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Désolée, Mme Dufour, mais j'ai eu beau faire, la mayonnaise n'a pas pris. Donc, dans mon cas, c'en fût un, de four...
Oui c'est amusant, oui c'est bizarre, c'est pas mal écrit, mais qu'est ce que j'ai galéré.
Là j'ai essayé de le reprendre, mais voyez-vous, à la page 200, j'overdose, je sature, j'suis soûlée ! Là ! C'est dit.

C'eût été amusant si ça avait été des nouvelles, variées, sur le même ton, mais au moins aux fonds différents. Mais là, tout un roman comme ça, qui part dans tous les sens, qui n'a, finalement aucun fil conducteur à part le délire dans tous les sens du terme, bah pour ma part, ça me gonfle. Je sens bien que vous vous êtes amusée en tant qu'auteure, ça m'a amusée aussi un temps en tant que lectrice, mais là, je ne peux plus, je lâche l'affaire.

Je ne pensais vraiment pas au vu des autres avis, mais perso, je peux plus. C'est ainsi.
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« Un cycle foisonnant de trouvailles, en forme d'hommage à Terry Pratchett et aux Monty Python, et qui puise dans la matière des contes de fées tels qu'on ne les a jamais lus ! » [mot de l'éditeur]
Pour sûr, Blanche Neige et les lance-missiles – Quand les dieux buvaient, 1, est bourré de tout plein de bonnes idées ; en forme d'hommage à Terry Pratchett, je ne suis pas à même de juger (toujours pas lu un Pratchett, je sais pas bien !), aux Monty Python et au génialissime le Sens de la vie, pour sûr. Ce premier tome du cycle est une satire loufoque de l'existence, de la vie à la mort, mais excessivement bourré d'humour foireux, vaseux, absurde, subtil, scabreux, bête et méchant, qui fait l'effet d'un After Eight qu'on a du mal à digérer. Je suis d'ordinaire bon public mais là j'ai explosé, égarée dans la forêt déjantée des contes, mythes et légendes, les nouvelles technologies, les princesses, les démons, les personnages de jeux vidéos… Catherine Dufour est partie bien trop loin dans son délire pour moi… pourtant c'est pas faute d'avoir fait une pause entre les deux parties de 300 pages chacune (Les grands alcooliques divins et L'ivresse des providers) pour éviter l'indigestion...
Pour sûr Catherine Dufour écrit excessivement bien et maîtrise parfaitement ses sujets, je reste curieuse de ce qu'elle a bien pu inventer dans son tome 2 du cycle.
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Ce recueil réunit les deux premiers tomes de la trilogie (en quatre volumes) Quand les Dieux buvaient de Catherine DUFOUR, initialement édités par Nestiveqnen. Pour l'occasion, ils ont été "sévèrement revus et corrigés", à commencer par le titre du premier roman. Ce dernier est en effet rebaptisé Les grands alcooliques divins, son titre initial étant attaché au présent recueil. Vous me suivez ? Je l'espère car dans le cas contraire vous aurez du mal à suivre l'intrigue des deux romans présentés ici.
Les grands alcooliques divins donc. On y croise pêle-mêle Aurore de Bois-Dormant qui, à peine réveillée, se voit épouser un démon, Peau d'Âne qui, à force d'attendre son prince charmant dans sa cabane miteuse au fond des bois, finit par se révolter, le petit chaperon rouge dont la rusticité et les névroses conduisent les deux premières à la rebaptiser Vareuse-Tagueule. Quant à Blanche Neige, elle n'a échappé aux manoeuvres de sa belle-mère et de son miroir gâteux, que pour devenir elle-même une fieffée salope en instaurant une sanglante dictature. Que se passe-t-il donc dans l'univers des contes de fées pour que tout tourne à l'envers ? Il s'avère que le spectre Bille Guette a décidé de se venger de sa mort prématurée, en commençant par bourrer la gueule de Dieu et du Diable afin de pouvoir agir à sa guise. Dès lors anges et démons font à peu près tout et n'importe quoi, finissant par compromettre l'équilibre du monde, ce qui est pour le moins problématique quand celui-ci est plat.
On aura donc compris que Catherine DUFOUR s'approprie certains des personnages les plus connus des contes de fées, non pas pour les replacer dans un pseudo univers médiéval-fantastique, mais pour littéralement les dynamiter façon puzzle. Cela fourmille de références, l'auteure s'inspirant ouvertement de Terry PRATCHETT, de Douglas ADAMS, des Monthy Python et de Walt Disney. C'est également plein d'idées originales et hilarantes, servies par une écriture aussi vive que travaillée. Catherine DUFOUR manie en effet les néologismes à la perfection et jongle habilement entre les tons employés par les différents personnages rencontrés. Mais le plus remarquable, c'est qu'en suivant le fil d'une intrigue toute en digressions et parenthèses, Catherine DUFOUR finit par retomber sur ses pieds en racontant une véritable histoire à ses lecteurs.
L'ivresse des providers maintenant. Parce que Bille Guette a la rancune tenace, et parce que Catherine DUFOUR semble avoir une dent contre Bill Gates, le spectre est réincarné en Will Door et est à la tête de la multinationale Petimoo en ce début de XXIème siècle terrestre. de cette position il lance une armée de pacmans dans le réseau Internet où les spectres rescapés de la précédente fin du monde se sont réfugiés. Heureusement quelques fées ont également échappé à l'apocalypse et ont trouvé refuge au bois de Boulogne. Avec l'aide de quelques autres personnages, dont Evariste Galois, le mathématicien du XIXème siècle, et Mismas, une créatrice de jeux de rôles ringards, elles vont tenter de contrecarrer les plans de l'ignoble spectre. Ce faisant elles vont croiser d'autres personnages, tels le Père Noël et sa fille, la Mort, ou encore Charles Baudelaire.
Cette fois-ci Catherine DUFOUR délaisse donc les appropriations en tous genres pour créer une oeuvre tout ce qu'il y a de personnel. Elle y mélange allègrement tout un tas de genres littéraires, du conte populaire breton au Cyberpunk, en passant par la Fantasy bien entendu. Et le mélange prend incroyablement bien, le lecteur étant amené à écarquiller les yeux et à s'esclaffer régulièrement. On apprécie aussi son sens du dialogue, où les blagues des informaticiens côtoient la poésie. Enfin une certaine forme de poésie…
Au final, Blanche Neige et les lance-missiles est un recueil réunissant deux romans désopilants. Les multiples sources d'inspiration du premier ne l'empêchent pas d'être original. Les idées improbables du second en font une oeuvre personnelle. Dans l'un comme dans l'autre, le lecteur pardonnera aisément les quelques défauts de structure rencontrés tant ceux-ci lui permettent aussi de se poiler ce qui, finalement, est le premier objectif, largement atteint, de ces romans.
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J'ai longuement hésité sur la note à mettre à ce roman: trois ou quatre ? Finalement, j'ai tranché pour le quatre car les quelques défauts que j'y ai trouvés et sur lesquels je reviendrai n'empêchent pas que Blanche-Neige et les lance-missiles soit une lecture distrayante, totalement barrée, débordante d'imagination et qui place très haut la barre en matière de fantasy humoristique française.
De quoi ça parle...c'est un de ces romans, un double roman plutôt car cela regroupe deux histoires, tellement foisonnant que tenter de le résumer tient de la quadrature du cercle. Disons que cela débute comme une réécriture de contes de fées sous absinthe, que les marraines fées ne sont pas ce qu'on croit, qu'on y croise Blanche-Neige en dictatrice, Evariste Gallois en fantôme, que le prince de Cendrillon s'appelle apparemment Charles-Hubert, ça part dans tous les sens, mêlant toutes sortes de thèmes et d'idées et ça tient du feu d'artifice,un feu d'artifices qu'on aurait allumé dans un film des Monty Pythons.
Alors , oui, ce n'est pas toujours parfait, c'est parfois un peu embrouillé avec quelques longueurs, parfois ça tombe à plat et il y a certaines idées qui sont franchement rebattues dans le domaine de la fantasy à en avoir ras le bol, mais... mais c'est franchement drôle 90% du temps, à vous faire glousser tout seul entre les pages , ça déborde d'enthousiasme et de personnages intéressants et le plaisir de la lecture est là, bien là.
Oui, ça vaut largement quatre et je sais déjà que je lirai sûrement la suite.
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"La soirée part en sucette, soupira Pimprenouche. Oh, Pétrol ! Il reste un fond de punch ?"

C'est un peu l'opinion que me donne ce roman... Il n'y a pas vraiment d'histoire, juste une vague trame avec une très très méchant Bille Guette, qui décide de trucider toutes les fées, dieux, démons, anges et créatures diverses et variées, pour une raison dont l'explication dure le temps d'un conte un chouia longuet. Il y parvient presque la première fois, et revient quelques millénaires plus tard, à notre époque, sous le nom de Will Door, fabricant d'ordinateurs, pour finir le travail et conquérir le monde.
Ca, j'ai compris.
Au milieu, il y a les princesses des contes de Perrault, Blanche Neige, Cendrillon, Peau d'Âne et consoeurs, plus déjantées les unes que les autres, avec un Prince Charmant absolument fadissime. Enfin, dans la première partie, uniquement. Dans la seconde, elles ont disparu, apparement, il parait qu'elles seraient les ancêtres de toute l'humanité.
Il y a des fées, alcooliques et nymphomanes, type Pétrol, Pimprenouche ou Cid, que je mélange allégrement. Il y a des morts, comme Evariste Gallois et Katic. Il y a l'Ankou, le Père Noël, bref, tout le monde.
On mélange tout ça, on secoue un bon coup et qu'est ce qu'on obtient ?

Ca, un livre pas méchant, avec des moments plutôt sympatiques, certains même bien (je pense aux passages avec l'Ankou, et Katic juste après son décès). Au milieu d'un océan d'ennui non-sensique.
L'auteur dit s'inspirer de Pratchett et des Monthy Python. Sans doute. Elle a récupéré ce qui me déplait le plus chez eux (le bordélisme, le non-sensisme), et en a soigneusement ôté ce qui me fait tant rire dans le Disque Monde ou dans Sacré Graal : l'humour potache et fin, les jeux de mots, les jeux de scène, les personnages admirablement bien croqués.

Et puis ... Il y a à la fin, quelques pages pour raconter la genèse de l'oeuvre. Pourquoi pas, même si je trouve cela un peu prétentieux. Mais quand je lis des passages comme "L'Histoire du chevalier Méthode. Elle a été écrite avant le reste du récit, mais j'ai estimé qu'elle faisait bien ici." ou "Cependant, sa façon de chercher fiévreusement le nom de son personnage sur le premier papier d'emballage venu est identique à la mienne. Pétrol'Kiwi est née du voisinage d'une bouteille de détachant et d'un sachet de fruits.", je comprends pourquoi je n'ai pas aimé. J'aime les romans construits, pas les bouts de papiers, écrits sur un bout de table avec ce qui passe dans la tête de l'auteur à ce moment là, et vaguement réunis entre eux, sans le moindre effort les rendre cohérents entre eux.
Bref, une bonne déception !
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Moi cet "humour à deux balles", ça me fait vraiment rire et j'ai lu ce livre avec beaucoup de plaisir et le rire aux lèvres. J'avais lu des critiques sur ce roman, certaines très bonnes et d'autres "moins bonnes", donc j'étais un peu suspicieuse au début. Et, bien que je ne sois pas une grande fan de l'humour en littérature (sauf Pratchett que j'adore et Piers Anthony, mais pour les deux, seulement à petites doses), j'ai vraiment accroché! L'histoire est drôle et loufoque à souhait, les personnages sont tous connus (mais dans des circonstances légèrement différentes..), les circonstances sont vraiment cocasses et le tout est emballé dans une histoire à dormir debout! Je ne me suis pas ennuyée un seul moment, bien au contraire j'avais même du mal à reposer le roman quand j'avais le nez dedans. Bref , une très jolie découverte!

Mais (il y a toujours un "mais") à mon avis le Livre de Poche a commis une énorme erreur en éditant les 2 premiers tomes de cette série en un seul volume! En effet, j'ai vraiment adoré le style de Dufour, comme je l'ai dit avant. Mais à mon avis ce genre de roman se lit "à petite dose" et même si le deuxième volume "l'ivresse des providers" est aussi réussi que le premier (et vraiment jouissif) , j'ai eu du mal à le finir, non pas parce que c'était ininterressant, mais simplement parce que ca faisait "trop". le meilleur exemple, c'est que les romans de Pratchett sont courts, et c'est parfait comme ça. Les volumes originaux de cette série "Quand les dieux buvaient" étaient approximativement de la taille d'un Pratchett et il fallait le laisser comme ça. C'est vrai que personne ne m'oblige non plus à finir ce livre d'une traite et donc à lire les 2 histoires à la suite, mais il se trouvait que c'était un emprunt à la bibliothèque donc je "devais" le finir. Et c'est vraiment dommage, car ça nuit franchement à ce roman qui pour ma part aurait été sinon un énorme coup de coeur!

Malgré ce petit défaut, ce roman reste pour moi une grande découverte et Dufour mérite vraiment tous les éloges qu'on lui fait. C'est drôle et inventif, loufoque et très agréable à lire. Je ne peux que recommander!
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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Les Uckler forment une peuplade un peu bizarre. Gais, industrieux et généreux, ils n'ont qu'un seul défaut. Quand ils rencontrent un étranger, un vrai, ils le zigouillent. Ils récoltent également des saucissons sur des arbres appelés saucisonniers et s'en servent pour fabriquer une bière tout à fait infecte. Mais, comme ils n'en connaissent pas d'autre, ils la trouvent délicieuse. Et voilà qu'Aïe, un des leurs, parti depuis longtemps, revient un beau jour parmi eux juché sur un gragon pour leur dire qu'il a fait fortune et qu'il les a toujours détestés cordialement. Depuis ce jour, rien ne va plus chez les Uckler. Une mycose parasitique appelée pioupiase fait des ravages dans leur forêt de saucissonniers. La bière devient imbuvable même pour eux. Et l'ambiance si joyeuse d'ordinaire vire au lugubre. Alors la tribu décide d'envoyer l'un des siens, Tute, chercher de par le vaste monde de nouvelles graines de saucissonnier…
« Blanche-Neige et les lance-missiles » est un charmant roman de fantaisie parodique qui regroupe en un seul volume deux ouvrages publiés séparément au départ, « Les grands alcooliques divins » et « L'ivresse des providers ». Pour le même prix, le lecteur a donc droit à deux histoires se passant d'ailleurs à deux époques différentes (avant et après un Grand Cataclysme Cotonneux) et même à des bonus dans le tiers final avec « Le feu dans les modules de drivers » entre autres. On comprendra que nous sommes dans la narration foutraque, barrée, avec pour seul souci le plaisir et l'amusement du lecteur. Lequel se retrouve avec un tas de personnages de contes aussi connus que Peau d'Âne, la Belle au bois dormant, Cendrillon, le Petit Chaperon rouge ou la Fée Carabosse, complètement revisités et en nettement délurés. Dans la seconde partie, il retrouvera d'autres fées qui ont tout de péripatéticiennes, un Evariste Galois et surtout un Bill Guette encore plus diabolique que l'original. Sans oublier une Blanche-Neige devenue une terrible impératrice suite à une erreur de distribution de pomme empoisonnée. Cet ouvrage s'est vu décerner un Prix Merlin tout à fait mérité. Catherine Dufour dispose d'un style assez inimitable. Un véritable régal de lecture tant les allusions littéraires ou autres, les blagues, les jeux de mots et autres contrepèteries sont nombreux. Que l'on ne cherche plus une émule du regretté Pratchett ou du génial Gayman, nous l'avons et elle est française ! Ne ratez pas cette « Blanche-Neige » qui saura vous amuser, vous distraire et vous faire rire, toujours avec intelligence, élégance et finesse.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Deuxième livre d'affilée que j'abandonne en cours de lecture. Je n'ai pas du tout accroché à cette histoire. L'auteur se veut drôle et raconter une histoire sans queue ni tête. Mais il y a trop de détails, de noms inventés, de héros, de situations qui sont, parait-il, cocasses mais que j'ai trouvées tellement tirées par les cheveux que je n'ai pas réussi à rire ni même à sourire.

Une grande déception car je trouvais le titre de ce roman ainsi que le quatrième de couverture alléchants et prometteurs de rires continus...


Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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L'idée de ce monde caricatural m'avait beaucoup attiré. le problème c'est que la façon de donné des informations inutile et compliquée dans le but d'être drôle rend le livre incompréhensible et je n'ai pas eu le courage de continuer à lire un livre dont les passages s'enchaine sans lien les uns avec les autres.
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C'est très rare que je ne finisse pas un bouquin, mais là je voulais vraiment lire autre chose. Inutile donc de rajouter que je n'ai pas aimé ? La première partie est une modification des contes de fées traditionnels, et la seconde parle plus sur la technologie, Internet.

D'abord j'ai assez aimé le début, petits sourires ou même rires sont apparus. Mais, j'ai très vite déchanté, les barbarismes s'étendant sur des phrases entières et j'avais la flemme de retourner voir qui est un tel ou un tel.

J'admets que l'idée de départ était bonne, j'aime souvent les contes de fées revisités, ici, ça ne passait pas, un langage familier presque vulgaire avec des répétitions qui m'ont agacés. Il fallait sûrement le lire à petites doses et être bien concentré car on se perd vite. L'histoire apparaît comme un gros n'importe quoi sans fil directeur, c'est perturbant.

Les personnages, ils sont tous des anti-héros : Blanche Neige est une Impératrice, les Princes sont vénaux. En fait, l'auteur montre le côté négatif des contes de fées, je n'ai pas l'impression qu'il y ait du positif là-dedans (à part l'amitié entre les personnages ?). Mon personnage préféré est Aurore avec son patois.

La seconde partie dont je n'ai lu que le premier chapitre parle d'Internet, je ne peux pas vraiment commenter cette partie pour le peu que j'en ai lu, je dirais seulement que ça avait l'air moins lourd que la première et intéressant la création d'une histoire par un auteur. Mais pas assez pour que je continue.

Bref un roman dont la lecture a été pénible.
Lien : http://novelenn.wordpress.co..
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