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Hérésie ! Sacrilège ! Blasphème ! Profanation ! Outrage ! À l'assassin ! Au meurtrier ! Justice, juste Ciel ! Je suis perdue, je suis assassinée, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent... (1)

Pardon, je voulais dire "on m'a dérobé mon cher docteur Watson" !

Rassurez-vous, ma lecture fut des plus agréables, mais j'avoue que j'aurais pu crier tout cela en découvrant ce chouette pastiche holmésien...

Pourtant, c'était pas gagné d'avance de chambouler le canon (l'ensemble des aventures de Sherlock Holmes écrites de la main de Sir Arthur Conan Doyle - 4 romans et 56 nouvelles, publiées entre 1887 et 1927) et de faire de ce cher docteur Watson un homme à la solde du professeur Moriarty, le Napoléon du crime !

QUOI ? Ah, j'entends que certains se sont étranglés à cette idée un peu hérétique, à cette vision pour le moins dérangeante.

L'auteur n'est pas le premier à me faire crier : Nicholas Meyer et sa "Solution à 7%" où le professeur Moriarty n'était qu'une projection de l'esprit drogué de Holmes m'avait déjà scié et Michael Dibdin m'avait tué avec son "Ultime défi de Sherlock Holmes".

Ici, je dois dire qu'une fois la surprise passée, le scénario tient la route et m'a emballé.

Le docteur John Walker, qui n'est pas "Texas Ranger" mais médecin militaire en Afghanistan, s'est fait radier de l'armée pour avoir tutoyé jusqu'au bout une bouteille de Cognac. Hips ! Sans doute est-il parent avec le célèbre Johnnie Walker...

C'est lors de son voyage de retour qu'il tombe entre les mains du réseau criminel de Moriarty, qui le rebaptise "Watson" et lui confie la mission d'espionner Sherlock Holmes, un jeune détective dont la réputation ne cesse de croître à Londres.

Watson n'a pas trop envie, mais on ne dit pas "non" à Moriarty, sinon... Couic ! Et puis "Plouf dans la Tamise".

Moriarty, la Némésis de Holmes... Moriarty, un homme intelligent qui a sombré du côté obscur de la Force, nous montrant ce que Holmes aurait pu devenir s'il y avait succombé, lui aussi.

Moriarty, qui, tel un marionnettiste, tire les ficelles de tous ses pantins, dont Watson. Ce Napoléon du crime, qui, tel un scénariste diabolique, écrit l'histoire qu'il veut voir jouer. Tout est prévu... Même l'adresse du 221b. Tout, je vous dis ! Ça fait froid dans le dos, croyez-moi. J'ai poussé quelques "oh, mon dieu" ou "Gottferdom" d'exclamation.

Tel un Dieu qui déciderait de s'inventer un monde, Moriarty le crée de toutes pièces, décidant de qui jouera quoi.

MAIS ! Si les pantins sont sans vie quand le marionnettiste ne tire pas les ficelles, si les personnages de papier n'ont pas de vie propre en dehors de ce que le scénariste leur fait réaliser (désolé, monsieur Pierre Bayard), les créatures de Dieu possèdent une chose : le libre arbitre ! La capacité de réfléchir et d'agir en dehors de tout contrôle.

Voilà pourquoi l'exemple d'un Dieu s'imposait pour comparer Moriarty, plus qu'un scénariste ou marionnettiste...

David Stuart Davies n'est pas un novice dans le domaine de Sherlock Holmes, loin de là. Ceci n'est pas son premier livre, il maîtrise le sujet et son livre est un régal.

Ses personnages sont plausibles, canoniques et j'ai bien aimé les quelques petites confidences de Holmes sur l'amour et le sexe.

L'alternance entre le récit en lui-même (du narrateur) et les extraits du journal de John Walker ajoutaient de la clarté dans le récit, une alternance de point de vue des plus intéressantes à lire, le changement de police de caractère accentuant encore un peu plus le côté "autre récit".

Lecture "confort" aussi en raison de l'interligne 1,5 entre deux paragraphes. Plus clair et mes yeux ne s'en portent pas plus mal.

Bien que j'ai eu droit à une resucée de "Une étude en rouge" et une partie du "Signe des quatre" que je connaissais, le fait qu'ils soient revisités fut une agréable surprise. Bien vu !

Par contre, je me pose des questions sur un personnage... En est-il vraiment ou n'en est-il pas ? Agent double ou triple ? J'espère avoir la réponse dans le tome suivant.

Alors ? Watson utilisera-t-il son libre arbitre ? Holmes est-il aveugle ? Que va faire Moriarty ? Et comment tout cela se terminera-t-il ?

Vous le saurez en lisant "Les Nouvelles enquêtes de Sherlock Holmes", en vente dans toutes les bonnes librairies.

Recommandée par une éleveuse de polars en tout genre - dont un sacré cheptel de polars holmésiens font partie du troupeau.

Mais cet avis n'engage que moi...


(1) Extrait de "L'Avare" de Molière à partir de "Justice, juste ciel" et jusque fin premier paragraphe.


Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Un certain Docteur Watson est l'un des deux seuls romans de David Stuart Davies qui ait été traduit en français. Il s'agit ici d'un roman apocryphe. La différence est grande avec le livre des morts. Mieux vaut ne pas lire la quatrième de couverture et se laisser porter par ses impressions et déductions pour découvrir ce que l'intrigue va dévoiler.

Une fois n'est pas de coutume puisque c'est de Watson dont il va être essentiellement question. Sans faire de révélation intempestive, l'auteur lui prête un rôle très éloigné de ce que le Canon avait prévu. Il va être question de Sherlock mais aussi de Moriarty, de Moran, et de Mycroft sans oublier Lestrade, Gregson et Mrs Hudson… le programme va donc être chargé.

Le roman développe une histoire à tiroirs qui offre des références, ou plutôt utilise plusieurs romans et nouvelles du Canon : Une étude en rouge, le Signe des quatre, L'interprète grec, le dernier problème et La Maison vide, sans oublier qu'il donne sa propre interprétation du grand hiatus. Les adeptes pourront crier au scandale, mais pourtant l'auteur fait de son mieux pour créer quelque chose qui offre de surcroît beaucoup de controverses. Il y a ici matière à relire le Canon différemment.

L'histoire et le style sont plutôt plaisants et nous sommes vraiment pris dans un scénario immersif. le début est long et manque de dynamisme. Il faudra donc s'accrocher, mais l'effort, tout relatif, en vaut la peine. le roman a beaucoup d'ambition. du coup, il utilise des personnages qui ne peuvent être laissés de côté mais dont la prestation n'est guère utile (Moran) ou convaincante (Mycroft).

Osé et iconoclaste, ce roman s'adresse aux adeptes qui auront lu le Canon et désirent le relire avec une nouvelle perspective. Un bon cru, qui mérite le détour mais à condition d'accepter le parti pris de l'auteur.
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Il m'a fallu quelques jours avant de pouvoir mettre au point cette chronique, tant cette lecture a été un énorme coup de coeur et m'a littéralement scotchée !

Holmésienne devant l'éternel, j'avoue avoir tremblé en lisant le résumé ! Quelle audace de revisiter ainsi le Canon ! Mais au vu des nombreux avis positifs qui émanaient de la blogosphère et étant donné que je vais prochainement recevoir le deuxième tome grâce à une Masse Critique Babelio, je me suis lancée.

Nous rencontrons donc John Walker, médecin militaire à la dérive en Afghanistan. Un soir, il en a ras-le-bol de voir mourir tous ces jeunes soldats, il décide qu'une bonne cuite au cognac est la solution idéale (mais pas à 7% ! ^^). Résultat : emprisonnement, traduction en cour martiale et renvoi manu militari au pays... Mais sur le bateau, notre bon Docteur rencontre un homme chargé d'un "recrutement" un peu spécial : celui du terrible professeur Moriarty, le Napoléon du Crime ! La nouvelle mission de Walker, désormais Watson : espionner Sherlock Holmes, jeune détective ambitieux, devenir son ami et l'empêcher de mettre son nez dans les affaires du distingué Professeur...

J'admire l'auteur, pour sa manipulation du Canon ! Quel talent de réussir à remodeler à sa guise les premières enquêtes du célèbre duo (Une Etude en Rouge, le Signe des Quatre, L'Interprète Grec et le Problème Final) sans en perdre la substantifique moelle et surtout en étant cohérent de A à Z ! Souvent, je me suis demandée comment l'auteur allait adapter tel ou tel détail et, à chaque fois, me voilà bluffée ! On se rend compte aussi, à travers ce premier tome, de la main mise extraordinaire de Moriarty : on ne peut rien lui cacher, il voit tout, il sait tout ! le problème, pour lui, c'est que Watson va réellement s'attacher au détective... Les personnages sont superbement retranscrits et collent parfaitement au Canon, même si certains nous réservent quelques surprises... Une réelle précision dans les détails, une écriture fluide et très agréable à lire, un point de vue différent de tout ce que l'on a pu lire jusqu'alors, de l'action, des déductions : un cocktail explosif pour une série que je ne manquerai pas de suivre tant elle m'a marquée par son premier tome !
Lien : http://le-marque-page-de-pop..
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Il y a un petit temps que cet auteur m'attirait. Je n'ai donc pas hésité à postuler pour ce livre lors de la dernière Masse Critique sur Babelio. Et Je ne le regrette pas.
David Stuart Davies est reconnu comme un spécialiste de Sherlock Holmes. Il s'amuse donc à mêler le vrai et le faux dans ce roman original. Il imagine ni plus ni moins que le Dr Watson s'appelle en réalité Walker et est payé par Moriarty pour espionner Sherlock. Rentrant d'Afghanistan, il n'a jamais entendu parler du célèbre détective et désargenté, accepte sans trop rechigner le pacte que lui propose l'ennemi juré de Holmes.
Il fallait oser s'attaquer à un symbole comme Watson, ce Candide, âme de la saga holmésienne. DS Davies n'a pourtant pas hésité. Et son roman est une réussite. le style est respecté, l'ambiance et l'esprit rendent hommage à Conan Doyle, les personnages sont plausibles… et j'ai goûté l'alternance de point de vue entre le journal intime de Watson et le récit en lui-même. Les deux étant rédigés dans deux polices différentes.

On retrouvera ici un peu du « Signe des quatre » un peu de « Une étude en rouge », un peu de… vous le découvrirez vous-mêmes ! Et beaucoup de liberté prise. Mais le tout reste cohérent, respectueux de l'oeuvre et terriblement original. Une lecture vraiment agréable qui donne envie de découvrir la suite imaginée par l'auteur.
Spécialiste ou non de Sherlock Holmes, chacun trouvera un réel plaisir dans cette lecture.
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N'ayant pas lu les oeuvres de Sir Arthur Conan Doyle, je ne peux pas vraiment juger de la qualité de cette « réécriture » par rapport à l'original, mais ça a fonctionné pour moi.
Une pointe d'humour British comme je l'aime, des personnages très crédibles, je n'ai rien trouvé à redire.

Mon avis complet ici : https://nathouelecture.wordpress.com/2015/07/17/un-certain-dr-watson-david-stuart-davies/
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Wow ! Quel pastiche passionnant !
L'intrigue du livre aura surpris beaucoup d'entre nous.
Watson ! un traitre, travaillant pour le compte de Moriarty ? À voir !
Je trouve le personnage de Sherlock Holmes, agréablement décrit, et crédible !
Nombreux sont les pastiches oubliant le caractère de l'individu à part qu'est Sherlock !
L'histoire et passionnante, l'écriture agréable. L'auteur connaît son sujet, bref j'ai dévoré ce livre.
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Voici un fort sympathique pastiche holmésien.
Ecrit par un spécialiste en holmésologie, ce roman reprend les codes du genre. Et l'auteur nous gratifie en plus d'une belle imagination.
Aussi si David Stuart Davies imagine un Watson à la botte de celui qui va devenir le pire ennemi de Holmes, aussi nous décrit-il un Mycroft retord et pervers passé du coté sombre de la force.
Un point de vue très intéressant qui fait plus que se défendre. On y crois et c'est là tout le génie de l'auteur.
Un excellent roman qui devrait plaire à tous les amateurs du grand détective londonien ainsi qu'à ses fans les plus inconditionnels.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Superbe idée !
Watson est en réalité un espion à la solde de Moriarty pour donner à Holmes la réputation qu'on lui connait en devenant son biographe. (et oui, Moriarty s'ennuie, il veut un adversaire à sa mesure)
Le roman commence par l'intrigue de "un étude en rouge" et en reprend presque point par point les éléments, pour s'éloigner de plus en plus de Doyle et terminer bien sûr aux chutes de Reichenbach. Ecrit bien sûr à la première personne par Watson en narrateur, on assiste aux tourments du docteur qui se prend d'amitié pour Holmes et à qui son rôle d'espion pèse de plus en plus.
Mais j'en arrive aux critiques. Bien sûr Watson explique qu'il est obligé de "romancer" les enquêtes et que c'est pour cela que les écrits qu'on connait (ceux de Doyle) divergent de la réalité.
Mais il y a tout de même une énorme différence qui ne s'explique pas de cette manière : ce Holmes est extrêmement bien cultivé, connaissant parfaitement bien la littérature et pouvant citer de grands auteurs... alors que moi l'Holmes que je connais n'en a rien à faire de la philosophie et de la littérature à part celle pouvant aider dans son métier.
J'avoue que ce détail m'a gênée.
Autre petit détail gênant à mon sens : il y a d'autres espions de Moriarty qui gravitent autour de Holmes (vraiment Moriarty sort les grands moyens pour faire de Holmes un grand détective) mais est-ce vraiment utile ? leur action est loin d'être décisive dans le roman et donc je me disais que leur rôle allait être développé dans le second tome ... et non !
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Cet auteur est une découverte pour moi, même s'il semble être une pointure dans l'étude holmésienne (est-ce comme cela qu'on dit?). Et il faut vraiment être un expert pour pouvoir pasticher un auteur et son personnage archi-célèbre. Mais en le lisant, on se dit ''Elémentaire, mon cher Watson''.
Bien qu'ayant eu peur de me lancer (je n'imaginais pas Watson au service du Dr Moriarty, le terrible ennemi de Sherlock Holmes), je ne suis pas déçue. le personnage de Watson est judicieusement traité, et l'histoire nous est présentée de telle façon qu'on a l'impression qu'elle comble des lacunes et explique les motivations des vrais Holmes et Watson.
Contrairement à l'oeuvre classique vue à travers les enquêtes de Holmes, même si elles sont présentées par Watson,nous voyons ici toute l'histoire du point de vue de la psychologie de Watson. L'angle d'approche ouvre d'autres perspectives, tout aussi intéressantes, et la très grande connaissance des oeuvres originales permet à l'auteur d'être pertinent dans sa prise de risque.
Une belle découverte, originale.
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Dans les plaines désertiques de Maiwand, John Walker, médecin au Cinquième régiment des fusillés du Northumberland (complètement rétamé par les guerriers de Ayub Khan), las de voir ses camarades mourir autour de lui, se prend la cuite de sa vie en laissant ses patients en plan. Emprisonné, traduit en cours martiale pour faute lourde, renvoyé de l'armée, il rencontre lors de son retour en Angleterre le capitaine Alexander Reed, un homme affable, sympathique, se présentant comme une sorte de » chasseurs de têtes » au sein d'une organisation aux ramifications tentaculaires qui lui propose de lui trouver un travail. Introduit auprès du professeur Moriarty, il est engagé par celui-ci pour une mission spéciale : espionner Sherlock Holmes.

Ce dernier, fraîchement arrivé à Londres, rêvant d'être un détective privé à part entière, aide Scotland Yard à résoudre certaines énigmes et tente de mettre au point une solution qui permettrait de détecter les traces de sang.



David Stuart Davies se penche ici sur les origines de la rencontre Holmes/ Watson et sur la main mise du professeur Moriarty dans l'organisation criminelle. Nul n'est à l'abri de son pouvoir, de son appétit grandissant sur son envie de dominer le monde. Une main de fer dans un gant de fer! Ennuyé par la vie en général, il trouve en Holmes le seul réceptacle capable de le défier dans son entreprise, un ennemi à la mesure de son intelligence quoique agaçant et bien qu'ayant tout le loisir de l'éliminer, décide de se lancer dans une partie d'échecs tendue en plaçant tous ses pions : Walker/Watson, Kitty Hudson une ancienne comédienne qui a déjà collaboré avec l'organisation et Mycroft Holmes dont les intentions sont pour le moins troubles.



Les puristes hurleront peut-être mais avant de pousser leur cri d'indignation, j'attire leur attention sur certains points.

- La narration est largement supérieure à celle Conan Doyle ( guère compliqué, il écrivait comme un pied! n'en déplaisent aux gens de mauvaise foi) et en respecte l'esprit. Les cannons holmesiens sont présents :

- l'année de la rencontre des deux héros,

- l'ami, le confident, l'hagiographe Walker/Watson,

- les spécificités de la personnalité de Sherlock Holmes,

- les ennemis de toujours : le professeur Moriarty, le colonel Moran son second,

- Mrs. Hudson, sa logeuse,

-Scotland Yard avec son plus fidèle représentant, Giles Lestrade,

- Mycroft Holmes, maître du Diogenes Club,

- les premières aventures de notre couple mythique certes signalés en passant mais tout de même : A study in scarlet, The sign of four, The Greek interpreter, The final problem,

le tout très agréable à lire!

La série THE FURTHER ADVENTURES OF SHERLOCK HOLMES, qui compte plus d'une dizaine de livres sur le sujet ici présent, invite des écrivains à donner leurs interprétations ou vues en mettant en scène le plus célèbres des détectives, un personnage de fiction qui a son musée, ses biographes (si, si!), ses clubs de fondus totaux ( pour certains l'asile n'est pas loin!), qui a généré plus de deux cents films, téléfilms, pièces de théâtre, séries… Si ce n'est pas une putain d'icône, je ne sais pas comment l'appeler! He's bigger than life itself!

C'était une lecture revigorante, surprenante, palpitante. La manière dont David Stuart Davies s'approprie le mythe de Conan Doyle fait preuve d'une certaine subtilité, d'une connaissance approfondie sur l'ensemble de l'oeuvre originale, d'une élégance intellectuelle. Bon bouquin! Même Neil Gaiman s'est fendu d'une nouvelle sur le sujet!

Je vous invite à regarder le site suivant : www.titanbooks.com
Lien : http://www.immobiletrips.com..
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