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3,81

sur 210 notes
tous les ingrédients sont là...maison hantée..revenants..meurtres...flic solitaire et acharné...des coupables idéals....avec un saut dans le passé..1974..un thriller très bien réussi ......
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Et voilà... fini à l'instant et franchement pas déçu ! Ce fut une belle découverte que je n'aurais sans doute pas faite sans les Mordus de thrillers ( facebook) ! Merci aussi à Arnaud Codeville pour ce bon moment de lecture.
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Article complet sur le blog

Une première partie Thriller comme j'aime, avec des scènes proches de la nausée.Des descriptions qui font que tu as mal pour la victime et là tu parles à ton livre et limite tu parles et insultes l'auteur qui ne t'entend pas mais ça soulage car j'étais pendant tout un chapitre à la place de cette personne qui souffre.

Nous rencontrons Joël policier alcoolique, un blessé de la vie suite à la mort de sa fille Léa 3 ans et de l'effondrement de son mariage. Il cumule les fautes et son chef le met au pied du mur pour le faire réagir.

Son chef lui donne une enquête banale de cambriolage chez une vieille dame. Mais c'est sans compter sur l'enchaînement de meurtres horribles et hors normes qui adviennent les jours suivants et se rapprochent de cette affaire classique de cambriolage.



La seconde partie sera dans le fantastique et c'est là que tout se joue pour moi.... Soit j'arrive à m'extrapoler dans l'univers de l'auteur, soit c'est je n'y arrive pas et tout le roman tombe à l'eau.

Pour ne faire aucun spoile, je ne vais rien dire de cette partie sinon ça serait vous gâcher le plaisir de lecture et de découverte. Mais l'auteur a su m'embarquer comme il faut. Il a réussis, car il respecte énormément la description des lieux, des personnages, des époques, je me suis imaginée parfaitement l'univers. Tout s'imbrique à la perfection, il n'y a pas un seul moment où j'ai été perdue et c'est bien ça le plus important pour moi dans de la fiction, du fantastique... ne pas se perdre, ne pas relire des passages.



Au niveau de sa plume, il y a une grande évolution, une grande maturité. Il m'a fait sortir le dico. Il respecte aussi le language policier, lui qui n'écrit jamais de thriller, il a su mettre les bons termes. Nombre de fois dans des thrillers, j'ai eu des erreurs où je grognais car zut, quand tu écris un thriller, soit tu fait comme correctement soit non. Alors pour un auteur de fantastique je tiens à souligner cet effort.
Lien : http://les-mots-de-gaiange.o..
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L'histoire est vraiment intéressante.
Il ne faut pas avoir peur de la taille du livre qui est assez épais. le roman se lit très facilement et à peine les premières pages lu j'ai eu du mal à arrêter ma lecture.
Les idées sont originales et m'ont parfois fait un peu pensé à certains romans de l'auteur Sire Cédric. Bien sûr le style d'écriture n'est pas le même. Arnaud Codeville a une écriture assez légère pour un roman qui est dans l'ensemble plutôt sombre. C'est assez surprenant au premier abord mais finalement je m'y suis vite adaptée et cela ne m'a pas beaucoup dérangée.

Les personnages sont attachants. J'ai parfois un petit peu regretté de retrouver ce héros que l'on rencontre dans la plupart des livres… J'aurais peut-être aimé retrouver un homme avec ses forces mais aussi et surtout ses faiblesses… L'auteur nous dresse plutôt le portrait de protagonistes qui n'ont peur de rien ni de personne… Personnellement je ne suis pas certaines que j'aurais accepté de vivre cela sans avoir peur ou sans hésiter…
Les retournements de situations ne sont présents que lorsque c'est nécessaire et l'auteur n'en abuse pas, ce qui m'a bien plu.

Concernant les descriptions j'aurais peut-être apprécié en avoir plus, que ce soit pour les personnages, ce qu'ils pouvaient ressentir mais aussi les lieux. J'aurais vraiment aimé avoir des descriptions détaillées des lieux importants du roman. Certaines situations m'ont paru un peu floues et je ne suis pas arrivée à m'imaginer certaines situations… c'est un peu dommage…
Certaines scènes peuvent paraître assez gores ou horribles et pourtant ce qui m'a un peu déstabilisée c'est que l'écriture assez légère et le fait qu'il n'y ait peut-être pas assez de descriptions rendent ces scènes plus légères que ce qu'elles devraient l'être.
Ce qui m'a par contre dérangée et perturbée c'est l'absence presque totale de date. En effet il y a des années, parfois des mois (mais cela reste très rare) mais il n'y a pas de date précise. du coup je ne suis pas vraiment arrivée à déterminer pendant combien de temps se déroulait l'histoire ou la période entre deux événements principaux… J'ai vraiment été déstabilisée.

La fin est originale et surprenante. Je ne m'attendais pas à ce genre d'épilogue… Tout au long du roman je me suis imaginé une fin qui finalement n'était pas du tout celle que j'avais inventée. J'ai donc eu une sorte de mélange entre bonnes surprises et déceptions concernant certaines choses.
En résumé, un roman, qui malgré quelques petits bémols, mêle habilement thriller, réalisme et fantastique. Je vous conseille ce roman sans hésiter pour ceux qui voudraient découvrir les thrillers fantastiques.
Lien : http://fais-moi-peur.blogspo..
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Vous voulez être surpris, tout le temps surpris ? Et bousculés ? Lisez ça. Vous allez rencontrer des fantômes et traverser le temps, vous allez côtoyer des coupables qui ne le sont pas et finalement le sont, on va vous faire tourner en bourrique et vous allez adorer ça.



Je dis « vous » parce que je n'ai pas l'habitude de ce genre de romans. Il me semble néanmoins que cette année, ce prix a récompensé un vrai talent de narrateur. Celui qui a ce talent a une longue barbe et une chemise de bûcheron (j'ai regardé les photos). Il a aussi une mère étonnée par les qualités littéraires de son fils, comme quoi on ne connaît pas vraiment ses enfants. Son héros est plutôt beau gosse (mais ça va se gâter), il est rasé de très près, marche dans des Doc Martens et vit à Valenciennes. Nous sommes en 1995, on paye encore en Francs. Joël, c'est son nom, est policier et va se retrouver aux prises avec le démon, comme pas mal d'autres avant lui. Tout ça parce qu'une chose terrible s'est produite dans un pensionnat, en 1974 (d'où le titre) : il y avait Marie, Jacques, Simon, Sophia, Denis, Hélène. Trois de ces jeunes gens sont morts et pourquoi ? de rebondissement en rebondissement, de macabre découverte en scène d'horreur, Joël va découvrir l'histoire tragique de deux soeurs. Au passage, ça sent la mort et la mort ne sent vraiment pas bon, une femme voilée de noir hante les pages, une jeune fille au prénom de Vierge se mange le bras, les corps se décomposent et il y a du sang partout, avec un cadavre ficelé comme un rôti, des bustes sans jambes et des entrailles qui pendent. C'est l'Enfer de Dante à la sauce contemporaine. Mais tout cela échappe à la caricature, parce que l'auteur tient les rênes de son récit d'une façon magistrale, avec une alternance de scènes cauchemardesques et de moments de calme qui sentent la cigarette et le café (il y a pire) et un jeu de fausses pistes pour nous dérouter. Avec des gros plans sur des regards affolés et qui affolent le lecteur –l'image d'abord, l'explication vient après. Avec la petite phrase magique qui signale le policier-thriller réussi : « Depuis le début, on se plante ».







Et je me disais, en lisant ce roman : imaginons que dans deux siècles on se demande à quoi pouvait ressembler le roman vers 2016, de la même façon qu'on s'interroge aujourd'hui sur le roman balzacien. Imaginons qu'on prenne ce roman comme référence, parce qu'il a reçu le prix des plumes francophones (qui sera peut-être l'équivalent du Goncourt dans deux siècles, qui sait). On dégagerait les ingrédients suivants, nécessaires au genre:



-beaucoup de sang, de chair flasque et de peau qui tombe.



-un héros droit et honnête et qui a « la boule au ventre », expression incontournable, avec « le visage couleur de craie ».



-un héros en perdition, avec un passé douloureux.



-des adjuvants, parmi lesquels une femme mais il ne lui saute pas dessus, c'est un bon garçon.



-un rival mastodonte et bête.



-un symbole (sa plaque de policier)



-l'arrivée de la police scientifique, comme à la télé.



-le thème de la gemelléité



-le cannibalisme (bien vu chez les autoédités comme chez les grands éditeurs)



-et évidemment, parce que ce serait dommage de s'en passer quand c'est un homme qui écrit: une scène de fellation.



-et enfin, parce que je suis mauvaise langue, la petite phrase qui dérape (mais notre héros a bu de la tékila) : « D'habitude, ce sont aux hommes de le faire ». Quand il arrêtera de boire, il se corrigera.







Je ne sais pas ce que nos descendants penseront de ce roman, j'ignore s'ils seront eux aussi les victimes du Diable et s'ils croiront aux fantômes, tout ce que je sais c'est qu'ils se diront qu'à cette époque-là, les jeunes auteurs avaient une sacrée imagination !

Vous voulez être surpris, tout le temps surpris ? Et bousculés ? Lisez ça. Vous allez rencontrer des fantômes et traverser le temps, vous allez côtoyer des coupables qui ne le sont pas et finalement le sont, on va vous faire tourner en bourrique et vous allez adorer ça.



Je dis « vous » parce que je n'ai pas l'habitude de ce genre de romans. Il me semble néanmoins que cette année, ce prix a récompensé un vrai talent de narrateur. Celui qui a ce talent a une longue barbe et une chemise de bûcheron (j'ai regardé les photos). Il a aussi une mère étonnée par les qualités littéraires de son fils, comme quoi on ne connaît pas vraiment ses enfants. Son héros est plutôt beau gosse (mais ça va se gâter), il est rasé de très près, marche dans des Doc Martens et vit à Valenciennes. Nous sommes en 1995, on paye encore en Francs. Joël, c'est son nom, est policier et va se retrouver aux prises avec le démon, comme pas mal d'autres avant lui. Tout ça parce qu'une chose terrible s'est produite dans un pensionnat, en 1974 (d'où le titre) : il y avait Marie, Jacques, Simon, Sophia, Denis, Hélène. Trois de ces jeunes gens sont morts et pourquoi ? de rebondissement en rebondissement, de macabre découverte en scène d'horreur, Joël va découvrir l'histoire tragique de deux soeurs. Au passage, ça sent la mort et la mort ne sent vraiment pas bon, une femme voilée de noir hante les pages, une jeune fille au prénom de Vierge se mange le bras, les corps se décomposent et il y a du sang partout, avec un cadavre ficelé comme un rôti, des bustes sans jambes et des entrailles qui pendent. C'est l'Enfer de Dante à la sauce contemporaine. Mais tout cela échappe à la caricature, parce que l'auteur tient les rênes de son récit d'une façon magistrale, avec une alternance de scènes cauchemardesques et de moments de calme qui sentent la cigarette et le café (il y a pire) et un jeu de fausses pistes pour nous dérouter. Avec des gros plans sur des regards affolés et qui affolent le lecteur –l'image d'abord, l'explication vient après. Avec la petite phrase magique qui signale le policier-thriller réussi : « Depuis le début, on se plante ».







Et je me disais, en lisant ce roman : imaginons que dans deux siècles on se demande à quoi pouvait ressembler le roman vers 2016, de la même façon qu'on s'interroge aujourd'hui sur le roman balzacien. Imaginons qu'on prenne ce roman comme référence, parce qu'il a reçu le prix des plumes francophones (qui sera peut-être l'équivalent du Goncourt dans deux siècles, qui sait). On dégagerait les ingrédients suivants, nécessaires au genre:



-beaucoup de sang, de chair flasque et de peau qui tombe.



-un héros droit et honnête et qui a « la boule au ventre », expression incontournable, avec « le visage couleur de craie ».



-un héros en perdition, avec un passé douloureux.



-des adjuvants, parmi lesquels une femme mais il ne lui saute pas dessus, c'est un bon garçon.



-un rival mastodonte et bête.



-un symbole (sa plaque de policier)



-l'arrivée de la police scientifique, comme à la télé.



-le thème de la gemelléité



-le cannibalisme (bien vu chez les autoédités comme chez les grands éditeurs)



-et évidemment, parce que ce serait dommage de s'en passer quand c'est un homme qui écrit: une scène de fellation.



-et enfin, parce que je suis mauvaise langue, la petite phrase qui dérape (mais notre héros a bu de la tékila) : « D'habitude, ce sont aux hommes de le faire ». Quand il arrêtera de boire, il se corrigera.







Je ne sais pas ce que nos descendants penseront de ce roman, j'ignore s'ils seront eux aussi les victimes du Diable et s'ils croiront aux fantômes, tout ce que je sais c'est qu'ils se diront qu'à cette époque-là, les jeunes auteurs avaient une sacrée imagination !



Lien : http://www.lecoindedominique..
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Un second roman tout aussi délicieusement terrifiant : "1974", d'Arnaud Codeville, disponible sur Amazon et sur le site de l'auteur.

Le pitch : le petit village de Sebourg, situé dans le Nord de la France, est sur le point d'assister à une scène qui n'est pas commune. Les pompiers s'apprêtent en effet à mettre le feu à la grande et sinistre bâtisse qui se dresse au 16 de la rue Jean Jaurès. Officiellement pour détruire la vermine qui l'infeste depuis trop longtemps, les habitants se réjouissent pourtant de la voir partir en fumée pour bien d'autres raisons, la rumeur voulant que celle-ci soit hantée…
Une silhouette encapuchonnée, cigarette en bouche et sourire aux lèvres, ne rate rien du spectacle et ne part pas avant d'avoir la certitude que la tâche est remplie…

Une fois n'est pas coutume, je ne vous en dirai pas davantage sur l'histoire pour vous en laisser la pleine découverte au moment de votre lecture qui, je vous le promets, s'avérera follement passionnante et angoissante ! Je ne regrette d'ailleurs qu'une chose : D'avoir tant tardé à le lire !

Avec toujours autant de talent et dans la lignée des grands King et Lovecraft, l'auteur nous plonge une nouvelle fois dans une intrigue particulièrement bien construite et machiavélique à souhait. Captivé dès le premier chapitre, le lecteur se met dès lors à tourner frénétiquement les pages, et ne voit pas le piège diabolique, d'un auteur qui l'est tout autant, se refermer sur lui, plongeant ainsi dans l'horreur sans échappatoire possible. Ce dernier passe dès lors du questionnement à l'inquiétude, puis de l'inquiétude à l'angoisse, et de l'angoisse à la terreur au fur et à mesure que les chapitres défilent sous ses yeux. le suspense est ainsi brillamment maintenu et la tension monte crescendo avant un dénouement tout simplement époustouflant.
Richement étoffés, les personnages se révèlent particulièrement intéressants et même attachants, tant et si bien que le lecteur se retrouve à partager volontiers leurs sueurs froides, poils dressés, palpitations cardiaques et autres signes de franche peur bleue.
Particulièrement fluide et efficace, la plume de l'auteur est vraiment soignée et procure à elle seule frissons et sensations fortes pour un moment de lecture particulièrement intense.

En bref, un roman aussi sombre qu'effrayant ! Allez donc faire un petit tour à Sebourg, au 16 de la rue Jean Jaurès… Mais prenez garde, vous pourriez faire de mauvaises rencontres…
Lien : http://deslivresetmoi7.blogs..
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magnifique du début a la fin, j'ai été littéralement emportée par ce bouquin. Je le recommande.
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Voici le deuxième roman de l'auteur, Arnaud Codeville et je dois dire que je l'ai trouvé encore meilleur et bien plus abouti que le premier. Arnaud a su créer un univers vraiment personnel ainsi qu'une histoire qui file vraiment les chocottes.

Le lieu où se déroule l'histoire est fait pour me séduire et me rendre nostalgique, Valenciennes et ses environs. Je me suis donc immédiatement sentie comme chez moi, familière avec le nom des villes et les descriptions des lieux.

Un véritable roman d'horreur qui donne des sueurs froides à de nombreuses reprises et tous ceux qui son fans de ce genre de lecture savent à quel point faire trembler le lecteur est chose difficile.

Pas de temps morts, les scènes s'enchaînent toutes plus effrayantes les unes que les autres, une ambiance glauque et oppressante où on se demande à chaque instant ce qu'il va se passer...
Lien : https://livresque78.wordpres..
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A priori je ne suis pas adepte des romans fantastiques et d'horreur. J'y suis allée parce que j'avais apprécié La tour de Sélénite et je n'ai pas regretté. Bien sûr un peu bousculée, mais j'aimé ce moment de lecture à frémir … le lecteur est pris au jeu de l'intrigue et cherche à démasquer l'horrible bourreau de ces adolescents, sur fond de sérial incendiaire et de maison hantée. Ca se passe à Valenciennes et il pleut … normal !
Le fantastique est présent dans le déroulement temporel de l'action et …
Que choisiriez-vous si l'on vous permettez de revivre une minute de votre passé en gardant les connaissances acquises de votre expérience ? Quel événement aimeriez-vous corriger, effacer ? quelle contrepartie êtes-vous prêt à accepter ? C'est bien ce qui arrive à notre enquêteur borderline.
A consommer un soir pluvieux …
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J'ai rencontré Arnaud au salon d'Esquelbecq et c'est avec grand plaisir que je lui ai acheté son livre dont j'avais entendu parler sur mon groupe Facebook.
J'aime changer de style, et j'aime les polars qui changent et pour le coup celui-ci n'est pas un changement mais une très belle découverte!
Un livre ensorcelant....
J'ai vite commencé son livre sur le trajet du retour et j'ai été complétement happée par ce bouquin. Je pense Arnaud que tu nous lances un sort dès le début du livre pour qu'on soit tellement pris dans l'histoire et qu'on n'arrive plus à s'en défaire.
Moi qui adore les films d'horreurs et histoires de fantômes j'ai été ravie de cette lecture! Je dois même avouer avoir fait quelques cauchemars pendant ma lecture.
Quand une enquête criminelle rencontre le paranormal...
Tout commence par l'incendie/ démolition d'une maison dite hantée. S'ensuit l'histoire de Joël, flic dépressif depuis un an suite à la mort de sa fille de 3 ans et le départ de sa femme.
Il va remonter sur selle et reprendre du service dans une simple constatation de cambriolage qui va finalement l'emmener très loin dans la noirceur des ténèbres. S'ensuit une série de meurtres assez étranges qui ont tous un lien en commun. Je ne vous en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher le plaisir de la découverte.
Une très belle découverte....
Ce livre se lit vite tellement il est prenant, l'auteur a un très bon style et je suis encore plus étonnée qu'il ne soit pas édité dans une grande maison d'éditions car il a vraiment un énorme talent. Tout s'enchaîne avec fluidité, on vit à travers le personnage, on a peur avec lui, tout est bien décrit et imagé ce qui en ferait un très bon film je pense. Et chaque fois que l'on pense avoir compris ce qu'il se passe on se prend une pichenette sur le nez qui nous surprend!
Je ne pensais pas qu'un livre me donnerait les mêmes frissons que de regarder un bon film d'horreur. Arnaud a réussi grâce à son style à nous faire rentrer dans son univers.
A déguster sous la couette, seul, le soir, le petit ingrédient supplémentaire serait un petit orage et je vous promets des frissons garantis!
Lien : http://livresaddictblog.blog..
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