Récit à la première personne d'une femme qui approche de la quarantaine et que son mari quitte pour une très jeune femme. le récit s'essouffle assez vite . On est loin de L'amie prodigieuse et on ressort du livre déçue .
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L'histoire aurait pu être intéressante, mais trop de vulgarité à mon goût.
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J'ai eu du mal, mais je l'ai lu. Une femme est trompée par son mari, qui part. Rien que de très banal. Mais le style (parfois très vulgaire) et les agissements de cette femme, à la lisière de la folie, sont très dérangeants... mais je me demande si ce n'était pas le but. Alors, c'est réussi!
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Les histoires d'amour finissent mal en général, ce sont les paroles d'une chanson qui pourrait très bien se transposer à ce qui arrive à Olga. C'est d'une banalité affligeante, le mari qui part pour une plus jeune, en laissant les enfants. Une femme qui s'enfonce car elle ne comprend pas. Elena Ferrante décrit une sorte de huis clos entre l'appartement d'Olga, celui de son voisin, un peu des incursions dans la ville. Olga plonge au bord de la folie, commet des actes insensés, s'enferme dans des situations inimaginables, fait des actes de violence inouïe tout ça parce qu'elle s'est sentie trahie, abandonnée, rejetée. Il se dégage un certain malaise de ce livre au final, j'ai en du mal à le finir car je ne m'y sentais pas bien, pas très à l'aise. Un sujet certes grave et douloureux qui est traité d'une telle façon que l'on rentre de plein pied dans la tourmente d'Olga et que l'on se sent véritablement oppressé.
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" Une variation parfaitement maîtrisée et originale sur le thème de la femme abandonnée " , voilà les mots des éditions Gallimard pour présenter ce roman lors de sa publication le 1er avril 2004 . J'ai vérifié cette date car j'étais persuadée que l'éditeur avait décidé de le publier en France pour surfer sur la vague de la saga de "L'Amie prodigieuse", en folio , en l'occurrence . Il n'en est rien : Gallimard assume cette publication dès 2004 . Serais-je donc la seule à m'en offusquer , à voir les critiques indulgentes voire élogieuses qui s'accumulent sur ce site ?
En effet , et une de mes amies l'a très vite abandonné après la lecture de quelques pages , pour moi , ce roman est un navet sans nom .Tout est mauvais : la langue , d'abord , dans l'excès , l'ordure , la maladresse ; la construction aussi , sans but : j'ai voulu lire le roman jusqu'au bout et il m'en a coûté , pour découvrir , peut-être , une cohérence , un motif qui justifierait toutes les faiblesses criantes ; en vain . La psychologie des personnages , enfin ,et ce n'est pas le moindre reproche que nous ferions , mon amie étant pourtant psychanalyste ; elle est , en effet , comme le reste , incohérente . Vous me diriez que chacun a le droit de se reproduire , et que ces deux-là , mari et femme , se sont bien trouvés car ils sont aussi déglingués et auto-centrés l'un que l'autre , cette critique me plairait et aurait donné un autre livre , sur deux monstres ordinaires ; car ils sont bien indignes de procréer et atteignent des sommets d'ignominie en tant que parents .( la mère parle des enfants en disant "le petit garçon" , "la petite-fille" , avec une distance contre-nature .Ces portraits sont-ils réalistes ? Je ne le crois pas .Ce sont des caricatures improbables . On comprendrait même pourquoi ce type a pu plaquer sa femme s'il valait davantage lui-même ; mais alors , il ne lui confierait pas ses enfants : ce serait un autre roman encore une fois . Et on touche du doigt l'incohérence de cette histoire .
Certes , ce n'est pas de la littérature , voilà tout .Et je vous livrerais quelques citations , si j'osais , pour vous en persuader , mais les " chatte" , " bite","trou du cul" qui abondent comme tant de mots ou expressions triviales , banales ou ordurières , suffiront à donner le ton . Bref ! tout est très mauvais . Cela ne vaudrait même pas la peine d'en faire la critique si l'auteur n'était pas si célèbre et éditée chez Gallimard , tout de même : un mystère .
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Triste et déprimant... une histoire un peu glauque
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Lu après les 3 tomes de "L'amie prodigieuse", c'est moins bon mais c'est bien du Ferrante. Il s'agit d'un roman court, 150 pages et ça ne pouvait pas faire plus. La dimension psychologique est très prégnante, et ce n'est pas vraiment une lecture tout public. C'est finalement aussi un roman sur la condition féminine, qui avec Ferrante est abordée de manière très pertinente. La qualité de cette auteure est de savoir aborder des sujets sociaux et politiques à travers des histoires, sans assommer ses lecteurs avec des développements théoriques.
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déception à la lecture de ce livre, ayant lu l'amie prodigieuse, je pensais retrouver le rythme de l'auteur mais l'ennui m'a gagné.
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