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4,36

sur 1194 notes
Conclusion XXL d'une trilogie à part, avec un style parfaitement identifiable. Roman de facture finalement assez classique, surtout par rapport au premier tome de la série, l'ouvrage n'est pas toujours facile à lire. Il s'y accumule beaucoup de notions de physiques qui sont parfois plus des pseudo-théories que de vrais courants de pensées. le tout est ainsi un peu lourd d'autant que l'auteur prend un plaisir sadique (et que je ne partage pas) à décrire dans le détail les tourments des protagonistes et de l'humanité entière. L'expression « Tomber de Charybde en Scylla » est ainsi souvent parfaitement illustrée. Ad nauseum. C'est très dommage car à force de vouloir enfoncer ces personnages dans une inextricable misère psychologique, l'auteur perd de sa poésie et le fil d'une histoire qui en devient longuette alors qu'un peu plus de rythme était nécessaire pour compenser les ellipses temporelles gigantesques qu'il se permet.
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Entre nos mains le 3ème tome de la saga du Problème à Trois corps. Après 2 récits montant crescendo en intensité et en intelligence, La Mort immortelle tient toute ces promesses.

Alors que Luo Ji a mis en place le système de dissuasion vis-à-vis de l'envahisseur trisolarien, la tension internationale bat son plein et l'humanité s'apprête à faire de grandes erreurs dans cette guerre où le rapport de force est anormalement déséquilibré. de nouveaux héros, certains perfides, certains aimant mais qui ne manquent pas de charisme, jouent un à un leurs cartes pour tenter de sauver la planète, ou dans leur propre intérêt.
Dans ce texte Liu Cixin développe, encore plus que dans les premiers tomes, des connaissances en physique fondamentale remarquables. En très bon auteur de science-fiction, il maîtrise ces principes pour leur octroyer des applications hypothétiques mais concrètes dans un futur lointain. Il va encore plus loin ici en jouant avec les plus récentes théories de physique quantique (notamment la théorie des cordes qui est loin d'avoir fourni tous ses secrets) pour imaginer des adversaires cosmiques immensément puissants et un sens à l'univers et à ses modifications, rien que ça. On y retrouve la volonté des auteurs à surpasser la science qui est leur point de départ tout en rendant leurs fabulations magnifiquement crédibles.

Le caractère contemplatif dans ce roman est largement apporté par la nouvelle personnage principale Cheng Xin qui jongle du mieux qu'elle peut entre la sécurité internationale, ses valeurs d'amour et sa santé mentale.

Une tension scénaristique magnifiquement menée dans cette immense guerre du cosmos. Un splendide épilogue qui nous tient en haleine du premier jusqu'au dernier mot. Je le conseille à tous les amateurs de SF. Si vous êtes un peu curieux comme moi, vous risquez également de beaucoup apprendre sur de nombreux concepts physiques.

Spectaculaire. Bravo Monsieur pour cette saga monumentale.

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J'ai été un peu moins emballée par ce troisième tome que par les deux premiers. C'est toujours une très bonne saga, mais l'enthousiasme du début s'est un peu essoufflé. Je m'y suis parfois un peu perdue dans la chronologie et les événements devenaient de plus en plus rocambolesques. On est loin des accélérateurs à particules et des nano-materiaux du début du livre, place à la vraie science-fiction, celle où tout ou presque devient possible grâce à la technologie.
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Dernier tome de la trilogie commencée avec le problèmes à trois corps. L'action, ici se déroulera sur de nombreux siècles, alternant hibernation et réadaptation à la nouvelle époque pour les personnages principaux.
Passé les 150 premières pages, j'ai eu beaucoup de mal à rester concentrer sur l'histoire, j'ai trouvé les personnages peu intéressant, l'histoire se trainait.
Je n'ai pas lu ce roman à un moment propice je suppose. Je le relirais donc certainement un jour mais pas en 2022.
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J'ai dévoré ce gros pavé en quelques jours et quelques nuits. Dans la foulée des 2 tomes précédents. Et je fais le même type de commentaires que pour les 2 précédents : original, palpitant sans être centré sur les scènes d'actions, parfois poétique. Ce dernier opus est sur des thèmes plus classiques de la SF : voyages à la vitesse de la lumière, passage dans des univers parallèles, extra-humains à éviter à tout prix. Un peu déçu néanmoins par la fin, trop abstraite à mon goût.
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Dernier tome de la trilogie, je suis pas mécontent d'être venu à bout de la Mort immortelle de Liu Cixin. Jolie pavé de 920 pages très fines, on a pas trop l'impression d'avancer rapidement. En tous cas, quelle claque !

Je ne suis pas sûr de relire une Sf qui ressemble à la Trilogie le Problème à trois corps. Dans La Mort immortelle, l'exploration scientifique aborde un développement plus classique mais la réflexion autour des enjeux, l'ensemble de l'univers sont décalés et largement développés. Et ça me plaît car Liu Cixin aborde cette période de transition, d'incertitude quant à la rencontre extra-terrestre et Liu Cixin l'explore par le menu. On ne peut le critiquer sur ces prospectives scientifiques.

Il y a toujours le point noir/gris d'un manque d'empathie envers les personnages et je pense que cela vient du fait que l'Humanité, dans son entier est le protagoniste de cette trilogie ambitieuse. Impossible donc de la rendre plus proche tant Elle est diverse et multiple. Si Liu Cixin avait ajouté du romanesque avec des intrigues plus humaines, des personnages plus détaillés, cela aurait doublé le volume des romans.

La Mort immortelle ressemble plus à ses confrères de la Sf avec vaisseaux spatiaux et bases extra-terrestre mais le coeur de cet univers n'est pas tant là que dans d'autres perspectives, d'autres axes de perception du monde. Il est très osé d'avoir écrit une intrigue sur ces bases tant cela semble ardu à décrire et expliciter. Et c'est réussi car la néophyte que je suis n'a été que dans un léger flou tout le long. C'est pas grave. J'aime être en dehors de ma zone de confort.

La Mort immortelle, et au-delà, la Trilogie le Problème à trois corps, en y repensant m'a fait faire un voyage galactique démentiel qui va me rester longtemps en tête je pense.
Lien : http://livrepoche.fr/la-mort..
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Content d'avoir lu cette trilogie qui rappelle sous certains aspects l'univers de Dan Simmons et Hyperion. J'ai bien dit "sous certains aspects."

La SF reprend un peu des couleurs avec Liu Cixin. Merci à lui !

Ca m'a fait moins rêvé qu'Hyperion car mon petit regret, c'est que l'auteur a fait le choix de partir sur des théories actuelles astro-physiques qui ne brillent ni par leur originalité, ni leur pertinence.

En clair, on a une énième fois des extra terrestres belliqueux avec des moyens techno ultra sophistiqués "en avance". Avec toujours cette idée d'invasion, de conquête, de violence et de mort...

On a jamais des petits hommes verts en retard par rapport aux humains ;-) Ou qui nous veulent du bien ou rien du tout...

Et puis aussi en second lieu, cette idée développée pendant de très longues pages : l'univers est dangereux, "il ne faut pas signaler sa position" sinon on se fait canarder, sans trop savoir par qui et pourquoi...

Bref, le bouquin a un sacré paradoxe : de jolies trouvailles, ça se passe en Chine au départ et c'est très dépaysant, ça change de l'univers américain. Mais on retombe donc sur les méchants ET, du très classique donc au niveau de l'histoire.

C'est bien dommage...

Bref, je rêve d'un bouquin de SF qui me présentent des extra terrestres qui ne soient ni des monstres, ni des assassins.. ;-)

Si vous en connaissez, je suis preneur, merci.

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« La mort immortelle » de Liu Cixin : une épopée universelle.

Attention ! Cette chronique concerne le troisième tome de l'histoire entamée par « le problème à trois corps » et « La forêt sombre ». Elle est donc réservée aux initiés (ceux qui ont, au minimum, déjà achevée la lecture des deux premiers romans). Les autres, veuillez passer votre chemin et ne revenez ici qu'une fois ce préalable accompli. À la limite, vous pouvez toujours consulter mon premier avis sur « le problème à trois corps », même si je vous conseille plutôt, pour gagner du temps, de vous procurer ces bouquins pour rejoindre rapidement le cercle restreint des quelques humains qui connaissent enfin l'essence de l'univers. Parce que tel est l'enjeu de ce projet monumental et tout ce que je pourrai bien dire en suivant ne pèsera pas bien lourd face à la glaçante beauté de cette fresque.

Ne venez donc pas vous plaindre si votre insatiable curiosité l'emporte sur la lenteur nécessaire du voyage. Après tout, elle définit votre nature de bipède arrogant et justifie bien des malheurs exposés dans cette oeuvre. Vous voilà prévenu !

Bon, où en étions-nous ? Oui, c'est ça ; je me souviens… Je connais à présent la terrible vérité. L'univers est régi par la loi de « La forêt sombre » expliquant pourquoi nous n'avons encore jamais capté le moindre signe d'une espèce douée de raison. le paradoxe de Fermi n'en est pas un. L'espace reste silencieux non pas parce que nous sommes seuls, mais parce que les civilisations extraterrestres se cachent. Elles le font par instinct de survie, pour éviter d'être anéanties par une intelligence plus avancée soumise, comme toutes les autres, à deux des axiomes les plus essentiels du cosmos, « la chaîne de suspicion » (1) et « l'explosion technologique » (2).

Luo Ji a compris la logique de « La forêt sombre » juste à temps pour empêcher les Trisolariens de mener à bien leur projet d'invasion. En utilisant l'amplificateur solaire pour dévoiler à la galaxie la position d'une étoile, il a causé sa destruction, deux cents ans plus tard, par « une particule de lumière » générée par un troisième acteur redoutable et inconnu. Ainsi, il a validé sa thèse et se réveille d'hibernation pour entamer une négociation avec les envahisseurs dont les deux flottes foncent toujours vers notre monde. Ses conditions sont claires et revêtent la même force que notre dissuasion nucléaire contemporaine. Si l'ennemi persiste à empêcher le progrès de la science fondamentale grâce aux intellectrons et qu'il ne déroute pas immédiatement ses vaisseaux, l'humanité enverra de la même manière vers l'espace les coordonnées de son système planétaire, provoquant par ricochet son annihilation en même temps que la nôtre. Il s'agit bel et bien d'un bluff fondé sur l'équilibre de la terreur et rendu possible par une qualité essentielle de notre espèce, notre aptitude à cacher nos pensées, à mentir (comme quoi un péché peut nous sauver…). Les Trisolariens sont télépathes et ne connaissent la duplicité que depuis qu'ils nous ont contactés. Ils sont donc bien incapables de se prononcer sur la détermination de Luo Ji. Ils n'ont pas d'autres choix que de se soumettre, permettant ainsi aux Terriens de pénétrer dans l'âge d'or de la Dissuasion.

Dans ses premiers chapitres, « La mort immortelle » nous renvoie au début de la Grande crise quand l'humanité apprend que les Trisolariens vont débarquer sur Terre quatre siècles plus tard. Alors que les évènements abordés dans « La forêt sombre » se déploient en toile de fond, la narration se concentre sur deux nouveaux personnages : Yun Tianming, un jeune étudiant atteint d'un cancer, et Cheng Xin, son amour inavoué et fantasmé. Cette dernière vient d'achever son doctorat en physique pour intégrer une organisation rassemblant des agents issus des services secrets des principales nations de notre planète. Dans l'ombre des Colmateurs, ce groupe ambitionne également de contrer les projets des Trisolariens en utilisant ce dans quoi ses fondateurs excellent, l'art de l'espionnage. Ainsi, ses membres décident de s'entourer d'une équipe de scientifiques et Cheng Xin les rejoint pour contribuer au développement du programme « Escalier » qui cherche à envoyer un vaisseau au contact de la flotte trisolarienne.

Sur cette nouvelle base, le récit va rattraper assez rapidement le point où Liu Cixin nous avait conduits à la fin du deuxième tome. Ça sera l'occasion de retrouver Luo Ji quand s'achève sa mission de « Porte-épée » dans une scène mémorable que je vais vous laisser le soin de découvrir. Cela dit, nous ne sommes qu'au début de cette aventure qui, comme le plan annoncé dès les premières pages nous l'apprend, va se déployer jusqu'à l'infini (et au-delà…). Nous touchons là certainement la qualité essentielle de ce projet qui, une fois bien établi le cadre de la narration dans les deux premiers livres, n'hésite pas à en pousser la logique jusqu'au bout de l'imagination de son auteur, une prouesse au regard de ce qu'il nous avait déjà proposé jusqu'ici. Dans « La mort immortelle », le destin des protagonistes se confond avec celui de l'univers. Ainsi, Liu Cixin renoue avec nos grands récits fondateurs, antiques et religieux, mais en les inversant dans une projection, une exploration du futur. Plus fort, il le réalise sans jamais renoncer aux plus récentes découvertes de la science et tout en respectant les codes de la dramaturgie, utilisant les personnages à bon escient et n'oubliant jamais de nous instiller cette dose de suspense nécessaire à nous emprisonner dans ses pages. Alors, maintenant que je viens de tourner la dernière, j'éprouve quelques difficultés à retrouver mon quotidien. Me voilà donc drogué à Liu Cixin… Savez-vous si c'est grave ? Et surtout, comment ça se soigne ? Mais qu'est-ce qu'il attend pour nous offrir une nouvelle étoile ?

(1) La chaîne de suspicion : quand une civilisation avancée capte l'existence d'une autre, elle se demande si elle peut ou non lui accorder sa confiance. Comme la durée des voyages stellaires l'empêche de communiquer, elle ne pourra jamais écarter l'hypothèse que ce monde étranger est malveillant. Ainsi, elle ne prendra aucun risque susceptible d'entraîner sa propre destruction et préférera soit se cacher, soit supprimer cet ennemi potentiel si c'est en son pouvoir.

(2) L'explosion technologique : compte tenu de la nature exponentielle du progrès et, là encore, de la durée astronomique des voyages, une civilisation ne peut pas se permettre d'attendre quand elle capte l'existence d'une concurrente. Si elle en a la capacité, elle doit la détruire immédiatement sous peine de se voir dépasser et donc menacer. Il lui faut donc tirer en premier…

Lien : https://noiraucarre.com/2021..
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Il a fallu un peu de temps pour rédiger cette critique du tome conclusif de cette ambitieuse trilogie de science fiction. le temps de digérer et de réfléchir à ces trois tomes avalés pendant un mois.

Cixin Liu prouve à nouveau qu'il est un maitre dans l'art de tenir en haleine son lecteur et ce malgré un récit souvent truffé d'explications scientifiques hardues. Si le précédent tome avait des longueurs, ici le rythme de l'histoire est mené tambour battant toujours autour de la survie de l'espace humaine : le stratégie de la forêt sombre avec Trisolaris est-elle possible ? L'entente et la cohabitation sont-elles durables entre les deux espèces ? Comment faire face à l'hostilité meurtrière de l'univers ? le dernier chapitre de l'aventure de l'Humanité est narré avec souffle et inspiration pour une fin douce-amère à la hauteur de la qualité du récit. J'ai été bluffée par l'imagination déployée et touchée par la tristesse et la mélancolie des derniers chapitres : l'Humanité grain de sable dans l'univers et dans le Temps.

Quelques bémols à noter cependant : les sauts dans le temps qui coupent un peu trop le rythme vers la fin car ils nécessitent toujours l'introduction de la nouvelle ère pendant de longs paragraphes qui mettent de côté le fil narratif. Enfin, le point noir c'est surtout le personnage principal (qui avait pourtant le mérite d'être une femme dans ce récit presque exclusivement "blanc" et masculin). Celle-ci est agaçante, niaise, prend systématiquement la mauvaise décision (on a envie de la secouer régulièrement) et le reste des personnages s'entêtent pourtant à lui donner le pouvoir de prendre des décisions cruciales pour l'avenir de l'Humanité durant des siècles. Stéréotypée dans sa féminité également avec sa beauté éthérée et pure qui séduit les masses et un séduisant inconnu... Heureusement sa compagne de voyage, AA, est bien plus agréable. Hélas, en 900 pages, l'auteur n'a pourtant pas cherché à creuser son caractère et son histoire. C'est peut être le talon d'Achille de Cixin Liu : le développement de ses personnages est inexistant. Ils sont stéréotypés, interchangeables, sans relief, parfois insupportables à quelques rares exceptions (Ye Wenjii). Heureusement, l'histoire est assez prenante pour ne pas nous faire décrocher à cause d'un manque total de projection et d'empathie pour ses protagonistes.

Au final, une trilogie de grande tenue, ambitieuse, inspirée et haletante malgré la faiblesse de ses personnages, c'est un petit bijou que je vous recommande !
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Ce troisième tome commence par une introduction de 130 pages où nous revenons en arrière par rapport à la fin du précédent tome. Cela permet d'introduire un nouveau personnage et de suivre une ligne parallèle des événements... longue et indigeste.

Le propos est à nouveau de nous convaincre que l'individu n'a pas d importance face aux enjeux supérieurs et que tous les moyens sont permis pour satisfaire les intérêts du groupe. La nouvelle (absence de) morale ventée dans le précédent tome est à nouveau détaillée en long et en large.

On rentre enfin dans le vif du sujet après 200 pages et on (re)découvre un peu le plaisir d'une lecture à suspense.

Étant le tome de conclusion de la trilogie, il est naturellement porteur de grand espoir mais je préfère vous le dire tout de suite, j'ai été déçu.

L'auteur choisi de passer quasiment tout le livre sur un mode narratif à la 3e personne. Avec les longueurs toujours présentes, cela donne un côté « documentaire » à l'histoire. C'est malheureusement moins réussi que les précédents opus.

Pour autan l'histoire recèle des idées intéressantes sur une évolution possible de l'humanité. du coup, si vous avez aimé les 2 précédents épisodes, lisez donc celui-ci, ne serait-ce que pour connaître la fin. Dans les autres cas, passez votre chemin, il-y-a mieux à lire.

Sans dévoiler les intrigues, je veux revenir sur le message subliminal de la trilogie.

L'ensemble des dénouements des différentes parties, comme la moralité finale de la trilogie se résume à la seule question : l'humanité arrivera-t-elle a créer un homme nouveau débarrassé de la morale humaniste qu'elle revendique aujourd'hui ?

J'avoue ne pas apprécier la réponse proposée par l'auteur, mais c'est sûrement une différence irréconciliable entre nos deux cultures. J'en resterai là pour cet auteur.
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