Le robot nain qui se tient à côté de Son trône quand Elle est parmi les hommes surgit et il me tend l’épais cercle d’argent mat. J’y introduis le bras gauche pour qu’il se referme sur mon âme. La plaque qui surmonte l’Anneau et ressemble tellement à un joyau est de biais par rapport à moi et je ne puis déchiffrer les lueurs qui s’y inscrivent mais leur faible éclat font sortir Ses traits de l’ombre quand Elle se penche pour regarder.
Trois femme. Une qui est morte, une qui est vivante, une qui est morte et vivante, ni vivante ni morte, qui ne vivra jamais et ne mourra jamais car, en SUM, elle est immortelle.