"Il n'a jamais vu en vous qu'une bourgeoise,une pâle carriériste, une névrosée de base qu'on domestique à coups de pilules blanches".
Il, c'est le psy. Vous savez celui qu'elle, "la responsable de communication en entreprise béton", mais patiente impatiente qu'il s'intéresse enfin à son moi profond, a tué d'un coup de couteau?
Elle c'est je,nous,vous,elle...elle,
Viviane Elisabeth Fauville, un coup tout ça, un coup Elisabeth, un coup Viviane, tellement confuse qu'elle ne sait plus que sa mère est morte,enfin c'est ce qu'elle dit à l'inspecteur sosie de "Yul Bryner" "qui n'a pas l'air d'un imbécile" puis oui se souvient, et qui prend le couteau chez son ex mari,enfin qui a pris puisque c'était avant l'interrogatoire, oui c'est ça, s'en sert sur le psy,le ramène chez l'ex mari,puis le reprend tout en endormant son bébé à coups de tranquillisants et en poussant le chauffage au maximum car c'est bien qu'il fasse chaud pour un bébé surtout si on le laisse des heures tout seul et qu'on file la femme du mort vous savez celle qui a une double vie puis qu'on file la maitresse du mort vous savez celle qui est enceinte jusqu'aux yeux....
Bon là je stoppe!!! Bizarre,bizarre vous avez dit bizarre,oui et en tous cas complètement azimuté!
Après avoir lu le dernier roman de
Mazarine Pingeot qui s'adressait à vous (ses multiples facettes) avec humour, ce qui est toutefois déstabilisant pour le lecteur qui se sent au départ impliqué, voici un (
premier) roman de
Julia Deck encore plus perturbant car on ne sait plus qui parle.J'ai fermé ce livre perplexe.Ai-je bien tout saisi ou cette
Viviane Elisabeth Fauville est-elle complètement barjo? Mais oui, c'est ça elle est barjo! Floue de floue quoi!
Ayant lu les (bonnes) critiques je me réjouis pour
Julia Deck, mais désolée, je n'ai absolument pas adhéré ni au style, ni au sujet!