Ça commence par un matin plus calme que d'habitude, une lumière plus chaude, plus éclatante.
Au début, on ne sait pas qu'il est la. Sans s'en rendre compte, on se surprend à sourire, à ouvrir grand les yeux, à ne plus avoir peur lorsque le soleil se couche.
Puis on comprend qu'il est revenu avec son enveloppe de douceur, qu'il est là pour nous aider à réinventer nos lendemains.
Quand l'espoir renaît et vient nous murmurer à l'oreille qu'enfin, il est temps de nous autoriser à croire de nouveau.
La vraie richesse, ce n’est pas de trouver de l’or, c’est de transformer ce que l’on a en or !
Ton trésor, fabrique-le toi-même.
Mais on ne peut lutter contre la nature, qui a toujours le dernier mot.
Il est rare qu’on ose se regarder dans le miroir de l’existence. Par peur d’affronter ses contradictions et ses lâchetés, on se ment à soi-même.
N’oublie jamais, non, n’oublie jamais la puissance de la vie et la force de l’espoir.
N’oublie jamais que, quelle que soit la détresse de la nuit, il existera toujours un lever de soleil.
« Se pardonner ce n’est pas oublier, c’est décider de se tourner vers la vie. »
Il faut du courage pour tenir debout lorsque la vie s'acharne.
Ne pas hésiter à se battre et se dire que quelqu'un, quelque part, à besoin de nous. S'imaginer qu'il est là, qu'il nous attend.
Inlassablement se répéter que la solitude ne sera pas notre seule compagne de voyage. Se persuader que le manque s'estompera.
Se forcer, résister et tenir debout !
C'est parfois difficile de se pardonner, mais il faut savoir effacer la rage envers soi-mêmne et les autres. l est nécessaire d'accepter ce que l'on ne peut pas changer et de se dire qu'au-delà de l'absence l restera éternellement le souvenir doux et réconfortant d'une voix, d'un visage. Se pardonner ce n'est pas oublier, c'est déci- der de se tourner vers la vie.
Nos souffrance. D'une certaine façon, elles se complétaient et devaient se confronter pour s'apaiser.