Le chasseur de regards

"Le chasseur de regards" fait suite au "Voleur de regards" que je n'ai pas encore lu. le deuxième fait référence au premier, mais peut être lu séparément.

Un thriller très addictif qu'il est très difficile de quitter pour faire autre chose. Chaque chapitre se termine par un suspense qui donne très envie de continuer sa lecture. Un vrai page-turner, vous l'avez deviné !

Le héros, Alexander Zorbach, est un reporter qui a, jadis, travaillé pour la police. Il a déjoué les plans d'un psychopathe : le voleur de regards qui a assassiné sa femme et qui s'est évanoui dans la nature avec son fils, Julian. Ce type a tué plusieurs enfants et leur a enlevé l'oeil gauche.

Un autre psychopathe, un des meilleurs ophtalmologues du monde, est soupçonné d'avoir découpé les paupières de plusieurs femmes avant de les violer et de les assassiner. Quelle est sa motivation? Pourquoi enlever les paupières à quelqu'un? Réponse dans le livre évidemment.

Qui sont ces monstres? Sont-ils en relation l'un avec l'autre. Il semblerait que leur histoire soit liée.

La police fait appel à une aveugle qui aurait le don de voir des scènes de crimes rien qu'en touchant le présumé coupable...

Comment arriver à déjouer ces noeuds?

Fitzek y arrive avec grand talent. A lire absolument par les amateurs du genre.
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Je dois avouer qu'avec ce dernier opus, je suis un peu déçue. Les personnages principaux sont soit retenus prisonniers, soit hors d'état de nuire. Il n'y a donc pas d'enquête à proprement parler. Juste des révélations sur les coupables.
La narration tire par conséquent un peu en longueur.
Qui plus est, l'auteur avait déjà traité le sujet dans le précédent roman. Il n'y a donc plus de réel effet de surprise. Dommage.
Je n'ai toutefois pas boudé mon plaisir, mais je dois avouer que ce fut une lecture "rapide".

Rendez-vous chez l'ophtalmo
Obtenir un rendez-vous chez un ophtalmologiste est souvent synonyme de parcours du combattant… Mais quelques fois, c'est lui qui prend les devants et … vous kidnappe pour vous opérer… avec ou sans anesthésie, ça dépend… Enfin, rassurez-vous, ceci se déroule dans l'imagination de Sebastian Fitzek !
Le Chasseur de Regards s'ouvre quasiment là où le Voleur de Regards s'était achevé (d'où l'intérêt de les lire dans l'ordre !). Alexander Zorbach est mort. Officiellement. En réalité il a survécu miraculeusement à un suicide manqué mais c'est un homme brisé : seule la perspective de retrouver le monstre qui l'a dépouillé de toute humanité le rattache encore à la vie. Quant à Alina, la police lui demande « d'examiner » un homme suspecté d'avoir enlevé cinq femmes, de les avoir atrocement torturées et violées : relâchées, trois se sont suicidées, la quatrième est encore en vie mais totalement traumatisée, elle ne peut témoigner … Quant à la cinquième, elle est introuvable. La police compte sur le don d'Alina pour confondre Zarin Sucker. Sauf que Sucker est un ophtalmologiste de renom, et qu'il fait une proposition à Alina : il peut l'opérer et lui faire recouvrer la vue. S'il est libéré bien entendu.
Je n'en dis pas plus sur l'intrigue machiavélique et passionnante qu'il serait vraiment dommage de dévoiler.
Sebastian Fitzek reprend le même procédé d'écriture que dans le précédent volet et alterne les voix de ses personnages pour raconter l'histoire, et cette fois, c'est Alina qui a le premier rôle. D'une noirceur totale avec certaines scènes à la limite du supportable mais qui sont parfaitement justifiées par l'intrigue, c'est un thriller addictif sans temps mort.

C'est sans surprise qu'après avoir terminé "Le voleur de regards", il me fallait lire la suite.

Sans spoiler, "Le Voleur de regards" se termine sur une note incroyablement surprenante, je n'avais rien vu venir. D'autant qu'à la derniere page de ce premier tome, le doute est total. J'ai donc immédiatement commencé la lecture du chasseur de regards.

Et j'ai été encore une balader par le talent de Sebastian Fitzek pour faire croire des choses à son lecteur, alors que la vérité est tout autre.

J'aime vraiment beaucoup cet auteur, qui a un talent particulier pour créer la surprise, sans avoir permis à son lecteur de voir venir les différents dénouements de ces romans.

Et voilà !!! Un retour vers un auteur trop longtemps délaissé que je ne regrette absolument pas. Ce livre fait suite à « Le voleur de regards », heureusement très indépendants malgré tout. J'ai lu le premier volet il y a longtemps ce qui ne m'a pas empêchée de prendre un réel plaisir à suivre cette histoire pleinement. Si l'on peut dire cela d'un roman très noir comme celui-ci. Les personnages sont très bien et nous mènent jusqu'au dernier chapitre plein d'espoir. le suspense est très bien mené, pour moi. Pas de passages à vide. Un rythme soutenu. J'ai beaucoup aimé, amateurs(trices), de la noirceur de l'âme humaine, allez-y. Bonne lecture.

Je vais débuter cet avis en vous disant, qu'effectivement je n'ai pas lu le tome 1. L'auteur le souligne au début de son livre, dans une préface. Cela n'a pas vraiment été impactant sur l'histoire, et qu'au final on finit par comprendre tout les éléments importants de celle-ci.
Pour ce qui est de la plume, je ne peux que dire du bien d'elle. Comme à chaque roman, Fitzek me transporte totalement dans son univers. Et l'histoire de Alexander Zorbach m'a totalement happé. Je ne pouvais plus décrocher, à tel point que je l'ai fini plus rapidement que prévu.
J'ai aimé la façon dont chaque chapitres étaient tournés et racontés. La façon dont on découvre les éléments de l'histoire petit à petit. Ce roman est parfaitement écrit, et c'est un excellent Thriller/Policier.
L'histoire était bien construite, le récit parfaitement compréhensible. Il n'y a aucunes difficultés à comprendre l'enquête qui se déroule au fur et à mesure. J'ai été surprise par la fin, car (Attention Spoiler) [je ne pensais pas que l'on retrouverait son fils. Je ne pensais pas qu'on nous présenterait une fin presque à la Happy End. Même si l'on sait pertinemment que les personnages ne ressortiront pas indemnes de toute cette histoire].
En attendant, je vous le conseille ! Je vous recommande ce roman, et je vais aller même plus loin ! Je vous recommande de lire les deux tomes d'un seul trait. Je pense sincèrement que cela en vaut la peine, surtout si vous connaissez l'auteur. Et puis si vous ne le connaissez pas, c'est un bon moyen de vous faire un avis sur ce qu'il peut écrire.
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Ah Fitzek ! Ma référence sure quand je veux un thriller captivant, totalement addictif et immersif ! Malheureusement, bien que ma lecture fut excellente, j'ai trouvé cette suite du Voleur de regards clairement en dessous du premier tome. Voyons pourquoi.

Nous retrouvons ici, avec plaisir, les personnages que nous avions découverts lors de la lecture du premier tome : Zorbach, Alina, Stoya... Ces derniers ne sont pas au bout de leur peine car un ophtalmologue fou s'amuse à découper les paupières de femmes avant de les violer afin qu'elles ne puissent plus jamais fermer les yeux... Et croyez moi, la traque ne sera pas de tout repos...

L'auteur s'amuse à nous mener en bourrique, à nous faire aller vers des pistes qui semblent vraies, à nous faire nous creuser la tête en même temps que les personnages, à avoir peur avec eux et c'est un réel plaisir, c'est clairement ce que je recherche quand je lis un thriller et surtout un Fitzek ! Cependant, normalement avec cet auteur, je m'attends à être choquée, à être stupéfaite de ce qu'il se passe dans ses romans et ici, bien que le dénouement soit stupéfiant, je n'ai pas eu le « Non mais c'est pas vrai, wahou ! » attendu et j'avoue que j'ai une petite pointe de déception par rapport à ça.

Certes, notre nouvel assassin fou est ultra original, avec des « motivations » intrigantes mais il m'a manqué un petit quelque chose. J'ai trouvé que le tout se passait trop rapidement et même parfois, trop simplement ! Je pense surtout à tout ce qui arrive à Zorbach, clairement trop rapide et trop facile, bien en dessous de ce qu'on peut attendre de l'auteur. Ceux qui auront lu ce tome me comprendront.

La fin, assez ouverte, laisse une possibilité de suite mais j'ose le dire : je ne l'espère pas. En effet, je crois que je saurai d'avance le déroulement tant l'ouverture semble grosse et cela me décevrait vraiment énormément de cet auteur.

Malgré tout, j'ai adoré ma lecture qui m'a captivé comme toujours avec cet auteur et je n'ai qu'une hâte : continuer à lire ses romans !

Alexander Zorbach a payé le prix fort lors de sa recherche du voleurs de regards, et s'il a réussi à déjouer ses pièges, il n'en sort vraiment pas indemne.
Il est à nouveau à la merci d'un tueur sadique qui ''joue '' avec les paupières de ces victimes.
Et sans vouloir trop en dire, le chasseur de regard rejoint le voleur de regards.
Il faut pour ma part vraiment lire le voleur au préalable.. L'intrigue est plus complète, plus intense quand on connaît les crimes et les protagonistes du voleur.
(On peut néanmoins lire celui-ci en one-shot, mais même l'auteur conseille de commencer par l'autre).
Que dire d'autre.. Que Fitzek, comme toujours nous plonge dans son univers sans relâche.. Que son écriture est si immersive que ce livre est un must. J'aime ses fins, imprévisibles, ses rebondissements tout du long. .
Autant je me réjouis d'en commencer un nouveau qu'il a écrit, autant je ne veux pas les lire trop vite, j'arriverai trop rapidement à la fin de ses oeuvres.. .
Une belle réussite une fois de plus.

"Le chasseur de regards" est la suite des aventures du journaliste berlinois Alexander Zorbach, et même si l'auteur signale en prologue qu'elle peut se lire indépendamment, je conseille à tout lecteur intéressé de commencer par le premier opus "Le voleur de regards", s'il veut pleinement profiter de la perversité du scénario.

Alors que le chasseur de regards, un serial-killer spécialiste des enlèvements d'enfants dont il énuclée l'oeil gauche avant d'en abandonner le cadavre, semble être identifié, Zorbach est toujours à la recherche de son fils qu'il a kidnappé. Pendant ce temps, la police aidée d'Alina, la physiothérapeute médium déjà rencontrée dans le premier tome, tente de prouver que Suker, un célèbre chirurgien ophtalmologue, est bien le psychopathe qui viole et torture des femmes en les laissant gravement mutilées aux yeux. Les deux hommes sont-ils complices ? La vie de Zorbach et d'Alina va être mise en péril, volontairement pour l'un qui n'a plus rien à perdre et bien malgré elle pour l'autre, qui est handicapée par sa cécité.

Troisième roman de Fitzek à mon actif et même ressenti, je ne parviens pas à rester concentrée au cours de ma lecture et à la fin, je suis toujours obligée de relire quelques pages par ci, par là pour saisir toutes les astuces du dénouement. le scénario de ce thriller psychologique est une fois de plus très tortueux, deux affaires s'entremêlent et alternent au fil des chapitres. Zorbach est lui-même narrateur de son histoire alors que le reste est écrit à la troisième personne. Je trouve que cela donne un ensemble quelque peu brouillon. On pourrait lui reprocher également quelques similitudes avec le premier tome, déjà pour le titre on aurait pu mieux faire, on a une fois de plus à faire avec un tueur vengeur qui a presque de bonnes raisons d'agir ainsi et enfin on est face à une police totalement dépassée. Malgré tout, avec de nombreux rebondissements, une écriture efficace, des chapitres courts, une fin inattendue, le suspense reste au rendez-vous. Il est très facile de s'attacher à Alina qui se retrouve victime sans le vouloir mais qui garde une volonté de fer pour s'en sortir malgré son handicap.
En résumé, une lecture mitigée à laquelle j'accorde un 12/20.

Le Chasseur de regards est en fait la suite de le Voleur de regards. Néanmoins, il n'est pas nécessaire d'avoir lu le premier tome pour comprendre ce second opus. le roman peut donc se lire de façon indépendante.

Sébastien Fitzek nous livre encore une fois une histoire pleine de suspens et de rebondissements. Dès les premières lignes, aucun doute, nous sommes bien dans un thriller. L'intrigue se divise en deux pans. Celui de Alexander Zorbach qui est à la recherche de son fils et celui de Alina qui est une médium aveugle. J'avoue avoir préféré l'histoire d'Alina pour son originalité mais aussi pour la force de caractère du personnage. J'ai trouvé que son histoire était vraiment prenante et j'avoue que je languissais les passages où elle apparaissait. Sa détermination et son courage pousse à l'admiration. J'ai aimé ce personnage de femme forte plutôt que celui du journaliste en détresse.

L'intrigue est menée de main de maître. On sent que l'auteur maîtrise totalement l'exercice. L'ensemble est bien écrit et c'est vraiment très agréable à lire. Comme dans la plupart des thrillers, certains passages sont un peu "gores". Les descriptions sont précises et chirurgicales. Si vous êtes un peu sensibles et que vous craignez tout ce qui touche aux yeux, je vous conseille de passer votre chemin car certains passages risquent de vous donner la chair de poule.

Bref, un vrai bon thriller à découvrir.
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