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3,86

sur 337 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'avais lu il y a plusieurs mois un thriller de Sebastian Fitzek, écrivain allemand, que j'avais beaucoup aimé. J'ai donc décidé de découvrir un autre de ses romans et je n'ai pas été déçue.
L'écriture est simple, fluide. le suspense est bien présent, même si vers le milieu du roman il y a quelques longueurs dues à des descriptions et des introspections des personnages.

Alexander Zorbach est un ancien flic devenu journaliste criminel, il enquête sur un tueur surnommé le Voleur de Regards. Celui-ci a déjà tué trois mères de famille et il laisse sur leur corps un chronomètre avec l'indication 45 heures 7 minutes. le temps qu'il reste à la police et au père pour retrouver les enfants. Malheureusement, le temps s'est écoulé sans savoir où ils étaient cachés. Trois petits corps ont donc été découverts avec un oeil arraché. Pourquoi ? Quel est la signification de cet acte ?
Aujourd'hui un mère de famille a de nouveau été assassinée. Et malheureusement pour le journaliste le Voleur de Regards a décidé de s'en prendre également à lui, en laissant des indices qui font que tout l'accuse. Alexander Zorbach doit à tout pris découvrir où a été caché l'enfant afin de le libérer et prouver son innocence. Une course contre la montre s'engage.

Ce roman commence par l'épilogue, ensuite le chapitre 83, jusqu'au chapitre un et le prologue. Et quand arrive le dénouement on se dit waouh 😲😲 génial d'avoir eu cette idée, car le livre se termine de façon magistrale. Je n'ai plus qu'une envie aller m'acheter la suite car je ne vais pas pouvoir attendre longtemps.
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Aveugles
Ça vous est déjà arrivé de lire la fin d'un polar avant de l'avoir terminé ? Par impatience, ou pour vérifier si votre hypothèse était la bonne ? J'avoue, je l'ai déjà fait, pas souvent certes, mais occasionnellement… Avec ce bouquin, inutile de se sentir coupable : pour rendre ses lecteurs encore plus « accros » l'auteur a utilisé un subterfuge d'écriture très malin ! le livre commence par la fin ! le premier chapitre est l'épilogue. Mais évidemment, il ne dévoile rien de l'intrigue, machiavélique à souhait.
Alexander Zorbach est un ancien flic, reconverti dans le journalisme. Il travaille pour un magazine allemand à sensations et couvre les affaires les plus sordides, comme ces crimes atroces commis depuis quelques semaines à Berlin… Un psychopathe choisit soigneusement une gentille famille : une maman et un enfant … le père doit, vous l'aurez compris, être absent et trouver à son retour sa femme assassinée tenant dans ses mains un chronomètre marquant le temps qu'il reste pour trouver l'enfant, enlevé et caché. Jusqu'à présent, personne n'est parvenu à retrouver les enfants avant l'expiration du délai imposé par le tueur … Tous sont morts, étouffés et… comble de l'horreur, énucléés, le tueur, surnommé « le voleur de regards » ayant pris soin de leur ôter l'oeil gauche. La police traque le meurtrier sans relâche mais n'a rien trouvé pour l'identifier et sur son mobile. Quant à Zorbach, il suit cette affaire (juteuse pour son journal) de près. Aussi, quand il entend qu'un nouveau meurtre vient d'être découvert au domicile des Traunstein, il se précipite sur les lieux : le tueur a parfaitement respecté son « cahier des charges », la femme a été étranglée et ce sont deux enfants qui ont été enlevés, des jumeaux, Léa et Tobias, dix ans… le compte à rebours est lancé. Un compte à rebours mortel, surtout lorsqu'Alexander Zorbach devient le suspect n°1.
C'est le quatrième thriller de Sebastian Fitzek que je lis : je suis obstinée car mes deux premières lectures (Le colisle cadeau) m'avaient laissée une impression mitigée. En revanche, j'avais beaucoup aimé Passager 23 ! Et donc, ce voleur de regards ? Fin du suspens, c'est du tout bon ! Ouf, car c'est le premier d'une série de trois, mettant en scène Alexander Zorbach (j'ai eu la bonne idée de solliciter auprès de NetGalley « Playlist », aimablement accordé, et comme j'aime bien lire les « séries » dans l'ordre… : d'ailleurs, petit conseil, lisez les vraiment « dans l'ordre » même l'auteur vous le conseille amicalement !)…
L'intrigue est parfaitement construite, le suspens total. Raconté à la première personne par Alexander Zorbach, les chapitres alternent les voix des autres personnages, notamment celle de Tobias. Pour « corser » l'histoire, Sebastian Fitzek accompagne son personnage principal par celui d'Alina Gregoriev une physiothérapeute aveugle qui aura un rôle très important.
Addictif, haletant, ce thriller implacable est impossible à lâcher… Et inutile de préciser que je lis le second dans la foulée (Le chasseur de regards).
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Le voleur de regards comme les médias l'ont appelé tue une femme avant d'enlever son enfant. On retrouve un chronomètre dans la main de la femme pour lancer un ultimatum. Tout accuse Alexander Zorbach, ex flic devenu reporter judiciaire. Il devient le principal suspect car il arrive très vite sur le lieu, on retrouve son portefeuille sur la scène de crime et il détient des informations que même les plus proches collaborateurs ignorent. le compte à rebours a commencé…
Sebastien Fitzek est le maitre du suspens, un auteur incontournable du thriller allemand. La construction du livre est originale (je n'en dit pas plus pour ne pas gâcher votre découverte). Ce thriller m'a fait passer un très bon moment. Il tient le lecteur en haleine et arrive à mettre le doute au lecteur
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La voyante est aveugle, mais Zorbach n'est pas Grec

Cela dit, j'ai écouté ce livre d'un trait, j'y ai consacré mon dimanche. Je m'en interroge car j'ai lu quelques critiques négatives, mais n'est-ce pas l'authentique ressenti qui compte ?

Cette histoire m'a complètement transportée ailleurs, dans un monde un poil extravagant, mais sans excès, pendant que mes mains tricotaient des chaussettes (l'hiver vient !)

Donc, nous avons comme il se doit un être pervers et malin qui commet des crimes ritualisés tuant une mère et indiquant une compte à rebours jusqu'à la mort de l'enfant de celle-ci qu'il a enlevé et qu'il séquestre. Ou ? Comment ? Pourquoi ?

Je soupçonnais des pièges partout, attendait des retournements d'alliances, voyais le meurtrier dans chaque passant. J'ai même cru le reconnaître quand il s'éloignait d'un pas hésitant dans la rue... bref, sur les braises tout au long de la lecture, mais quelle séance d'évasion !

Et comme je suis maso, je vais m'attaquer à la suite.
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Encore une fois, Fitzek réussi à se jouer de son lecteur, pour notre plus grand bonheur. le livre nous tien très bien en haleine, avec des rebondissements et des révélations qui tiennent la route. Ça fait du bien. C'est bien écrit, c'est efficace, c'est juste très plaisant à lire. Une très bonne lecture. Et pour l'instant, je crois que Fitzek a toujours tapé dans le mile avec moi... Hâte de lire un autre de ses ouvrages.
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Un compte à rebours haletant , du suspense , des chapitres courts apportant chacun révélations et rebondissements
et quelques notes d'humour sarcastique ...
On ne s 'ennuie pas un instant dans cette chasse
au " voleur de regards " !
Un bon "Fitzek" dont il me faut maintenant lire la suite !
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Belle découverte...
Thriller palpitant, haletant, les chapitres sont courts comme je les aime et dégressif.
Ce thriller commence de façon conventionnelle, le héros habituel flic puis journaliste désemparé, ayant perdu femme et enfant à cause de son job, mais on va lui allier une jeune aveugle medium...
Beaucoup de retournements, j'ai compris assez vite qui était le voleur de regards mais il n'empêche que jusqu'au bout j'ai été surprise ... ;-)
A lire donc
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Moins apprécié que "Thérapie" mais une intrigue tout de même bien ficelée.
La configuration des chapitres et le héros "suspens" donne une touche spéciale à ce roman.
Le seul bémol, pour moi, est le manque d'angoisse face à l'inconnu de la situation. Impossible de ressentir de l'empathie pour ce qui arrive aux protagonistes.
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Découverte de l'auteur avec ce premier roman lu de Sebastian Fitzek, et je n'ai pas été déçut.

Un roman qui a su me tenir en haleine jusqu'au bout malgré un début assez surprenant ( je me suis même demander si le livre n'avait pas un défaut de fabrication mais non c'est tout à fait normal ), en effet les titres de chapitres commencent comme si on était à la fin du livre. Cependant, cela prend tout son sens au fil de la lecture jusqu'à son dénouement final, qui est pour moi à la fois la fin de ce tome mais en même temps le début du prochain tome. Une course contre la montre intense que l'auteur à bien su mener. A aucun moment, je me suis douter de coupable, tout est là pour nous induire en erreur. Sans compter, une fin qui ne te donne qu'une seule envie: lire la suite!
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Ce matin, une panne de voiture m'a contrainte à annuler mes projets de ce jour. C'est à croire que le voleur de regards avait planifié ça pour me permettre de me plonger corps et âme dans son projet macabre. Je viens d'avaler 400 pages sans interruption, sans manger, sans même respirer.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un livre capable de me scotcher, de me captiver, de m'emmener si loin dans l'horreur.
Et - c'est très bizarre à dire - ça m'a fait du bien.
Pendant quelques heures, j'ai oublié mon quotidien, mon travail en retard, mes coups de fil à passer, les appels incessants de mon estomac à l'approche de midi.
L'histoire est glauque à souhait. le jeu est dément. L'homme qui le dirige encore plus. Nos méninges se triturent pour tenter d'aider Alexander Zorbach et Alina dans leur quête de sauver deux enfants des griffes du monstre.
Jusqu'à la fin, nos hypothèses se succèdent, se démantelant au gré des indices. Et jusqu'au bout, le doute persiste.
Au coeur de l'enquête, les indices paranormaux d'une femme aveugle nous malmènent, déstabilisant nos repères rationnels et traditionnels.
On est perdus. du début à la fin !

Sebastian Fitzek a su trouver les mots précis et parfaits pour enlever les miens de la bouche l'espace d'une journée. Quel talent !

P.S. Et je viens d'ajouter à l'instant à ma liste Pense-bête, la suite de ce roman - Le chasseur de regards - qui promet de m'emmener une nouvelle fois très loin du confort de ma terrasse printanière sous le soleil. A croire que je suis un peu masochiste :-)
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