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4,15

sur 2159 notes
Pour ce deuxième tome, nous retrouvons nos 12 prétendants de l'espace prêts à atterrir sur Mars pour célébrer leurs mariages. Et désormais au courant du danger qui les guette...
L'histoire alterne entre la vie sur Mars, le montage de l'émission avec la très fourbe Serena, bientôt vice-présidente des États-Unis. Andrew et Harmony, complices des prétendants sur la Terre, voient aussi leur place devenir centrale à la fin du roman.
Les rebondissements ne manquent pas entre complots et histoires de coeur. Nous découvrons dans ce tome L'histoire de Marcus. Certains prétendants restent très mystérieux encore...
Un second tome qui m'a donc beaucoup plu mais un peu moins que le premier. J'ai trouvé certaines explications scientifiques pas très crédibles ni intéressantes pour l'histoire. La fin nous laisse sur notre faim. Aucun doute que je lirai très vite le tome 3.
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Quel plaisir de repartir sur Mars aux côtés des douze sélectionnés du programme Génésis !

Encore une fois, Victor Dixen sait jouer à la perfection avec nos petits coeurs, en nous offrant un roman étonnant, haletant et plein d'humanité.
J'ai adoré suivre l'évolution du personnage de Léonor, qui gagne en assurance et en complexité. Sa relation avec Marcus semble idyllique, mais la menace toujours présente de Serena leur rappelle que leur histoire d'amour risque de se terminer brutalement.

Pourtant, de leurs côtés, Harmony et Andrew poursuivent leur combat sur Terre, pour les aider et démanteler la machination obscure du groupe Genesis. J'ai beaucoup aimé suivre leur fuite et les voir évoluer.
Quant aux autres candidats, j'aime toujours autant Mozart, qui tente vainement d'oublier son attachement pour Leonor et se concentrer sur d'autres choses.

Les personnages gagnent également en maturité. Ils deviennent autonomes, prennent des décisions et se détachent peu à peu de l'influence de Serena. Celle-ci incarne à la perfection le rôle de l'antagoniste, avec son charisme et son intelligence malsaine. Son ambition n'en est que démultipliée et elle est prête à tout pour faire taire les adolescents et leur ôter la possibilité de la dénoncer.

Le roman alterne donc entre des phases calmes voire romantiques, et d'autres bien plus stressantes et imprévisibles. Les nombreux plot twits donnent un rythme à l'histoire ce qui rend le livre addictif !

Pour conclure, ce second tome renforce l'étau qui enserre les protagonistes et nous invite à lire aussitôt le tome 3 pour avoir certaines réponses à nos questions sans réponses.
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J'ai trouvé cette suite à la hauteur du premier tome, l'histoire étant tout aussi passionnante que dans le volume précédent.

Généralement, dans les sagas, le récit s'essouffle au fil des volumes et je perds un peu la passion que j'avais pour l'histoire à mesure que j'avance dans ma lecture. Mais cela n'a pas été le cas avec Phobos (j'espère ne pas revenir sur cet avis quand j'aurai terminé les cinq livres).

Dans ce roman, on en apprend plus sur les personnages (principaux et secondaires), sur leur passé et sur la raison de l'inscription de certains pionniers au programme Genesis (pas tous, mais ça ne saurait tarder).

J'ai beaucoup aimé le fait que les douze pionniers soient davantage mis en avant. Léonor est toujours au premier plan, bien sûr, mais les onze autres participants au programme sont plus sous le feu des projecteurs que dans le tome précédent. Ils doivent apprendre à travailler en équipe et à compter les uns sur les autres s'ils veulent survivre (même si certains y mettent moins du leur que d'autres, Alexeï c'est à toi que je parle).

Le récit est toujours mené selon des points de vue différents, il est donc toujours aussi rythmé et dynamique.
Lien : https://unbouquinetuncafe.wo..
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J'ai dévoré ce deuxième roman. Je n'arrivais plus à m'arrêter !
Je voulais toujours en savoir plus, continuer,continuer...
Phobos 2 est énormément addictif !
Je pense que je l'ai préféré au premier car il y avait plus d'actions avec les personnages de second plan ( Harmony et Andrew ) .
Ducoup je ne me suis pas ennuyée du tout !
Mais j'ai pas trouvé la fin si incroyable que ça.
Je m'attendais à pire. Et ducoup j'ai été même soulagé de la fin.
Je recommande vraiment !
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Ce deuxième tome reprend exactement là où le premier se terminait : on y retrouve nos douze protagonistes arrivant sur Mars. Ils connaissent maintenant le funeste sort qui leur pend au nez, malgré les manigances de Séréna, la maléfique psychiatre prêtresse de ce show, qui aurait bien préféré les laisser dans l'ignorance.
Il ne se passe finalement pas grand-chose dans ce deuxième tome : un « amarsissage » (je n'ose employer atterrissage, puisqu'ils arrivent sur Mars) mouvementé pour les filles, la découverte de la station et de ses équipements et beaucoup, beaucoup de sentimentalisme. Ah, que Marcus est beau, ah que ses yeux sont expressifs, ah ce demi-sourire de Marcus…
J'ai sans doute dépassé l'âge pour apprécier pleinement le divertissement. Qui plus est ce deuxième tome me fait l'effet d'être un tome de remplissage, pour cadrer avec la sacro-sainte trilogie…
Peut-être également que cette lecture a souffert de la comparaison avec La faucheuse, plus mature et complexe, lu à la même période et que, pour le coup, j'ai vraiment apprécié.
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Quand je lis de la qualité, je deviens plus exigeante...


J'ai lu ce deuxième tome rapidement, mais parfois je l'ai trouvé presque ennuyeux, avec des longueurs, pas de retournements de situations extraordinaires (la fin ne m'a pas étonné plus que ça même si, je l'avoue, elle donne envie de lire la suite) et ce, tout le long. L'ensemble n'était pas surprenant, même prévisible en fait...
Aussi, j'ai trouvé que Victor Dixen a un peu trop abusé sur les clichés : j'ai entendu - ou plutôt lu - quelque part que c'était pour en faire une parodie de télé-réalité, enfin pas besoin d'être Einstein pour comprendre ça. Mais tout de même, c'était tellement dégoulinant de cucuteries que plus d'une fois je me suis crispée ! Vous savez, ce genre de clichés où les filles sont des vierges effarouchées et les gars qui se croient ultra performants (vous voyez dans quel domaine je parle)... et où finalement, rien ne se passe entre eux ! Intentionnel ou non, ça m'a dérangé un chouïa.
Ce tome 2 m'a donné l'impression qu'il aurait largement pu être condensé. D'ailleurs le résumé est tout à fait l'image : on dirait un remake de celui du premier tome, il n'apporte totalement rien de plus, INUTILE (mais pas la faute de l'auteur, évidemment) ! J'espère sincèrement que ce deuxième roman de la saga prépare un bon troisième tome.
Et malgré tout ce que je dis de négatif, je mets quand même 4/5 ? Oui parce que tout de même, les défauts que je décris ne sont pas des moindres et ont vite fait de vous descendre une note. Comme quoi, c'est toujours bien d'ajouter une critique en plus de sa note, cette dernière ne parlant pas forcément par elle-même. Donc, pour revenir à nos jolis moutons de l'espace, j'ai mis 4/5 parce qu'en commençant le livre, je partais d'un avis ultra optimiste (ayant adoré le premier tome) et je ne peux pas non plus affirmer que je suis déçue ; je demeure indifférente, c'est tout. Et puis, cette lecture n'était pas déplaisante, loin de moi cette idée. J'adore toujours autant la mise en page, avec ces schémas qui rendent les explications techniques plus compréhensibles, ces alternances de point de vue, ces effets de caméra, ces changements de police d'écriture... On se croirait clairement au cinéma ! Bon, et puis ça doit sûrement ajouter un ou deux centimètres à l'épaisseur du bouquin, je peux vous dire qu'il y a beaucoup d'espace vide.


En bref, un livre qui reste très plaisant, mais il n'est pas aussi explosif que son prédécesseur, à mes yeux. J'attends beaucoup du tome 3 !!!
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Phobos 2 c'est très logiquement la suite de Phobos (tout court), un roman de science fiction pour adolescents (ou jeunes adultes) de Victor Dixen.

Le premier tome m'avait laissé une impression en double teinte : une thématique accrocheuse, de bonnes idées, mais un traitement qui laisse très souvent le lecteur sur sa faim avec une panoplie de personnages très faibles en couleurs. Dans mon challenge lecture 1 mois = 1 consigne, j'avais donc mis pour février (mois de l'amûr) ce deuxième tome de la série.

La descente aux enfers du tome 2

Autant le tome 1 laissait entrevoir beaucoup de possibilités – et donc d'espoirs pour la suite – autant le tome 2 s'acharne à tout piétiner. C'est bien dommage. Alors non, les personnages ne sont pas plus creusés, les approximations du premier se transforment en rafale d'incohérences et on avance carrément au point de patinage.

Pour être parfaitement honnête, je suis très certainement une mauvaise cible pour cette lecture, mais il y a quand même des choses qui ne me semble pas pardonnables.

Les incohérences, il y en a un paquet dont la plus grosse est très certainement le retournement de situation final. Même si j'ai distillé ici et là des spoilers sur l'histoire, je n'irais pas jusqu'à en dévoilé la fin. Mais tout de même, je suppose qu'il y a bien d'autres lecteurs qui sont restés perplexes sur le What The Fuck final.

Pire encore que la toute fin, il y a tout le déroulement et surtout, surtout, les personnages. Au bout du deuxième roman, je n'en peux plus de ses 12 ados qui sont aussi irréels que peuvent l'être des personnages fantasmés dignes de Barbara Cartland.

Rappelons une chose : tous ces ados en orbites ont été choisis parce qu'ils étaient de rebus de la société. Leur quotidien, c'est les favelas et les usines de pâté pour chien, abandonné dans des poubelles ou livrés à la rue depuis toujours. Bref, le petit wesh au coin de votre rue c'est le Bachelor en comparaison.

Alors excusez-moi du peu mais, ok.

Admettons qu'ils soient tous canons, que leurs dents ne soient pas pourries jusqu'à la gencive, qu'ils n'aient pas une gueule cassée ou les paroies nasales défoncées par la drogue.

Admettons qu'ils soient “classe mannequin”, parce qu'après tout ça serait « potentiellement possible » que mère nature ai eu pitié, et tout ça sans l'intervention de Miss Swan, et qu'ils soient tous dédiés corps et âme au programme Genesis.

Admettons qu'ils aient envie d'aller sur Mars et que s'échapper de leur condition humaine, de tout ce qu'ils connaissent et de leur repères soit aussi facile que de participer à une télé réalité pour trouver l'amour le vrai, l'unique (arc qui est un autre grand problème de ce roman).

En revanche, non, je n'admet pas que des ados s'expriment comme ils le font dans ce livre. Jamais, pas un jour, je n'ai entendu quelqu'un parler comme ça. Ils viennent de la rue, ce n'est pas 1 an de formation qui va leur permettre de renier tout ce qu'ils ont été pendant 18 ans.

Non seulement devraient être bien plus proches des enfants bâtards de Paye ta Schneck et des Boloss des Belles Lettres que d'un Rimbaud de pacotille philosophe de cuisine.


Mais en plus de leur verve poético-niaisarde ils sont tous les 12 (car il n'y a pas de remplaçants de prévus… Je suis sûre que même Motus dispose d'un plan B si mamy se foule la cheville) aptes à apprendre en 365 jours :

- un métier “finger in da nose” de type, conduire une navette spatiale de la Terre à Mars (Phobos) où ils devront se poser de manière totalement autonome. Alors pour ajouter au ridicule de la situation, il y a un pilote fille et un pilote garçon… mais chacun à sa navette ! Alors deux pilotes juniors chacun de son côté c'est vachement intelligent plutôt que de combiner les forces.
- un métier essentiel à la survie de l'espèce, médecin. Chez nous, on fait 8 ans d'études minimum pour soigner des rhumes, sur Phobos, en un an tu seras médecin, chirurgien et vétérinaire (on oublie pas qu'ils ont deux chiens, il faudra bien que quelqu'un les soigne)
- les rudiments de l'espace : rien que ça. Vivre sur une lune de Mars ce n'est quand même pas comme vivre sur Terre, et déjà je ne suis pas persuadée qu'en otarcie terrienne ces 12 gamins soient capables de survivre bien longtemps. Sachant qu'ils n'ont même pas eu Matt Damon comme prof ! Et là, je ne parle que de la survie.

Avec trois exemples, seulement trois, on a déjà un petit aperçu de la situation. Alors oui, c'est romanesque… dans le mauvais sens du terme.

Les histoires d'amour finissent mal… en général !

Et je ne me suis pas encore attaqué au problème de base, la pierre angulaire de tout le roman. L'Amour. Cela avec un grand A. Alors oui, il faut aller chercher la midinette avec des histoires d'amour improbables (quand bien même je ne suis pas convaincu de ça, mais bon). Il y a une limite.

Dans le monde réel, il ne faut pas avoir fait 10 ans de psycho pour savoir comment fonctionne les gens et encore plus en huis clos. le principe du jeu est qu'il y a une fille pour une garçon. Ni plus, ni moins. Il doit y avoir 6 mariages accompagnés de 12 dotes une fois le pied posé sur Phobos.

Et personne ne se pose de questions ? Personne n'est stratégique ? Putain les mecs, si vous n'êtes pas prêts pour Koh Lanta, comment vous pourriez survivre à Mars, seriously !

Si vous étiez laissé à l'abandon sur une planète désolée, que vous deviez vous marier et utiliser l'agent de vos dotes commune pour survivre… il y a fort à parier que quelque part l'idée d'être pragmatique et calculateur frôle votre esprit. Vous avez besoin de survivre, merde !

Tournez ménages de l'espace

Phobos tome 2 victor dixenLe plus important, c'est qu'en plus vous n'avez que 6 choix pour trouver le parfait amour et que ça soit réciproque. Devinez quoi ? Tous ont trouvés chaussures à leurs pieds. Même dans Cendrillon, il a fallu au prince tripoter des dizaines de doigts de pieds pour trouver la perle rare !

Cerise sur le gâteau, tous sont heureux en ménage (même si parfois jaloux), la bonne affaire ! Ca aurait beaucoup plus intéressant d'avoir des personnages déçus, intéressés et oui… calculateurs, qui choisissent par dépit, ou par raison en optant pour le moindre des maux.

Soyons fous, pourquoi pas tout simplement refuser de se marier après n'avoir parler en tout et pour tout que quelques minutes avec votre « promis ». Mais non, on est dans le meilleur des contes de fées.

Je pourrais en dire bien plus, mais je vais m'arrêter la pour ma diatribe de Phobos 2.

Non je n'ai pas aimé, et encore plus je pense que ce roman a été totalement gâché. Ca aurait pu être un bon roman jeunesse (même s'il avait tourné autour d'histoires d'amours peu plausibles) car il y a des idées intéressantes mais qui ne sont malheureusement pas exploitées ou alors complètement laminées.

Un ratage interplanétaire.
Lien : http://www.cappuccino-time.f..
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Un second tome tout aussi réussi que le premier, mélangeant un suspens haletant et une narration captivante. Avec des personnages toujours aussi merveilleux, ce sont des couples aujourd'hui est c'est un réel plaisir de les retrouver.
Les évènements s'entrechoquent et vont à une vitesse fulgurante ; on ne s'ennuie tout simplement jamais.
C'est une très bonne suite, qui donne envie de poursuivre la saga.
J'accentue la qualité des personnages qui m'a émerveillée et qui me fascine toujours autant.
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Un second tome plutôt sympathique ^^
Le récit est fluide et j'ai lu le livre relativement vite...
J'ai envie de savoir la suite à cette saga alors j'en conclus que j'aime quand même cette histoire un minimum ;), après certains personnages nous sont toujours aussi peu creusés et je trouve ça dommage que le lecteur connaisse certains des Douze aussi mal... ^^'
Il ne se passe pas tant de choses dans ce volet, après la lecture reste addictive et je lirai le tome 3 avec plaisir, mais c'est vrai que le récit peut manquer peut-être un peu d'actions... On peut rester sur sa faim ^^
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Un premier tome coup de coeur, est-ce que la suite de cette saga sera à la hauteur de mes attentes?

Nous nous sommes quittés lors du premier tome alors que les douze futurs mariés venaient d'apprendre l'existence du rapport Noé. Nous les retrouvons donc tous dans le parloir, la chaîne Genesis en pleine noirceur et du coup, les spectateurs sont inquiets de ne pas savoir ce qu'il advient d'eux. Serena doit négocier avec les jeunes afin d'éviter la catastrophe, mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que pendant ce temps-là, Andrew Fisher a réussi à entrer par effraction dans sa villa et qu'il s'apprête à laisser sortir sa fille Harmony de sa prison. de plus, celui-ci a bien l'intention de repartir avec une copie du disque dur de son ordinateur. C'est également la panique au bunker, tous les collègues de Serena veulent prendre la fuite. C'est le chaos le plus total!

Après multiples négociations, les filles et les garçons décident de passer au vote. Vont-ils continuer l'aventure et débarquer sur Mars en ne sachant pas vraiment ce qui les attend sinon la mort dans un coup laps de temps ou décider de rester sur Cupido pour retourner sur Terre sachant pertinemment qu'ils n'ont pas assez de denrées pour s'y rendre. Peu importe le choix qu'ils feront, le risque de mourir dans un avenir assez rapproché est présent. Finalement, ce sera Léo qui devra trancher!

Comme mentionné précédemment, mes attentes pour ce deuxième tome étaient assez élevées, car j'ai adoré le premier tome. C'est l'auteur lui-même qui a mis la barre aussi haute! Alors que le premier récit était mouvementé et addictif, celui-ci est plutôt lent à démarrer. Heureusement que les chapitres sont courts, car cela permet de garder un rythme dynamique.

Lorsque nous arrivons au cours de la deuxième moitié du récit, nous recommençons à ressentir cette petite palpitation d'anticipation à mesure que l'on tourne les pages. L'action se fait plus soutenue et les rebondissements nous raccrochent à l'intrigue. Par contre, les fameuses coupures publicitaires sont vraiment de trop et ne donnent strictement aucun bénéfice au récit, loin de là!

Au cours de ce tome, nous apprenons à connaître les personnages plus en profondeur. L'auteur a su garder certains aspects secrets de leur personnalité pour nous les dévoiler progressivement et du coup, cela nous donne le goût de poursuivre afin d'en apprendre un peu plus. J'ai particulièrement aimé Kelly avec son caractère flamboyant et ses répliques rafraîchissantes. Mon antipathie pour Alexeï ne cesse de croître et je dois dire que je ressens un certain malaise vis-à-vis de Mozart. Je ne sais pas si c'est en raison du fait que sa photo s'est retrouvée dans le médaillon d'Harmony ou son côté mystérieux, mais je ne peux lui faire confiance.

Au final, je dirais que ce deuxième tome est extrêmement lent à démarrer, mais une fois sur sa lancée, l'auteur réussit à nous captiver. Quant à la fin, elle est juste incroyable! Encore une fois, nous tournons la dernière page avec le sentiment que le meilleur est à venir...


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