Hunger Games : La Ballade du serpent et de l'Oiseau chanteur

Un livre géniale, qu'on a envie de lire en une seul fois ! le pépin, c'est que l'histoire finis mal. Mais comment pouvait-il en être autrement quand on connait la trilogie des Hunger Games ? le livre est très bien écris, l'histoire se déroule toujours de manière inattendue. L'auteur a glissée de petit clin d'oeil par rapport à la « suite », comme par exemple les passages au lac. On peut d'ailleurs voir que les Hunger Games ont bien évolué de la 10ème à la 74ème éditions ! Ce qui est étrange, c'est que Suzanne Collins a réussie à me faire ressentir de l'empathie à l'égard de Coriolanus, à défaut d'affection. Au fil de l'histoire, il devient de plus en plus méchant. Je pense que l'issu de tout les Hunger Games aurait put être complétement différente si Lucy Gray avait été un peu plus compréhensive, et avait offert une second chance à Coriolanus. Néanmoins, le livre reste vraiment excellent, à l'image des précédents !

Un régal….
Retrouver les personnages de la saga Hunger Games et découvrir la jeunesse de Snow et les premiers Hunger Games !
Absolument pas déçue !!!!
On découvre aussi d'où vient la chanson de Katniss et l'évolution de l'arène ! J'ai dévoré ce livre !!

Le début ma laisser perplexe, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le livre. Ce n'est qu'à un peu plus de la moitié que j'ai trouvée le livre passionnant. Malheureusement ce n'est pas un coup de coeur comme la trilogie de base, mais j'ai passée un excellent moment quand même :)

J'ai comme tous les autres livres aimés. Mais le fait que j'associe CORIOLANUS (quel nom) a un sadique m'a permis de le découvrir sous un autre angle. Je l'ai découvert pauvre et j'étais a deux doigts d'avoir pitié . L'ambiance dans les Hunger Games était toujours horrible malgré le peu d'évolution. Je me suis attachée a Lucy qui me fait penser a Katniss pour certaines choses : le chant, les geais moqueurs et la forêt même si elle restent très différentes en caractères et en façons de vivre. A un stade du livre j'aurai presque cru que je commençais à comprendre Coryo et son béguin mignon mais ça s'est terminé quand il s'est emballé avec le geai bavard et son frère (ceux qui ont lus le livre comprendront je ne veux pas spoiler) et je suis choquée de la tournure de son départ trop précipité. Comment en est-il arrivé là ? Mais a la dernière page de l'épilogue on le retrouve tel qu'il est vraiment ou ce que Dr Gaul a fait de lui. Sa façon de penser me dégoûte. Par contre, j'aime beaucoup les allusions au futur et tout ce qui explique les premiers tomes comme sa haine des geais moqueurs, les serpents et le fait qu'il déteste Katniss et se méfie d'elle d'emblée se comprend même si sa barbarie est barbare. Je suis déçue des dernières pages lorsque tout aurait pu bien tourner mais il reste égoïste et un enfant du Capitole.

Prequel intéressant où l'on découvre le futur président Snow sous un nouveau jour, des références aux suites Hunger games sans trop en faire. Malgré tout, je reste un peu sur ma fin, après de nombreuses longueurs, la fin s'emballe, arrive trop vite et trop facilement.

10 ans après la révolte des districts qui à en partie détruit Panem, Coriolanus à 18ans et porte sur ses épaules tous les espoirs de sa famille, totalement ruinées. Il se prépare alors à devenir mentor pour les Hunger Games, une grande première au Capitole. Malheureusement, il hérite de la fille du 12, Lucy Gray Baird. Mais celle-ci va vite se démarquer des autres tribus par sa personnalité et son caractère atypique et sournois. Ensemble, ils vont tenter de remporter ces 10e Hunger Games, tout en créant un lien spécial entre eux...

Mon avis sur le roman, et surtout sur le personnage de Coriolanus est un peu mitigé. Au début du roman, j'éprouvais de la sympathie, et même de la compassion pour lui, ce qui m'a un peu inquiétée. Si je finissais par avoir de l'empathie, ça risquait de gâcher un peu la haine ressentie durant les trois premiers tomes. Mais mon inquiétude à été de courte durée et je n'ai pas pu refermer le livre sans le détester cordialement. Car en effet, Coriolanus va continuellement faire des choix incompréhensibles qui n'ont au final qu'un but, le rapprocher du pouvoir. Cela va l'entraîner lentement mais sûrement à devenir le président Snow que l'on connait si bien. Je trouve cependant dommage que le roman se centre à ce point sur Coriolanus, et pas assez sur les autres personnages, tel que Lucy Gray, Sejanus ou Tigris. Cela aurait pu apporter plus d'émotions au roman, que j'ai trouvé plutôt froid. Mais après tout, c'est peut-être un choix de l'auteure.
J'ai également apprécié qu'on découvre les coulisses de Panem, comment les Hunger Games ont évolués jusqu'à être ceux auxquelles participe Katniss Everdeen, et à quel point Coriolanus à participer à ses évolutions. Les clins d'oeil à la trilogie, comme les gaies moqueurs, et le fait que l'auteure, avec le personnage de Lucy Gray, ait donner un sens à la chanson "L'arbre du pendu" apporte également une certaine ironie aux premiers tomes et aux conflit entre Katniss et Snow.
Pour conclure, j'ai trouvé que ce prequel était plutôt une réussite, bien que je n'ai pas vraiment pu m'attacher à un personnage et que le récit traînait parfois en longueur. L'histoire est quand même bien menée, les chansons éparpillées tout au long du livre sont magnifiques, et on retrouve bien la plume de Suzanne Collins. Je trouve cependant la fin assez brutale et je ne m'attendais pas ça, mais celle-ci reste malgré tout extra. J'ai notamment beaucoup apprécié le fait que, même si l'on connait déjà le destin de Coriolanus Snow, on espère secrètement qu'il partira avec Lucy Gray Baird et qu'ils vivront leurs romances, libres. Mais la réalité nous rattrape vite et nous rappelle que, quoi qu'il arrive, la neige se pose toujours au sommet.

Ayant adoré la trilogie originale dans mon adolescence, j'étais surpris de découvrir un 4e tome en librairie. Emballé par le sujet de ce tome, je l'ai lu assez vite.
Si les deux premières parties sont excellentes, la troisième manque de rythme et surtout se conclue de manière très expéditive. Au point que lors du dernier chapitre, on a l'impression d'avoir affaire à deux Coriolanus Snow différents. Cela n'est pas si surprenant de faire paraître une ambivalence au personnage principal, mais je trouve que dans ce chapitre, il y a des idées mal amenées qui laisseront sûrement la plupart sur leur faim.
L'épilogue est quand à lui sans surprise, car il faut bien retrouver le Snow que nous connaitrons plus tard.
Je conseille tout de même le livre aux fans de l'univers, ne serait-ce que pour les enjeux politiques mis en avant par l'auteur dans cette dystopie. le personnage de Snow reste tout de même intéressant malgré le développement bâclé lors du dernier chapitre.

Baladez-vous dans le temps, à l'heure de la dixième édition des Hunger Games.
Coriolanus Snow a dix-huit ans et devient le mentor de la tribu du district douze : Lucy Gray Baird, une adolescente singulière et énigmatique.
Tout au long du roman, dans sa course à la gloire, Coriolanus va découvrir que tout a un prix ; le pouvoir tout particulièrement.

Aux premiers abords, j'étais perplexe face à ce préquel ; je craignais qu'il fasse tâche à côté des tomes précédents… mais ça n'a pas été le cas. C'était même un vrai plaisir de replonger dans l'univers de Panem, sa capitale, et de découvrir de nouveaux personnages qui insufflent à l'histoire un une brise fraîche de plaisir.
Toutefois, bien que j'aie dévoré d'une traite les deux premières parties, la troisième m'a semblée un peu confuse : les événements de fin sont bien trop succincts, et peu plausibles en comparaison de ce qui les précède. Même si, en définitive, la fin m'a touché parce que la soif de gloire a prévalu sur l‘humanité.

« La neige se pose toujours au sommet. »
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« Dévoré d'ambition. Poussé par la compétition. Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix. C'est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L'avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus »
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Mon côté fangirl a repris le dessus et je ne pouvais simplement pas manquer cette sortie livresque. Au début j'ai appréhendé. Quand on voit ce qu'est devenu l'univers d'Harry Potter j'avais peur de voir ce que S. Collins réservait à Panem. Et pourtant j'ai tout simplement adoré ma lecture. J'ai passé un excellent moment, bizarrement en compagnie de Snow. Un jeune Snow pas encore trop machiavélique mais déjà très arriviste et ambitieux. On y rencontre aussi Lucy Gray, tribut du District 12 (comme Katniss) et Snow sera son mentor. Leur relation est surement très complexe et trop spoliant pour être raconté mais j'ai adoré ce lien étrange qui les unissait. Retrouver Panem, le Capitole m'a fait tout drôle aussi. C'était étrange de retrouver le Capitole dans une ambiance sobre, qu'on pourrait qualifier de semblable à la notre, avant que le Capitole ne devienne que paillettes et opérations esthétiques abracadabrantes. L'arène, qui contrairement à celle du 2 (c'est ma préférée elle est beaucoup trop stylée), est bien plus rustique et l'accès aux images y est plus compliqué. On apprend enfin la vérité sur l'origine des Jeux mais on les voit aussi prendre un grand tournant pour devenir de plus en plus attractifs. On se retrouve dans la tête d'élèves qui ont conçu cette usine de torture. J'ai adoré reconnaître des personnages par leur nom de famille, ou des lieux que j'avais visité 65 ans plus tard aux côté de Katniss. Et la fin ! Elle prend une tournure plus que surprenante que j'ai beaucoup aimé et qui au final parait tout à fait logique. Je recommande cette lecture sanglante et pourtant enchantée qui est très fidèle aux romans sortis avant
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Coucou tout le monde ! Comment allez-vous ? Aujourd'hui on se retrouve pour parler du nouveau hunger games: La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur, un de mes derniers coups de coeur.
Dans ce nouveau roman, un prequel qui se passe donc avant la saga principale, on est 10 ans après la fin de la première guerre et on suit celui qui deviendra le président Snow. Ce jeune homme, Coriolanus vient d'être sélectionné pour être mentor pour la 10ème édition des jeux car les organisateurs veulent intéresser le public.
J'ai adoré retourner dans l'univers de Panem au capitole et dans le 12. C'était agréable.
J'ai adoré suivre Snow, personnage antipathique voir grand méchant dans la trilogie mais au combien mystérieux. J'ai aimé ce personnage autant que je l'ai détesté car il est plus complexe qu'on pense.
J'ai bien aimé la totalité du livre mais j'ai trouvé la partie sur les jeux en eux même particulièrement sommaire et la troisième partie un peu longue bien qu'essentielle pour la construction du personnage.
J'ai pas vraiment d'avis sur Lila Gray Bard qui m'a surtout rappelé Katniss et qui peut expliquer la haine de Snow pour cette jeune femme.
Ce qui m'a le plus intéressé dans ce livre, c'est ce qu'il y a autour et qui pousse la réflexion. Les questions mise en évidence par le roman et par le biais du personnage de la haute juge. Des questions presque philosophiques : sur la société, la guerre, le pouvoir, le chaos.
J'ai adoré toute les chansons dans ce livre et découvrir l'origine de la mythique chanson de l'arbre du pendu. J'aimerais beaucoup voir ce roman adapté, je pense que ça rendrait bien.
Bref, j'ai adoré ce livre qui explique certains détails de la trilogie : les roses de Snow, sa haine pour Katniss et même les geais moqueurs.
L'avez-vous lu ? Qu'en avez-vous pensé ?