AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,65

sur 6795 notes
J'avais beaucoup apprécié Harry Québert, un peu moins mais toujours avec beaucoup de plaisir la disparition de Stéphanie Mailer. J ai donc décidé de m'attaquer à ce nouveau Roman de Joël Dicker.
Je l'ai d'abord lu avant de lire les critiques et donc de rédiger la mienne.
D'énormes longueurs et le roman est très très mal construit. Avec des sauts de puce temporels incessants qui au lieu de servir l'intrigue embrouillent complétement le lecteur. Même en restant concentré on ne sait plus où en en est avec des 15 ans plus tôt, 4 h avant le meurtre, 15 ans plus tard, de nouveau 15 ans plus tôt puis 3 mois après le meurtre, puis au présent dans la réalité de l'écrivain, puis 3 ans plus tard...Bref, un vrai brouillon qui fait perdre beaucoup d'intérêt pour ce roman.
Sous couvert de cette histoire, Joël Dicker trouve un prétexte pour parler de son éditeur auquel il était attaché mais sans grand intérêt pour l'histoire elle même.
Et le pire je pense, c'est le cruel manque totale de crédibilité de l'histoire avec une intrigue à la James Bond saupoudrée de manipulations rocambolesques. Je me suis demandé si l'auteur lui même s'était relu!
On peut ne pas aimer une histoire mais reconnaître la qualité de rédaction et la construction d'un roman. Là nous n'avons ni l'un ni l'autre.
Bref, à oublier malheureusement.
Commenter  J’apprécie          200
L'intrigue se perd en rebondissements inutiles ; à la moitié du livre, à la fin de la première partie, le lecteur ignore toujours qui est mort ! Là, j'ai laissé tomber - ce qui est très rare chez moi- à cause du sentiment de perdre mon temps et la conviction que le dénouement du suspens sera sans intérêt ! (ainsi la tentative de sauver Tarnagol d'un accident est significativement ridicule.)
La qualité d'écriture ne présente pas d'intérêt particulier .
C'est le premier Dickers que j'aborde et ce sera le dernier.
Commenter  J’apprécie          192
La Suisse, la neige, Genève, le Lac Léman et son fameux Jet d'Eau, le luxe des palaces… Verbier, escapade dans le Valais Suisse…

Enigme et suspense au coeur des Alpes suisses au Palace de Verbier.

« Les gens considèrent souvent que l'écriture d'un roman commence par une idée. Alors qu'un roman commence avant tout par une envie : celle d'écrire. »

Eté 2018 un Ecrivain en vacances se retrouve, un peu malgré lui, plongé dans une affaire liée à un meurtre commis une nuit de décembre des années plus tôt.
Alors, mystère…

Mensonges et convoitise. Prestige et désillusions. Ambitions – Argent.

Les arcanes du pouvoir dans la haute société genevoise, les milieux des affaires et de la Banque Suisse, où tous les coups semblent permis.

Jalousie – Secrets et trahisons – Jeux de pouvoir lorsque l'amour s'en mêle.

Une lecture divertissante, plutôt très rocambolesque.
Les multiples allers retours dans le temps peuvent créer une légère confusion mais la lecture reste néanmoins facile avec, certes, quelques clichés.

Un hommage de l'auteur à son éditeur disparu et ami M. de Fallois.
Commenter  J’apprécie          193
Bon décidément, ces auteurs jouissant de grands succès commerciaux ne sont pas pour moi.
Je ne peux que dire que sur la forme, ce roman est bien écrit, les personnages travaillés, l'intrigue bien construite, mais il n'y a pas l'âme qui fait que le roman nous accroche, qui rend les personnages attachants. Je me suis ennuyé du début à la fin et les presque 200 premières pages sont les pires.
Commenter  J’apprécie          190
Je partage largement les critiques négatives faites par la majorité des lecteurs et suis fort étonné des louanges (peu argumentées d'ailleurs) manifestées par quelques uns. Je serai donc bref : ramené à 150 pages, ce roman pourrait -à l'extrême rigueur- figurer dans la collection HARLEQUIN, par exemple... et encore ! C'est tout simplement consternant que l'on puisse publier quelque chose d'aussi médiocre.
Commenter  J’apprécie          191
Voilà un livre attendu par les médias hystériques.
Un bel homme publie un livre, dont les précédents ont été un succès, à tort ou à raison.
Je vais décevoir les amoureux de Joël, mais ce roman m'est tombé des mains.
Intrigue confuse, brouillonne, on est perdu.
Le style est "plat comme un trottoir de rue" (Flaubert).
La gloire de cet auteur est pour moi un mystère, même s'il est par ailleurs très sympathique et très sexy. Doit-on réduire une oeuvre littéraire à l'image que donne l'écrivain de lui-même ? La question mérite d'être posée en toute franchise. Relisez Roland Barthes, à défaut de lire ce livre sans intérêt.
Commenter  J’apprécie          190
bien que j'ai apprécier ses derniers romans, celui-ci m'a laissé un arrière goût amer. Les personnages sont creux, les femmes y sont représentées de manière caricaturale et vides. Les hommes sont avides de pouvoirs et d'argent. C'est navrant. Navrant qu'en 2020 un livre qui entretienne autant les clichés soit édité. Les personnages ont aucune psychologie ni profondeur, c'est une suite de clichés et à la fin j'ai juste l'impression d'être prise pour une conne.
dommage.
Commenter  J’apprécie          190
Quelle déception que ce roman, alors que j'avais tant aimé "L'affaire Harry Quebert".

J'ai trouvé ça peu crédible et totalement rocambolesque (on attend quand même du censé dans un thriller qui colle à la réalité, après tout, c est la marque de fabrique de l'auteur!). On se serait cru dans un mauvais James Bond.

Pourtant, l'histoire avait l'air très intriguante.

La chambre 622 d'un grand hôtel Genevois, avait été le théâtre d'un meurtre.
Le mystère était total et l'enquête à refaire 15 ans plus tard.

Un couple d'enquêteurs amateurs, se penche donc sur cette affaire.

Mais qui est mort me direz vous ? Eh bien, si vous êtes patient, vous le saurez à la page 400!

Trop long, théâtral à souhait!
Dans les 100 dernières pages, on saute de rebondissements invraisemblables en feu d'artifices qui n'en finit pas !

Pas pour moi, mais je suis certaine que ce roman a trouvé son public.
Commenter  J’apprécie          184
J'ai bien essayé de m'intéresser à cette histoire de chambre 622 dans laquelle un crime non résolu a eu lieu il y a quelques années et que le Palace de Verbier dans le Valais suisse a dû rebaptiser en chambre 621 bis.
Mais c'était peine perdue, je n'ai jamais pu aller au bout de ce roman.
Que ce soit l'histoire actuelle d'un écrivain de renommée qui enquête sur ce mystérieux meurtre, ou bien celle de l'affaire elle-même, liée à une banque d'affaires privée et accessoirement aux services de renseignements suisses, tout m'a paru prévisible et primaire.
Les personnages sont affligeants de platitude et rien, dans leur vie n'a su me passionner. La famille du banquier Ebezner est caricaturalement riche et les préoccupations de tous ces protagonistes fortunés sont à mille lieux de tout ce qui retient mon attention dans un polar. Leurs doubles vies sont télescopées et l'enchaînement des événements (du moins jusqu'à la page 155) est très peu crédible.
J'ai même parfois eu le sentiment que ce roman s'adressait à des enfants.
Bref, je ne saurai pas ce qui s'est passé dans cette chambre 622 mais je ne m'en porte pas plus mal.
Commenter  J’apprécie          180
Je dois dire que je ne comprends pas. Je vais tenter de rédiger cette chronique avec le plus de diplomatie possible, bien que je ne sois pas du genre à mâcher mes mots. 

Je crois qu'avec "l'énigme de la chambre 622", Joel Dicker s'est perdu. C'est du moins ce que j'ai envie de croire, afin de lui laisser l'opportunité de nous surprendre pour son prochain roman. 

Je suis déçu, il faut le dire. Cette lecture fut laborieuse et pesante même. Si j'ai pu en arriver au bout, c'est uniquement parce que je lisais ce livre avec mon ami Adrien. Autrement j'aurai très probablement abandonné le roman dès les premières cent pages. 

Dans ce roman, on va évoluer dans le domaine de la finance. Lors du Grand Week-end de la banque Ebezner, un meurtre a lieu dans la chambre 622. Joel, lui-même, va mener l'enquête plusieurs années après, alors qu'il séjourne au Palace de Verbier, là où a eu lieu le meurtre, il rencontre Scarlett avec qui il mènera l'enquête. 

Globalement, c'est un bon résumé que je viens de vous faire. Et je sais ce que vous vous dites... Oui, l'auteur a eu envie d'être dans son roman avec une femme qui vient de ne je ne sais où et qui est je ne sais qui... Première contrariété. Utilité de ce personnage ? Je cherche encore. Plus agaçante que vraiment utile quand j'y repense. 

La construction du roman est particulière, nous avons de court chapitres avec Joel et Scarlett, nous racontant plus la vie de Bernard de Fallois (éditeur et ami de Joel) que menant réellement une quelconque enquête. C'est noble de vouloir rendre un si bel hommage à son éditeur, mais je suis désolé je n'ai pas compris l'intérêt dans ce livre-là. Si Joel Dicker avait plutôt décidé de réaliser une courte nouvelle sur Bernard de Fallois, alors j'aurais dit oui, un grand OUI. Mais là, ça n'a pas lieu d'être. Ça ne sert à rien dans l'histoire. 

Puis d'autres chapitres sur ce qui a mené à ce fameux meurtre (dont on ne sait rien) puis a quinze ans auparavant pour étayer ce qui a mené au meurtre. Encore une fois, je sais vous ne comprenez pas cette construction du roman... Et moi non plus, c'est brouillon. Beaucoup trop brouillon qu'on s'y perd et qu'on s'y ennuie. Je suis désolé Monsieur Dicker mais en vous perdant dans ce roman, vous m'avez perdu. 

Au tout début, on est intrigué par cette fameuse énigme mais on se rend compte que le sujet ne va faire que tourner autour de la rivalité des hommes dans le milieu financier (Oui, dans les banques en Suisse aucune femme n'a vraiment de rôles importants). Les seules femmes que vous trouverez dans ce roman seront : secrétaire, bonne à tout faire, ou simple épouse au foyer. Ah, la valorisation de la femme...

Outre les redondances dont fait preuve l'auteur pendant près de deux cents pages (utilité ?), on en arrive finalement à un dénouement plus farfelu que vraiment intéressant. Arrivé à la dernière page je n'ai pas pu me dire autre chose que "Tout ça pour ça".

Je persiste et je signe trois cents bonnes pages feront toujours mieux que 572 pages sans grand intérêt. Ça a manqué de piquant, de passion, de suspense aussi. Peu captivé, je ressors déçu de cette lecture. Et un peu de l'auteur aussi, ayant lu "Les Baltimore" il y a peu, le fossé entre ces deux romans est énorme.

Lien : https://loudiebouhlisblog.wo..
Commenter  J’apprécie          183





Lecteurs (14152) Voir plus



Quiz Voir plus

Savez-vous la vérité sur l'affaire Harry Quebert ?

Que sont Harry et Marcus ?

père et fils
frères
amis
collègues de travail

24 questions
2490 lecteurs ont répondu
Thème : La Vérité sur l'affaire Harry Quebert de Joël DickerCréer un quiz sur ce livre

{* *}