Dès son jeune âge, Edvard doit donc affronter le spectre de la maladie, l'angoisse du vide et de la mort. Son besoin et son envie de peindre se nourrissent des souvenirs qui se consument douloureusement dans sa tête et dans son cœur, et ce sont les images tourmentées et de son monde intérieur qui s'imposent avec violence.
Cri-Cri d'épouvante devant la nature rougissant de colère et qui se prépare à parler pour la tempête et le tonnerre aux petits étourdis s'imaginant être dieux sans en avoir l'air.
En 1892, Munch expose à Berlin avec la Société des peintres berlinois. Mais qui lui reproche d'avoir utilisé une "technique trop sensuelle"; il est expulsé de l'association.