AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,26

sur 7376 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Il y a parfois des classiques qui vous résistent, et après tout, c'est tant mieux ! J'ai mis 3 bonnes semaines à venir à bout de ce monument, et c'est presque avec soulagement que j'en ai achevé la lecture. Pourtant, j'adore dans la littérature l'aventure, les intrigues, les rebondissements, et il y a assurément dans Les Trois Mousquetaires des scènes d'anthologie ! Mais j'ai été un peu lassé dans la première partie par la multiplication des gants jetés à la figure et des scènes de duels. J'ai eu l'impression de lire ensuite une pièce de vaudeville qui n'en finissait pas.
Avouez que les 5 journées de captivité (chapitres 52 à 56) avec Milady et Felton sont interminables !
Restent évidemment des scènes savoureuses : je retiens "La thèse d'Aramis" où D'Artagnan arrache Aramis à une querelle théologique avec deux hommes d'Eglise à laquelle il ne comprend rien pour remettre le Mousquetaire dans le droit chemin de l'aventure.
Reste aussi la sombre et cruelle Milady, une des méchantes les plus réussies de toute l'histoire de la littérature.
Commenter  J’apprécie          240
Qui n'a jamais entendu parler de ce grand classique qu'est Les Trois Mousquetaires ? Pratiquement personne. Pourtant, peu de personnes l'on réellement lu et encore moins savent qu'il s'agit en fait d'une trilogie dont ce livre-ci n'est que le premier tome.

Après lecture je peux affirmer qu'il s'agit bien là d'un classique qui se vaut d'être découvert. Alexandre Dumas est un vrai maître des mots qui sait jouer entre retournements de situations, scènes d'amour langoureuses et courses poursuites effrénées. Une seule chose est sûre : dans ce roman, pas de place pour l'ennui. Les personnages ont tous une caractéristique qui leur est propre les rendant très facilement reconnaissable à vos yeux même lorsque vous ne retenez pas les noms et Dumas y mêle à la fois amour, aventure, humour, amitié, honneur et complots : le melting pot rêvé pour tout roman d'aventure qui se veut entraînant.

Une fois de plus notre cher Dumas a encore frappé et ce pour le plus grand plaisir des lecteurs. Petits ou grands vous ne ferez sans doute qu'une bouchée de ce merveilleux petit pavé !
Lien : http://talememoreblog.blogsp..
Commenter  J’apprécie          240
Ma culture des trois mousquetaires s'arrêtait à un dessin animé de l'époque de Club Dorothée "D'artagnan et les trois mousquetaires" où tout le monde avait des têtes d'animaux…

Plus récent (et à cause d'une petite soeur) ma connaissance s'était agrandie avec le dessin animé "Albert le cinquième mousquetaire"…

C'est vous dire si ma culture avait besoin d'un coup de torchon afin de revenir à la normale avec le roman de Dumas (ou d'un de ses ghostwriter).

Véritable roman d'aventure, de capes et d'épées et de péripéties en tout genre, ce roman a tout pour nous entraîner dans de folles cavalcades afin d'empêcher un complot d'arriver à sa fin, de sauver une belle jeune fille, de confondre une vile espionne qui mérite le titre de super salope perfide ou de faire le siège d'une ville avec l'armée du Roi, Louis XIII.

Si j'avais lu ce roman lorsque j'étais jeune, j'aurais sans doute moins remarqué les petites incohérences et le changement de caractère de certains personnages, tel D Artagnan qui, tantôt semble être un volcan prêt à aller croiser le fer avec Rochefort et l'instant d'après, il semble le plus posé des hommes.

Tout comme un jour il est fou amoureux de madame Bonacieux, puis de Ketty, la femme de chambre de Milady de Winter puis de milady, elle-même, changeant sans cesse de sentiments, tel un ado en chaleur. Purée, D Artagnan, décide-toi, mon gars !

Ou comme Felton qui se fait retourner par une milady manipulatrice, une madame Bonnacieux qui écoute aussi son baratin, à se demande comment est-ce possible de croire à de telles fadaises débitées par une inconnue…

Ben si, c'est possible, on croit bien tout ce que nous débite la télé et les réseaux sociaux et on s'en va, bille en tête ! Pour le personnage de John Felton, là, je lui décerne le titre du connard d'imbécile de crétin de sa mère d'empaffé de sa race.

Beaucoup de rebondissements, dans ces pages, on peut comprendre puisqu'à l'époque, c'était diffusé en feuilleton, il fallait donc du cliffhanger, du suspense, du mystère, des trahisons, des complots, de l'espionnage, des reines à sauver et des maris à cocufier.

Si nos quatre héros (d'Artagnan, Aramis, Porthos et Athos) accompagné de leurs quatre valets (Grimaud, Mousqueton, Bazin et Planchet) sont des personnages sympathiques et courageux, ils ne seraient rien sans des méchants de grande envergure, que ce soit la Milady de Winter, la perfide éminence grise de son éminence le cardinal de Richelieu (dont on ne sait pas trop pour qui il roule), l'énigmatique comte de Rochefort et le ténébreux comte de Wardes.

Évidemment, dans la réalité, des aventures pareilles sont quasi impossibles, mais nous sommes dans de la réalité sublimée et cela devient de la fiction et là, tout est permis, pour le plus grand plaisir du lecteur qui voit le récit et les personnages virevolter dans une danse endiablée, lui procurant quelques heures de saines distractions.

Attention, je ne dis pas que tout est inventé, les ferrets en diamants de la reine ont bel et bien disparu, le siège de la Rochelle a eu lieu, des personnages de ces pages ont réellement existé

Certains pourraient se demander ce que pareil titre fait dans un Mois du Polar, mais c'est parce que nous sommes bel et bien face à un polar, nom d'un mousquet !

On a des mystères, des enlèvements à résoudre, une reine à sortir de la merde, du suspense, de l'espionnage, des complots, des morts, des tentatives d'assassinats, une vieille affaire qui revient à la surface, un jugement, des magouilles, des assassins et des assassinés et il faut résoudre tout ça pour que le pays tourne mieux.

Que vouloir de plus ? L'auteur a pris un contexte historique et s'est introduit dedans afin de la magnifier, de le détourner, de le changer, de le malaxer pour le préparer à sa sauce, même si on se doute qu'il a eu un cuisinier pour lui couper les légumes et commencer la cuisson du bouillon, c'est Dumas qui a assaisonné le tout de sa plume magique.

Ma copinaute de LC, Bianca, a apprécié sa lecture, même si elle a trouvé le siège de la Rochelle un peu trop long et je ne peux pas lui donner tort, même si chez moi c'est passé un peu mieux.

Question à deux balles : son éminence le cardinal de Richelieu est-il le créateur des slips du même nom ?? (Éminence…)

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          232
Un classique s'il en est. Qui n'a jamais entendu parler de d'Artagnan et des fameux trois mousquetaires, du perfide Richelieu et de l'idylle interdite de la reine Anne d'Autriche avec le duc de Buckingham ? Dans mon cas, il s'agissait d'une relecture, la première découverte ne m'ayant pas laissé un souvenir impérissable. Et ma foi, j'avoue ne pas m'être ennuyée cette fois.
Tous les ingrédients d'une belle aventure sont réunis. Des héros charismatiques et intelligents, des adversaires à leur hauteur, tout en mystère et en malveillance, des intrigues de cour, des duels à l'épée, des affaires d'espionnage, du drame, de l'humour, des rebondissements incessants, bref un roman de cape et d'épée, un vrai. La petite histoire de la fiction se mêle à la grande pour nous offrir une vision largement romancée mais pittoresque de cette époque audacieuse que fut la première moitié du XVIIe siècle. Ma formation d'historienne m'a, évidemment, faire tiquer sur certains points, mais l'ensemble est au fond suffisamment divertissant pour reléguer dans un coin mes instincts de râleuse. Si l'on excepte également quelques révélations qui tombent un peu à l'eau et un portrait à charge de Richelieu (ne me demandez pas pourquoi, mais je le trouve sympathique), l'aventure est enlevée et nous mène par le bout du nez.
Surtout, j'ai été frappée cette fois par la force de l'amitié entre les mousquetaires. Il y a quelque chose de profondément émouvant à voir évoluer ces hommes qu'a priori rien ne rapproche si ce n'est l'honneur et l'amour du duel. La manière dont ils sont prêts à tout donner à l'autre, à faire tous les sacrifices et à tout endurer contraste violemment avec nos sociétés de plus en plus individualistes. Il y a quelque chose d'idéal dans ces mousquetaires, quelque chose qui me laisse rêveuse et vaguement envieuse. Ils n'ont beau être que des personnages de fiction, c'est une belle leçon qu'ils nous proposent. Ça vaut bien quelques anachronismes...
Commenter  J’apprécie          230
Roman romantique et chevaleresque, Les trois mousquetaires a toujours été pour moi une histoire pleine d'humour. L'amitié de ces quatre compagnons, renforcée au grès des aventures, était dans mon enfance une source intarissable pour mon imaginaire. Aujourd'hui, la reverie est toujours aussi présente, la plongée dans le monde de la chevalerie toujours aussi délectable !
Commenter  J’apprécie          220
Je termine la relecture des Tois Mousquetaires d'Alexandre Dumas...
Bien sûr, je n'ai rien appris sur l'intrigue, quoique certains détails des aventures étaient passés à la trappe et j'ai eu du plaisir à les re-découvrir.
Par contre, je m'attendais à une écriture plus ardue, plus éloignée de notre langue actuelle, eh bien non !
Bien sûr, il y a des longueurs mais rien de trop rédhibitoire à mon goût. Et j'ai consciencieusement lu beaucoup des notes qui parsèment le texte.
Un bon moment de lecture avec ce classique. Merci monsieur Dumas.
Commenter  J’apprécie          210
À la faveur d'un livre audio gratuit, je me suis plongée dans Les trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas, roman d'aventures que je n'avais jamais vraiment lu mais dont, comme tout le monde, je connaissais à la fois les personnages principaux, le contexte historique et l'ambiance de capes et d'épées.

L'oeuvre a d'abord été publiée en feuilleton en 1844 avant d'être éditée ; en fait, j'ai découvert qu'il s'agirait d'une collaboration entre Alexandre Dumas et Auguste Maquet.
Ce livre possède les caractéristiques du roman historique puisque son auteur y convoque un grand nombre de personnages référentiels et date précisément son récit durant le règne de Louis XIII avec le siège de la Rochelle et l'assassinat du duc de Buckingham ; de plus, les personnages des mousquetaires sont inspirés de personnages ayant réellement existé.
Mais c'est surtout un roman d'aventures, ou les péripéties s'enchainent à un rythme effréné, où les rebondissements sont légion ; on y croise le fer pour un rien, on s'y poursuit, on s'allie et on se trahit, on s'aime et on se quitte, on se perd et on se cherche, on y enlève et on y emprisonne, on s'évade… C'est épuisant ! J'ai gardé une pensée émue pour les chevaux que l'on crève et malmène sans relâche (et que l'on mange !).
J'y ai même trouvé un côté picaresque, tant la précarité affleure en filigrane tout au long du récit ; les héros manquent toujours d'argent pour régler leurs dettes, s'équiper, mener leurs projets…

Quand on évoque la littérature romantique du XIXème siècle, on ne pense peut-être pas en premier à Alexandre Dumas qui faisait pourtant partie du Cénacle ; son personnage de D'Artagnan est un jeune homme rempli d'idéal, venu chercher fortune à Paris, qui va tomber amoureux de Mme de Bonatieux et la perdre dans des circonstances tragiques. Il a donc quelque chose en lui du héros romantique, victime d'une époque compliquée par les agissements de Richelieu dans l'ombre de la couronne ; en effet, les mousquetaires sont des pions jetés sur un échiquier dont ils ne connaissent pas toutes les règles, simples exécutants en butte aux intrigues de ceux qu'ils servent.

Ce roman reste un immense succès, une référence du roman d'aventures sur fond historique ; Alexandre Dumas et ses collaborateurs ont dû s'appuyer sur un véritable travail de recherche. En ce qui concerne la trame narrative proprement dite, c'est à la fois vivant, palpitant, très visuel, un peu moral… Personnellement, j'aurais préféré un peu plus de profondeur sur les problématiques politiques et sociales de l'époque ; quand il n'y a que de l'action, j'avoue que je m'ennuie un peu.
Je suis donc plutôt satisfaite d'avoir privilégié cette version audio, lue par Bernard Bollet. En effet, le livre est un véritable pavé, les péripéties se répètent entre manque d'argent, ripailles, duels, galanteries et courses poursuites entre mousquetaires et gardes du cardinal et j'ai apprécié parfois d'en avoir le récit en fond sonore…
De même, les passages moins mouvementés, comme la captivité de Milady lorsqu'elle parvient à séduire Felton, sont plutôt longs et indigestes, même si dans ce cas précis, je salue la théâtralité du récit dans le huis-clos de la chambre.
Moment nostalgique : je gardais surtout le souvenir de la série télé de la fin des années 1960 avec Dominique Paturel dans le rôle de D'Artagnan et François Chaumette dans celui d'Athos… J'ai retrouvé les quatre épisodes sur Internet et les ai trouvés terriblement sur-joués et caricaturaux bien que très proches du texte original de Dumas… et, depuis, j'ai la musique du générique dans la tête ; je vous donne le lien vers le premier épisode, mais je vous préviens, cela a mal vieilli :
https://www.youtube.com/watch?v=kZm9aHg1j8s

Je suis ravie d'avoir enfin lu ce livre et je mets dans ma Liste À Lire les suites, Vingt ans après et le Vicomte de Bragelonne, sans doute aussi en audio-livre.
Commenter  J’apprécie          211
Grand classique de la littérature française, voilà un roman qui a dépassé nos frontières et qui a aussi bien inspiré d'autres écrivains que des réalisateurs avec plus ou moins de succès et de talent…

La première partie du roman est excellente, le rythme est virevoltant et Dumas nous entraîne à la suite de d'Artagnan dans sa découverte de l'ordre des mousquetaires du Roi et des intrigues de la Cour.

Comment ne pas souhaiter aller à sa suite, pour mener la grande vie des mousquetaires, où chaque argent gagné est dépensé sans soucis du lendemain et où l'honneur est une valeur cardinale (sans mauvais jeux de mots).

La force également du récit c'est que pour la plupart des personnages, le manichéisme n'est pas de mise : je pense ainsi au Cardinal de Richelieu qui, certes, est l'ennemi de notre cadet de Gascogne mais il respecte le jeune homme et ses amis et va même jusqu'à les récompenser.

A l'inverse Porthos ou même D Artagnan ne sont pas vraiment des modèles de vertu en ce qui concerne leurs aventures galantes.

Cependant ce livre n'est pas exempt pour moi de certains défauts ; les dialogues m'ont paru parfois un peu poussif mais là où le bat blesse principalement c'est dans une certaine inégalité du rythme. Après les multiples péripéties liées aux ferrets de la Reine, d'un coup le rythme est plus pesant et les rebondissements sont moins passionnants, je pense notamment à la course à l'équipement en vue du siège de la Rochelle.

Il faudra attendre le dernier tiers du roman pour retrouver cet élan qui rythmait la première partie du récit.

Au final, cela restera quand même une lecture plaisante et je pense que je lirais la suite des aventures des Mousquetaires mais s'agissant de Dumas, le Comte de Monte-Cristo reste mon préféré !
Lien : https://allylit.wordpress.co..
Commenter  J’apprécie          201
J'ai lancé cette lecture afin de la partager avec mon fils de 10 ans qui le lit en même temps que moi, mais en édition jeunesse.

Je l'avais déjà lu, mais comme cela remonte à bien longtemps, je dois avouer qu'il ne m'en restait pas grand chose au niveau de l'histoire.
Et je me suis bien fait plaisir :-)
Les personnages de Dumas sont vraiment attachants. Ils sont enthousiastes, pleins d'énergie. Quelle équipe de joyeux lurons franchement que ces mousquetaires !
Dumas a rassemblé dans son roman tous les ingrédients qui font une bonne histoire : de l'intrigue, des scènes cocasses, de la répartie, de l'humour, de l'amour, des trahisons, de l'Histoire, de l'honneur, de la solidarité, de la complicité et j'en oublie. Bref, tout cela desservi dans un style léger et entraînant, on ne peut qu'adhérer. Mon commentaire n'apporte rien de nouveau par rapport à tous ceux qui ont été fait auparavant, c'est certain.

Mon fils, quant à lui, ne s'est pas lancé dans sa lecture avec un super enthousiasme, il faut l'avouer :
-M'man, t'es sûr ? C'est pas mon fort les histoires de chevaliers. Je préfère les histoires avec de la magie... tente le fiston en tirant une lippe jusqu'à ses chaussettes.
-Oui, mais celui-là, c'est pas pareil. C'est les trois mousquetaires ! Je suis sûre que tu vas aimer ! lui rétorque sa fofolle de mère avec le sourire jusqu'aux oreilles.
-Mmm... d'aaaaccord... répond-il alors en levant les yeux au ciel.
Et je vois bien qu'il accepte, mais seulement pour me faire plaisir...
Le début est un peu laborieux, il s'arrête souvent, je sens bien qu'il n'est pas super motivé, je culpabilise un peu. On en parle cependant et l'intérêt est un peu plus palpable.
Moi, je termine le mien avant qu'il en soit à la moitié, donc je sais que ma critique va devoir attendre...
Et puis...
-Maman ! Ecoute ! Y'a un passage qui est trop drôle !
Et il me lit alors avec un grand sourire le passage du bal où le roi remet les deux ferrets manquants à la reine.
Yeeessss !!!! On est sur la bonne voie... :-)
Il revient me voir, pour me parler du passage au bastion de Saint-Gervais qui l'amuse.
Arrivée à la fin du livre, le bilan semble plutôt positif : 8/10 selon lui. Son commentaire :
-Ce n'est pas ce que je préfère, mais faut avouer que c'était bien. Y'a des chapitres qui étaient plutôt rigolo, d'autres un peu «ch****».
Bref, une expérience de lecture sympa entre maman et son fiston et j'espère qu'une prochaine occasion se présentera. Merci M. Dumas !...
Commenter  J’apprécie          205
Lecture de lycée obligatoire. La majorité de la classe avait rechigné et commencé à lire sans motivation à cause du pavé que ce roman.
Bon, pour ma part, ce fut un bon moment de lecture.
On a du rythme, de l'action, des méchants charismatiques, de l'humour, de l'apprentissage, des paysages et une plongée dans une France en plein conflit.
Comment s'ennuyer à la lecture de ce chef-d'oeuvre ?
Commenter  J’apprécie          192




Lecteurs (29856) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages des Trois Mousquetaires et Vingt ans après

Sous quel nom connaît-on monsieur du Vallon de Bracieux de Pierrefonds ?

Athos
Porthos
Aramis
D'Artagnan

9 questions
182 lecteurs ont répondu
Thème : Alexandre DumasCréer un quiz sur ce livre

{* *}