Par-delà certains aspects convenus de la trame romanesque, et si l’on fait fi de l’élaboration un peu sommaire des personnages, au demeurant typiques du genre, l’œuvre de Dacre, dans la traduction joliment surannée de Mme de Viterne, possède une vraie puissance. L’évocation des rapports de genres, de races et de classes qui sous-tend ce chef-d’œuvre oublié du «gothique féminin» lui confère une surprenante et indéniable modernité.
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