La consolante

Ce roman d'Anna Gavalda rassemble le même type d'ingrédients que dans Ensemble, c'est tout : nombreux passages de la vie quotidienne, beaucoup de tendresse, des personnages attachants et très paumés.

L'architecte Charles Balanda, 47 ans, est l'anti-héros de ce roman et voit sa vie basculer lorsqu'il apprend la mort d'Anouk, la mère de son ami d'enfance, Alexis. Une femme qu'il aimait profondément.
Attention, à partir de là, les déambulations de ce personnage principal sont alors nombreuses et tellement looongues avec en cadeau Bonux un style Harlequin sur la fin à la limite du grotesque que je n’ai pas aimé du tout.

Mais ce n'est pas le plus pénible dans ce livre ; il y a surtout l'écriture avec d'épouvantables manies à mon goût, comme cette grotesque idée d'omettre le sujet ou le fait de répéter un mot après un saut de ligne pour le mettre en emphase.
Bref, c'est indigeste, pénible chi….

Si vous arrivez au bout sans râler (comme moi) toutes les vingt lignes, bravo !


Lien : http://justelire.fr/la-conso..

Une grosse déception que cette "Consolante", Anna Gavalda dont j'avais apprécié les premiers livres, m'a découragé avec ce gros pavé indigeste, bavard, aux personnages et situationd grotesques, une histoire improbable sans parler du style balourd, mou du genou. Ou est passé la talentueuse Anna Gavalda de "J'aimerai que quelqu'un m'attende quelque part" ?

On apprend quelques mots de vocabulaire en cherchant dans le dictionnaire ainsi que la signification du titre, que je ne connaissais pas, vers la fin. Anna Gavalda reste dans son style même si le début est moins intéressant et que je me suis moins prise d'affection pour le personnage principal (peut-être parce qu'il est bien plus vieux que moi). Mais quand j'ai refermé le livre je n'ai pas été déçu, en effe on dévore la fin dès l'arrivée à la campagne ! Tous les enfants sont si intéressants et les lieux magiques !
Accrochez-vous donc à votre lecture pour ne pas en perdre le fil, il vaut le coup !

Quelle déception !!
Au moins pour la première moitié du bouquin (style très laborieux censé nous communiqué le désarroi du héros) puis arrive la deuxième partie plus lumineuse où l'on retrouve le savoir-faire de Gavalda mais pour ma part le mal était fait.

je n'ai pas réussi à rentrer dans le livre...trop brouillon...on ne sait pas qui parle à qui...bref j'ai décroché au bout de 80 pages...dommage. j'ai adoré tous les autres livre d'Anna Gavalda écrits avant celui-là. Je continue donc à la recommander en tant qu'auteur...mais pas pour celui-ci !

J'ai lu ce livre il y a un an maintenant, je suis restée complètement hermétique à cette histoire, je n'ai pas compris où voulait en venir Anna Gavalda. Pourtant c'est une auteure que j'apprécie. Je me suis ennuyée dans cette lecture qui m'a semblée très très longue. Ce fût donc un flop. L'histoire en elle même est un peu "bateau", un homme qui a la cinquantaine qui remet tout en question lorsqu'il apprend le décès d'une femme qu'il a bien connue dans sa jeunesse...

Ca fait presque 2 semaines que je trimballe ce livre et je l'ai enfin terminé ! :soupir: Juste pour vous dire qu'il est tellement ennuyeux que j'ai pensé à maintes reprises à l'abandonner..
Pourtant, la quatrième de couverture est bonne, et ça commence bien aussi mais juste après, ça va dans tous les sens avec ses phrases sans sujet, un débit vif et haché, la profusion, je dirai même l'abus !
Gavalda, tu as fait vachement mieux ! ..

Charles, architecte de 47 ans, arrive un peu à la croisée des chemins de ses vies personnelle et professionnelle. Avec sa femme, ce n'est plus l'amour fou mais il garde une grande affection pour la fille de cette dernière, Mathilde, adolescente qui se cherche. Au boulot, les voyages l'épuisent mais il a perdu le feu sacré pour l'architecture. La nouvelle de la mort de la mère d'un ami d'enfance le plonge dans un immense désarroi. Cette femme qui était comme une seconde mère (voire un peu plus?) pour lui hante désormais ses souvenirs et il va essayer de remonter ce fil d'Ariane...

Je suis bien embêtée pour noter ce livre. Et je suis assez fâchée après Anna Gavalda, qui décidément m'agace et me déçoit au fur et à mesure de mes lectures... D'ailleurs, je pense arrêter les frais ici et ça tombe bien parce que son prochain projet est un roman 2.0, écrit avec des lecteurs et que je trouve ça à la fois très démago et très "fainéant" de la part de l'auteure. Alors, pourquoi suis-je énervée et embêtée ? Parce que j'ai détesté le style gavaldien (qui est tombé dans le pire des trucs que j'avais détesté dans les romans précédents, cette espèce de langue parlée, les phrases tronquées, les longues énumérations et listes de ce que Charles a fait ou pas, les mots anglais pour faire "staïle", cette pseudo-simplicité de langue dont je trouve l'auteure indigne - mais il semble bien que ça devienne sa marque de fabrique, alors je dois me faire une raison) et parce que, malgré ce terrible handicap (qui a failli me faire poser le livre au bout de 50 pages), j'ai été emportée par l'histoire et par le personnage de Kate, lumineux, évident et qui d'ailleurs efface tous les autres et sauve le bouquin, à mon avis. Je m'en veux un peu d'avoir cédé au romantisme et à la beauté de ce personnage, passant outre l'insupportable écriture, un peu de la même manière que je m'en veux de dévorer un Marc Lévy ou Maxime Chattam malgré la pauvreté du texte. Je plaçais Gavalda un peu au-dessus de ça, dans une catégorie d'écrivains "récupérables" mais je pense que je me trompe. Je n'aime plus du tout son écriture, je vais m'arrêter là.

Tout ce qu'on aime de Gavalda est dans ce roman ... sauf sa plume, à se demander ce qu'il lui a pris d'écrire comme ça ?!!!

je me suis surtout attaché au style, un peu changeant , perturbant mais intéressant
après le personnage de Charles , un peu "calimero" mais c' est du Gavalda , pas le meilleur - Ensemble c' est tout, je l' aimais- plaisant sans plus.