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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Vagin? Vous avez dit vagin? Comme le truc des filles? Oui oui. Eve Ensler parle bien de la plus énigmatique des créations de l'univers aux yeux du mâle dominant (après le lave-linge évidemment, curieux anagramme combiné de elle/vagin, j'dis ça j'dis rien..).
Eve Ensler donne la parole aux femmes. Toutes sans distinction. Pour parler de leur crapounette. Car le vagin, parait que c'est tabou. Et maintenant que j'y pense, c'est vrai qu'on n'en parle pas des masses au boulot ces temps-ci.

Bon j'imagine que j'aurais plus apprécié ce monologue au théâtre qu'en lecture. Car vagin vagin vagin à toutes les sauces, ça finit par lasser quand même. M'a manqué l'intonation pour lui donner pleinement corps et vie à ce petiot. Dire que le petit abricot n'a plus de secret pour moi serait présomptueux, mais trop entendu parler de cette pièce pour l'avoir savourée à sa juste valeur (la pièce pas l'abricot, faut pas s'emballer m'sieurs dames).
Toutefois, pas mécontente de cette lecture, j'admets sans conteste l'originalité et l'utilité de "l'enquête". Briser le tabou du sexe féminin, libérer la femme en l'aidant à assumer fièrement les voies du saigneux pas si impénétrables... Se pencher avidement sur cette terra incognita. Enfin se pencher, on se comprend. Encore que observer le zigouigoui de près est conseillé pour apprivoiser la bête et se connaître à fond. Enfin à fond, on se comprend. Serait-ce l'origine du fameux "connais-toi toi-même"? Ce Socrate, quel coquin...

Donc objectif : rendre ses lettres de noblesse à la chiffounette. Mais aussi dénoncer la malheureusement trop souvent violente profanation de l'antre sacré dans une indifférence généralisée. du léger au sordide, sont exprimées autant de tendresse que d'horreurs. La cohabitation pêle-mêle d'amour, viol, masturbation, excision ou orgasme m'a pour le coup laissée quelque peu perplexe. Féminisme et militantisme ambiants trop prononcés à mon goût.
Donc si j'applaudis l'idée novatrice en son temps (1996) et la parole libérée, je ressors tout de même déçue, convaincue qu'ici l'oralité doit transmettre probablement davantage de puissance aux mots que la lecture.
Déçue bien que j'ignore à quoi d'autre je m'attendais... car finalement ça monologue, et ça parle vagin. Sujet (dé)culotté.
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En ce jour de début octobre, j'étais toute excitée, c'était la foire aux livres dans une campagne non loin de chez moi. J'étais donc une des premières arrivées dans cette petite commune pour y dénicher des pépites.

Ce livre c'est une rencontre inattendue… je l'ai pris sans conviction. Je me revois dire naïvement à la dame qui aurait pu être ma mère : « ça parle de quoi ? ». Sur le coup je ne comprends pas son hésitation… et elle me dit : « ce sont des histoires de femmes »…et là je réalise dans son embarras… qu'elle l'a lu. Je me dis intérieurement :
«ça cause un vagin…. !? », bon et bien on va verra bien…..

Et j'en reste là… j'avais une autre lecture en cours et un délai à respecter….

Il aiguisait ma curiosité. Je l'ai feuilleté, lu des passages, puis j'ai osé le lire. Alors je ne vais pas en dire tout ce qui a déjà été dit dessus…mais j'ai été surprise de si mal…. le connaître ! pour moi le vagin c'était le petit tunnel dans lequel l'homme aime tant se loger… le reste je le dissociais complètement.

Le vagin c'est tout le sexe féminin. Parmi toutes les illustrations dont il fait l'objet dans ce livre, il le compare à une fleur de lotus…qui cache son tout petit coeur...vous savez ce que c'est…. ? trouvez le mot, partez à sa recherche et découvrez le….sans modération.

Eve Ensler a rencontré plus de 200 femmes, dont quelques unes témoignent dans ce livre avec pudeur, humour, vérité, poésie de leurs peurs, de leurs ignorances, leurs connaissances d'elles-mêmes.

C'est une lecture nécessaire, libératrice qui lève les tabous dont nous sommes parfois encore, nous femmes, emprisonnées à notre insu.
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Après avoir laissé ce livre trois longues années dans ma pile à lire - alors même que j'avais très envie de le découvrir -, je l'ai enfin ouvert et dévoré quasiment d'une traite. Cette pièce de théâtre, qui a été tant de fois jouée, a un titre assez évocateur et provocateur : Les Monologues du vagin... Mais de quoi nous parlent-ils ?

Eh bien, il s'agit de différentes personnes qui vont parler de leur propre expérience avec leur vagin et leur vulve. Tantôt drôles, étonnantes, banales, ou révoltantes, ces anecdotes sont une façon d'élever la voix contre un tabou autour des sexes.

Bien que le titre aurait plutôt dû s'appeler Les Monologues de la vulve parce qu'il correspondrait bien mieux à ce qui nous est décrit, je trouve que d'avoir conservé ce mot "vagin" permet à tout le monde de savoir de quoi nous parlons (parce que de nombreuses personnes, encore aujourd'hui, ignorent ce qu'est la vulve).

Dans tous les cas, c'est un petit ouvrage très agréable à lire et très intéressant, et je serais curieuse et ravie de découvrir l'adaptation théâtrale qui en a été faite.
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Les monologues du vagin sont une ode à la féminité, un élan vers la curiosité et un recueil intéressant de voix féminines.
Si je me suis amusée en lisant les récits sur les premières règles, j'ai moins aimé certains passages, un peu trop spirituels pour moi.
J'ai, comme beaucoup, grincé des dents en découvrant les atrocités que certaines femmes ont vécues.
Et j'ai validé la fragilité de notre intimité.
Une pièce de théâtre loin d'être inutile...
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J'ai vu la pièce tirée de ce bouquin il y a vingt ans, à Bruxelles, dans un petit théâtre. Un seule-en-scène où la comédienne incarnait merveilleusement bien le texte, et j'en étais ressortie émerveillée. J'avais une vingtaine d'années et c'était la première fois que j'entendais parler sans pudibonderie des vagins des femmes. Dans ma famille c'était un sujet tabou dont on ne parlait pas. Seul mon père avait le droit de faire des plaisanteries bien lourdes sur le sujet, avec mes cousins et mes oncles. Mais nous, les filles de la maison, il fallait se taire, baisser les yeux, et si possible rougir. Alors malheur à celui qui nous mettrait en tête qu'on pouvait tirer quelque plaisir de notre vagin, qui pouvait se révéler être bien plus que l'instrument de plaisir des mâles ou cette poche où on fabrique les bébés.

Après cette lecture, je dois néanmoins avouer que je n'y ai pas retrouvé la même fraîcheur, le même souffle, la même justesse du propos, la même promesse de liberté/libération. Poids des années (que l'on appelle « maturité » pour les messieurs)? Influence du contexte morose ? Conséquence des déceptions successives (ce qui serait d'une immense tristesse) ?

Ou tout simplement peut-être un texte plus destiné à être entendu qu'à être lu, et ce le plus tôt possible par les adolescentes et les adolescents. Filles et garçons. Oui, parents, enseignants, emmenez vos jeunes filles et surtout vos jeunes hommes voir cette pièce !
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Peux-t-on écrire un livre uniquement sur le thème du Vagin? Non pas sur la sexualité féminine, non sur le vagin. Eve Ensler prouve que c'est possible et en fait même une pièce de théâtre mondialement connue.
Apprivoiser son vagin, le nommer par son propre nom et ne pas en avoir honte pour pouvoir par la suite jouir avec.
L'auteure délecte des centaines témoignage de femmes sur la question.
- Pourquoi le cacher pour préserver son intimité? Pourquoi devrait on avoir honte de nos poils pubiens ?
- Si votre vagin pouvait parler, que dirait-il ?
- Doit-on juger une femme pour sorcellerie uniquement parce qu'elle a un vagin ?
- Atelier découverte du vagin et réalité.
- Les menstruations, les tampons, bien ou mal ?
-Le petit nom à travers les âges pour ne pas devoir dire Vagin.
- Comment une petite fille voit son vagin ?
- Comment jouir avec et de quel manière ?
- le vagin chez le gynécologue.

Et oui c'est un puits sans fond mais entendre Vagin à toutes les sauces, trop pour moi. Il faut juste appeler un chat, un chat.
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La première représentation de cette pièce de théâtre a lieu en 1996, à Broadway et autant dire que le sujet et le ton décapant avait fait le tour de la planète, était de toutes les discussions et sur toutes les lèvres on devinait le sourire narquois.

VAGIN, voilà bien un terme qui choquait toutes les générations il y a de cela 26 ans ! Et pourquoi monologues ? Un vagin ça parle ?

En écrivant le texte, Eve Ensler, n'imaginait certainement pas l'ampleur qu'il allait prendre. Dès sa conception, elle impose un cahier des charges précis, pour que la pièce soit conforme à ce qu'elle voulait défendre : « Suivre scrupuleusement le texte, être une femme, jouer bénévolement et verser les recettes à une association qui lutte contre les violences faites aux femmes. » Et c'est en partie une prouesse très intéressante, car il est très rare qu'une pièce reste dans son « jus ».

Considérée comme une référence du féminisme contemporain. Depuis sa parution, la pièce a été traduite en 46 langues et interprétée dans plus de cent trente pays, il ne manquait plus que le livre pour parfaire le tableau.


À l'occasion des 20 ans, une version augmentée, paraît aux États-Unis en 2018, que les éditions Denoël, réédite à son tour en 2021, 16 ans après avoir publié la version initiale. Cette version reprend des témoignages de femmes qui parlent sans tabous de leur sexualité. Onze nouveaux monologues et des poèmes, rejoignent ce titre qui se veut un choc, pour imprégner les mémoires.

Le format livre, met une certaine distance entre le lecteur et ces témoignages qui vont du plaisir au viol, en passant par l'excision, c'est très intéressant, mais il m'a manqué un supplément d'âme. le texte est trop linéaire, cartographié et récité, comme un simple constat. On perd toute l'originalité du texte, d'origine, et on se retrouve un peu comme sur un forum, sur lequel chacune ira de son expérience.

Ces voix et ces témoignages ont besoin de volume, ont besoin que leurs paroles soient entendues.

Je pense que j'aurai largement apprécié, en pièce de théâtre ou en documentaire, surtout quand on connait les actrices qui ont pu la jouer à travers la France.

Pour autant, c'est un livre nécessaire pour une approche généraliste du désir de la femme, mais aussi sur ses frustrations.

Une phrase m'a à la fois amusée et touchée, car elle colle parfaitement au sujet :

« le vagin, c'est un peu comme le triangle des Bermudes : personne n'en revient jamais pour vous en parler ! »

Le sujet est louable, nécessaire et plus qu'intéressant, mais sincèrement au bout d'un moment le discours devient répétitif, lassant, même si les points de vue sont variés et les thématiques abordées nombreuses. Je comprends que la construction est faite pour donner la parole à ces femmes, mais malheureusement, ça n'a pas fonctionné avec moi.
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"Ce qu'on ne dit pas devient un secret et les secrets souvent engendrent la honte".
Eve Ensler, auteur américaine d'essais et de pièces de théâtre a interviewé quelques 200 femmes sur leur vagin. Les monologues qui en ont suivi se sont vus récompensés du Obie Award et ont été joués sur Les scènes du monde entier.
Mon avis est mitigé, ayant de loin préféré Les monologues voilés d'Adelheid Roosen (qui traite de la sexualité des femmes musulmanes) dont j'ai chroniqué le livre (très difficile à se procurer) et vu la pièce au "Off" d'Avignon.
Dans les monologues du vagin, point positif, est soulevé le tabou de la sexualité féminine (on y parle sans crainte de certains fantasmes,d'orgasme,de sexologie,de rêves), la femme ignorante apprend à connaitre son corps et sont dénoncés les abus (viols, violences,excisions,irrespect,pédophilie).
Après, j'avoue avoir franchement ri à l'évocation des ateliers de groupe, où glace en main,la femme repère son clitoris, le caresse et jouit (cette scène de masturbation collective tenant plus pour moi du voyeurisme que de la thérapie) et à la liste impressionnante des gémissements (allant du "noooooooon!" de la femme Juive au "son tyrolien yodlant" de la montagnarde etc..). Dommage que la sexualité chez les personnes agées n'ait été abordée qu'une seule fois et dans le sens découverte, alors que les séniors (70 ans et plus ont encore une sexualité très riche).
Intéressant à lire!
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Les monologues du vagin est une pièce de théâtre d' Eve Ensler crée en 1996 qui a connu un certain succès à travers le monde.

En 2009, la chanteuse Jenifer a fait ses débuts sur les planches avec cette pièce.

La même année au Portugal, celle-ci fit fureur avec l'interprétation théâtrale de trois grandes actrices portugaises que sont Ana Brito e Cunha, Guida Maria et Sao José Correia. A l'époque après savoir vu un reportage qui leur était dédié je m'étais promis de la lire un jour.



Le titre à lui seul est absolument désopilant! C'est drôle, dérangeant, et politiquement incorrect! J'en rougissais au moment de passer en caisse, mais je savais que j'allais passer un bon moment et j'en rigolais d'avance...



Je m'attendais à de bonnes tranches de fous rires, mais le sujet était par moments assez sombre, lugubre et déprimant...

L'auteur nous avance des idées féministes, de libération sexuelle avec un ton parfois assez militantiste qui frise le ridicule. Elle met en exergue le plaisir féminin à travers la (re)découverte de notre corps, naturellement ou artificiellement, par les rapports avec les partenaires ou par des voies solitaires. le message est passé en tout cas : mesdames il faut commencer par abolir ce tabou qu'est la prononciation du mot vagin! Apprendre également à l' apprivoiser, et le chouchouter!!

Non, c'était franchement drôle! Jugez par vous-même!



"Si votre vagin pouvait parler, en deux mots qu'est-ce qu'il dirait?"



Doucement.

C'est toi?

J'ai faim.

A table.

Miam, miam.

Oh, ouiii.

Recommence.

Non, par-là.

Lèche-moi.

Reste à la maison.

Bon choix.

Essaye encore.

Encore, s'il te plaît.

Prends-moi dans tes bras.

Jouons.

N'arrête pas.

Encore, encore.

Tu te souviens de moi?

Viens, rentre.

Pas encore.

Waouh, maman.

Oui, oui.

Câline-moi.

Entrez à vos risques et périls.

Oh, mon Dieu.

Merci mon Dieu.

Je suis là.

Allons-y.

Trouve-moi.

Merci.

Bonjour.

Trop dur.

N'abandonne pas.

Tom! Où est Bryan?

C'est mieux.

Oui, là. Là. Comme ça.



Et encore! Je vous passe l'inventaire à la Prévert du " si votre vagin était habillé, que porterait-il?" ou encore "Votre vagin, il sent quoi?"

Dit comme ça, l'oeuvre paraît d'une vulgarité inouie mais j'avoue que c'est ce qui m'a fait le plus rire ainsi que la fameuse interview de Whoopi Goldberg.



Par ailleurs l'auteur aborde d'autres thèmes de façon beaucoup moins drôle et plus crue tels que l'excision, les mutilations, les viols, l' homosexualité etc... Je trouve personnellement que ce genre de sujets n'avait pas trop sa place dans la pièce, je m'attendais uniquement à un divertissement sans de grandes revendications féministes à tout va. Au lieu de celà elle brasse énormément de sujets - importants et utiles dans notre société soit dit au passage- mais à vouloir tout dire, la pièce paraît un peu désordonnée et perd de l'intérêt.



Je n'ai pas trouvé que c'était un chef-d'oeuvre. C'est dans l'air du temps, contemporain. Malgré tout, je me demande si finalement ces revendications ne paraissent pas un peu désuètes? Sur la question de la libération féminine du moins, il me semble qu'elle n'a plus grand chose à révéler de nos jours avec les médias, l'évolution de la société, de la famille, le changement des mentalités qu'elle réclame a déjà commencé à opérer depuis des décennies...



Un pur moment de divertissement pour qui ose s'y aventurer!
















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Fin de l'escapade estivale : Deux heures de route pour le retour et je ne conduis pas… il me faut un truc court, un truc drôle, un truc léger pour finir le week-end en beauté. « Les Monologues du vagin », en voilà un titre qu'il est bien ! Une soixantaine de pages : le format est parfait. Et ce titre ! Je me marre rien qu'en lisant le titre. Allez ! C'est parti !

Sauf que du coup, j'me suis pas marré tant que ça et les histoires de vagins, c'est pas si poilant finalement (excusez le jeu de mot facile, ‘faut bien rire aussi un peu quand même !). Ah ! Mais vous aussi vous êtes surpris… si, si, je le vois bien à la façon dont vous fixez mes lignes, ça vous étonne que j'me sois pas marrée plus que ça avec des histoires de vagins…

Parce que vous aussi, sûrement, vous pensiez que parler du vagin, c'est forcément parler de cul, de poils, de règles et de fluides ? sûr, qu'on se marre avec ça…

Comme moi, vous ne vouliez pas vous entendre dire que le vagin c'est un peu comme la cave d'une maison, pièce qu'on n'évoque pas, qu'on condamne parfois, dont on a un peu honte, mais dont on sait qu'elle peut renfermer quelques trésors… vous ne vouliez pas entendre non plus que parler du vagin, c'est aussi évoquer le viol et les violences faites aux femmes. Et le taire, c'est nier cette féminité, annihiler cette part de l'humanité… Vous aussi vous détournez les yeux imperceptiblement devant la fameuse pub Nana… hein ?

Parce que parler du vagin, c'est évoquer la part la plus intime de chaque femme, celle que la société phallocrate refuse de considérer, celle dont on fait un complexe, petit continent trop souvent inexploré… Et parlons-en aussi de l'exploration du vagin, tiens ! Parce que, si vous êtes une femme à me lire, là, présentement, je parierais que vous n'êtes pas encore allée à la rencontre de votre moi profond, hein, je me trompe ? Et, à bien y penser, ça ne vous pose pas de problème d'accepter les dictats sociétaux en déléguant, comme tant de femmes le font, à d'autres, amant ou médecin, de s'occuper de la partie la plus intime de vous-mêmes ?

C'est sûr que, vu comme ça, on ‘rigole plus tellement…

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