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C'est un beau livre, plein de sensibilité, et on y trouve une occasion de découvrir des destins malmenés un peu hors du commun, mais c'est un roman un peu interminable effectivement... Les 470 pages auraient s'écrire en 300 pages, j'ai lutté pour terminer... mais sans regrets !
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Chère Elizabeth,

C'est avec émotions que j'ai lu ton histoire, celle de la femme dans l'ombre de son mari (le célèbre James Cook, grand explorateur). Au fil des pages, je t'ai accompagnée dans ta solitude, j'ai suivi tes espoirs et assisté aux drames. Dans la première partie, une question flotte "comment apprendre à vivre ensemble quand on a vécu séparément durant tant d'années ?" puis "comment être une herbe ?" et enfin "comment continuer à avancer ?".

J'ai lu un très beau portrait de toi et j'ai été touchée par le large prisme de thématiques abordées (colère, deuil, dépression...). J'ai lu la vie d'une femme, d'une épouse, d'une mère, ... Une vie peut-être moins éclatante que celle de ton mari mais toute aussi importante.

Grâce à toi, j'ai aussi pu avoir une vision plus éclairée de cette société londonienne du XVIIIe siècle, moins romanesque que celle fournie par la Chronique des Bridgerton et avec un regard plus historique. Un tableau différent donc mais tout aussi passionnant.

Je te remercie pour le temps passé ensemble (le roman est en effet très dense) et pour le rôle que tu as joué. Si un bateau peut partir, c'est parce qu'il a un port où revenir.
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Beaucoup de livres nous racontent la vie des explorateurs, journaux de bord, récits, témoignages, enquêtes, biographies romancées ou pas, mais bien peu celle de leurs épouses. Celui-ci leur rend un vibrant hommage, en saluant la force d'âme et le courage dont elles font preuve, seules avec leurs enfants pendant les longs mois d'attente du retour de leur époux, des mois qui se transforment en une vie de solitude quand il est avéré qu'il a péri en mer ou dans une terre lointaine.

Anna Enquist a choisi de s'intéresser à Elizabeth Batts qui épousa l'explorateur James Cook en 1762.
Le retour aurait pu s'intituler l'attente car c'est surtout d'attente dont il s'agit dans ce roman. Sur une trame historique rigoureusement respectée, l'auteure imagine la vie tragique d'Elizabeth qui, de 1768 année du premier voyage de James Cook à son décès en 1779 à Hawaii lors de son troisième voyage, ne cessa de l'attendre, d'espérer qu'il reviendrait et ne repartirait pas, tout en donnant naissance à 6 enfants, qu'elle élèvera sans leur père, exception faite des quelques mois de présence de l'explorateur entre deux voyages. Elle n'a vécu avec James Cook que 4 ans au total sur les 17 années de leur mariage !

Introspection, vie intérieure... le roman nous livre tous les états d'âme d'Elizabeth, sa solitude, son désespoir, sa légitime colère envers James qui l'a abandonnée, préférant naviguer avec ses matelots pour cartographier les îles du Pacifique plutôt qu'élever ses enfants. C'est souvent dramatique et terriblement poignant.

A travers la vie d'Elizabeth, on découvre un James Cook intime qui semble être un homme très intègre et rigoureux, aimant sa femme mais irrésistiblement attiré par la mer et par la soif de découvertes de nouvelles terres. C'est aussi un homme avec des failles, parfois malade et colérique, des traits de caractère qui apportent une explication peut-être un peu fantaisiste à sa fin dramatique.

Anna Enquist a volontairement choisi de ne pas ancrer le récit dans l'atmosphère et le décor du 18ème siècle. Quelques détails se glissent pour nous le rappeler : un carrosse vient chercher James Cook et sa femme, la perruque est de mise, mais guère plus... Et bien sûr, on croise de nombreux personnages historiques comme les naturalistes Banks et Solander... Mais cette quasi-absence de repères de la vie quotidienne du 18ème siècle contribue à la dimension intemporelle de son récit. de plus, le style est résolument contemporain, sans aucune tentative pour le "dater" : il figure même un soupçon d'anachronisme dans les dialogues au ton si moderne.

Cela est un peu perturbant dans les premières pages mais finalement, cette petite gêne disparaît très vite, emportée par la puissance universelle du récit : ce n'est pas la voix d'une femme mais celle de toutes les femmes de marins, de pêcheurs, d'explorateurs, de guerriers qui depuis des siècles sont condamnées à l'attente. Attendre le retour de l'époux durant des mois, des années même, en continuant à cuisiner les légumes, laver les sols et les vêtements, entretenir le feu, élever les enfants sans savoir quand il reviendra, pire encore s'il reviendra un jour. C'est la voix des femmes qui ont accouché seules, sans savoir où était l'absent, qui ont vu mourir leurs enfants en bas âge et les ont enterrés sans l'épaule de leur mari pour les soutenir dans leur douleur. C'est la voix des femmes qui ont appris la mort de leur mari en terre inconnue, et qui ont du faire face, se relever, tenir, continuer à avancer.

Plus anecdotique mais intéressant tout de même, le roman indique qu'Elizabeth a relu et corrigé l'orthographe et le style des livres de James Cook avant qu'ils ne paraissent. J'aurais aimé savoir s'il s'agit d'un fait historique avéré ou si cela relève de l'imagination de la romancière. En effet, les "Relations de voyages autour du monde" de James Cook ne mentionne absolument pas la contribution de son épouse. D'ailleurs, James Cook ne la cite jamais dans son livre ! Bien sûr, ce n'était pas l'usage à l'époque...

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J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire en raison de la narration qui alternait entre troisième et première personne du singulier pour la même personne et parfois dans le même paragraphe…
J'ai rapidement compris ce choix narratif qui fait ressortir la confusion des pensées d'Elisabeth et j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice.

J'ai ensuite été très captivée par les rebondissements de cette histoire malgré quelques longueurs, avant de finalement refermer le livre en étant un peu déprimée face à tous les malheurs vécus par Elizabeth (il faut être préparé au fait que ce n'est pas un roman joyeux).

Mon avis est donc plutôt mitigé mais j'ai beaucoup apprécié le côté historique.
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Parfois on choisit un livre plus ou moins au hasard et le hasard fait bien les choses. de retour des Pays-Bas j'ai eu envie de découvrir un auteur néerlandais et je suis tombée sur ce roman qui n'a pas grand-chose à voir avec les Pays-Bas sauf de manière très périphérique. Anna Enquist invente la vie d'Élizabeth Cook femme de James Cook, faisant d'elle une sorte de Pénélope attendant le retour régulier de son mari et confrontée de manière tout aussi régulière à la mort. Mêlant la fiction de cette vie et la vérité historique liée au périple de James Cook, l'auteure nous emmène dans un voyage dans lequel les hommes n'ont pas souvent le beau rôle, dans une écriture très agréable à lire qui donne irrésistiblement envie d'ouvrir un autre roman d'Anna Enquist.
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Nous suivons les destinées d'Elizabeth, la femme de James Cook, le célèbre explorateur du XVIIIe siècle. Ce dernier passe des années en mer à chacune de ses expéditions, qui vont lui apporter gloire et aisance financière. Pendant ce temps Elizabeth gère le quotidien, met au monde et enterre des enfants, et attend, en espérant que cette fois, le retour sera le bon, le définitif, celui qui lui permettra de construire une vraie vie de famille, de bâtir une vraie intimité avec son mari, qu'elle a au final la sensation de ne pas si bien connaître. Est-il le même que sur son bateau ? Lequel est le vrai James ? Ses fils qui ont survécu doivent suivre la carrière paternelle, sans véritable choix, et elle doit les laisser partir à l'école qui fera d'eux des marins, qui vont à leur tour partir. Et partir en mer est chose terrible et risquée.

C'est un beau portrait de femme, tout en finesse, en élégance. Il ne faut pas s'attendre à un livre trépidant, puisque l'attente est le quotidien du personnage principal. Des petits événements tissent la trame de cette vie, mais aussi des grandes souffrances. Comment supporter la perte, comment faire avec, retenir le souvenir de l'être cher, ne pas laisser échapper la mémoire. La vie d'Elizabeth a été d'une certaine manière terrible, avec tous ces deuils et toutes ces pertes. Mais Anna Enquist ne donne pas dans le pathos, elle donne voix à un personnage fort, qui arrive à survivre malgré tout. Bien aujourd'hui, on a la sensation d'un personnage quelque peu empêché, qui vit en fonction de son mari, de ses désirs, de ses choix. Sans véritable espace pour elle, au second plan. Parce qu'il ne pouvait pas en être autrement à l'époque.

Un beau livre, même si moins convaincant dans la dernière partie, nous n'échappons pas à une forme de répétition, le pari de suivre le cours de vie de son héroïne fait qu'il n'y a pas de véritable conclusion, ce qui peut laisser un peu sur la faim. Mais un texte qui laisse des traces, une résonance.
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James Cook fut un marin, grand découvreur, au XVIII° siècle, de terres lointaines et inconnues, dont la recherche portait surtout sur le besoin et l'envie de cartographier les territoires de notre globe. Reconnu pour ses mérites, il fut aidé, encouragé, par la Société Royale d'Angleterre, qui mesurait le prestige que l'on pouvait tirer de la découverte de nouveaux rivages.
Après deux longs voyages, il est de retour à la maison. Des enfants sont nés, certains sont déjà morts: il était toujours absent. Sa femme Elisabeth veut croire que les généreuses propositions de postes à terre qui lui sont faites, et l'amour des siens, le fixeront désormais à terre. Cook manque un peu de courage, et ne peut avouer à sa femme que l'attirance des flots sera toujours la plus forte.
Il y aura donc un troisième voyage, et l'on sait à l'avance qu'il sera fatal: lors d'un rixe avec des indigènes, James sera tué à HawaÏ.
Ce livre, c'est la vie et le point de vue d'une femme. Seule pour accoucher, seule pour enterrer ses enfants, ne sachant pas si son mari reviendra dans un ans, dans deux ans, ou dans quatre. Ni même s'il reviendra.
Ces terribles attentes et incertitudes sont magnifiquement décrites ici. Cette femme, qui a des relations, mais qui, au fond, est seule, erre, flotte, se trouve en suspension dans une vie qui n'en est pas une. Elle ne peut se raccrocher sérieusement à de vrais amis: autour d'elle, il y a un peu de bienveillance, certes, mais aussi de l'égoïsme, et de l'indifférence.
Les maladies lui auront enlevé plusieurs enfants, la mer lui en prendra deux autres. Triste destin d'une femme qui va voir passer les années et les deuils et ne connaîtra, finalement que chagrins et résignation.
Son amour pour Cook était ambigu, mais elle savait admirer l'homme d'aventure, le chef et le découvreur respecté. Au fur et à mesure où elle apprendra par le détail les circonstances précises de sa mort, différentes de la version officielle, elle connaîtra une déception supplémentaire.
Anna Enquist a magnifiquement retracé ce parcours, et surtout les émotions, les sensations de cette femme au fil des évènements qui ont marqué sa vie. C'est un très gros travail qui nous est livré là, fait d'un subtil assemblage entre réalité et imaginaire romanesque. Ce que l'on appelle: un beau livre.
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Anna Enquist, néerlandaise, après avoir été psychanalyste, pianiste, consacre sa vie à l'écriture.
Le retour est un très beau livre, d'une grande finesse psychologique. le récit narre la vie d'un couple particulier, les Cook. Si la vie du navigateur-explorateur James Cook (1728-1779 est très documentée en particulier par ses journaux de bord dont des éléments sont repris dans le roman, l'Histoire ne nous a guère légué de traces sur le personnage d'Elizabeth Cook. Anna Enquist imagine la vie à terre d'Elizabeth, une maîtresse-femme de la fin du XVIII siècle, épouse d'un homme célèbre. Sa vie est rythmée par les longues absences de son époux, ses retours, les grossesses, maternités et morts. L'auteure déroule le portrait d'une femme exceptionnelle qui affronte en l'absence de son mari ses accouchements, la perte de ses enfants. Anna Enquist explore la force du lien conjugal, les multiples facettes du lien avec les enfants, l'amitié et ses ambiguïtés, les formes du deuil. L'Autre, même le mari, reste une énigme. Et après la mort de James, Elizabeth va tenter de découvrir qui était son époux. C'est aussi un récit sur la force de l'écriture -mémoire.
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James Cook, célèbre explorateur du 18ème siècle, était marié à Elizabeth qu'il a laissée avec leurs enfants de très nombreuses années pour faire ses divers tours du monde. Anna Enquist nous raconte les années de séparation aussi bien que les années de retour avant la mort de Cook lors du dernier voyage, ainsi que la vie marquée par les nombreuses pertes de son épouse...

Mais que ce livre était interminaaaaable !!! le premier défaut vient du synopsis au dos du livre qui ne dit pas en fait qu'on va suivre la vie d'Elizabeth jusqu'au bout, bien après la mort de son mari James à Hawaï. Comme on nous vend la problématique des allers-retours/longues absences et leurs conséquences sur le couple, on a du mal à comprendre l'acharnement de l'auteure à aller plus loin après le tragique décès du capitaine, alors qu'il reste encore 200 pages au compteur. Si la maison d'édition avait été plus claire dès le départ, la frustration d'infinité du schmilblick ne ferait pas partie de l'équation et le lecteur se sentirait peut-être moins floué sur la marchandise. Au fur et à mesure que les pages suivantes se tournent, on comprend qu'Elizabeth est vraiment la figure maîtresse de cet ouvrage car elle a vu toute sa famille et tous ses amis, y compris ses six enfants, disparaître bien avant elle, subissant ainsi pertes sur pertes, certaines plus marquantes et traumatisantes que les autres, la répétition presque annuelle de l'expérience la rendant vers la fin quasi stoïque face à la mort.
Le deuxième énorme défaut qui rend ce livre bien long s'exprime dans la répétition constante des pensées et sentiments d'Elizabeth, qui au cours de sa vie et au fil des voyages de James et de la perte de ses enfants ressent tout le temps la même chose et nous le partage bien sûr. Ses sentiments sont assurément légitimes, rien à redire à ça, mais c'est tellement redondant et ancré dans un courant de conscience hyper féminin que c'en est très vite lassant. Ne nous méprenons pas : je suis une femme, moi aussi j'ai une quantité de pensées et sentiments qui doivent être répétitifs quand je réfléchis à la partie relationnelle de ma vie. Mais là, j'ai personnellement trouvé que c'était trop, voire étouffant et sans doute sur-stéréotypé (alors que l'auteure est elle-même une femme !!). Certes, notre personnage principal non fictif est une épouse de marin du 18ème siècle que la société de l'époque n'autorise pas à travailler et laisse uniquement s'occuper de ses enfants et parader aux bras de son époux le mâle tout puissant qui la met enceinte dès qu'il met pied à terre lors d'évènements. On nous dresse donc le portrait d'une femme qui se charge de tout au sein de la maison et ne sait plus comment gérer la présence de son homme dans le quotidien basé sur l'absence. Mais toutes ses pensées tournent autour de ça, de la mort de ses enfants, et... voilà. Même en suivant son flot de sentiments, on n'en apprend pas plus que ça sur la femme en elle-même. Oui, elle aime la vérité. Ok, elle a des qualités de correctrice et éditrice. Elle a un mini-flirt jamais consommé ni assumé. Et à part ça ?
C'est vraiment dommage parce que ce qui était attirant dans cette histoire, c'était bien le développement de la dynamique de la relation entre James et Elizabeth qui vivent au final deux vies complètement différentes en parallèle et n'arrivent jamais vraiment à se retrouver sur la même longueur d'ondes quand James revient à Londres. Il faut savoir que sur leurs 17 ans de mariage, ils n'en ont passé que 8 physiquement ensemble, années de présence pendant lesquelles James était à chaque fois très occupé par la préparation de ses trois voyages... C'est cet aspect-là qui est le plus intéressant. Mais que c'est long... Tout... Pour ce que c'est... Et uniquement du point de vue d'Elizabeth, quel manque flagrant dans l'histoire ! L'auteure tente de nous tenir jusqu'au bout en ne nous révélant le mystère entourant la mort de James qu'à la toute fin, mais on a tellement décroché bien avant que l'interprétation de sa mort (comme une délivrance programmée par James lui-même avec la complicité des insulaires) nous parvienne, d'autant plus que cette dernière a de quoi faire froncer les sourcils.
Au final que retenons-nous de cet ouvrage ? le destin terrible d'une femme constamment éprouvée par la vie, forte d'avoir accompagné en même temps qu'enduré les ambitions de son mari. Une succession de morts horribles. Une accumulation de tristesse, de retenue dans la communication, deux vies unies sur le papier uniquement, le tout dans un récit embué par une suite sans fin de sentiments stéréotypés loin de tout modernisme et féminisme vrai et un style narratif souvent ponctué de phrases nominales banales et d'un rythme saccadé parfois saugrenu. C'est un hommage à la femme derrière le scientifique de renom qui n'a du coup pas fait mouche de mon côté.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Nous sommes en 1775 au début du livre et le retour en question est celui, imminent, de James Cook, de son deuxième voyage dans le Pacifique qui, comme le premier, a duré 3 ans.
Sa femme Elizabeth, dont on adopte le point de vue, espère que ce retour sera définitif, que son mari va accepter une sinécure et enfin demeurer à Londres auprès d'elle et de leurs trois enfants survivants.
C'est seule qu'elle a affronté la mort de trois enfants et elle est lasse de toujours attendre, dans un climat d'entredeux.
Mais son mari pourra-t-il résister à la proposition qui lui est faite de repartir pour un nouveau voyage au long-cours, destiné notamment à découvrir le passage du Nord-Ouest qui permettrait de relier le Pacifique à l'Atlantique ?
Le suspense n'est bien sûr que psychologique, il suffit de lire la biographie de Cook pour connaître la réponse.
Cet ouvrage très introspectif m'a plutôt émue et je l'ai lu d'une traite.
Je suis cependant un peu gênée quand on prête des sentiments, des attirances et des réflexions à des personnes ayant existé dont on ignore la psychologie et la vie intime (on ne connaît pas grand-chose d'Elizabeth Cook dont on n'a conservé aucun document personnel).
Même si ces gens sont morts il y a 200 ans, qu'en auraient-il pensé ?
Pour cette raison, j'aurais préféré une pure fiction.

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