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Le narrateur est écrivain.Il a d'abord écrit sur sa famille pour exprimer ses souffrances enfantines qui ont hanté sa vie d'adulte.Une psychothérapie personnelle qui l'a brouillée avec sa famille.Il a réglé ses comptes avec "la mère" comme il l'appelle.
Dans ce livre, il vit une rupture sentimentale et doit partir de la maison qu'il aimait tant.Là, il se retrouve isolé, ses affaires dans sa voiture sans point de chute.Ce dénuement le rapproche de sa mère dont il comprend peu à peu les souffrances.Il découvre des pans de la vie de sa mère qu'il ne connaissait pas, les désillusions et les épreuves qu'elle a du endurer.Les enfants oublient que leur parent ont eu une vie avant eux.J'aime beaucoup l'écriture de Lionel Duroy, il arrive a exprimer des sentiments profonds d'une manière pudique et délicate.
Ce livre nous montre que nous pouvons avoir des jugements sévère envers nos parents sans avoir la connaissance de toute l'histoire.
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De Lionel Duroy j'ai lu "Le chagrin" paru en 2010 et en garde à l'esprit un souvenir très précis tellement j'avais trouvé ce récit touchant.

Pour poursuivre son oeuvre autobiographique Lionel Duroy utilise dans "L'absente" le personnage d'Augustin, son double romanesque, écrivain comme lui.

Augustin a perdu sa maison après son divorce suite au départ de sa femme. Cette perte le bouleverse car c'était la maison d'enfance de ses enfants, leur point d'ancrage. Sa vie part en lambeaux, il n'a plus aucun endroit où se poser, il part alors sur les routes avec ses deux vélos sur le toit de sa voiture, son périple va le mener de la Bretagne à Verdun puis à Bordeaux.

Augustin a envie de mourir, cela le renvoie au souvenir de sa mère qui menaçait de se jeter par la fenêtre après leur expulsion de leur appartement de Neuilly, Augustin avait alors 9 ans, sa mère âgée de 38 ans était déjà mère de 8 enfants et enceinte du 9ème. C'est la première fois qu'il se sent proche d'elle. Il se rend compte qu'il réagit comme elle en se renfermant sur lui-même face aux problèmes, qu'il est tourmenté comme elle, qu'il a hérité de son "intranquillité".

Écrire un livre sur sa mère s'impose alors à lui, comprendre l'énigme qu'était sa mère. Qui était-elle avant son mariage, pourquoi a-t-elle épousé son père Toto qui était complètement son opposé? "Traverser l'horreur qu'elle m'inspire pour aller voir derrière l'image et parvenir à dire qui était la mère à l'origine, avant la catastrophe que fut son mariage avec cet homme." Il a en sa possession une photo de sa mère en juillet 42, jolie jeune fille de 19 ans, entourée de ses parents dans le parc du château familial, il l'examine à la loupe, remarque son regard vide et comprend qu'elle souffrait de mélancolie "Pour une fois, au lieu de ne s'intéresser qu'à lui, il pense à la mère."

Il va essayer de comprendre cette mère objet de terreur, pour laquelle il n'éprouvait que du mépris. Une mère qu'il traitait d'idiote et qui ne l'aimait pas engendrant une souffrance dont il n'a pu sortir que grâce à l'écriture "écrire pour exister dans le regard des autres puisque je mourais dans celui de ma mère."
Il se souvient qu'elle était très tendue quand elle se rendait dans le château familial de sa famille près de Bordeaux et comprend qu'elle a été bannie par sa riche famille après son expulsion du grand appartement de Neuilly.

L'écriture est au centre de ce roman car Lionel Duroy raconte le livre qu'il projette d'écrire sur sa mère, sa difficulté à le démarrer tant qu'il n'en a pas trouvé la première phrase. Il considère que l'écriture l'a sauvé de la dépression, l'écriture est pour lui comme le vélo, s'il arrête il tombe...

En se mettant à la place de sa mère, Lionel Duroy livre ici un portrait apaisé de cette femme qui lui a échappé toute sa vie, il semble avoir compris des choses qui le touchent. Il comprend son absence liée à la neurasthénie et sa souffrance de femme emprisonnée dans les codes que ses parents lui ont transmis. Enfant gâtée, mondaine, fascinée par le luxe, coincée dans le souci des apparences, le culte du paraître, l'importance de "tenir son rang" elle n'a pas pu supporter le déclassement social que son mariage désastreux a engendré.
L'expulsion et ensuite leur vie dans une cité ouvrière harcelés par les huissiers a détruit sa mère qui n'avait plus pour se raccrocher que le titre de baronne que Toto lui avait offert par le mariage.

Cette voie vers l'apaisement est proche de celle de Christine Angot qu'il cite d'ailleurs dans son récit.
Dans ce livre très agréable à lire Lionel Duroy excelle dans l'analyse de ses propres sentiments, il décortique à merveille ce qu'il pense comprendre de la personnalité de sa mère.
Lien : http://leslivresdejoelle.blo..
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C'est le premier livre de Lionel Duroy que je lis. Je dois remercier cette grande dame de la littérature actuelle française Delphine de Vigan qui en faisait référence dans son très bon roman "Rien ne s'oppose à la nuit" en nous parlant de son ouvrage » le Chagrin » Je dois avouer que j'ai eu très envie de le lire , mais je ne me suis jamais lancé dans sa lecture. Allez savoir pourquoi, je ne peux pas vous répondre, Ce que je peux vous affirmer, en revanche, c'est que en commençant ce ouvrage, je me suis senti un peu perdu car je me suis rendu compte que l'auteur faisait beaucoup référence à ses écrits précédents et qu'il fallait donc que je m'y reporte pour bien tout maîtriser. Il semblerait que l'histoire de sa famille soit un fil conducteur qui le mène vers le succès. Un succès que je comprends aisément.

Je me suis très vite attaché à Augustin écrivain, fictif qui n'est autre que Lionel Duroy lui-même. Cet écrivain, fictif en pleine déception , souffrance amoureuse, aux conséquences dévastatrices, a divorcé d'Esther, vendu sa maison du Perthus, entassé les affaires auxquelles il tient le plus dans le coffre et la banquette arrière de sa voiture, son coeur est véritablement en papier mâche. le voilà qui se retrouve sur les routes de France, à la recherche d'un nouveau logement pour ses enfants (avec lesquels, il a peu de contact et lui-même.

Tous ces événement plongent Augustin dans son enfance douloureuse entre un père criblé de dettes et une mère dépressive (elle menace régulièrement de se jeter par la fenêtre.). Bannie d'une riche famille bordelaise, humiliée d'avoir dû abandonner son statut de bourgeoise et son bel appartement de Neuilly, elle se retrouver dans un taudis, au plafond bas et aux vitres cassées, ne prenant plus soin d'elle, réduite à l'état de bête. Elle est complètement démunie, ayant tout perdu de ce qui faisait d'elle la femme terrible de Neuilly.

L'absente pourrait être une suite à son roman autobiographique »le Chagrin », Dans ce volume, il règle ses comptes avec sa propre mère, qu'il considérait idiote dans son regard d'enfant. Sa manière d'écrire assez violente me fait penser à un auteur qui a marqué mon enfance. Je veux parler de Hervé Bazin qui dans « Vipère au poing » ne genait pour régler ses propres comptes avec la sienne. Cependant cette mère dépressive ne peut pas être comparée à FOLCOCHE . de plus, l'écrivain prend conscience que sans qu'il le veuille, les évènements l'ont rapproché d'elle , dans le dénuement qu'elle a connu après son expulsion.

Vous êtes en droit, chers lecteurs de vous demander pour quelles raisons, on s 'attache à un tel personnage et je vous répondrais tout simplement parce que c'est un homme ordinaire,^et comme tout homme ordinaire ça pourrait être un voisin, un ami ou même un membre de votre propre famille. de plus, je considère, tout comme l'auteur, que la vie dans les romans est plus sensuelle, plus attrayante que dans la morne réalité.Enfin , je suis assez admiratif quand je pense à Lionel Duroy parce que tout comme Hervé Bazin , dans une autre époque,l'auteur a réussi à transformer sa détresse en une oeuvre pour se créer une nouvelle vie

Lien : http://www.babelio.com/monpr..
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Je suis allée aux Correspondances de Manosque 2016 juste après avoir lu "L'Absente". Le 23 septembre, Michel Abescat (Telerama) interrogeait Lionel Duroy. J'y étais. Ma note de lecture est donc augmentée de l'impression (excellente) que m'a laissée cette rencontre publique.

Augustin Revel est très malheureux. Après le divorce d'avec sa deuxième femme, il a dû se résoudre à vendre la belle maison familiale acquise il y a une vingtaine d'années. Encore sous le choc du déménagement imposé, il entasse quelques souvenirs dans le coffre de sa voiture, des photos en vrac, ses loupes, accroche ses vélos, et prend la route sans but, sans vouloir parler de son désarroi à qui que ce soit, surtout pas à ses filles. C'est l'histoire d'un homme à la dérive qui, au fil de ses rencontres avec des gens normaux, dans des situations souvent burlesques qui le sortent progressivement de son effondrement, va avoir peu à peu la révélation de l'origine de la folie de sa mère (disparue depuis des années) et comprendre qu'elle aussi, comme lui, plus que lui peut-être, avait souffert de l'abandon des siens.
"L''Absente" est à la fois un portrait revisité de la Mère et un roman sur un roman en train de se faire.

Pour ce roman Lionel Duroy démarre avec une situation tout à fait fictionnelle puisque après son divorce, contrairement à Augustin, lui avait récupéré sa maison ! C'est un début imaginé sur le principe : Qu'est-ce qui ce serait passé si j'avais perdu ma maison ? Comment est-ce que j'aurais réagi ? Continué ? Il écrit donc ce premier chapitre très sombre, dramatique, de l'intrusion des déménageurs dans les chambres, en imaginant l'impression désastreuse de désinvolture et de sans-gêne qu'ils font sur le pauvre Augustin. Ce n'est qu'après, dit-il, qu'il a fait le rapprochement avec sa propre sidération lorsqu'à neuf ans il avait été le témoin non averti de l'expulsion de ses parents de leur bel appartement de Neuilly, et de la saisie de leurs objets de valeur. En réalisant cela, l'écrivain peut (enfin) se mettre à la place de sa mère et comprendre le déchirement qu'a pu lui causer la perte de sa maison (même si lui n'a eu que peur de la perdre). Il peut (enfin) imaginer l'horreur, la peur et la terreur de la jeune femme d'alors. Augustin est au bord de la folie, voire du suicide, comme avait pu l'être la maman de Lionel Duroy, il y a cinquante ans. Enfant, il ne pouvait pas avoir compris tout ça. Soixantenaire, c'est l'écriture de ce roman qui l'y aide et devient au fur et à mesure le récit de son cheminement vers l'apaisement.

Les enfants (ils étaient dix !), dit-il encore, ne regardaient jamais la mère, l'évitaient, tant elle les terrorisait. Lui même dit n'avoir observé qu'elle avait "de beaux yeux verts" que bien plus tard, à l'âge de 14 ans. Il se souvient aussi que la beauté et l'élégance de sa mère l'avaient frappé, une seule fois, lors d'une visite à l'ossuaire de Douaumont (elle était fille d'un héros de la Grande Guerre). C'est pour cela qu'il envoie son Augustin sur la route de Verdun ! Et qu'à l'hôtel, il lui fait réveiller le gardien de nuit pour aller fouiller le coffre de sa voiture à la recherche d'une photo de sa mère, jeune fille. Cette photo de la mère de Lionel Duroy existe bien, nous dit-il ; elle y est particulièrement jolie, rêveuse, dans le jardin de la propriété bordelaise où elle a été élevée au milieu de nombreux cousins. C'est d'ailleurs en allant revoir ce "château" toujours aussi cossu que l'écrivain a pris conscience que sa mère avait été scandaleusement lâchée par les siens : personne n'avait bronché pour secourir les parents et leurs dix enfants quand ils vivaient à la bougie et au butagaz. Il y a à la fin de "L'Absente", un développement joliment romanesque autour de cette même photo, je ne le dévoile pas... Lors de la rencontre publique, Lionel Duroy a cependant révélé lui-même un indice que je ne me souviens pas d'avoir trouvé dans ses romans. Sa mère aurait un jour prononcé devant lui une phrase fort peu dans sa manière, et qu'il n'avait pas comprise alors : "Quand je pense que j'aurais pu épouser X, aujourd'hui il est ambassadeur...". Troublant, touchant.

Pour Duroy, l'écriture est l'art du pauvre. Il n'y a pas d'école, on apprend tout seul. Il a mis dix ans avant de "savoir écrire" et pouvoir publier son premier roman. On sait écrire, dit-il, quand on est capable de mettre en mots l'ambivalence, l'ambiguïté, la douleur. Selon lui les écritures d'aujourd'hui sont plates, intellectuelles, et sans émotion, proches de la dissertation universitaire, par manque de travail. Lui se voit en "prolo" de l'écriture !

D'autres livres l'ont rendu malade. Il parle de dépression après le bien-titré "Chagrin". Dans celui-ci, la lumière est entrée au fur et à mesure jusqu'à la fin, et cela l'a rendu heureux.

A la fin de la rencontre, lors du passage du micro dans le public, une lectrice lui demande quelle est finalement la part de vécu dans l'histoire car elle ne trouve pas que le personnage de Sarah (la libraire de Verdun qui lui tombe dans les bras et le suit jusqu'à Bordeaux) soit vraisemblable. Réponse de Lionel Duroy, décidément très en verve : rien n'est vrai dans ce roman... sauf Sarah !

Longtemps, j'avais reculé à l'idée de lire les romans autobiographiques de Duroy. Je voulais rester sur le grand choc (positif) de "L'hiver des hommes". C'était idiot car même (surtout ?) dans celui-là l'écrivain utilise la matière de ce qu'il a vécu. J'ai commencé cet été avec "Le Chagrin", puis "L'Absente" et "Échapper". Ce qui est remarquable c'est que tous ces livres, pourtant parfaitement individualisés, composent un tout cohérent, dont on devient très vite "addict". Même quand les thèmes sont noirs, les situations catastrophiques, il y a toujours un fond de burlesque, de l'autodérision, qui font tout le charme de la narration soutenue par une écriture précise et vivante, très reconnaissable.

Lors de sa présentation de "L'Absente" à Manosque, Lionel Duroy a fait bien comprendre que la question de l'autofiction dans son oeuvre ne devait pas être posée. Que lui, ne se la posait pas. Et pourtant si quelqu'un a payé cher d'avoir livré ses traumatismes au public, c'est bien lui.


Lien : http://tillybayardrichard.ty..
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Peut-être que quand on n'a lu un livre de Lionnel Duroy ....on a envie de lire tous les autres ?
Après avoir lu son dernier livre en premier ,L'Homme qui
tremble....je me suis régalée à la lecture de celui-ci : L'Absente .
En effet , il s'agit toujours de la même histoire , mais qu'importe ! Au contraire , j'ai apprécié que certains éléments que Lionnel Duroy nous racontent sans cesse soient développés . Ici , c'est avec le personnage de la mère que l'on fait davantage connaissance . Surtout de l'histoire et la jeunesse de cette mère , ce qui expliquerait son comportement .
Je pense lire très vite un autre roman de cet auteur .
Roman ?

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Un de mes livres préférés de Lionel Duroy. Tellement drôle par moments qu'on éclate de rire tout seul dans le TGV Paris-Lyon en le lisant! Peut-être son plus beau roman car c'est la première fois qu'il porte sur sa mère un regard différent et qu'il parvient à la comprendre et à lui pardonner. Un peu de rédemption de temps en temps, ça ne fait pas de mal! Une autofiction pleine d'imagination.
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Lionel Duroy continue son introspection familiale…..
L'Absente, c'est sa mère, ou Suzanne, celle de son héros et double Augustin.
Quand il perd sa maison, suite à son divorce avec sa femme, tout lui revient en mémoire, son enfance, l'expulsion de ses parents de l'appartement de Neuilly, la détresse de sa mère, grande bourgeoise rejetée par sa famille.
Et il part à la dérive, sur les routes, à la recherche d'un nouveau point d'ancrage. Mais si finalement, tout cela n'était pas pour qu'il découvre enfin ce qui s'est passé avec sa mère. Pourquoi, il n'a jamais écrit sur celle qui a façonné sa vie d'enfant et fait l'adulte qu'il est devenu avec ses failles.
Il y a deux parties dans ce livre, la première empreinte de rencontres drôles, étranges et troublantes, celle de la fuite en avant. Et puis la seconde, plus touchante et que je ne dévoilerai pas car elle permet de redonner du souffle au récit et de tout comprendre.
Un joli livre sur la famille qui fera certainement écho.

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Le narrateur, écrivain et double de l'auteur, désespéré par la vente de sa maison consécutive à son divorce, entasse quelques affaires dans le coffre de sa voiture et part sur la route de Verdun à la recherche de son passé. Il essaye d'entamer l'écriture d'un nouveau roman tout en se remémorant certains épisodes de sa vie. Par bribes on en apprend davantage sur sa famille, sa haine de sa mère et de ses frères et soeurs, la pitié qu'il éprouve pour son père qui n'a pas réussi à rendre sa femme heureuse.
En commençant ce livre, on se dit qu'il y a des sujets plus passionnants que la vente d'une maison et on a l'impression que l'auteur nous fait le coup de l'écrivain déprimé qui se regarde écrire. Puis, on comprend que la vente de la maison renvoie le narrateur-auteur à ses souvenirs d'enfance et au cataclysme vécu par sa mère lors de leur expulsion d'un appartement à Neuilly. Ses propres déboires parviennent à transformer l'incompréhension qu'il a de sa mère, absente et peu aimante, le vrai sujet du roman.
L'auteur réussit à créer une proximité avec son lecteur qui s'attache à son personnage sensible et tourmenté et prend plaisir à partager ses réflexions et ses énervements. Certains passages sont très drôles, d'autres trop nombrilistes, mais dans l'ensemble on passe un bon moment à suivre le cheminement de ses pensées. Une lecture agréable et attachante.
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Un beau roman d'un écrivain perdu à la recherche obssionnelle de sa mère disparue.
"L'absente" hante le narrateur . A travers la crise existentielle qu'il traverse, accompagné malgré lui de l'une de ses admiratrices dont il se passerait bien, sa mère lui apparait peu à peu sous un nouveau jour. Les nombreux interlocuteurs qu'il rencontre lors de son périple improvisé à travers la France sont sympathiques.
Et l'écriture est belle
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Loufoque mais intéressant. Pas toujours facile à suivre. La fin très bien. J'ai aimé
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