Un titre aguicheur, une quatrième de couverture intrigante et.... Plouf.
Je ne connais pas l'auteur, je n'en attendais donc pas grand chose, mais l'éditeur le décrivait comme un "amoureux de l'Amérique latine" et j'ai trouvé le livre très imprécis sur les éléments qui auraient du nous faire respirer Buenos Aires, l'Argentine et sa culture.
L'intrigue est pas follichone mais si le scénario avait été de qualité c'aurait pu être intéressant. Enfin, là non plus c'est pas terrible terrible...
Commenter  J’apprécie         00
La chronique de Jean-Edgar Casel - Les années rouge et noir