Un roman sinistre et terrifiant
Premièrement, au début de ce roman captivant, M.
Sherlock Holmes et son fidèle assistant, le Dr. Watson, sont assis dans leur salon, sur la rue Baker Street, à Londres, en 1889. Watson ramasse une canne qu'un visiteur avait oubliée la veille. Il décrit son propriétaire selon l'objet quand, soudain, le propriétaire de la canne sonne. L'homme se nomme James Mortimer, et il est un médecin de campagne. Les deux détectives apprennent que la raison de sa visite la veille est pour leur demander leur aide. Il leur dit que l'héritier du manoir des Baskerville, qui arrivera le lendemain, court un grave danger. Il leur raconte une légende sinistre du chien fantôme qui tue chaque héritier du manoir. le lendemain, il revient avec l'héritier, Sir Henry, et ils demandent à M. Holmes s'il voudrait accepter de soulever le mystère qui pèse sur la famille depuis des générations. Quel bonheur, le détective accepte! .Vont-ils réussir à relever le défi? Lisez ce roman et vous le découvrirez.
Deuxièmement, dans ce roman captivant et angoissant, il y a plusieurs personnages dont certains touchants et dont d'autres effrayants. Par contre, peu importe leur rôle, ils sont tous bien décrits. Chaque personnage est lié l'un à l'autre et aucun n'est inutile. Watson, l'assistant de Holmes, est le narrateur de ce. Au cours du roman, le lecteur peut être confus à cause de tous les personnages, leur rôle, leurs caractéristiques physiques, etc., mais le dernier chapitre, intitulé «Rétrospective», explique en détail les personnages ainsi que les évènements survenus au cours de l'histoire. Par exemple, Stapleton se fait décrire de deux façons complètement différentes dans deux parties de l'histoire; la première le décrit ainsi : «Il pouvait avoir entre trente et quarante ans; il était petit, mince, blond, tout rasé; il avait la bouche en coeur et une mâchoire tombante; il était vêtu de gris et était coiffé d'un chapeau de paille.» (p. 72), «Pendant un instant je demeurai sans souffle, mais le visage placide et les yeux paisibles de mon compagnon me convainquirent que la question ne cachait pas un piège. » (p.74) Ensuite, il devient un personnage sinistre et effrayant : «En cet homme impassible, terne, coiffé de son chapeau de paille et maniant son filet à papillons, je commençais à voir quelqu'un de terrible, une créature douée d'un ruse et d'une patience infinies, le sourire aux lèvres et le meurtre au coeur. » (p.139) Nous voyons donc que ce personnage est décrit de deux façons différentes dans le livre.