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4,26

sur 7374 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ayant un souvenir très intense du Comte de Monte Cristo qui m'avait réconciliée avec les classiques à l'école, j'ai décidé, à plus de 33 ans, de lire Les trois mousquetaires que voici, du célèbre Alexandre Dumas.

Cette lecture m'a apportée par bien des aspects, une grande satisfaction. Tout d'abord, cette plume d'époque et ce discours de gentilhommes m'ont séduite. Immersion garantie. Satisfaite, je le fus aussi de la tournure de ce roman. Je m'imaginais une oeuvre de capes et d'épées, mais en réalité, l'intrigue est bien mieux ficelée que ce à quoi je m'étais attendue. Une intrigue royale d'ailleurs, qui nous fera traverser la Manche avec cette Milady, aussi captivante que dangereuse. La personnalité des trois mousquetaires a aussi été pour beaucoup dans mon plaisir de lecture.

Quel sombre secret cache Athos sur son passé ? Aramis est-il réellement destiné à entrer dans les ordres comme il aime à le dire haut et fort? Porthos et son goût des femmes et de l'argent de leurs maris …

Mon enthousiasme a cependant été moindre concernant D Artagnan. D'abord bagarreur, susceptible, puis amoureux transi ( voir niais) mais inconstant finalement dans ses amours … j'ai même cru à un moment du roman, que l'un de ses amours allait lui faire oublier le fameux « un pour tous et tous pour un ».

J'ai également regretté quelques longueurs dans le récit, notamment lorsque Milady se rendra en Angleterre et sera remise entre les mains de son beau-frère.

Malgré ces quelques points, j'ai particulièrement apprécié cette intrigue, ce dénouement et cette plume qui m'a plongée à l'époque de Louis XIII et du cardinal de Richelieu. Ce classique figurera en bonne place dans ma bibliothèque.
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Continuons à découvrir et décortiquer les grands classiques, à explorer les oeuvres du talentueux Alexandre Dumas, avec la musique d'Albert le 5ème mousquetaire dans la tête. Vous l'aurez compris, je vous offre une chronique du très célèbre « Les Trois Mousquetaires », puissant récit historique et d'aventure qui a donné naissance à d'innombrables (ré)interprétations.

Encore une fois, vivant dans une grotte au fin fond du Vercors parisien, je suis complétement passée à côté de l'authentique histoire des 3 mousquetaires et du brave D'Artagnan. Alors que ce dernier souhaite devenir un mousquetaire du roi, il provoque impulsivement en duel Athos, Porthos et Aramis. Débute alors, de la plus étrange des façons, une amitié que ni le manque d'argent, ni les blessures, ni les intrigues de la cour ne vont entacher. Dans un contexte historique où le Cardinal Richelieu fait tout pour discréditer la reine Anne d'Autriche aux yeux du roi Louis XIII, orgueilleux et influençable, nos 4 héros vont devoir faire preuve de courage pour contrecarrer les plans du Cardinal et de sa bande.

Courage, inconscience ou intéressement ? La limite est mince pour ces personnages manquants parfois cruellement de bonté, d'altruisme et de réflexion. Entre utilisation des femmes à des fins douteuses et souvent égoïstes, meurtres sanglants, et plongeons systématiques dans des guet-apens évidents, les mousquetaires m'ont étonné. En effet, je m'attendais à faire la connaissance d'hommes chevaleresques, intelligents et empathiques pour finalement et bien souvent, les trouver poltrons et goujats.

Pour autant, on reconnait encore une fois le génie créatif et stylistique de Dumas. L'histoire est bien ficelée, pleine de rebondissements et riche en surprises. On ne s'ennuie pas une seconde malgré un pavé qui peut paraitre visuellement indigeste. de plus, les recherches encore une fois très poussées de l'auteur contribuent au plaisir du curieux renard. La reconstitution est quasiment parfaite et on ressent clairement l'amour de Dumas pour l'histoire de France et ses rois. On soulignera également l'alternance de plusieurs registres avec des moments clairement comiques et d'autres, sombres à souhait.

C'est avec plaisir et agacement que je suis donc arrivée au bout de cette oeuvre romanesque. Une belle découverte d'un univers politique d'un autre temps et de personnages très travaillés. Alors que le comte de Monté Christo fleurtait avec le thème de la vengeance, celui-ci est une ode à l'amitié fraternel et sans limites. Touchant !

Et puis, il faut connaitre ses classiques que diable ! Albert ne pouvait pas rester une référence plus longtemps les enfants…
Lien : http://www.chroniquesdurenar..
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Bien sûr on connait tous les trois mousquetaires et toutes ses adaptations grand écran. Je me suis totalement immergé dans ce XVIIe siècle à l'époque de Louis XIII , Anne d'Autriche et le très charismatique Richelieu. Je suis très contente d'avoir ainsi appris un peu plus d'Histoire, bien que tout ne soit pas historique. J'ai retrouvé dans ce roman tout ce que j'avais pu aimer dans les films; les caractères bien trempés de nos mousquetaires mais aussi leur grandiloquence, leur culot, leur manière de vivre qui est assez surprenante.
Les mousquetaires attachés au roi et à la reine sont en concurrence avec les gardes du cardinal et leur rencontre sert souvent de prétexte pour tirer l'épée qui est pour l'époque une manière de passer le temps ,de se couvrir de gloire et de ridiculiser le camp adverse.
On va aussi découvrir Milady, son passé, son obsession à se venger et à détruire tout ce qui se trouve entre elle et ses objectifs.
Ce pavé de 900 pages est assez vite lu malgré un parler un peu ancien et des détails qui sans être essentiels donnent de la saveur ce roman.
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Hé bien... A quasi 50 ans, je me décide à lire ce monument de la littérature française.
C'est compliqué de critiquer un roman tel que celui-ci parce qu'il y a tellement de ressentis qui se bousculent.
D'abord, je trouve que Dumas ne manque pas d'humour. Il y a quelques traits très sympas.
Ensuite, j'ai aimé le recul qu'il prend par rapport à la société qu'il décrit. Il écrit, à un moment donné, que tel fait ne serait plus permis dans la société dans laquelle il vit mais qu'à l'époque de son histoire, cela ne posait pas de problème.
Et puis, j'ai trouvé que le roman est tellement mieux que les films que j'ai pu voir au cinéma. J'ai hâte, du reste, que celui de Martin Bourboulon sorte afin de voir comment il a agencé les évènements.
Enfin, c'est un très bon moment de lecture que ces "Trois mousquetaires" c'est un roman très vivant, captivant, avec beaucoup de rebondissements.

Ce qui le rend "lourd" sont les tournures de phrases mais n'oublions pas que nous sommes d'une époque où les choses vont vite, les phrases sont courtes et directes.
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S'il est une histoire qui appartient à l'imaginaire collectif, c'est bien celle-ci !
Lu en version abrégée au collège, vu en adaptation à la télé ou simplement entendu parler, on connaît tous D Artagnan et ses trois acolytes sans peur et sans reproche. Mais quand on lit, vraiment, on s'aperçoit que notre inconscient a bien transformé l'oeuvre originale !
Certes il y a quelques combats épiques entre les mousquetaires et les gardes du cardinal, oui, il y a de la truculence, pas seulement gasconne, l'ardeur de la jeunesse, les intrigues politiques et le fond historique y est ; néanmoins, si vous y cherchez du pur "cape et épée" vous serez déçus.
La structure du livre, parfois baroque, rappelle que, initialement, Dumas n'a pas écrit un roman mais un feuilleton dont les épisodes courent jusqu'à l'essoufflement, sont relancés par un ingénieux effet de pointe qui nous envoie vers une nouvelle destination et redonne ainsi de l'allant à l'ensemble.
Les dialogues, extrêmement maîtrisés, témoignent des talents de dramaturge de l'auteur mais quelques fois aussi, trahissent le paiement à la ligne des feuilletonnistes et les finances fluctuantes de l'écrivain.
Le ciment de cette oeuvre, un peu éclatée, c'est l'amitié soutenue par des vertus cardinales ( sans jeu de mots!) : Loyauté, probité, bravoure.
Et, comme il n'y a pas de grand héros sans grand méchant, Dumas nous offre, en la personne de Milady de Winter, un parangon du mal, digne de leur courroux et de leur lutte.
On ne saurait pour autant taxer l'auteur de misogynie car les autres personnages féminins sont des adjuvants précieux pour nos justiciers.
On retrouve dans des déclinaisons comme les 4 fantastiques, l'agence tous risques, les tortues ninja, l'empreinte volontaire ou non, de la bande de héros, têtes brûlées au grand coeur.
Si ce livre fait florès en littérature jeunesse, même si la langue peut leur paraître désuète, c'est justement parce qu'il instruit positivement les jeunes lecteurs tout en les divertissant par une forme ludique et plaisante, cependant, c'est surtout à l'âge adulte qu'il prend tout son sens en nous rendant foi en la nature humaine et tout ce qui en fait la beauté.
A (re) lire !
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Quelle oeuvre !

J'ai souvent regardé le film, la version des années 60 avec Gérard Barray dans le rôle de d'Artagnan et j'avoue que, enfant j'étais amoureuse de ce séduisant héros (car il faut bien reconnaitre que Gérard Barray a un certain charme !). Mais aussi étrange que cela puisse paraître, l'idée ne m'était pas encore venue de lire le livre. C'est chose faite maintenant et je dois dire que j'ai adoré. J'avais peur que cela soit vraiment différent du film (comme on le remarque souvent), mais finalement, c'était plutôt proche.

L'histoire est captivante. A tel point que, bien que je connaisse déjà l'histoire et son dénouement, je me trouvais emportée par le suspens. Il y a toujours, ça et là, quelque rebondissement qui nous fait penser que décidément, cela ne s'arrêtera jamais. On ne s'ennuie guère dans cette lecture, qui est pourtant assez longue.

La plume de Dumas y est pour beaucoup. Je l'ai trouvée, légère, facilement compréhensible. Elle nous entraine pour ne nous lâcher qu'à la toute dernière ligne. J'ai beaucoup aimé ses petites incursions dans le récit, ce « nous » comme si l'auteur était un spectateur de l'histoire et qu'il nous la racontait de vive voix. J'avais peur que, comme tout grand classique, ce soit une oeuvre difficile à aborder mais il n'en fut rien.

Ce fut une lecture vraiment agréable.
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Palsambleu mortecouille, mais ce blog ne connaît plus l'appel de l'aventure ! Un peu de romantisme, ventre-saint-gris ! Non, encore une fois, pas le romantisme cucul-la-praline à la Guillaume Musso, le vrai romantisme du XIXe siècle, celui de Hugo, Balzac, dont la prof de français vous parlait pendant que vous admiriez sa svelte poitrine ! Et direction la Renaissance ; qu'il me tarde d'enfoncer des portes, de corriger les gueux et trousser des servantes !
Les trois mousquetaires est l'un des plus célèbres romans de la littérature française, directed by Alexandre Dumas himself s'il vous plaît, l'un des rares auteurs ayant forgé un succès unanime en mêlant la littérature populaire avec celle des élites. Il reprend sur 800 pages ce que je trouve de plus génial avec le roman historique : mélanger des faits réels avec d'autres fictifs au point qu'on ne sache plus démêler le vrai du faux. Et du coup, nous faire nous dire : pourquoi pas ?
Le truc, c'est que quand on se risque à de telles farfeluteries dignes des pires écrivains de romans de gare (ou pire : d'Imaginaire !), bien vite on risque ou bien de manquer de cohérence, ou bien de veiller tellement au détail près que la fiction se noie dans les données réelles. Mais l'auteur parvient à naviguer surprenemment bien entre l'Histoire réelle et celle fictive, ainsi que différentes tonalités qui insufflent au tout une âme encore plus forte : comique, tragique, dramatique, lyrique… C'est donc l'histoire de d'Artagnan (ayant réellement existé), jeune prodige de l'escrime qui décide de quitter sa Gascogne natale pour aller officier à la cour de France dans le corps des mousquetaires où il rencontre Athos, Porthos et Aramis (ayant plus ou moins existé). Seulement le pouvoir est divisé entre le roi Louis XIII, la reine Anne d'Autriche, et le cardinal Richelieu, qui tentent chacun de se tirer la couverture. Pour l'instant, roi et reine sont unis, mais Richelieu veut se débarrasser de l'un d'eux, et pour cela il a une arme parfaite : Milady, la femme fatale incarnée…
Disons-le, ce roman est un miracle sur certains points : par moments, les évènements se font rocambolesques, à d'autres ils sont nettement plus sérieux, mais tout ça sans que l'on n'ait jamais l'impression de lire un texte disparate. Dumas y parvient grâce à l'humour et un changement progressif de ton plutôt qu'une rupture brutale. Ça devient même une force par moments, car le roman évite ainsi la monotonie…
Parce que bon, 800 pages, quoi qu'il arrive, ça comporte toujours des hauts et des bas. le long passage vers la fin où Milady met en oeuvre son génie diabolique est fascinant à lire, mais extrêmement long. de même, certaines bagarres au début donnent un air de répétition. Les enjeux politiques s'effacent pendant des dizaines voire des centaines de pages au profit des enjeux du coeur, et par moments on ne sait plus trop si on est dans la même aventure ou si c'est une nouvelle qui commence. On se souvient surtout du roman, j'ai l'impression, pour l'épisode des ferrets de la reine ; il ne constitue pourtant même pas la moitié du bouquin.
Quitte à énumérer des défauts, citons aussi un certain manichéisme : les valets se comportent comme des gosses, les gentilshommes conservent une allure noble même dans les histoires de coucherie, et c'est sans compter les marques de condescendance propres aux XVIIe et XIXe siècles. Bon, c'était l'époque, les mots avaient peut-être pas la même signification, donc passe pour la plupart des termes un peu racistes ou classistes. Par contre, dès que vous êtes une femme et que vous voulez être un peu plus qu'un pot de fleurs, alors là attention, toutes les dix lignes on vous rappelle que vous êtes une panthère, une tigresse, une lionne, un démon, et c'est tout juste si on échappe à l'hystérique.
Enfin, l'élément de résolution a de quoi décevoir : plutôt qu'un combat final, on assiste à… un procès. Bon, spoiler alert, c'est aussi le cas pour la fin de ma novella qui sort pour le Nouvel An sur mon blog, mais d'une part mon histoire est moins centrée sur l'action, et d'une autre comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire, même dans la mienne ça m'a pas vraiment convaincu. Alors si ça va à peu près dans une histoire (relativement) calme, en revanche dans un livre de capes et d'épées, c'est limite impensable.
Je sentais donc venir la fin en pétard mouillé, mais c'est alors que Dumas reprend du poil de la bête et nous pond vingt magnifiques dernières pages. Entre l'iconisation de ses héros dont les valeurs prennent un tournant solennel, le retour d'éléments oubliés qui resurgissent au sein du récit, la subtilité de la plume tant dans les dialogues que dans le récit, il nous rappelle ce qu'on était venus chercher dans le livre : pas seulement de l'action, mais aussi du charisme, de la ruse et surtout le sublime du romantisme.
En un mot comme en cent, si "Les trois mousquetaires" ne constitue pas une claque magistrale, il reste un monument de la littérature historique pour sa finesse d'esprit et de nombreuses scènes épiques. le tout possède un charme ancien difficilement trouvable ailleurs, entre Les Pieds Nickelés et le roman de chevalerie, brassant tant d'influences et de tonalités qu'on ne décroche jamais vraiment. Après, je dis ça, c'est pour votre culture…
Lien : https://cestpourmaculture.wo..
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Je m'attendais à apprécier ce roman, mais certainement pas à l'aimer autant! le contexte historique m'a séduite, l'intrigue était captivante et je me suis profondément attachée aux personnages, avec lesquels j'ai vibré pendant tout le récit. La plume d'Alexandre Dumas est absolument superbe, et pourtant résolument moderne, ce qui donne à son texte un esprit indémodable et très intelligent.
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Je connaissais évidemment les trois mousquetaires pour avoir vu des films ou autres, mais lire l'original donne une toute autre version de cette histoire. Alors que je voyais Atos, Portos et Aramis comme des gaillards courageux, toujours prêts à en découdre je les ai découverts pieux, sombres, drôles. Je me suis aussi rendue compte que c'est D'Artagnan qui mène la danse, lui le petit nouveau, et les trois autres, plus expérimentés, suivent. D'Artagnan est vraiment la figure du jeune provincial ambitieux, sûr de lui, amoureux; il est très chevaleresque.
L'écriture de Dumas nous emporte une fois encore à travers les détails des complots et trahisons toutes plus horribles les unes que les autres. C'est toujours un plaisir de le suivre dans ses intrigues même si j'ai moins aimé ce livre que le Comte de Monte Cristo.
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[Livre audio en français, lu par Cocotte]
J'avais détesté "Le comte de Monte Cristo" du même auteur que je n'ai même pas achevé et j'ai abordé ce grand classique avec de la défiance, presque de la répugnance.
Il s'avère que ce roman, vieux de presque deux cent ans, empeste la poussière. Je l'ai trouvé fort long, plutôt douteux du point de vue des moeurs et de la morale, complexe, désuèt, peu crédible et souvent prévisible. Quant au rapport aux femmes, il y est atrocement dinosauresque.

Pourtant, malgré tout cela et contre toute attente, je suis restée suspendue au récit du début jusqu'à la fin. Je l'ai dévoré et je l'ai adoré. Lorsqu'on accepte les paradigmes incongrus de l'époque, lorsqu'on se renseigne un peu sur le contexte politique afin de mieux comprendre les enjeux et enfin, lorsqu'on prend un certain rythme de lecture qui permet de mieux suivre l'histoire, on ne peut qu'y succomber.

Je pense que ce qui a été l'élément déterminant de ce véritable coup de coeur et donc de cette très bonne surprise, c'est l'écriture soutenue et remarquable d'A. Dumas. Cette histoire n'aurait pas eu le moindre sens qu'elle n'en aurait été pas moin délicieuse à lire tant c'est bien écrit. J'ai savouré chaque bon mot avec une joie et une jubliation que je n'éprouve pas souvent, étant fort exigeante à ce point de vue.

Quant à la lecture du livre par Cocotte (dont le téléchargement gratuit et légal peut se faire sur le site www.litteratureaudio.com ), je me suis fait très vite à son léger défaut de prononciation et son fort accent français. Tant elle est parvenue à me faire vivre l'histoire et les émotions des personnages, je serais restée suspendue à ses lèvres pour encore le double de pages, ce qui n'est pas peu dire.
Lien : http://www.litteratureaudio...
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