L’expérience de l’ennui s’apparente à celle du silence ou de la solitude. Tantôt il apparaît comme votre pire ennemi, tantôt vous l’appelez de tous vos vœux. Un juste ennui fait l’éloge de cette sensation ambiguë aux allures de destin chéri. Au cœur de ces deux suites poétiques, l’auteure rend hommage à deux écrivains maîtres de l’ennui : Cioran et Pessoa. C’est à l’ennui comme une sagesse apprivoisée que nous sommes alors paradoxalement conviés… sans être certains ... >Voir plus