thème de l'enfance , de l'amitié nous rappellent aussi Stephen King. On aborde aussi beaucoup de sujet actuel : le rapport à la religion, aux maladies mentales et à l'imaginaire.

L'ambiance de cette bataille entre le bien et le mal est addictive. Les événements se succèdent à un rythme soutenu, les pages défilent et on ne peut pas poser ce petit pavé.

Les personnages sont variés entre le groupe d'enfants et les adultes qui apportent parfois de la sympathie ou parfois de l'antipathie. Ils sont tous très bien développés et ont tous de la profondeur.

C'est un conte horrifique original, épique et effrayant. Un coup de coeur ❤
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J'ai étais agréablement surpris par ce titre. Félicitations à l'auteur dont la capacité à changer de registre fait impression, car il y a peu de similitude entre les romances adolescentes du "Monde de Charlie" et "l'Ami imaginaire". Quelques éléments viennent néanmoins minimiser l'impression positive du roman. Premièrement, le caractère fantastique. Je pensais en effet me retrouver face à un policier pur et dur et je trouvais que l'histoire tardait un peu "à rentrer". Enfin lorsque j'ai compris qu'il s'agissait d'un fantastique, l'intérêt pour la lecture a pris tout son sens et là : chapeau bas à Stephen Chbosky. Sa capacité à rendre par écrit un monde imaginaire est tout simplement stupéfiante et la transposition au cinéma n'est jamais bien loin tant le style est évocateur. le second bémol porte plus sur la question de la religion. Il faut bien le dire, cette lutte entre dieu et le diable est un peu fantaisiste et le roman aurait gagné en profondeur si il avait juste s'agit d'un délire psychologique de la part de Christopher.
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L'AMI IMAGINAIRE, Stephen Chbosky 🏚

C'est un demi abandon et je m'explique :

🏚Cette pavasse de quasi 1000 pages, a été entamé avec un certain enthousiasme, malgré un style un peu étrange au premier abord (beaucoup de courtes phrases), j'appréciais la mise en page, les différentes polices d'écritures selon les situations et les dialogues.
Les nombreux détails me font penser que ce livre pourrait vraiment fonctionner en film et je pense que j'aurais peut-être beaucoup plus apprécié.
On voit aussi que l'auteur s'est inspiré de Stephen King dans l'ambiance et dans traitement de l'Enfance.

❌Les petits problèmes qui m'ont fait lire les 350 dernières pages en diagonales, sont, premièrement qu'il y a pas mal de moments (et de mots) répétitifs et que ces moments tournent un peu en rond… et deuxièmement que l'on commence à peine à avoir des réponses à la fin de la 490ème pages...

Finalement j'ai fini par comprendre qu'en lisant la fin des chapitres j'avais la réponse à l'avancement de l'histoire bref,
j'avoue qu'à un moment j'en avais un peu marre sachant que je m'attendais à autre chose de l'histoire, (je pensais que Chris serait beaucoup plus dangereux au vu du synopsis ) bref cette dernière a fini par ne plus m'intéresser.
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Commençons par la base : j'ai adoré ce livre. C'est dit. Passons maintenant à la suite.

Nous suivons les aventures de Christopher et de sa mère Kate. Ils ont fuit la méchanceté d'un homme et espère se reconstruire dans cette nouvelle ville. Mais voilà que Christopher disparait pendant 6 jours. Nous avons là les 50 premières pages. A partir de là, les pages ne vont faire que glisser et glisser jusqu'à la dernière ligne. C'est un véritable page-turner de l'horreur. Quand on croit voir la fin l'auteur réussit à nous surprendre avec un retournement de situation. A force je ne savais plus sur quel pied danser. Que pouvait-il se passer d'encore plus terrible? Ce roman m'a donné des frissons et cela faisait longtemps qu'un livre ne m'avait pas fait cet effet là. Bravo! Difficile de parler de l'Ami imaginaire et de l'ennemi sans vous spoiler (ce qui serait vraiment dommage) mais merci mon imagination qui a parfaitement représenté le personnage.

L'auteur reconnait que King l'inspire et on le voit clairement. Plus j'avancais dans ma lecture, plus je me disais : "mais c'est co-écrit par King ou quoi!" Un pur régal. Mais l'auteur arrive à se détacher du maître en partant dans son propre univers. Mention spéciale pour la fin.

Les personnages sont bien développés et, malgré les horreurs, on finit par s'attacher à certains d'entre eux. Tout du moins à les comprendre. J'ai eu un coup de coeur pour le personnage du Shérif, si droit dans ses bottes. A contrario Mary-Katherine avait tendance à m'agacer. Mais c'est le personnage qui veut ça et il faut en passer par là. On retrouve tout un tas de personnages qui pourrait sortir de n'importe quel King.

Un des aspect que j'ai apprécié dans ce roman est la différence de typographie. Au début on peut croire à des fautes de frappes mais très vite on se rend compte que quand untel ou untel "parle", tout change. Et c'est brillant.

Cependant soyons honnête : certains passages ne vont pas. Il y a de la confusion pour certains "combats", et j'ai eu du mal à comprendre parfaitement l'univers créé par l'auteur. C'est le genre de roman qui nécessite une relecture à la lumière des faits découverts. Si la première partie est bien ancré dans le réél, la deuxième flotte avec le fantastique et la troisième part carrèment dans le fantastique pur. On aime ou on n'aime pas. Personnellement j'ai beaucoup aimé. Ce livre est une espèce de condensé de mes romans préférés. J'y ai retrouvé du King, du Gaiman, du Hill. Bref j'y ai trouvé du bon et cela a suffit à me conquérir.


Lien : http://l-entre-deux-mondes.e..
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