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3,6

sur 1790 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
La présentation de la 4e de couverture était prometteuse mais je n'ai rien retrouvé de ce qui était annoncé. Seule en sa demeure ? Non, pas vraiment. le secret du mari ? Il n'en n'a pas. Thriller sensuel ? J'ai attendu vainement un vague échauffement des sens, vite retombé. J'ai peiné à m'intéresser à l'intrigue et j'ai trouvé le dénouement peu surprenant et un poil gentillet. J'ai été gênée dès le début par le style d'écriture, qui m'a donné l'impression d'être trop travaillé à l'image d'une rédaction de bon élève. J'ai eu du mal cerner l'époque du récit, faussement moyenâgeuse. Enfin, certaines scènes m'ont paru incongrues, invraisemblables ou gratuites, par exemple la poursuite du briseur de vitre de la salle de musique. J'ai failli abandonner plusieurs fois le livre et ne suis allée au bout que grâce à la météo maussade et à ma flemme d'aller chercher un autre roman.
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Ayant remarqué le succès de cette auteur, Seule en sa demeure est le premier roman que j'ai lu de Cécile Coulon. Je me suis accroché de force aux premières pages, l'écriture ne m'a pas happée, le livre est très long à démarrer à mon goût, vide. Après une centaine de pages je devinais la suite, très prévisible... L'écriture toujours traînante à mon goût j'ai finit le livre en survolant les chapitres si lents, j'ai facilement trouvé les actions que j'avais préméditées. le suspense n'est pas bon, les révélations sont molles.
Un gros bof... Je vais tout de même lire un autre roman de l'auteur mais celui ci m'a franchement déçue, comparé aux critiques élogieuses que l'on peut trouver.
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Un roman qui promettait du suspense et un même un peu de saphisme dans un somptueux manoir gothique: j'avais hâte, vraiment hâte, de plonger dans cette histoire.
Hélas, je ne l'ai pas, mais alors vraiment pas, aimé. (Dommage vu le nom de l'héroïne).

D'abord, c'était très long.
Entendons nous bien, c'est un roman d'à peine 300 pages.
Pourtant j'ai failli le reposer au moins dix fois durant les 122 premières pages. Il ne se passait absolument rien. Rien d'intriguant ni de surprenant ni ne me donnant envie de rester parmi les personnages.
(Et je ne suis pas certaine que le petit sursaut d'intérêt du dernier tiers ait valu la peine que je me suis donnée à poursuivre.)

Ensuite, j'ai trouvé ce roman très dérangeant. Vous me direz "ça tombe bien, c'est ce qu'on cherche avec ce type d'histoire !"... Seulement ce qui m'a dérangé étaient les nombreuses et froides scènes (de viol au début) conjugales, qui étaient sordides sans finalement apporter aux personnages d'Aimée et de Candre. Je vous assure, sans elles il y aurait eu moins de longueurs sans rien perdre en développement.
Et étonnamment, partager autant de l'intimité de l'héroïne ne me l'a pas rendue plus "humaine". Il y a une froideur chez les personnages de ce livre qui m'a empêchée de me les rendre concrets.

Les personnages comme l'intrigue sont particulièrement oubliables et sous peu, seule cette critique rappellera cette lecture à ma mémoire.
Un rendez-vous manqué avec Cécile Coulon, je réessaierai.


(Bechdel:
Deux femmes au moins portent un nom: oui
Elles entretiennent au moins un dialogue entre elles: oui
Et y discutent d'autre chose que d'un ou des hommes: oui, on parle un peu de musique, même si tout tourne autour de Candre/Angelin/Papa la plupart du temps)

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XIXe siècle, dans la Jura : Aimée est une jeune fille sage, presque une ingénue, qui vit avec son père, Amand, sa mère, Josèphe et son cousin, Claude, que la famille a recueilli comme leur fils et frère. Aimée est promise à un riche veuf, Candre Marchère. L'homme réside à une trentaine de kilomètres de chez ses parents. Orphelin très jeune, il a été élevé par la domestique, la charismatique et énigmatique Henria, aux côtés du fils de cette dernière, Angelin. Une fois le mariage prononcé, Aimée intègre sa nouvelle demeure, peine à prendre ses marques et à accomplir son devoir d'épouse.

Aimée est une jeune femme qui découvre en quelques mois sa nouvelle demeure, son époux et les obligations maritales, les mystères que recèle le domaine Marchère, et la douleur de perdre un être cher. Je ne me suis pas attachée à l'héroïne, Aimée... En revanche, j'ai beaucoup aimé le caractère d'Émeline : bouffée d'air, de liberté et de normalité dans cette ambiance pesante. La professeure de musique a été embauchée pour tenter de rendre Aimée plus heureuse. Cela fonctionne et Aimée s'ouvre à l'amour charnel, mais elle ouvre aussi les yeux sur les faces cachées de la demeure.

Le style de Cécile Coulon est fluide, clair et très classique, en harmonie avec l'époque relatée. Quelques passages m'ont paru très longs, mais cela semblait nécessaire pour installer l'ambiance froide et mystérieuse des lieux, à l'image des personnages du domaine et de la solitude d'Aimée. La construction est assez simple. le roman est scindé en chapitres intitulés par des parties du corps ("Le coeur", " La langue", "Le ventre") et les sous-chapitres sont relativement courts. le rythme est plutôt lent, avec une accélération majeure dans le dernier tiers. L'issue de l'intrigue m'a un peu surprise tandis que les toutes dernières pages m'ont un peu laissée sur ma faim...
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Ce roman m'a laissée sur un sentiment très mitigé.

Je l'ai fini pour savoir comment l'auteure allait s'en sortir. En effet, le début ressemble à « Rebecca » de Daphné du Maurier, sans la montée en puissance de l'angoisse, des questionnements.. Et puis, j'ai eu l'impression que l'auteure s'en est rendu compte et a fini l'histoire à la « va comme je te pousse » sans fil conducteur. Tout est inachevé.

Et pourtant, il y a du potentiel dans l'écriture.
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Je ne fais pas partie des personnes qui ont aimé ce roman.

Je l'ai trouvé très ennuyeux avec une écriture que ne permet pas de s'attacher aux personnages. Les descriptions de la demeure, du domaine et de la forêt jurassienne m'ont laissé insensibles.

Le texte se lit bien mais l'intrigue arrive bien trop tard pour en apprécier le déroulement, je l'ai terminé car la lecture était facile et qu'il ne fait que 334 pages, sinon je l'aurais surement abandonné.
Un côté gothique survolé, loin des romans classiques du genre...

Je n'ai pas retrouvé le plaisir de lecture que j'avais eu avec Une bête au paradis.
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Chronique vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=_ml4sy43qzw
Aimée épouse Candre un homme mystérieux qui vit reclus dans un bois, avec sa bonne Henria et Angélin, le fils de cette dernière. Elle apprend au fil de temps à mieux le connaitre, et on se demande si c'est pour son bien — car on va avoir affaire à une sorte de relecture de la Barbe bleue.
Lien : https://www.youtube.com/watc..
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raconter la société fin 19ème, ses problématiques et ressentis avec style au 21ème siècle s'avérait démarche intéressante et promesse de marchepied pour aborder écrivains classiques.
J'avoue m'être forcé à le finir. Heureusement les chapitres sont courts.
Style sans relief aucun et histoire très artificielle et inintéressante.
Déception
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Que c'est long, que c'est triste, que c'est ennuyeux, que c'est peu crédible, que c'est barbant ! Bref, je me suis profondément ennuyée à la lecture de cette histoire qui n'en finit pas. Certes, le dénouement réserve une surprise de taille, mais on peut difficilement croire à une telle monstruosité d'une mère à l'égard de son propre fils. Et puis, je ne suis pas fan du style. J'ai maintes fois accroché sur la compréhension de phrases alambiquées.
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Lecture de la semaine. Décevante. Cette histoire vaguement gothique tourne vite en rond. Certaines ellipses sont incompréhensibles, l'heroïne et les autres personnages sont très peu approfondis. Sous prétexte de secret(s) et de mystère , l'auteure reste à la surface de l'histoire ou des histoires, elle regarde ce qui se passe de tellement loin qu'on finit nous aussi par s'en désintéresser. Cela sonne inabouti. Préférez ses poèmes pleins de douceur et de profondeur.
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