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EAN : 9781973937593
274 pages
CreateSpace Independent Publishing Platform (26/08/2017)
4.11/5   9 notes
Résumé :
US Nautile four au large des côtes de la Nouvelle Zélande huit heures et des poussières - heure locale - notre monde vient de basculer et nous n'avons encore aucune idée de l'étendue des conséquences de cette fabuleuse découverte.
Homo Sapiens n'est pas la seule forme de vie intelligente de l'univers… pas même de sa planète ! Les trois corps étendus sur mes tables d'autopsie l'attestent : Primatus Aquatis existe.
Les sirènes sont réelles et elles n'on... >Voir plus
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Si vous pensez sirènes, vous imaginez probablement des femmes au buste dénudé dont le bas du corps se termine par une queue de poisson. C'est, pour ma part, l'image que je me faisais de cette créature mythique avant de découvrir Abysses. Il faut dire que Rachel Dubois dépoussière totalement l'image des sirènes de nos contes d'enfant pour nous en offrir une version bien plus moderne. Et c'est une démarche audacieuse que j'ai adorée.

Ici, les sirènes n'ont point de queue, mais des jambes avec des pieds palmés, et sont surtout bien plus intelligentes que les êtres humains, ce qui se traduit par des progrès technologiques que ces derniers sont loin d'avoir égalés. Leur avancement technologique est tel qu'il leur permet, entre autres, de se régénérer, de communiquer par télépathie et de contrôler les appareils technologiques des humains en cas de besoin. C'est d'ailleurs par ce biais que Alyha, à la tête des sirènes, va révéler l'existence de son peuple aux humains avant de les enjoindre à restituer le corps de son père et de deux autres sirènes qu'ils ont assassinés. Pour ce faire, elle leur laisse 24 heures, avant d'enclencher une guerre qui signifiera probablement la fin de l'espèce humaine.

Alyha est un personnage auquel je me suis tout de suite attachée notamment en raison de sa complexité. Tout en nuances, elle est tiraillée entre son rôle de Sage qui doit préserver coûte que coûte son peuple, et son attraction pour les humains dont elle envie la capacité de ressentir et d'embrasser pleinement leurs émotions. En effet, les sirènes ont mis de côté leur coeur au profit de leur intellect et de leur implacable raison. Avoir des émotions est donc quelque chose de totalement impossible, en théorie… En pratique, Alyha n'est pas comme les autres, elle ne peut s'empêcher de ressentir des choses triviales et intolérables, du moins pour les siens, comme la frustration, la peine, la joie ou encore la jalousie.

Ce personnage fait donc un peu le point de jonction entre deux peuples au mode de vie si différent, ce qui le rend particulièrement intéressant. J'ai aimé suivre ses états d'âme, ses doutes, son envie de bien faire et de sauvegarder les humains malgré tous leurs défauts, ses tentatives pour se fondre dans le moule, du moins en apparence, ses doutes notamment sur sa capacité à succéder à son père… C'est définitivement le personnage que j'ai pris le plus de plaisir à suivre durant ma lecture.

J'ai, en revanche, eu plus de mal à m'attacher à l'autre personnage principal, Jean-Baptiste. Ce biologiste est à la tête d'une équipe de brillants scientifiques qui écument les océans à bord d'un sous-marin militaire afin de trouver une preuve de l'existence des sirènes. Ce protagoniste n'est pas méchant, mais je n'ai pas réussi à l'apprécier ni à m'intéresser à sa vie ou à ses pensées. Cela pourrait s'expliquer par son manque de modestie et un côté un peu trop égocentrique pour moi. J'ai ainsi regretté que ses pensées soient majoritairement centrées sur sa petite personne, sur les dix ans de sa vie passés à courir après une espèce qui finalement se dévoile de son propre chef… Mais j'ai surtout été très agacée par son obsession pour sa jeune et belle assistante. Alors qu'elle est l'un des plus brillants cerveaux au monde, Jean-Baptiste passe son temps à se « gifler mentalement » (sic) pour ne pas succomber à ses atouts et ceci en pleine crise mondiale de laquelle l'humanité risque de ne jamais se relever… Bref, en plus d'être sexiste et parfois paternaliste, notre supposé génie est surtout souvent à côté de la plaque.

J'ai d'ailleurs trouvé qu'il ne servait pas à grand chose dans l'intrigue même si j'ai compris son importance dans la narration puisque l'auteure a choisi d'alterner, à chaque chapitre, le point de vue de Jean-Baptiste et d'Alyha. J'ai apprécié cette initiative qui permet de suivre l'action des deux côtés, et de mettre ainsi en parallèle les enjeux et les craintes des deux peuples. On se rend alors vite compte que les méchants de l'histoire ne sont pas forcément ceux que l'on croit. En effet, les sirènes, du moins la majorité, n'aspirent pas à la guerre, mais juste à vivre librement sans devoir se cacher dans les profondeurs de l'océan. Elles désirent également protéger l'océan et, plus généralement, l'écosystème de ces Hommes qui, chaque jour, le dégradent sans vergogne.

Et nous touchons là le point fort de ce roman ! Rachel Dubois nous offre une belle critique de la société qui fait passer son plaisir avant le bien-être animal, et qui pollue l'environnement en faisant fi des conséquences. Elle évoque ainsi le sort des animaux détenus, pour le seul plaisir des hommes, dans des parcs aquatiques comme Marineland. Je ne serai pas objective sur ce point étant complètement contre la détention de ces pauvres dauphins, orques ou autres animaux… Si comme moi, c'est un sujet qui vous révolte, ce roman ne pourra que vous plaire. Je pense d'ailleurs que c'est la première fois que je lis un roman où l'imaginaire est utilisé aussi adroitement pour défendre de manière simple, mais frappante, le sort des animaux marins. Pour les personnes qui ne sont pas forcément sensibilisées au sujet, je vous rassure, l'auteure aborde le sujet sans lourdeur ni jugement expéditif. Elle vous invite seulement à une réflexion sur le sujet, ce qui, vous l'aurez compris, m'a plus que séduite.

Le livre se lit très facilement et rapidement grâce à la plume de l'auteure qui se révèle aussi efficace que prenante. Je n'ai pas ressenti un suspense haletant qui m'aurait tenue en haleine toute la nuit, mais j'ai eu néanmoins envie de tourner les pages les unes après les autres. Un coup de théâtre en milieu de livre a en outre accéléré ma lecture ! Je me suis d'ailleurs sentie un peu bête de ne pas l'avoir vu venir. Cela prouve que l'auteure a su ménager son effet en détournant l'attention des lecteurs sur d'autres points.

Je dois également ajouter que le roman m'a, d'une certaine manière, déroutée. En effet, malgré l'ultimatum qui se traduit dans le livre par un décompte à chaque début de chapitre (h-24, h-23…), le lecteur ne ressent pas vraiment cet état d'urgence. Cela s'explique, en partie, par le fait que nous voyageons dans les méandres de la pensée d‘Alyha qui, fidèle à son peuple, conserve un esprit rationnel et analytique. Elle soupèse chacune de ses décisions sans jamais se précipiter malgré les émotions qui la frappent parfois de plein fouet. Cette sorte de calme intérieur finit par se transmettre au lecteur à tel point que la peur qui s'insinue dans l'équipe de Jean-Baptiste à l'approche de l'échéance n'arrive pas vraiment à nous atteindre.

En conclusion, Abysses est un roman qui plaira à toutes les personnes désireuses de lire une histoire revisitant de manière originale et audacieuse le mythe des sirènes. L'auteure, en utilisant une narration à deux voix, offre aux lecteurs une plongée dans deux mondes que tout oppose, mais qui d'une manière ou d'une autre, sont plus ou moins condamnés à cohabiter. Mais ce qui fait la force de ce roman est d'arriver à vous faire passer un moment de lecture agréable et divertissant tout en vous invitant à réfléchir à des sujets importants comme le sort réservé aux animaux et à notre planète.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Je remercie très chaleureusement Rachel Dubois pour ce service-presse !
En parallèle de sa saga Chamanes, Rachel Dubois, autrice férue de fantasy et de bit-lit se lance dans un nouveau challenge livresque : Abysses, la voix d'Alyha. Mi-fantastique, mi-dystopique, on ne sait pas trop sur quel pied danser ; une chose est néanmoins sûre, c'est un régal littéraire.

Dix ans plus tôt, un Marine est sauvé de la noyade par une étrange créature qu'il qualifie de « sirène » Si la majorité le croit fou, d'autres ont adhéré à l'hypothèse que des peuplades peuvent bels et bien existés dans les profondeurs océaniques. Jean-Baptiste Martin, biologiste, est en tête de l'équipe scientifique tendant à prouver l'existence de ces êtres humanoïdes.
Lorsque trois de ces créatures sont abattues et rapatriées sur l'US Nautilus four, la donne change et il se pourrait bien que l'ère connaisse une fin.
Alyha, nouvelle Sage du peuple des Abysses, est en proie à un cruel dilemme. Celui de préserver l'existence de son peuple, au risque d'enclencher une guerre … ou, à l'inverse, une paix. Des secrets doivent être gardés pour préserver l'écosystème, l'équilibre naturel du monde. Elle n'a d'autres choix que d'imposer un ultimatum à l'humanité.
L'Homme n'a que vingt-quatre heures pour décider de son sort.

Ce roman se divise en deux voix : celle d'Alyha et celle de Jean-Baptiste Martin. Chaque côté du miroir est personnifié, avec ses conséquences, ses inquiétudes, ses propres aventures et bévues. Cette confrontation des points de vues permet de mettre en lumière tout ce qui fait défaut à l'Humanité … comme à ces êtres crées de toutes pièces par Rachel Dubois. Ces discordances se joignent, au final, en un seul et même point commun : le monde et ce que l'on en fait.

On ne peut que féliciter ce parti pris de l'autrice pour avoir su mettre en scène ces deux modes de vie, de moeurs, ces cultures si différentes en parallèle pour mieux enrichir son récit, le galvaniser dans le message qu'il essaie de faire passer au lectorat.

Rachel Dubois a su construire et façonner un nouveau monde, au point que l'on pourrait se dire : « et si ? » Et si cela était possible ? Et si nous n'étions pas seuls ? Cela parait plausible ? Tout un questionnement se développe dans nos esprits immergés (c'est le cas de le dire !) dans ce récit de course contre la montre.

Course contre la montre ? Oui et non. Les chapitres font le décompte du temps qu'il reste avant l'ultimatum d'Alyha (H-23, H-15 …) mais il y a une telle plénitude, un rythme plutôt calme que nous ne sentons pas vraiment l'urgence de la situation. Nous pouvons supposer que cette tranquillité vient surtout du point de vue d'Alyha et de son peuple très posé, comme détaché, qui respectent le terme de « calme olympien » Cette alternance de point de vue, tantôt inquiet, alerte du point de vue de J-B, tantôt plus posé, réfléchi, serein du point de vue abyssal, permet une belle temporisation de la rythmique. Sans compter que cette particularité à chaque environnement, à chaque protagoniste, permet une meilleure identification du lecteur ainsi que son immersion de la Terre aux Abysses. Si l'on ne peut distinguer que quelques différences dans l'élocution des protagonistes au sein des dialogues, c'est foncièrement les contextes et cette rythmique qui leur octroie tout le caractère qu'ils inspirent.

Abysses, c'est – ne nous le cachons pas – un roman engagé, sur fond de Dystopie/Fantastique. Il pointe du doigt toutes les déviances humaines sans détacher le lecteur de l'intrigue, ni de sa concentration. Nous ne sommes pas tapés sur les doigts à chaque page, avec une insistance lassante qui finit par nous faire lever les yeux au ciel en soupirant. le livre est construit autour de ça. Sur l'écologie, l'écosystème, la décadence de l'Humanité … Tout s'imbrique très bien au récit et, lorsque nous refermons l'ouvrage, nous laisse pantois, un peu amers aussi. On peut être surpris de se dire « je n'irai plus jamais visiter un seul zoo ou tout autre parc aquatique. »
Chaque protagoniste est très attachant, avec son propre background et psychologie, ce qui est d'autant plus appréciable pour les voir évoluer, interagir, se questionner …

Le tout est servi par une plume très fluide, faisant honneur aux descriptions qui nous font plonger au coeur d'un sous-marin comme au sein des Abysses. Si l'on peut appréhender tout une palette de mots savants, scientifiques auxquels on ne comprend rien … Oui, il y en a, mais ils ne gênent aucunement la lecture et connaissent leurs propres explications ; la présence des protagonistes tenant un rôle chacun : paléontologue, anthropologue, géologue, ect permet à chacun de poser les questions qui nous traversent l'esprit pour parvenir à une explication plus précise des termes énoncés. de même, du côté d'Alyha, nous sommes guidés par cette héroïne comme si elle nous faisait visiter elle-même son univers. Les seules réponses que nous obtenons au sujet des Abysses viennent uniquement d'elle. Là, à nouveau, se joue le parallèle entre les deux mondes et, donc, des deux points de vue.

Le livre se compose de 271 pages, nous ne les voyons cependant pas défiler. Curieusement, il apaise l'esprit, nous détend et peut sensibiliser le lecteur à sa belle morale. Quelques frissons à la fin ?
Une fin dont on peut se contenter mais qui, peut-être, peut laisser sous-entendre une suite. Pourquoi pas ?
_________________________
Coup de Coeur.
Lien : http://surlesailesdunlivre.f..
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Il y a 10 ans un marine est sauvé de la noyade par une créature qu'il identifiera comme étant une sirène ,depuis ce jour le biologiste Jean-Baptiste Martin et son équipe de scientifiques effectuent des recherches pour prouver l'existence de ce peuple des abysses qu'ils appelleront Primatus Aquatis.

Quand trois membres des abysses dont leur chef sont abattus et que les humains récupèrent leurs corps à bord de l'Us Nautile Four ,la fille du chef Alyha devient la nouvelle sage des abysses avec les responsabilités que cela comporte , il est primordial pour elle de récupérer les corps pour que le secret de peuple des abysses soit conserver.

Elle lancera donc un ultimatum au peuple de la terre en envoyant un message ,car oui cette espèce sous- marine ,les primates aquatiques maîtrise les technologies,le langage et système d'écriture qu'est le nôtre et qu'ils se disent bien plus évolué que les humains.

Elle donnera donc au peuple de la terre 24 heures pour faire un choix :la paix ou la guerre

la paix en leurs restituant les corps de leurs amis assassinés ou la guerre si ils décident d'inspecter et de disséquer les corps des défunts.

Quel choix les humains vont ils faire ?

Y aura t il une guerre entre ces deux peuples?

Ce roman est très bien écrit,les chapitres se divisent en deux points de vue celui d'Alyha et celui de JB,ce qui est très appréciables ,nous suivons également l'évolution du décompte des heures avant l'ultimatum ,on découvre ce qu'il se passe,les recherches,les avis et découvertes des personnages avec une grande facilité .

La plume de l'auteure est fluide ,entraînante et agréable à lire .

Ce roman ce lit rapidement ,l'auteure a fait un très bon travail de détails que ce soit pour les lieux et les personnages .

Les personnages sont attachants et ont tous leur rôle bien défini tout au long de l'histoire .

On ne s'ennuie pas une seconde ,l'intrigue est bien menée.

La fin laisse présager une suite ,y aura t -il un tome 2 ? si oui j'ai hâte de le découvrir.

J'ai passé un agréable moment de lecture .

Si vous souhaitez vous aussi plonger au fond de l'océan découvrir l'univers de ces créatures ,n'hésitez pas suivez ce lien et procurez vous le roman de Rachel Dubois vous ne serez absolument pas déçu
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Ce roman débute par un message de guerre imminente diffusé dans le monde entier. le peuple de la Terre ne dispose que de 24 heures pour rendre les corps sans vie du peuple des Abysses faute de quoi la guerre sera déclarée.

Dix ans auparavant, un homme a été sauvé par un membre du peuple de l'eau, ce qui a permis de prouver leur existence. Depuis, des investigations ont été menées et il leur a été donné comme nom : Primatus aquatis.

Ainsi dans l'océan Pacifique, trois membres des Abysses, composés de deux jeunes chasseurs et de leur chef, ont été abattus pendant le rituel de leur passage à l'âge adulte.

Le chef étant décédé, c'est à sa propre fille Alyha qui incombent désormais les devoirs et les responsabilités de Sage, et pour l'heure, c'est primordial de récupérer les corps afin que le secret du peuple des Abysses reste insaisissable.

Du côté des humains, une équipe de chercheurs dont le chef est le professeur Martin (JB) entreprend des fouilles. Il est accompagné d'Anya son assistante, un prodige en anthropologie, de TJ hackeuse, de Tad et de Yoël le spécialiste en géologie marine. Les scientifiques sont exaltés, avides de découvertes.

Anya Singer est une belle femme aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Elle est très attirante mais plutôt timide. Elle ne laisse pas indifférent le professeur Martin.

Alyha, comme ceux de sa lignée, peut communiquer par télépathie. Elle aime en secret les humains, mais doit le cacher sinon elle ne pourrait plus commander. Elle doit constamment se montrer apathique, ce qui requiert de sa part une grande maîtrise de soi.

Le conseiller Aïdyrr a des vues sur Alyha, elle n'est pas insensible à ses avances, mais montrer des émotions est interdit chez le peuple des Abysses, seul l'acte sexuel compte, leur amour est-il voué à l'échec ? En ce qui concerne l'ultimatum, quelle résolution sera retenue ?

La plume de l'auteure, Rachel Dubois, est entraînante. Dans ce roman les chapitres se lisent rapidement, chaque heure vécue dans chacun des camps, par le chercheur JB et ensuite par Alyha, est racontée. D'autres personnages viennent se rajouter au fil du récit. Entre intrigues, révélations et explorations, on ne s'ennuie pas. Ce qui est également appréciable, c'est que l'histoire nous porte à la réflexion car on peut retrouver les thèmes de l'écologie et de l'écosystème. A découvrir !
Lien : http://larubriquedolivia.ove..
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L'histoire est découpée en 24 chapitres, représentant chacun une heure en moins vers l'ultimatum posé par Alyha et découpés en deux parties, le point de vue terrien et l'autre aquatique.

J'ai parfois eu du mal avec le style de l'autrice, mais l'histoire et les personnages, surtout Alyha sont vraiment attachants•es. Par contre, je n'ai pas du tout apprécié l'autre personnage principal, J-B. Sa manière de voir les femmes, d'en parler et d'assimiler chaque vision du corps féminin à un vocabulaire culinaire ("alléchante", "délicieuse", etc...) n'était pas du tout ancré dans mes valeurs.

Mais j'ai adoré les rebondissements et les révélations qui survenaient tout au long du récit, permettant de garder l'envie de poursuivre. L'ambiance proche apocalyptique couplée avec des sirènes, rendent une histoire très intéressante. Bref, je conseille !
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Je priais une fois encore pour que les terriens prennent la décision de la paix. Voilà pourquoi mon peuple vivait dans l'ombre de celui de la terre depuis tant de siècles : éviter une guerre. En observateurs, nous avions conscience depuis des millénaires du penchant des Homos sapiens à détruire ce qui était différent, ce qu'ils ne comprenaient pas ou ce qu'ils enviaient.
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Je fixais une minute les étoiles dans le ciel comme si elles pouvaient m'apporter toutes les réponses de l'univers. J'étais pourtant conscient que ce n'était pas le cas. Combien de nuits avais-je été déjà passées sur ce pont au cours des dix dernières années à prier pour avoir des réponses ? Elles étaient finalement venues, pensai-je amer.
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Bien que je n'aie pas été en train de hurler sur quelqu'un, je ne pus me retenir de me redresser sur ma chaise. Cet homme méritait mon adoration éternelle.
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Elle me sourit, et je me sentis faillir. Cette jeune femme était une torpille dirigée droit sur mon coeur !
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