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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Que le grand cric me croque !

Si vous en êtes au tome 4, c'est, j'ose l'espérer, après avoir logiquement apprécié les trois premiers opus à leur juste valeur.
Que dire de ce tome qui clôt magistralement la franchise?
Claque scénaristique et visuelle, ni plus, ni moins.
Vous allez en prendre plein les mirettes, enfin, la mirette pour ceux qui auront poussé le mimétisme flibustier jusqu'au bout.

Un épisode monstrueux, pourvoyeur d'un plaisir qui ne l'est pas moins.

Une seule chose à dire concernant Long John Silver : à l'abordage moussaillon !

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Tout est dit dans les derniers mots du dernier paragraphe. Quatre tomes pour une histoire complète avec un découpage somme toute assez cohérent. Dans le premier tome, les auteurs présentent les personnages et le contexte de l'histoire. Intitulé du seul personnage féminin de l'histoire, on comprend assez vite que Lady Vivian Hastings est un personnage principal de l'histoire au même titre que John Silver. Dotée d'un tempérament fougueux, insoumise à son mari, enceinte d'un amant, elle détonne dans cette Angleterre de la fin du 18è siècle. Une fois ces personnages présentés, les aventures commencent réellement avec le deuxième tome et la traversée de l'Atlantique. le troisième tome s'attache au passage dans le continent sud-américain tandis que le quatrième et dernier tome laisse place au dénouement explosif dans la cité de Guyanacapac. Notez que je ne spoile en rien l'histoire, les titre des tomes étant suffisamment évocateurs.

le dessin Mathieu Lauffray est également très réussi et parvient à instiller au lecteur les différents sentiments par lesquels passent les héros. Ca passe par les visages et les couleurs, les ombres en particulier. Les paysages sont également somptueux et on notera en particulier dans chaque tome une paire de double-planches tout simplement magnifiques. Long John Silver est donc un parfait exemple d'un récit d'aventures pleinement réussi sur tous les aspects, de la construction progressive et tout en accélération du scénario au dessin qui colle à l'ambiance de l'histoire. N'hésitez donc pas, jetez-vous dessus.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Chaque tome de cette tétralogie transporte le lecteur dans un lieu qu'il est amené à découvrir au travers des yeux de ce couple improbable qui, à chaque page, se met un peu plus en danger par amour de l'or ou de la légende. Nous errons dans l'Angleterre georgienne, avant de prendre le large à bord du Neptune, puis de nous égarer dans la forêt amazonienne, pour enfin arriver au bout du monde, à Guyanacapac. Et c'est bercés par les somptueuses illustrations de Mathieu Lauffray, qui rappellent à bien des égards les tableaux de William Turner, que nous nous aventurons dans cet univers.

La suite ici : http://twentythreepeonies.wordpress.com/2013/06/12/long-john-silver-xavier-dorison-mathieu-lauffray/
Lien : http://twentythreepeonies.wo..
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Arrivés à Guyanacapac, Long John Silver et Lady Vivian Hasting ne sont pas au bout de leurs surprises en découvrant cette cité qu'ils croient abandonnée depuis longtemps... quelque chose d'obscur y demeure terré !

Ici s'achève la série des Long John Silver avec un certain brio il faut l'avouer.

Les dessins et couleurs de Mathieu Lauffray sont toujours superbes, donnant ambiance et dynamisme au récit et au dialogues qui n'en déméritent pas moins.

Pour le final, L'histoire prend un léger tournant fantastique / ésotérique qui se marie très bien avec la dimension "mystérieuse" qui baigne souvent les cultures précolombiennes, mais s'achève plus sur une fin toute en simplicité, la plus à même de mettre en relief la légende du plus grand des pirates ; Long John Silver.

Une série vraiment excellente dans son ensemble que l'on peut désormais dévorer sans avoir à subir l'attente de la suite !
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J'attendais tout de cet ultime volet. Je n'ai pas été déçue.

Si je vous dis que ce fut un véritable feu d'artifice ? Je ne serai pas loin de la vérité.
Le suspens fut maintenu jusqu'au bout. Cette histoire-là est de celle dont on rêve encore une fois le livre refermé. On en a pris plein les yeux et notre esprit galope encore alors qu'on a tourné la dernière page. Hélas...
Tout a une fin sauf les mythes car ils restent éternels.

Long John Silver, plus qu'un nom qui résonne, c'est une saga à découvrir vraiment.
La BD est un art. Cette histoire une fiction immortelle. La combinaison des deux donne une oeuvre à lire et relire.

Plus que des mots, allez et plongez dans ces pages. le grand frisson vous y attend. Laissez-le vous dominer un temps. Vous serez alors ailleurs et bien loin de notre monde stéréotypé, stérile et morne.
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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Une excellente fin de série à l'ambiance humide et oppressante dans les ruines de Guyanacapac. le voile se lève sur l'histoire qui se termine de façon magistrale!
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Ce tome clôture la série Long John Silver et je trouve que cette clôture est vraiment une réussite.

Le monde noir des pirates est superbement représenté par de magnifiques dessins.

Vraiment 5/5 sans hésitation.
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Ben, il aura pris son temps pour arriver, ce tome quatre… Mais ne crachons pas dans le rhum, car l'attente valait définitivement le coup et c'est sur un final de haute volée que se termine la saga fantastico-piratesque de Dorison et Lauffray. Pour ce dernier chapitre, nous abandonnons les ingrédients habituels du récit de pirate pour entrer à grands pas dans un univers fantastique à la frontière du cauchemar et de l'hallucination. Adieu, tempêtes, mutinerie et beuveries ! Bonjour, dieux antiques, cités disparues, sanglants sacrifices païens et monstres mythiques cracheurs de flammes !

L'amatrice de fantastique que je suis ne s'en plaindra pas, d'autant plus que ce tome est, tout comme les précédents, un modèle de construction scénaristique, édifié sous la forme d'un crescendo démoniaque et exaltant. Dans le volume précédent, on avait abandonné la courageuse et cupide lady Vivian aux mains de son terrible – et complétement siphonné – époux, tandis que Long John Silver et le docteur Livesey tentaient d'échapper à des hordes de sauvages sanguinaires pour mettre la main sur le trésor de Guyanacapac (et peut-être même récupérer la donzelle saine et sauve par la même occasion… Que voulez-vous ? On s'attache à ces vipérines petites choses). Car trésor, il y a ! Un fabuleux, immense trésor, plus d'or et de joyaux que ne pourrait jamais en ramener et en dépenser un homme seul ! Et ça tombe bien puisque Silver, rongé par la tuberculose et peu désireux de mourir patron de taverne, n'a jamais eu l'intention de revenir de cette dernière aventure. En vérité, quelle mort plus tentante pour un pirate que d'agoniser, seul et victorieux, sur un gigantesque tas d'or ?

Le dessin de Mathieu Lauffray est, comme d'habitude, de toute beauté – je sacrifierais des chatons pour pouvoir me procurer certaines planches en poster – et rend à merveille l'atmosphère apocalyptique du récit. Immenses forêts vierges, pyramides fracassées, bateaux détruits dans une gerbe d'explosions gargantuesques… On sent sans peine le plaisir mégalomane que le dessinateur a pris à illustrer ce dernier tome et on le partage avec passion. Splendide bande dessinée. Splendide série. Réussite sur toute la ligne. Messieurs, je vous tire mon tricorne !
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